Depuis plusieurs semaines, Delphine recevait des lettres de menaces mais au début elle n'y prêta pas attention jusqu'au moment ou dans ses lettres, la personne faisait allusion à l'assassinat de ses parents et dût faire que c'était une erreur : que c'était les mauvaise personne. Elle commença à paniquer. Elle se dit qu'elle irait parler de ces lettres à quelqu'un mais ne savait pas vraiment à qui pour l'instant donc elle décida de continuer de vivre sa vie normalement et d'essayer d'oublier ses lettres quand un matin en partant travailler elle aperçut une enveloppe coincer sous l'essuie-glace de sa voiture. Elle se pétrifia pendant un instant avant de prendre l'enveloppe et de l'ouvrir : une nouvelle lettre de menace. C'était trop : quatre en moins d'un moins c'est plus possible pour la jeune femme. Elle était là debout devant sa voiture en treint de lire cette lettre : celle ci disait qu'il savait tous ce qu'elle faisait , où elle allait tous les jours et pleins d'autres trucs , ce qui fit paniqué encore plus Delphine.
Elle monta dans sa voiture et la vérrouilla immédiatement: elle regarda dans celle-ci si il n'y avait personne. Elle regarda autour d'elle avant de démarrer sa voiture et de se rendre sur son lieu de travail car elle se dit que au moins là-bas il ne pourra rien lui arriver. Elle gara sa voiture rapidement devant la crèche. Elle se dépêcha de s'y rendre en vérifiant si elle n'était pas suivit. Une fois un l'intérieur elle fut comme soulager et essaya de ne montrer à personne ce qu'elle ressentait à cet instant : elle essaya d'oublier cela et ce concentra sur mon travail. Pour elle travailler était un très bon remède pour le stress alors elle décida de s'y concentrer au maximum et ne plus penser au monde extérieur.
Toute la journée se passa assez calmement, les enfants se comportaient comme de vrai petits anges. Quand la fin de journée arriva , Delphine commença a être de moins en moins rassurer.
18h30, tous les enfants était partit et Delphine s'apprêtait à faire la même chose mais en sortant, il vit un homme habiller en jeans noir , et d'un sweat à capuche noir. La capuche était tellement grande qu'elle cachait la partie supérieur du visage de l'homme. Delphine resta debout devant l'entrée de la crèche et regarda l'homme qui était adossé à sa voiture : elle n'osa pas avancer quand celui-ci fit quelques pas en avant et lui fit un drôle de geste qui pétrifia de nouveau Delphine : il posa son pouce , en gardant le poing sérer, sur son cou et regarda Delphine avec un léger sourire. Il partit en courant juste après. Delphine resta debout , stupéfaite, encore de nombreuses minutes avec des larmes qui coulaient sur ses joues. Elle rejoignit vite sa voiture avant que sa patronne se rende compte de quelques choses.
Sur le trajet du retour Delphine se parlait à elle même en pleurant. Elle gara sa voiture un peu plus loin que d'habitude car il n'y avait pas de place juste devant chez elle. En sortant de sa voiture, toujours en pleure elle se retrouva nez à nez avec une jeune femme qui habitait dans l'immeuble près de chez elle, elle l'avait déjà vu qu'elle que voit mais elles ne se connaissaient pas vraiment. Au début Delphine ne se rendit pas vraiment compte de sa présence mais cette jeune femme eut vite fait de prendre la parole tandis que Delphine vérrouilla sa voiture ….

-Oh excusez moi!

-Pas grave vous inquietez pas ..

Delphine essaya de masquer ses larmes au maximum mais la jeune femme les avait vu et avait bien remarquer l'état de Delphine. Mais elle essaya de faire comme si elle ne l'avait pas vu et se tourna pour verrouiller sa voiture. Elle avait beau essayer de cacher ses larmes mais sa tristesse ou enfin son angoisse se fit ressentir dans sa voix. Elle s'appretait à se retourner quand la femme qui était toujours près d'elle lui lança sans même avoir réfléchie :

-Ca va pas ? Je peux vous aider ?

Elle n'osait pas répondre, elle ne voulait pas déranger cette charmante femme avec ses problèmes, c'est pour cela qu'elle se confie à personne et qu'elle garde tous pour elle. Elle regarda le sol pendant un moment avec les yeux remplis de larmes : elle essaya de se calmer au maximum avant de prendre la parole. Mais dans sa tête elle voulait partir, courir jusque chez elle pour s'enfermer et ne plus jamais sortir mais à quoi bon faire ça maintenant que le meurtrier sais où elle habite ? Comment faire ? Elle commençait à s'enfermer dans sa bulle en oubliant completement la femme qu'elle voyait quotidiennement mais avec qui elle n'avait jamais pris le temps de parler, juste des petits bonjours le matin et un bonsoir si elle arrivait à se voir à ce moment de la journée. Delphine releva doucement la tête puis regarda la femme d'un air assez triste. Malgré les larmes qui coulaient encore, elle prit quand même la parole mais d'un ton assez hésitant :

-Non … non ça va pas … Mais ne vous inquietez pas pour moi, ce n'est rien … Continuez votre route je ne veux pas vous faire perdre votre temps pour rien ….

Elle pleurait de plus belle. Prenant appuis sur sa voiture, elle s'assit par terre en prenant sa tête entre ses mains et se laissa envahir completement par ses émotions et surtout par ses peurs. Elle n'en pouvait plus, elle s'est retenue de pleurer toute la journée pour pas avoir à expliquer au gens ce qui se passe mais là c'était trop. Son téléphone sonna plusieurs fois ce qui la fit pleurer encore plus quand elle vit afficher : « Inconnue », il n'y avait pas de doute c'était lui : l'assassin de ses parents. Elle balança son téléphone contre le mur qui se trouvait face à elle : celui ci avait maintenant l'écran briser. La femme qui était toujours là ne savait pas trop quoi faire face à une telle situation : mais alait-elle rester ou partir ? ...

Delphine avait beau tout faire pour contenir au maximum ces larmes mais rien à faire, elle coulaient maintenant toute seule et ruisselait jusqu'à son menton et allait s'éclater sur le sol assez lentement mais de manière assez régulière. La situation la dépassait et elle ne savait pas du tout à qui en parler , depuis quelques temps elle ne faisait plus confiance au personne étrangère pour elle alors maintenant elle était complètement désemparer. Cet homme la traquait depuis plusieurs semaines maintenant et elle commençait à être à bout de force de devoir tous garder en elle. Cette nouvelle lettre de menace était celle de trop.
Elle était maintenant sa voiture en pleurant devant une femme qui passait par là par hasart, cette femme elle l'avait déjà vu quelques fois le matin mais elles ne prenaient pas spécialement le temps de ce parler quand elles étaient assez rapide, elles ne se faisaient que quelques signes de têtes et quelques sourires mais rien de plus mais maintenant, elles étaient face à face dans des circonstances assez froid et sombre pour Delphine. La jeune femme demanda à Delphine et ça allait et si elle pouvait l'aider mais bien sur vu que maintenant cette femme l'avait vu pleurer elle n'allait pas dire que tout allait bien ça sert franchement à rien : cette personne n'est pas débile non plus il faut pas exagérer. Alors elle lui répondit juste que ça n'allait pas mais qu'elle n'était pas obliger de rester, elle pouvait continuer sa route tranquilement. Entre la fin de la phrase de Delphine et la réponse de la femme, Delphine s'était assis par terre, adossée à sa voiture, et elle avait pris la tête dans ses mains et pleurait toutes les larmes de son corps. Delphine ne se rendit même pas compte que la femme s'était assise près d'elle avant qu'elle ne répond :

-Non mais vous rigolez, vous ne me faites pas perdre mon temps et que je reste avec vous ou pas je vais m'inquiéter pour vous alors autant que je reste. De toute façon c'est mon boulot.

-Vous êtes bien aimable … mais à quoi bon , vous ne pouvez rien faire pour moi !!

Delphine n'aurait pas dit cela si elle connaissait le métier qu'exerce sa voisine de quartier mais n'ayant aucune idée dans quelle filière professionnelle cette personne travaille elle ne voulait pas se faire de faut espoir en pensant qu'elle pouvait l'aider alors que non.
Son téléphone portable sonna à plusieurs reprise avec afficher « Inconnue » Mais Delphine savait très bien que c'était lui, l'assassin, il avait bien fait comprend à travers une des ses lettres qu'il ne la lâcherai pas et qu'il savait tous ce qu'elle faisait .. Elle lança son téléphone tellement violemment contre le mur qui se trouvait juste en face que l'écran se brisa .. mais malheureusement pour Delphine il fonctionnait toujours et maintenant elle recevait des messages de lui. Elle l'attrapa et en lit un rapidement juste pour en être sur et elle se remit à pleurer de plus belle. Reprenant sa tête dans ses mains, elle laissa tomber son portable par terre, près d'elle mais n'arrangeant pas les choses, tomba du côté de la voisine de quartier qui pouvait lire les messages qui continuaient toujours d'arriver en rafale.

Delphine avait beau essayer de se calmer mais rien n'y fait, elle pleurait en abondance assise sur le trotoire contre la portière de sa voiture. Etant déjà assez fragile depuis la mort de ses parents, cet homme l'avait encore plus traumatisée et il avait rouvert sa blessure qu'elle essayait à tout pris de fermer depuis la mort de ses parents. Les gens passaient autour des deux femmes et certains s'arrêtaient pour nous regarder et nous demander ce qui se passe et si tout va bien : tout cela pour être gentil mais Delphine ne leur répondit pas, elle ne les regardait même pas. Se sentant peut être inutiles , ils finissent par partir en les regardant encore un peu puis plus rien. Delphine essaya de se calmer mais plus le téléphone sonnait et plus elle pleurait en prenant la tête entre ses deux mains de nouveaux. La femme à côté d'elle n'osait pas dire un mot mais on voyait qu'elle comprenait en quelques sortes la jeune femme. Delphine, comme pour se donner une force supplémentaire pour arrêter de pleurer , posa sa tête délicatement sur l'épaule de cette femme qu'elle ne connaissait pas vraiment. Celle ci ne savait pas trop quoi faire mais elle brisa le silence qui s'était installé depuis plusieurs minutes déjà :

Rentrons et parlons en, si vous voulez bien?

C'est vrai qu'elles seraient mieux à l'intérieur pour discuter mais surtout c'est mieux que de parler dans la rue : l'endroit où tout le monde peut entendre. Mais Delphine hésita un court instant avant de regarder la femme droit dans les yeux et de lui dire :

A quoi bon en parler !! A quoi ça servirait ? Personne ne peut m'aider … personne vous avez compris ?

Delphine donna un violent coup de poing sur la portière de sa voiture : le bruit résonnait dans toute la rue. Elle était surmenée et ne savait pas trop ce qu'elle disait et surtout qu'elle ton elle avait utilisée : en effet, elle venait de crier sur sa voisine de quartier qui elle ne cherche que à l'aider. Quand elle parlait, les larmes lui tombait toute seule de plus belle mais elle finit par se calmer en voyant le regard de sa voisine : elle comprit donc ce qu'elle venait de faire.

Pardon … Excuser moi , j'aurais pas dû vous parler sur ce ton !!

Delphine décida enfin de se lever en prenant appuis sur sa voiture. Les yeux rouges et les joues encore humides, elles regardaient autour d'elle si l'homme de toute à l'heure était revenu. Elle eût un léger soupire de soulagement avant de regarder sa voisine toujours assise par terre. Elle lui tendit la main en lui lançant un petit sourire et lui dit :

Venez en va parler de ça chez moi mais … n'en parler à personne s'il vous plait ! J'ai pas envie que les gens me regarde d'un drôle d'air et se fiche de moi à chaque fois que je passe prêt d'eux parce qu'ils sont au courant … Vous voyez ce que je veux dire ?

Sa faisait un peu gamin mais c'était assez compréhensible pour quelqu'un qui a peur de réagir comme ça. Elle regardait la femme qui ramassait le portable et qui le garda avec elle. Delphine s'en foutait du moment qu'elle ne l'entendait plus sonner. Une fois les deux femmes debout, Delphine avança jusque chez elle en regardant constamment autour d'elle et dans les coins sombres des maisons voisines : de peur qu'il soit cacher là et qu'il lui saute dessus par derrière ou autres .. Arriver devant chez elle, Delphine ouvrit la porte et laissa entrer sa voisine en premier avant de rentrer assez rapidement et de fermer sa porte à clés. Elle regarda de nouveau la femme et lui dit assez mal à l'aise :

Oui je sais c'est en bazar mais je vous en pris installez vous sur le canapé !

Elle laissa la femme s'installer tranquilement. Delphine rangea assez rapidement ce qui trainait avant de s'asseoir elle aussi.

La situation était en treint de dépasser complètement Delphine. Cette jeune femme déjà fragile depuis la mort de ses parents, l'était encore plus à cause de cet homme. Plusieurs semaines qu'il est là en treint de la suivre, de l'observer, de lui montrer sa présence en lui envoyant des lettres. Elle était en manque de sommeil depuis plusieurs jours mais faisait tous pour pas que ça se voit. Mais aujourd'hui elle craqua. Elle se retrouva même à pleurer devant une femme qu'elle avait vu quelques fois mais avec qui elle n'avait jamais parler. Elle ne connaissait même pas son prénom ni même son nom : elle se voyait a peine le matin et rarement le soir donc elle se saluait seulement et ne prenait pas le temps de se parler. Mais maintenant elles étaient l'une à côté de l'autre. Delphine avait beau essayer de se calmer mais rien n'y fait, elle pleura de plus belle et s'assis par terre adossée à sa voiture. Les deux femmes ne s'étaient dit que quelques mots car un certains malaise c'était installé.
Comme par reflexe, Delphine posa la tête contre l'épaule de la femme qui fût assez surprise mais qui ne la repoussait pas pour autant. Après quelques instants, Delphine regarda sa voisine de quartier se levé et lui poser une main sur son bras pour l'inciter à la suivre mais Delphine eût une réaction bizarre suite à cela : elle se mit à lui crier dessus sans aucune raison apparente. Après avoir donné un violent coup de poing dans sa portière elle regarda de nouveau sa voisine en s'excusant. La femme eût un léger geste de recule avant les excuses de Delphine. Mais comme pour calmer Delphine, la voisine pris la parole avec une légère sonorité humoristique car il est vrai que Delphine était sous le choc et surtout fatiguée : elle ne savait plus ce qu'elle disait et faisait à ce moment là.

Oh ça ma petite dame vous me connaissez mal! Si vous le voulez je vous aiderais et même si comme vous le dites personne ne le peut, je le ferais à ma manière. Comme je vous l'ai dis maintenant c'est trop tard, vous problèmes sont aussi les miens, je ne ais pas laisser les gens de côté, surtout quand ils ont des problèmes

Delphine regarda la femme qui était toujours debout devant elle. Elle ne savait pas trop quoi lui répondre. Elle n'allait pas lui dire que tout allais bien et que c'était juste une baisse de régime : sa voisine ne l'aurait surement pas cru alors elle décida d'accepter de se confier à elle mais lui fit promettre de ne rien dire à personne. C'est vraiment débile comme réaction mais Delphine avait peur de tous ce qui pouvait ce passer et surtout de tous ce que pouvait faire cet homme. Heureusement qu'elle n'était pas au courant de tout ce qu'il avait auparavant sinon elle aurait encore plus peur.
Delphine se leva et avance doucement suivi de sa voisine. Delphine ne pût s'empêcher de regarder dans chaque recoins, chaque endroits sombres et autres de peur qu'il soit là et qu'il observe comme il avait l'habitude de le faire. Elle avançait très lentement et tremblait à chaque fois qu'elle tournait la tête ou qu'elle faisait un pas. Enfin arriver devant chez elle , Delphine ouvrit la porte et laissa d'abord entrer sa voisine avant de rentrer à son tours et de fermer sa porte à clés. Il y avait un sacrer bordel dans la demeure et Delphine dit à sa voisine de ne pas y faire attention et de s'installer tranquillement sur le canapé. Mais Delphine se rendit compte qu'elle avait laissé les lettres sur la tables et se dépêcha de les ranger avant de s'asseoir à son tours et de regarder la femme et s'assis juste après elle. Celle-ci regarda Delphine et prit la parole :

Vous avez peur de quelque chose ou de quelqu'un? Vous regardiez de partout en rentrent?! Et ce portable pourquoi l'avoir balancé?!

Delphine redoutait ces questions mais bon elle avait décider de se confier à cette femme alors en posant ces questions elle l'aidait à se lancer. Elle regarda par terre en serrant ses deux mains entre elles et en jouant avec ses doigts. Un léger silence pesait dans le salon avant que Delphine ne lève la tête vers la femme et lui répondit avec un ton assez hésitant :

Oui il est vrai que j'ai peur de quelqu'un … une personne qui a gâché mon enfance … Pour vous dire cette personne à tuer mes parents il y a dix ans ! Oui je sais vous allez me demander comment je peux en être aussi sur … Et bien j'ai reçu de nombreuses lettres dans lesquelles certains détails de cette époque reviennent et certains noms sont cité d'ailleurs … Si je regardais partout en rentrant c'est parce qu'il me suit me suis partout … j'en peux plus … j'en ai marre …

Elle prit de nouveau sa tête entre ses mains et pleura à chaudes larmes. Elle mit un certains temps avant de se calmer et de continuer :

Mon portable je l'ai balancé car il m'appelle tous le temps .. comme si j'étais sa petite fille : il veut savoir ou je suis , ce que je fais … Si j'ai été bien sage aussi … Cela fait une semaine jours pour jours qu'il me fait ça , jours et nuits .. Je pête les plombs , ça dûre depuis bien trop longtemps tous ça .. J'ai peur de savoir jusqu'où il peut aller …

C'était à la seule personne à qui elle parla de ses problèmes. Elle regarda de nouveau le sol, les yeux remplis de larmes en attendant la réaction de sa voisine qui était toujours assise sur le canapé.

Delphine avait décider de ce confier à cette jeune femme. Elle l'avait inviter à rentrer chez elle et s'assit sur le canapé. La voisine fit la même chose. C'est la femme prit la parole en premier et lui demanda si elle avait peur de quelqu'un ou de quelques choses. Delphine joua avec ses doigt en regardant le sol en lui expliquant juste les grand traits. L'agent du FBI prit une grande inspiration avant de dire pendant que Delphine commençait à pleurer doucement :


OK! je vous crois, je suis agent du FBI, et croyez moi si vous voulez que je vous aide, je vais vous aider. Pourquoi n'etes vous pas allé voire la police?

Une agent du FBI ! Delphine la regarda sans rien dire pendant de longues minutes. En faite il faut dire que Delphine ne faisait plus vraiment confiance au agent du FBI mais elle faisait une généralité : l'homme qui la traque et qui a tuer ses parents avait été arrêter quelques temps après le meurtre et un agent du FBI était venu consoler la jeune fille en lui disant qu'il ne lui fera jamais de mal car il sera enfermer dans une petite cellule pendant très longtemps. Mais quand on a tout juste 10 ans on y crois alors quand elle appris que le meurtrier était sortie de prison, elle s'est renfermer sur elle même et commençait à avoir peur qu'il la retrouve et c'est ce qui s'est produit. Sa respiration s'accélèrait de plus en plus et son coeur battait à 200 à l'heure. Elle regarda de nouveau sa voisine en ayant quand même dût mal à réaliser qu'elle est agent du FBI.

J'ai pas été voir la police parce qu'il m'a dit et même écrit qu'il ne me ferai rien si je me taisais … J'ai peur, j'ai vraiment de ce qu'il peut faire .. Il a déjà tuer mes parents qui peux savoir jusqu'où il peut aller encore ?

Delphine réalisait peu à peu et quand elle la regardait dans les yeux, elle comprit qu'elle voulait réellement l'aider mais pour cela Delphine devait la croire. La jeune femme regarda le sol longuement avant de regarder de nouveau l'agent et lui dit avant de poser doucement la tête contre l'épaule de sa voisine.

Je vous crois et j'ai confiance en vous .. mais j'ai tellement peur !

De son côté, l'agent lui dit : en suite de sa précédente phrase :

Mais pour ça il faut que vous me racontiez tout, et que vous me passer tout les éléments que vous avez en votre possession.

Delphine se remit à pleurer de nouveau mais pas seulement parce qu'elle avait peur mais aussi parce qu'elle allait maintenant devoir tout lui raconter et que les mauvais souvenirs commençait déjà a remonter à la surface. Ils prenaient toute la place dans l'esprit de la jeune femme et masqua tout les bons souvenirs qu'elle avait eut. Elle sentit les mains de sa voisine se poser sur les siennes et elle rouvrit les yeux pour au moins la regarder, par respect, même si elle continuait de pleurer. Mais elle regarda plus le sol que l'agent. Mais sa voisine lui dit d'un ton calme :

Regardez moi, calmez vous...Vous avez bien fais de me parler, on va trouver qui est cet homme, on va s'en occuper et en attendent on va vous mettre en sécurité.

Elle regarda sa voisine et commença a se calmer doucement. Elle était vraiment reconnaissante de tous ce que faisait la jeune femme pour elle. Elle se leva doucement et allait chercher toute les lettres qu'elle avait reçu depuis que l'homme était sortie de prison. Il y en avait au moins une bonne dizaines. Elle les tendit à l'agent avec les mains tremblantes et se rassit près de la femme avant de commencer à lui raconter son histoire.

Comme vous avez compris j'ai perdu mes parents il y a 10 ans, ils ont tous les deux été assassinés par un homme qui a été arrêté quelques mois plus. L'enquête qui avait précédé l'arrestation à été très dur pour moi. Etant déjà fragile, j'ai pas supporter une séparation aussi brutale avec mes parents. Déjà sans mes parents j'avais un peu de mal et en plus de ça j'avais été séparer de ma soeur jumelle. Quand le meurtrier à été arrêté, un agent du FBI chargé de l'enquête est venu me dire que je n'aurais plus jamais à avoir peur de lui car il ne sortirait pas de prison avant une vingtaines d'années. Mais pourtant il est sortie il y a environs 5 ans … Au début je ne prenais pas ses lettres au sérieux car il n'y avait pas de détails ni rien mais plus les semaines passaient et plus les détails sur la mort de mes parents et sur la raison de leurs morts commençait à me faire peur, jusqu'au jours ou j'ai reçu une photo de la scène de crime avec les corps de mes parents baignant dans une marre de sang .. Cette image me hante, j'ai même du mal à dormir à cause de ça .. Un jours en sortant du travail j'ai reçu un coup de téléphone et quand j'ai décrocher il a commencer à me parler comme une fillette et à utiliser des expression qu'il mettait dans ses lettres : je commençais vraiment à paniquer et c'est a ce moment là ou il m'a dit que si je prevenais la police, il me tuerai car la mort de mes parents était accidentelles et c'était pas eut les viser. C'est aussi écrit dans la 7ème lettre si vous voulez … Depuis il m'appelle tout les jours pour savoir si je suis sage et si je n'ai pas fait de betises …

Delphine marqua un légère pause car elle venait d'entendre un bruit. Elle en profita pour reprendre sa respiration calmement et recupéré une fréquence cardiaque moins brutale que celle qu'elle avaità cette instant. Elle entendit un bruit de moto qui faisait fumer ses pneu sur la route et quand elle tourna la tête vers la porte, elle vit une sorte d'enveloppe tomber sur le tapis. Elle regarda sa voisine tétanisée, elle n'osait même pas se lever pour aller voir ce que c'était.

Delphine était partie dans sa chambre chercher les lettres de menaces qu'elle avait reçu de cet homme. Mais quand elle les sortir, elle s'effondra en larme sur le lit. Bientôt 3 ans qu'il la pourchage comme ça, mais 5 ans qu'il lui envoie des lettres. Elle avait envie de retrouver l'homme qui était charger de l'enquête sur la mort de ses parents a l'époque et de lui prouver que ce qu'il disait était faux. Mais elle avait plus peur pour sa soeur que pour elle en faite, elle l'avait retrouver depuis peu de temps et avait peur qu'il s'en prenne a elle aussi et ne lui fasse du mal. Rien que de penser à ça, la jeune femme pleura de plus belle. Elle eut envie d'en parler a sa soeur aussi, trouver du réconfort au près d'elle et lui parler de ses peurs ... elle s'était retrouver mais leur liens n'était pas aussi fort qu'avant. Elle attrapa une photo de sa soeur qu'elle avait mise dans le tiroir de la table de chevet juste a côté d'elle, et la regarda longuement. Après de longues minutes qui paraissait interminable pour la jeune femme, elle finit par se calmer et a se lever doucement, laissant la photo sur le lit et prenant les lettres avec elle avant de retourner dans le salon au près de l'agent. Elle lui tend faiblement avec des petites mains tremblantes et se r'assit doucement a côté d'elle, passant une main dans ses cheveux et soupirant légèrement regardant le sol. Elle repença a la phrase qu'avait dit l'agent quelques minutes plus tôt et qu'elle n'avait pas répondu. Se battre ? Plus facile a dire qu'a faire, elle le fait depuis tellement longtemps que les nerfs commence a lacher.

Me battre je fait ça depuis 3 ans, depuis que ces lettres on commencer a devenir sérieuse pour moi ... Je ne sais pas si vous avez vécu ça vous .. vivre dans la peur qu'il vienne vous voir en pleine nuit et vous fasses je ne sais quoi .. il a déjà essayer de me violer vous savez ... alors je ne sais pas si j'ai encore la force de me battre après tout ce qu'il m'a fait subir et tout ce qu'il continue a me faire subir par la même occassion. C'est très durs ... Mais ce que j'ai le plus peur c'est qu'il se prenne aussi a ma soeur vous comprennez ? Et si c'est le cas j'en suis sur que je ne m'en remettrais pas ...

Delphine posa la tête contre l'épaule de l'agent et ferma les yeux doucement. Quand elle ferma les yeux, de nombreux souvenirs douloureux remontèrent a la surface petit à petit. Mais elle essaya de ne pas être perturber pour autant même si ce qu'elle se rappellait lui faisait énormement de mal. Ele était en train d'imaginer surtout le meurtrier de ses parents s'en prendre à sa soeur. Dlphine préfèrerait se faire tuer pour que ça soeur n'ai rien a voir avec tous ça, Kelly avait une famille, elle vivait une vie accomplie et s'en problème a première vu, elle était heureuse et Delphine n'avait pas envie que cet homme vienne tout gacher. En pensant à sa elle serra fortement les poing et r'ouvrit les yeux d'un coup avant de se décoller doucement de l'agent. Elle soupira et secoua la tête en ayant toujours les poing sérer. Elle regarda sa voisine qui lui demandait de tout lui raconter en détails. Delphine était vraiment mal à l'aise mais se lança quand même. Elle lui raconta tout ce qu'il avait put faire mais oubliait encore quelques trucs, qu'elle avait surtout pas envie de dire car s'était quand même assez humiliant. Elle n'avait pas terminer sa dernière phrase qu'elle entendit un bruit qui venait de la porte d'entrée et quelques secondes plus tard un bruit de moto. Elle comprit tout de suite que c'était lui, pas de doute là dessus. Elle regarda sa voisine sans bouger tellement elle avait peur. Mais quand elle vit sa voisine se lever, elle lui attrappa la main doucement.

N'y aller pas ... s'il vous plait ... je vais y aller, ce sont mes problêmes et je dois faire avec ... alors s'il vous plait, laisser moi y aller ..

Mais rien a faire, l'agent alla chercher la lettre. Pendant qu'elle alla la chercher, Delphine baissa la tête et soupira de nouveau. Puis elle releva la tête en regardant la jeune agent revenir vers elle avec la lettre dans la main, elle l'ait pris avec un mouchoir surement pour y récupérer des empreintes du meurtrier. Quand elle lui dit de récuperer quelques affaires, la jeune femme de 20 ans, baissa de nouveau la tête et se leva doucement partant en direction de sa chambre pour s'y mettre a pleurer en prennant quelques affaires. Elle s'assit de nouveau sur le lit et pris la photo de sa soeur entre ses mains tremblantes et la regarda longuement en pleurant. Elle avait de plus en plus peur de se qui pouvait se passer maintenant et ne savait plus comment aller mieux. Elle s'allongea et se mit en boue sur le lit, attrappant son téléphone pour envoyer un message a son petit copain. Pendant qu'elle écrivait son message, un gros bruit se fit entendre et se qui fit sursauter la jeune femme.

Qu'est-ce que c'est ?

A peine qu'elle eut fini sa phrase, le bruit se refit entendre en beaucoup plus fort. Delphine commençait a trembler et à avoir très peur...