Rencontre de palier



Dominic Jane - Marilyn Baker

Se lever du mauvais pied ? Ca existait ? Oui, souvent chez la belle Marilyn avec son caractère bien trempé... Évidement, si on passait outre les soirées arrosées qu'elle pouvait faire, ça ne comptait pas. C'était habituel de se lever avec une belle gueule de bois, et puis de toute manière, Marilyn s'était légèrement un peu calmée depuis son arrivée à Quantico. Elle n'avait réellement beaucoup de connaissances ici … A part son cousin Nolan - qu'elle devait retrouver au passage pour lui annoncer qu'elle était dans le coin, car ça faisait des années qu'elle ne l'avait pas vu - mais voilà, c'était presque tout.

Et en quoi cette journée était differente de celle des autres ? Elle s'était levée tout en se rendant compte qu'elle n'avait plus de café. Il lui fallait sa dose de caféine... Puis sans oublier sa clope. Et ce, son paquet de clopes avait l'air de s'être fait la malle alors qu'il était censé être jamais loin d'elle ou plutôt bien en vue. Mais la jeune Marilyn n'arrivait pas à mettre la main dessus.

Et m**de, tant pis, elle se rhabilla rapidement d'un jean troué, d'un haut noir un peu large, lui laissant découvrir une épaule, et une petite veste,... puis elle récupéra ses clés, et en profita pour sortir faire un tour au bureau de tabac du coin, et acheta meme son café dans le petit supermarket du coin... meme double dose au cas où si sa petite tête de blonde n'y pensait plus. Il fallait toujours être prévisible... Ayant eu son paquet de clopes déjà en main, elle en profita dans la rue pour s'en tirer une … et arriva devant son immeuble... En fouillant dans son sac, elle avait oublié son appareil photo. Et voilà qu'elle oubliait sa tete !! car son appareil photo, elle l'avait toujours sur elle pour prendre tout et n'importe quoi, ou presque, … Seulement quand un flash ou une vision de son oeil artistique qui la poussait envie de prendre telle chose en photo, afin de mémoriser tout ça ou tout simplement pour capturer le temps qui défilait... Elle avait oublié de le mettre dans son sac la veille, lorsqu'elle avait déballé ses photos sur son pc. Quelle idiote !

Sur ce, elle finit sa clope, l'écrasa sur le trottoir et monta alors les étages jusqu'à arriver devant sa porte. Elle allait pouvoir au passage boire son café matinal et tout irait bien... Elle inséra sa clé dans la serrure, la tourna et... merde ! Ca s'ouvrit pas. Elle retira la clé et la remit dans la serrure. Même résultat. C'était quoi ce merdier ? Marilyn retira sa clé et regarda autour d'elle... Bon, ca faisait un petit moment qu'elle était dans cet immeuble, a peu près un bon mois … Et elle était au bon étage, à la bonne porte... Oui, c'était bien son nom qu'elle avait devant elle : M. Baker... Et non le nom du voisin ! Elle tapa sur sa porte en s'énervant :

Mais p'tin !!! Tu vas t'ouvrir, bordel de m**de!

Oui et en haussant bien la voix, ça faisait bien des échos dans la cage d'escalier. Elle avait même sûrement dû réveiller tout le quartier par sa faute... Excusez-la au passage pour sa vulgarité également mais ça faisait parti de la Marilyn.

Saleté !!! grogna-t-elle, tout en réessayant d'ouvrir sa porte.

(désolé pour l’énorme retard et le message court, correction à venir)

C'était lors de ces rare soirée et matinée calme où il rentrait et partait à l'heure, il prend sa douche, se rase, s'habille, prépare ses affaires et ouvre sa porte, prend ses affaire, franchi la porte avant de la refermer quand simultanément il entend une jeune femme marmonné voire même crier après sa porte ce qui après l'avoir surprit, le fit sourire.

Celle ci avait ses clefs en mains, qu'elle s’énervait sur cette porte qu'elle n'avait pas encore dompté. C'est donc ainsi que Dominique prit connaissance de sa nouvelle voisine, même si pour le moment elle avait l'air enragé, il émanait quelque chose de sympathique de la jeune fille. En effet, son attitude était plus agacé qu'agressive et puis, qui ne c'est jamais retrouvé dans ce genre de situation...

Manifestement, soit la porte était endommagé et l'ancien voisin, s'en accommodait, soit elle c'était trompé de clef soit simplement elle la mettait mal. Enfin c'est bien beau à dire tout cela tranquillement, mais dans l'action on se retrouve bien bête et à essayer de résoudre ce genre de problème.
Manifestement excédé, la charmante voisine allait de mal en pie et si elle s'énervait cela n'allait pas s'arranger, c'est donc pour l'aider et surtout pour faire connaissance que l'agent Jane proposa son aide à la demoiselle.

Il lui parla d'une voie polie en lui demandant
Vous avez besoin d'aide?

Elle devait bien se douté vu le volume sonore qu'elle venait d’émettre qu'elle allait faire réagir, peu être même l'avait elle fait exprès.

Non, elle n'avait pas besoin d'aide. Cette porte ne voulait pas s'ouvrir et tout allait bien, ironiquement parlant. Cette porte allait finir par céder. Marilyn était prête à la défoncer mais avec sa force de mouche, ça n'allait pas le faire. Certes, la petite pouvait avoir la force de Hulk mais n'exagérons rien quand même... Il ne fallait surtout pas s'énerver. Du coup, à l'apparition de cette voix douce qui se voulait sympathique, Marilyn se retourna brusquement.

Non !

Non, ne le prenez pas mal, c'était une réaction soudaine. Venant de la jeune femme, c'était du tac au tac. Spontané. Mais elle se mit à rougir légèrement. Non pas qu'elle se sentait coupable. En fait si, elle n'allait pas non plus lui parler mal alors qu'il offrait gentiment son aide... Mais imaginez que vous n'arrivez pas à ouvrir votre porte, c'était bien une chose tout à fait ridicule, n'est-ce pas ? Rien que pour foutre votre fierté en rogne mais ça, Marilyn allait la mettre de côté – sa belle fierté - car on va dire que ce n'était pas bien la première fois qu'elle se faisait remarquer :c'était une habitude chez elle...

Mais en se retournant, allez comprendre, sa colère disparut. Paf, envolé. Genre, soudainement, elle était devenue béat, comme si elle avait vu un ange... mais elle était aussi à la fois perplexe. Elle découvrait seulement son voisin... qui, de plus, faisait au moins deux mètres plus qu'elle. Mais fort heureusement, Marilyn allait bien se ressaisir bien vite, n'est-ce pas ?

Euh... excusez-moi. .. Euh...

On avait dit qu'elle allait vite se ressaisir ? Et ben non ! Elle passa une main dans sa touffe de cheveux, comme un signe de gêne ? Non pas du tout. Elle s'embrouillait toute seule...

Oui je veux bien en fait... S'il vous plait... J'arrive pas à ouvrir ma porte. Ca semble mal foutu !

Marilyn afficha sur le coup son plus beau sourire sympathique. Et non, c'était loin d'être le charme de son voisin qui faisait son effet sur elle. Ce n'était pas comme si elle se rendait compte qu'elle avait peut-être sûrement réveillé tout l'immeuble... non, pas du tout... Et puis son voisin ne semblait pas être en colère ou avoir été dérangé par son cinéma.

Alors... vous voulez bien m'aider à ouvrir ma porte, Monsieur Muscles ?

Et voilà qu'on retrouvait soudainement la vraie Marilyn... et non, ne pensez pas qu'elle le draguait, loin de là. Elle était toujours là pour taquiner et surtout à donner des surnoms à tout va, affectueusement... et puis va-t-on dire que son voisin était bien l'homme de la situation pour lui défoncer sa porte, n'est-ce pas ? Ceci dit, ses clés était toujours dans la serrure... Elle attendit alors qu'il l'aide... Et en tout cas, le pire serait qu'il y arrive facilement en deux coups de pouce.

On pouvait bien dire que la belle Marilyn avait bien de la vaine sur le coup d'avoir un voisin tout à fait compréhensif et qui ne s'était pas braqué face à sa réaction soudaine et spontanée... Elle était très énergétique et elle avait toujours de l'énergie à revendre. Quant à lui, il semblait bien être calme mais avant tout très sympathique. Après tout, elle ne le connaissait pas. Du moins, pas encore... Mais c'était tout simplement l'impression qu'il lui donnait.

Marilyn ne put s'empêcher de sourire lorsqu'elle le vit rire à ce surnom qu'elle venait de lui donner. C'était toujours agréable de croiser des gens avec une certaine humilité et humour... Qui ne vous connaissaient ni d'Adam ni d'Eve, qui ne vous jugeaient pas à la moindre chose ou au moindre look, qui ne connaissaient pas votre propre passé ou vos propres erreurs faîtes.. Que vous soyez une ex-junkie et encore... Et c'était bien le cas de la jeune femme. Certes, c'était une partie de sa vie, elle l'assumait mais elle ne s'en vantait pas. Bref, c'était loin derrière elle, tout ça... Elle s'en sortait pas trop mal, elle avait un emploi – un peu instable depuis qu'elle était à Quantico – mais elle le vivait bien.

Légèrement écartée de son entrée, elle regarda alors son voisin au prénom inconnu essayer d'ouvrir sa porte. Lui-même semblait aussi avoir des soucis avec. Marilyn ne devenait pas folle d'un coup... Depuis quelques semaines qu'elle vivait ici... Tout de même... Mais miracle, la porte s'ouvrit...

Hallelujah ! S'exclama Marilyn, enjouée.

Quel soulagement ! Et ça faisait plaisir...

Milles mercis !!! continua-t-elle avec de l'entrain, et comme si Monsieur Muscle était devenu Jésus et encore...

Elle pouvait alors désormais entrer chez elle avec son sac de courses – qui rappelons n'étaient que deux sachets de café – mais son voisin semblait être déjà pressé de partir … Il devait partir où ? Sûrement au boulot, pardi !! Qui savait ? Que faisait-il dans la vie ? Elle ne savait strictement rien mais elle était bien un peu beaucoup curieuse comme toujours. Et elle ne pouvait le laisser partir sans pouvoir le remercier et encore, c'était l'occasion en or pour faire connaissance... En plus, il lui souhaitait la bienvenue … bienvenue qui aurait été bien volontiers un peu plus fêtard que ça – autour d'un verre ou café, hein ! - Bon le « à bientôt » sous-entendait bien sûr qu'il souhaitait bien sûr la revoir pour faire ample connaissance.

Oh dommage que vous devez partir... Je vous aurais bien invité cinq minutes prendre un café pour vous remercier et puis... pour faire un peu plus connaissances.

Oh elle n'allait pas le forcer, si ? Le foutre en retard ? Ca, Marilyn dans un fond, ne voulait pas qu'il soit à la bourre par sa faute mais un autre côté, elle se voulait insistante, voulant le connaître... N'ayant pas de vraiment beaucoup d'amis à Quantico pour le moment – une des premieres raisons – et au risque de se répéter, ils étaient avant tout voisin … Et puis si elle n'insistait pas, ça ne serait pas Marilyn tout crachée...

Je n'ai pas eu l'occasion de rencontrer tous mes voisins.

Sur ce, elle tendit la main vers lui tout en se présentant.

Je suis Marilyn...

C'était quand même la moindre des choses après ce qu'il venait de faire pour elle... après le café évidement.

Vous n'avez pas cinq petites minutes ? Insista-t-elle alors, presque dans le genre elle ne ferait presque pas une petite moue …

Oh non, ne croyez pas qu'elle était en train de l'apprivoiser ou de le draguer... C'était dans sa nature d'être aimable et c'était un peu pour lui faire comprendre d'une manière qu'il ne la dérangeait absolument pas en fait... Si ce qu'il avait dit n'était pas une excuse pour fuir... Oh Marilyn ne mangeait absolument pas et était loin d'être une psychopathe. Juste déjantée mais pas méchante.

Ca ne te dérange pas qu'on se tutoie ? lâcha-t-elle, spontanément, car d'une maniere elle ne pouvait pas s'empêcher de parler et puis c'était comme si c'était normal, ... ou même si sa demande était comme si c'était déjà pour acquis.

La p'tite Marilyn ne pouvait s'empêcher d'exprimer sa joie face à ça, ne pouvant canaliser son énergie. Elle put récupérer ses clés.

Il faudra que vous me dîtes l'astuce car ça serait dommage que je vous appelle à chaque fois à la rescousse dès que j'aurais un problème avec... Bien que ce soit la première fois que ça me le fait mais on ne sait jamais si ça pouvait recommencer et que je réveille tout l'immeuble.

Et oui, il ne fallait surtout pas qu'il parte sans lui avoir dit quelque chose qu'elle aurait loupé là. Tout de même. Et bref, après l'avoir invité à prendre le café, il ne pouvait vraiment pas mais ça, elle n'allait pas lui en vouloir et le tenir en otage, tout le monde avait une vie... et elle-même également... Même s'il était encore un peu tôt en cette matinée, elle était complétement indépendante pour le moment - étant photographe professionnelle – elle faisait peu à peu sa place à Quantico en se trouvant quelques clients par-ci par-là...

Mais comme il ne pouvait pas maintenant, il lui proposa un autre moment, c'est-à-dire en soirée ! Et le fait qu'il reporte le moment plu à Marilyn. Cela montrait que sa compagnie ne pouvait pas être désagréable. Mais non, elle n'était pas désagréable la petite Marilyn ! Bref, en tout cas, elle était contente de pouvoir enfin connaître son voisin au nom de Dominic et enchantée de se dire qu'elle allait passer un bon moment avec et surtout de se dire si ce n'était pas le début de d'autres soirées dans le genre.

Ca me semble parfait... Dominic... accepta-t-elle volontiers.

En plus si elle n'avait qu'à préparer les boissons et lui les pizzas. Choses partagées. Nickel. Quoiqu'elle fronça les sourcils et en regardant un peu ce qu'elle avait, elle ne lui semblait pas avoir de bières en plus dans le frigo... Alors qu'elle venait de sortir pour le café. Crap. Oh elle retournera au supermarché sans soucis... enfin elle espérait n'avoir plus aucun souci avec sa porte … Au pire des cas, ça lui ferait sans doute connaître tous ses voisins de l'immeuble et même peut-être faire revenir le concierge.

On se retrouve alors ce soir ? Vers 19h ? 20h ?

Après qu'elle ne l'attende pas désespérément ! Enfin elle le pensait un peu ironiquement car elle n'était pas du genre à être patiente, et à rester en place. Et si ce n'était pas un piège pour se débarrasser d'elle mais ça l'étonnerait sinon il ne lui aurait pas proposé et il n'aurait pas été aussi spontané et dans le pire des cas, il ne l'aurait jamais aidé.

Je ne vais pas te retenir ! Lâcha-t-elle avec un sourire aux lèvres. Ca serait dommage d'être en retard à cause d'une voisine qui a un souci avec sa porte.

Quoique ca serait une chose à raconter mais son boss - s'il n'était pas lui-même le boss -mais il s'en foutrait et il lui rigolerait au nez.

Alors, je te dis à ce soir ?

Genre oui, elle espérait vraiment le voir en cette soirée... et comme si c'était déjà son pote alors qu'elle le connait depuis peu ... Mais elle était toujours comme ça, la Marilyn. Sociable et à l'aise à fond.

(dsl un peu pourri cette réponse, et je confirme que ton perso s'entendrait tres bien avec kate)

Dominic souria de maniere géné et accompagna cela donc par un auto contact, à présent il se gratta légerement la tête.

En faite, vous mettez la clez vous mettez votre poids contre la porte et vous enfoncez la clez à font je crois. Et au pire on revoit ça ce soir...

N'étant pas en mode travail et ne surveillant pas ses voisins de façon détaillé, il ne se posa pas de question sur son retour à cette heure. D'autant plus qu'elle tenait des courses, alors elle ne semblait pas louche et puis bon les gens travaillent de nuits ou ne travaille pas ...
Surtout, que si quelqu'un devait sembler louche, cela serait lui. Car c'est lui qui a lancé l'invitation.

Tres bien, à ce soir alors! Disons 19h? Si vous ne me voyez pas venir, n'attendez pas trop...

Pas de soucies répondit il, mais, oui faut que je fille.

A ce soir Marilyn

C'est vrai que les choses allait un peu vite, mais après tout pourquoi avoir peur des gens, pour faire connaissance il n'y a pas trente-six façon.
Cette soirée semblait faire plaisir à Marilyn et elle avait l'air pressé d'y arriver, et elle semblait tres sociable, entière, spontanée, impatiente, presque assoiffée de cette nouvelles rencontres...
Ce qui ne dérangeait pas Dominic, lui aussi aimait faire de nouvelles rencontre quelque soit la manière et se débarrasser des délais sociaux de ne le dérangeait pas, bien au contraire. Et ce genre d'attitude n'est pas forcement mauvaise, parfois même, au contraire.
Si ce n'est pour sa sécurité, mais même si c'était un homme, lui aussi la mettait un jeu.

Sans parler qu'il n'avait pas encore beaucoup de tissu social, alors cela fait au moins une connaissance voire pote si les feeling passait. Même si cette personne était une femme, il n'était pas un dragueur alors oui, il la trouve charmante mais pour le moment ils font connaissance, ils verraient bien ensuite ce que deviendra cette rencontre.

[Elles ne peuvent que s'entendre^^]

Pour une journée qui semblait l'air de commencer un peu beaucoup mal réservait en fait bien des surprises et Marilyn ne semblait pas mécontente. Enfin de faire connaissance depuis le temps avec son charmant voisin, ce n'était pas ce qui était le plus cool ? Bon, elle le rencontrait que maintenant mais ne valait-il mieux tard que jamais ? Tout en sachant qu'elle ne savait ce qu'il faisait dans la vie ? Un boulot à risque ? Etait-il genre ingénieur ou PDG d'une haute société pour que ça lui fasse prendre tout son temps ? Non, il ne semblait pas d'être ce genre de personne, car les gens qui avaient les moyens montraient bien matériellement et il ne serait sans doute pas dans cet immeuble... même si dans le fond, on savait tous que l'habit ne faisait pas le moine...
Marilyn était tout simplement curieuse et se posait toujours pleins de questions comme ce fameux Columbo mais il fallait des fois qu'elle se tempère et qu'elle n'ait pas tout rapidement. Ca venait à qui savait attendre, n'est-ce pas ?

A ce soir ! Finit-elle alors par répondre, le sourire aux lèvres.

Et sur ce, Marilyn laissa défiler son beau et charmant sauveur de porte qui était seulement son voisin... Et en tout cas, ça n'allait pas non plus l'empêcher de ce qu'elle avait prévu de faire au depart.. C'est-à-dire ? Prendre son café ! Et oui, elle était sortie avant tout pour ça – entre autre avec ses maudites cigarettes... Elle se dirigea vers sa cuisine, prépara sa machine à café avec ses nouvelles courses et la lança. Par la suite, elle s'appuya sur son comptoir et sortit une cigarette pour s'en griller une autre, en attendant que son fameux liquide noir soit prêt.

Tirant sur sa petite drogue, Marilyn ne put s'empêcher de partir dans ses pensées. A ce très cher Dominic, elle espérait bien qu'il soit là tout de même... Elle n'avait pas spécialement beaucoup de connaissances sur Quantico et tout ce qu'elle souhaitait, c'était de faire des rencontres, des amis, afin de pouvoir s'intégrer dans un réseau social... C'était le genre de fille à detester d'être toute seule... Elle avait besoin de parler, de rire... De s'amuser... de partager... Et la première personne qu'on était un peu censé connaître en premier, était bien son voisin, non ? En tout cas, c'était une sacrée bonne chose ! Après, deviendrait-il alors son pote de soirée pizza, film et bière ? Ca serait vraiment trop cool...

Sur ce, malgré ses pensées, sa pause déjeuner avec café et clope, Marilyn était requinquée pour sa journée à retoucher des photos, et voir si elle n'avait pas reçu des mails. Elle avait envoyée quelques annonces pour essayer de trouver quelques modèles... Au moins deux trois modèles réguliers pour ses clichés. Comme elle comptait bien plus tard ouvrir une galerie pour ses photos... peut-être qu'un de ses modèles deviendra un de ses modèles fétiches et par la même occasion, une grande star. Pour le moment, elle pouvait un peu rêver mais en tout cas, têtue et déterminée comme elle l'était, même si ça se passait dans cinq ans, ça ne serait pas un problème.

La journée se passa tranquillement, Marilyn avait pu choper des bières à la dernière minute, ce n'était pas le souci ! Jetant un coup d'oeil dans son appart, ce n'était pas trop le bordel … Oui, il valait toujours mieux vérifier... Il n'y avait pas des vêtements partout ! - En même temps, la veille, elle avait sa petite lessive, la cocotte – son atelier pour prendre des photos faisait toujours parti de son coin salon .. ses quelques clichés au mur n'étaient point de travers... Dans la cuisine, c'était propre, la vaisselle lavée... tout était nickel... Marilyn n'attendait plus que son fameux voisin s'il tenait paroles et oh il avait intérêt à la tenir... Oh, ca ne voulait pas dire qu'elle n'avait pas confiance... Mais dans le pire des cas, elle s'amuserait à foutre des post-it sur sa porte, tiens... ou même des trucs pas très net sur son paillasson. Mais non, elle ? Capable d'enquiquiner son voisin ? Bien sûr que non ! Et non, elle n'irait pas jusqu'au point d'être irrespectueuse... Ce n'était pas du tout son genre. En fait, le truc qui lui faisait penser ce genre de choses, c'était le fait qu'elle mourrait de faim.

(plus je te lis plus je confirme, kate aussi à horreur d'etre seul, alors que c'est l'histoire de sa vie)

Le sourire au lèvres, il parti et lui répondit "à ce soir" également. Et descendit les escalier en pensant à cette pétillante et chaleureuse rencontre.

Le temps passait, il s'agissait de ne pas trainer à présent. D'autant plus qu'il ne le savait pas mais il est allait avoir un changement dans son travail aujourd'hui, et ce n'était pas une petite journée qui l'attendais. En partant il se dit qu'il était idiot, qu'il aurait pu prendre son numéro pour la prévenir. Bien que cela puisse paraitre assez cavalier.

En route d'ailleurs, il se rendit compte qu'on aurait pu prendre sa proposition pour un plan drague. Or, ce n'était pas du tout le cas, bien sure, si il devait se passer quelque chose, il ne cracherait pas dessus.

Il fait son trajet, jusqu'au bureau sans encombre. Une note l’attent avec son +2 pour l'informer qu'il est temporairement transféré dans un autre service, et que éventuellement cela pourrait durer, et que cela était à effet immédiat. Il ne savait pas trop comment prendre cette nouvelle : comme une punition ou un simple transfert. Il aura surement ses réponses plus tard, et de toute façon là n'est pas le propos.

Sa nouvelle supérieur était assez jeune et surement un de ses premier poste de superviseur. Il était en renfort en attendent de nouvelles recru, et un membre dont le grand chef savait qu'il pouvait compter. La matinée commença donc sur les chapeau de roues, et continua ainsi puisque directement envoyé sur une affaire, un témoin un peu récalcitrant l’obligea à se bagarrer non pas qu'il aimait ça mais il fallait bien qu'il se défende. C'est donc un peu cabossé qu'il rentra le soir, un peu gêné, il se demanda si il passait annuler ou non. Car heureusement il avait fini à l'heure tout de même. Ce n'était une grosse affaire, elle avait un peu près bien filé.

Il passa à la pizzeria et prit au pif une hawaienne, une 4fromages et une sucrée chocolat banane. Il rentra chez lui, prit une douche, se changea, regarda vite fait sa geul dans la glace, s'habilla proprement mais pas sur son 31 non plus, avant de toquer à la porte de sa voisine. Il était en retard d'un quart d'heure, il c'était dépêché mais le temps filait.

Bizarement, bien qu'a l'initiative il était stressé et gêné de la citation. Puis il se fit la moral intérieurement se disant que c'est juste pour faire connaissance. Nul doute qu'une fois la soirée lancé, ils retrouveront l’énergie positive du matin.
Mais il est vrai que presque programmé ainsi passer la soirée avec une personne qui nous a paru sympathique mais que l'on ne connait pas est toujours source de questionnement, ne serait ce que pour ne pas rater sa soirée.

Mais honnêtement, dans la journée il avait repensé à sa voisine de la matinée et fut pressé que la journée se termine. Il en avait même parlé à un de ces collègue en rigolant.

Il regarde si il est bien mit, si tout est bien droit, et toc, préparent un de ses plus beau sourire. Lorsque la porte s'ouvrit, il dit

Bonsoir! J'ai des pizza pour Melle Marylin

Regardant l'heure, en fait oui, si ce n'était pas elle qui était la bourre ? Généralement, Marilyn n'y faisait pas vraiment attention... Comme pour les soirées ou les fêtes, elle devait bien être la premiere à être en retard mais bien la premiere à profiter à fond jusqu'au bout...Et à vrai dire, c'était tant mieux que Dominic ne soit pas trop à l'heure... quoique, il ne l'avait pas prévenu qu'au cas où, elle ne devait plus l'attendre si elle ne le voyait pas arriver. Mais bon, pour le moment, il n'était que 19h15, pas très loin de ça... Et Marilyn avait le temps de se préparer un peu et de se reposer. Bien qu'elle n'allait pas non plus s'habiller en petite princesse puisque ce n'était pas trop son truc les habits trop chics... En se regardant dans la glace, il n'y avait vraiment pas grand chose à changer, elle avait ses vêtements habituels de la journée, elle avait toujours son jean troué et son haut noir, lui laissant découvrir son épaule droit... Et voilà que ça frappe à sa porte. Il n'y avait rien de pire que ça pour que Marilyn bondisse et ait un sourire aux lèvres. Non, la jeune blondinette ne s'excitait pas trop vite. Elle regarda de nouveau dans le miroir pour voir si sa tignasse était correcte, si elle n'avait pas une de ses mèches colorés qui partait en live mais bon, c'était toujours aussi nickel... puis elle partit presque en courant vers sa porte. Bon, tout de le même, qu'elle ne se presse pas trop non plus pour ne pas faire genre, elle allait lui sauter au cou.

Elle finit par ouvrir alors la porte et se trouva alors nez à nez avec des cartons de pizza... Non, elle n'était pas genre petite ou quoi, … mais alors pas du tout – même si là, son nez s'allongeait fortement... - mais passons, son très cher voisin était derrière cette porte. Il était alors venu ! Et Marilyn n'en était plus que ravie. De pouvoir faire des connaissances de la sorte comme ça, en improvisation... C'était vraiment cool. C'était ce genre de chose que Marilyn adorait véritablement, cet échange humain.

Melle Marilyn, vous dîtes ? Vous en êtes bien sûr ? Plaisanta-t-elle.

Allez de suite ! Si la soirée commençait bien de la sorte, hein ! Marilyn s'écarta, ouvrant la porte grande ouverte afin de le laisser entrer.

Si Monsieur veut bien se donner la peine de rentrer dans la fameuse demeure de Melle Marilyn.

Genre, c'était grand seigneur, non mais pas du tout. Après avoir fermé la porte derrière lui :

Tu peux laisser les pizza sur le comptoir à ta droite.

La cuisine était reliée à celui du salon par le biais d'un comptoir, où le côté salon, il y avait une rangée de trois tabouret. C'était toujours aussi sympathique ces cuisines américaines... Marilyn fit un peu le tour du comptoir afin de sortir des bières, elle ne voulait pas que son invité meurt direct de soif et c'était déjà l'heure de l'apéro.

Ca n'a pas été trop dur la journée ? Questionna-t-elle même si elle ne savait pas ce qu'il faisait dans la vie... Enfin, je ne sais pas ce que tu fais dans la vie …

Bon après, Marilyn elle, sa journée n'avait pas été bien compliquée... Et on pouvait à peine deviner grâce à sa déco ce qu'elle faisait : photographe. Avec ses photos affichés un peu ici et là et dans le coin de son salon, il y avait son matoss pour prendre des clichés... Mais bon, pour ceux qui ne la connaissaient pas non plus pourraient se dire tout simplement que c'était plus qu'une passion qu'autre chose, que son véritable métier.

Enfin je devrais dire d'abord : installes-toi et fais comme chez toi ! si je t'agresse déjà en posant pleins de questions, on n'est pas sorti de l'auberge...

Puis en sortant les bières du frigo :

Alala, je devrais me taire des fois...

Et arreter de faire son Columbo a poser trop de questions mais bon, c'était plus fort qu'elle, c'était dans sa nature.

Après avoir indiqué où poser les pizzas et fermé derrière lui, Dominic avait eu une légère hésitation sur le tutoiement et le vouvoiement. C'était sûr avec le délire, ça pouvait perturber ? Hein ? Pas un peu ? Oui, certes, avant tout, c'était un délire qui ne volait pas vraiment haut mais bon pour une belle rencontre, aussi... qui s'était fait tout juste dans la matinée. C'était tout récent...

Tu nous les as pris à quoi ? Demanda-t-elle en souriant.

Et fort heureusement en meme temps qu'elle n'était pas trop difficile au niveau nourriture... Peut-etre seulement avec les asperges... et ce qui étaient fruits de mer et tout ça... Mais bon, elle n'allait pas s'en plaindre non plus, surtout qu'elle n'était pas une adepte à faire la cuisine... La seule chose qu'elle saurait faire parfaitement sans aucun souci, c'était bien sûr les cookies au chocolat, alors vous imaginez ?

Oh, ce n'est pas bien grave ! Le plus important est que tu sois finalement là, non ? Je crois que si tu ne serais pas venu, j'aurais fini par bouder. Ca serait dommage de bouder son voisin, hein ?

Et en plus, s'il avait deviné qu'elle était photographe … Bon, il ne fallait pas non plus trois paires d'yeux pour le voir … Mais quant à elle, elle n'avait toujours pas deviné dans quoi il bossait, au juste !! Mais elle n'allait pas tarder à le savoir car en cette soirée, elle allait en profiter pour faire son Columbo.

Tout juste... Autant faire sa passion, son métier. C'est toujours un plaisir de pouvoir combiner les deux. Je ne m'aurais pas vu faire autre chose !

Oh, elle aurait pu s'orienter vers autre chose mais qui resterait tout de même dans l'artistique... Mais voilà, c'était la photo ! Elle ne sortait jamais de chez elle sans son appareil dans les mains, avec une cinquantaine de piles et de cartes mémoires dans son sac … Euh, elle exagérait seulement un petit peu au vu du nombre de toutes ces piles et cartes... il fallait un peu de place sur elle pour mettre son paquet de cigarettes.

Après avoir posé les bieres sur la table, elle repartit d'ailleurs voir si les pizza étaient encore chaudes pour voir s'il ne fallait pas les réchauffer... Elle pouvait les faire un peu chauffer au micro-ondes juste quelques instants et elle laisserait un peu à l'intérieur juste le temps de l'apéro. Puis elle revint s'asseoir face à lui... Il lui avait dit en cours de route que le fait qu'elle lui fasse un interrogatoire dans le genre voulait signifier qu'elle portait un intérêt. C'était vrai, elle portait un minimum d'intérêt aux gens, c'était toujours comme ça. Il ne fallait pas croire que par le biais de son look, elle était loin d'être sociable et aimable, hein ! Bref dans tout ça, dans ses réponses, Dominic restait encore un mystère pour elle. Elle ne savait toujours rien.

A … notre rencontre ? Lâcha-t-elle en soulevant sa biere...

Et oui, il fallait bien trinquer un peu.. Et dire qu'on pouvait dire qu'ils fêtaient la fête des voisins... Enfin, si ce n'était pas ce jour, on s'en foutait. Marilyn aurait très bien pu inviter tout l'immeuble mais elle n'avait pas forcement envie d'inviter tout le monde aussi, hein ! Puis Marilyn continua alors à bavasser :

Tu restes un mystère … Je ne sais toujours rien de toi. Je te verrais bien en camionneur ? Ou un James Bond de tous les temps … Si j'ai vu juste, Pierce Brosnan peut aller se cacher en même temps que Columbo.

Ouais, pour raconter un peu les choses à côté de la plaque, c'était un peu beaucoup Marilyn, quoi !! Mais camionneur quoi ? Pourquoi pas puisque ça avait été son Monsieur Muscle du matin, qui lui avait sauvé de sa porte... Et puis pour sortir deux grands chefs comme ça dans une même phrase, c'était le top !! Son voisin serait James Bond et elle, Columbo, ça fait une belle équipe, n'est-ce pas ? Bon, il fallait avouer que l'un des deux serait plus un homme d'action comparer au second, hein ! Et oui il fallait avouer que Marilyn n'était pas non plus artiste pour rien, vu qu'elle aimait tout autant le monde du cinéma, également... Enfin bref, fin du délire.
En tout cas, ça ne lui poserait pas de problèmes de commencer par parler d'elle car elle comprenait bien que son voisin puisse etre un peu réticent ou réservé sur sa vie. Il était loin d'être timide mais seulement réservé, selon elle. Et ça pouvait être compréhensible... Surtout s'il devait se dire qu'il était face à une folle mais bon, il n'aurait rien proposé comme soirée - et même il ne serait pas venu lui proposer son aide - et ne serait pas venu s'il flipperait donc cette dernière remarque, ça ne marchait pas...

Dominic finit par lui dire ce qu'il avait pris comme pizza mais Marilyn finit un peu par les découvrir après lorsqu'elle les avait mis à réchauffer un peu pour les garder au chaud. Bref, en tout cas, ça pouvait se sentir.

C'est parfait ! Rassura-t-elle.

Comme déjà dit, elle n'était pas spécialement la plus difficile au niveau nourriture qu'elle boufferait un ours s'il le fallait si elle était perdue au milieu d'une île... Bon, certes, elle n'irait peut-être pas jusque là et un ours existait sur les îles ? Euh p'tête les Bisounours.

Dominic lui confirma que ça serait dommage si elle se mettait à lui bouder. Oh oui, quand meme, il avait bien interêt à etre d'accord avec elle sinon elle l'aurait poussé dehors, coup de pied aux fesses et elle aurait gardé les pizza pour elle... Non, tout de même, elle n'était pas comme ça, la minette... Puis Marilyn sourit encore plus quand son voisin lui sortit qu'il avait bien la même vision : se battre pour un objectif. Oh vous pouvez compter sur Marilyn pour ne pas baisser les bras... Elle avait voulu être photographe et elle l'était devenue.. et elle était venue sur Quantico pour retrouver son cousin mais elle ne l'avait pas encore trouvé, et ça, elle comptait bien le retrouver.

Effectivement! Sinon à quoi bon de se mettre des objectifs ?

Et oui, ils pouvaient partir sur un débat mais tout voulait dire, Marilyn adhérait tout à fait cette vision de voir les choses. Bref, à boire un peu de bière et de discuter un petit peu pour faire connaissance, il n'y avait rien de mieux. Et bref, Dominic finit par lui dire ce qu'il faisait réellement dans la vie.

Sérieux ?

Oui, Marilyn était du genre à s'enjouer de tout et de rien à la fois... Et là, bon, elle n'avait pas réellement trouvé mais elle n'était pas loin. Mais passons, sur ça, en tout cas, c'était bien la classe tout de même, hein ? Donc la jeune blondinette pouvait comprendre les paroles de la matinée qui disait s'il n'était pas à l'heure dans la soirée, il ne fallait pas attendre. Il ne s'attendait pas forcément combien de temps il resterait au boulot s'il y avait une enquête, un truc dans le genre quoi ! Elle comprenait mieux. Puis, gardant le sourire aux lèvres, elle continua alors :

Ca fait longtemps que t'es sur Quantico ?

A savoir si ça faisait un moment qu'il était son voisin, quoi! A peu près ... Et quoi ? Elle faisait un interrogatoire ? Comme elle l'avait dit ? Mais non, pas du tout... Au contraire, ce n'était pas elle, la policière... même si elle pouvait se prendre pour Columbo. De toute façon, si elle était très curieuse, elle comptait bien sûr lui pour le lui dire... Après tout, elle prenait assez bien les choses quand on lui disait généralement les choses avec franchise et politesse.

(pff pas d'inspi à moins qu'on se mette ok pour un peu d'action, mais la discutions va avancer faut être patient^^)

Il était pas expansif socialement mais avec les personnes qu'il cotoyait plus, il n'était pas rare de le voire prendre quelqu'un dans ses bras si celle ci en avait besoin. Il était pas du genre à cacher ses émotions, si il fallait qu'il casse un truc il le faisait...

Dominic aimait bien manger sans pour autant en règle général être un gros mangeur. Il parlèrent de leurs vision des rêves, objectif et défit, sur laquel manifestement ils partageaient la même vision. Il ne voyait pas trop quoi répondre à sa voisine, qui posait une question qu'il doutait rhétorique. Il lui sourit donc.

S'en suis une discutions sur le métier de dominic. Il sourit dans la réaction de marylin. Il répondu ensuite à la deuxième question

Oui ...

Euh...non quelques semaines, peu être un peu plus d'un mois...et vous?

Dit il en voulant se mettre au fond d'un canapé en grimaçant légèrement.

Désolé, ne vous inquiétez pas, j'ai juste eu un gars qui voulait se faire la mâle ce matin.

Ce n'est pas son genre de parler de son métier, mais il ne voulait pas l’inquiéter mais non plus jouer au héro ou la victime, il avait donc parlé d'une voie neutre et espérait qu'elle passerait à autre chose.

Il commença à son tour à s'intéresser à elle, sans pour autant aligner les questions, la soirée se déroula ainsi paisiblement et chaleureusement, une atmosphère et une présence dont jane profitait chaque minutes

Marilyn apprenait alors que son nouveau voisin était presque arrivé en même temps qu’elle, à voir un peu avant sinon elle aurait vu l’agitation des déménageurs dans le couloir … ou soit aurait-elle été trop occupé à découvrir la ville et à photographier tout ce qu’elle trouvait… Car sinon, une chose certaine, elle aurait peut-être bloqué sur les muscles des déménageurs si déménageurs il y avait. Bref, peu importait. Dans le fond, Marilyn se disait qu’elle n’était pas nouvelle toute seule dans le quartier… Il venait logiquement d’une autre ville avant d’être muter ici. Et où était-il auparavant ? Et oui, Miss Columbo qu’elle était, plusieurs éléments lui faisaient toujours tilt et elle ne pouvait pas s’empêcher d’être aussi curieuse.

Ca fait un peu plus d’un mois ? Tu viens d’où ? Lâcha-t-elle donc sans pouvoir s’en empêcher. Pour ma part, ça fait un mois aussi environ.

Il ne l’avait sans doute pas vu arriver s’il était occupé dans son boulot par exemple. Surtout s’il y avait des mecs qui se faisaient souvent la malle, comme il le disait si bien… Marilyn ne pouvait s’empêcher d’émettre un léger rire.

En tout cas, une chose était certaine, ça faisait plaisir de passer une petite soirée ainsi à faire connaissance avec ces voisins… Au moins, comment se sentir un peu moins seule !? C’était agréable. C’était ça. Même si ce bonhomme semblait être un peu réservé, peu importait, Marilyn n’était pas chiante et trop exigeante, non plus ! Sans pour autant dire qu’il était plutôt beau gosse dans son genre, il fallait l’avouer ! Bref… une bonne soirée improvisée qui faisait du bien au moral!

FIN