Qu'elle belle journée, un beau soleil rayonnant, les nuages ce sont dégagé est surtout, je suis entouré de cadavre. Quand je suis a la morgue j'ai l'impression de revivre, c'est le seul endroit ou je me sent libre, vivant. Quand je vois la manière dont ces gens on était tuer j'ai presque l'impression de revivre la scène. Mais pas en tant que spectateur. Non ! Je revis ces scènes en tant qu'acteur, je me vois les tuer, c'est plus fort que moi. Quelque chose au fond de moi me pousse a faire ces horribles chose. Cette chose, je ne saurais la décrire, tout ce que je peux dire c'est que c'est noire, profond et... Dangereux. Je suis assis sur ma chaise de bureau et examine avec passion un corps ce trouvant allongé sur une table, en face de moi. Une journée parmi tant d'autre, je n'aurais pas pus trouver un boulot aussi excitant. La plupart du temps les gens détestent leur boulot, moi je l'adore ! J'adore regarde les méthodes employé par d'autre tueurs en série, je me nourris des cadavres présent dans cette pièce, je prend toute leur énergie et la libère instantanément. C'est une étrange sensation, mais il faut être comme moi pour la ressentir, être un monstre, un monstre ne montrant aucune émotion. Mais ce monstre a tendance a me berner, comme pour le meurtre de Carole Faure, je lui avais dis, je lui avais dis de ne pas lui faire de mal. Que cette fille était a moi et a personne d'autre. Mais le seul défaut que Carole avait était de jouer avec cette partie sombre qui était en moi. Elle prenait un malin plaisir a me faire douter. Pourquoi ? Pourquoi est t'elle morte ? Je m'en voudrais probablement toute ma vie, mais au moins cela m'aura appris quelque chose, je ne suis pas fait pour vivre en couple. Je suis un loup solitaire qui a pour mission de s'en prendre a d'autre loup. Un tueur de tueur en série, quand on le dis comme sa, sa fait bizarre, mais c'est comme sa. Tuer mes semblables est la seul façon pour moi de paraître plus humain. J'ai conscience que cela m'aveugle sur ce que je suis, mais je suis mauvais, je sais que j'ai un vice mauvais, que j'ai le diable au corps. Alors j'ai choisis de me servir de mes mauvaises habitude pour rendre justice moi même ! Je me vois plus comme un bourreau, je punis les gens comme moi... J'ai toujours le regard sur le corps mort de ce pauvre innocent quand soudain je vis une personne entrer dans la pièce. Et merde, Noléne, une amie de mon ancienne compagne Carole Faure. Elle ne m'a jamais vraiment porter dans son coeur et m'a toujours crue coupable, pour qu'elle raison ? Je l'ignore, même quand Carole était en vie Noléne ne pouvais pas me supporter, pourtant je fais tout pour paraître sympathique, je suis avenant, je fais des cadeaux, je suis souriant. Je la regarde longuement entrer dans la pièce et lui dis avec un sourire forcé.

Apparemment Noléne n'étais pas contente de me voir, c'est compréhensible, le monstre qui est en moi a tuer sa meilleur amis. Et ma femme aussi, a sa place je serais aussi furieux qu'elle, mais je dois rester calme et ne pas rentrer dans la provocation. Et puis, ce serait un énorme manque de respect de m'énerver après elle, après ce que j'ai fais cela ne ce fait pas. Elle a des doutes sur moi, elle est potentiellement dangereuse. Mais elle n'a aucune preuve et n'en aura probablement jamais je suis bien trop méticuleux et intelligent qu'elle. Je suis invulnérable, invincible, les flics, ils m'arrêterons uniquement quand je l'aurais décidé, rien ne pourra m'arrêter de tuer. C'est ma nature ! Ma véritable nature, mon coté sombre, mais toutefois. Cette fille me fais peur, un peu comme Carole, Noléne a une fâcheuse tendance a me mettre dans des situations embarrassante, elle joue avec moi, elle s'amuse, elle joue avec ma culpabilité. Elle a d’ailleurs un point sensible sur lequel jouer, Carole Faure, la seul femme que j'ai aimé. Je la regarde droit dans les yeux et lui dis d'un ton maladroit.

Et merde, belle manière de commencer son premier jours de travail, il faut absolument que je me rattrape, elle n'avait pas l'air heureuse de ma réaction et cela ce voyait sur son visage. Quand elle me regarde elle a le même regard que je porte sur mes victimes avant de les tuer, un regard haineux. Elle me regarde avec dégoût, mais je ne lui en veut pas. Je le mérite, je pris une grande inspiration et dis en expirant doucement.

On voyait que Noléne était en colère, cela ce voyait sur son visage, il y'a des signes qui ne trompe pas. Plus elle parlait de Carole et plus je me sentais mal a l'aise, d'habitude j'arrive a gérer ce genre de situation mais avec Noléne c'est différent. C'est comme si elle lisait en moi, comme si elle savait tout de moi. C'est a la fois terrifiant et excitant, sa façon d'être, de me questionner, de me répondre, de me regarder. Elle veut jouer avec moi, elle veut me piéger, mais jamais elle n'y'arrivera, je continuerais de renier ces accusations jusqu'à ce que mon coeur s'arrête de battre. C'est la seul façon de m'arrêter, me tuer. Carole, elle me manque tellement, et cette fille me la rappelle sans cesse, j'aimerais la rayer de ma tête mais c'est impossible. Je dois vivre avec ce qu'a fait le monstre qui est en moi, je n'ai pas le choix, soudain elle referma d'un coup sec la porte ce qui me fis sursauter. Et la elle ce met a me faire une réflexion, comme quoi ce serais la première fois que j'éprouverais des remords. Le ton sur lequel elle me le dis me refroidis de suite, comme si j'avais pris une douche froide. Je lui répond aussitôt d'un air plutôt agacé.

Elle ne peut pas s'empêcher de me lancer des pics, cela est très désagréable, peut-être est t'elle plus forte que moi, non ! Non ! Je suis plus fort qu'elle, il faut que je reprenne de l'assurance, j'ai torturer et tuer des monstres bien plus terrifiants qu'elle, c'est pas elle qui va m'affaiblir tout de même, je la vis s'approcher vers moi et me regarder droit dans les yeux, on sentait qu'elle n'avait pas peur. Je détourne les yeux, je ne voulais pas rentrer dans la provocation, je détourne les yeux et les rives sur un dossier en faisant semblant de travailler. Je fini par lui dire.

J'espère que Noléne ce calmera et voudra coopérer sans remettre sur la table ce qui c'est passer avec Carole, j'aimerais penser a autre chose, cette fille était la seul fille que j'ai pus aimer. Je m'en veut tellement, je m'en veut de posséder un tel monstre en moi. Mais elle est morte, et rien ne pourra la ramener a la vie, je règle mon siège et attend une réponse de Noléne...

Les choses ont l'air de ce compliquer, Noléne est en train de péter un câble. Et par la même occasion elle prend un malin plaisir a me mettre dans l’embarra, pourquoi parle t'elle tant de Carole, c'étais quand même ma petite amie, on avait des projets, on voulait avoir des enfants, ce marier, mais je ne suis probablement pas fait pour être heureux. Noléne sais tout de moi, je pourrais probablement l'a tuer pour ne plus être en danger mais non. Je ne tue que les gens mauvais, si je me suis imposer des limites c'est pour ne plus devenir un monstre. Je vais donc devoir me sortir légalement de cette situation, sans meurtres et cadavre. Même si je pense que le teint blanc lui irait a ravir a Noléne je dois la maintenir en vie. Elle ne mérite pas de mourir, elle ne fait pas partie des contraintes que je me suis imposé pour être un peu plus "Normal". La elle me dit que je fais ce boulot uniquement pour pouvoir tuer, elle me fait même remarquer qu'elle m'a a l'oeil, je lui dis en rigolant.

Un peu d'humour devrait détendre l'atmosphère, du moins, je l'espère, je ne lui veut pas de mal. Je veux juste qu'elle arrête d'être sur moi, mais bon, elle a toujours était sur moi, même avant le meurtre de Carole et ça ne risque pas de changer. Elle est comme sa, et moi je suis comme sa, c'est comme sa. On ne peu pas changer les gens, tout comme moi je ne peux pas changer. Soudain elle commence a me parler de Carole, elle dit qu'elle plain les filles qui me rencontrerons et qui finirons comme Carole, cela me blesse dans mon égo, je ne suis pas ce genre de monstre. Jamais je ne m'en prendrais a une femme innocente n'ayant rien fait, je me lève de suite de ma chaise et me mis a quelque centimètre du visage de Noléne et lui dit d'un ton énerver et en serrant les poings.

Je fus moi aussi très énerver, mais il faut que je me calme, que je reprenne mon sang froid, j'inspirais un grand coup quand je vis Noléne contempler un cadavre pour les besoins d'une enquête, je décide d'y mettre mon grain de sel et de lui ajouter des détails qu'elle n'avait pas remarqué pour lui facilité la tache mais aussi pour l'agacer. Je me suis mis a parler tout en mimant la scène que je décris.

C'est plutôt incroyable, plus je regardais le cadavre est plus je m'imaginer la scène. Je voyais dans ma tête la façon dont cette femme a était assassiné, elle n'avait pas eu de chance, mais je retrouverais ce salop avant les services de polices, et une fois retrouvé je le tuerais de sang froid, comme il l'a fait avec ces précédentes victimes...

Mon petit discours eu l'effet que j'attendais, cela l'enrager que je sois aussi doué dans mon domaine je le sentais. Je ne voulus pas m'amuser avec elle, juste qu'elle me lâche, ce qu'elle ignore c'est que je l'aimais Carole, j'étais prêt a tout pour elle, j'étais même prêt a abandonner ces pulsions meurtrière. Jamais elle ne pourra comprendre ce que j'éprouve pour Carole, elle pense que je l'ai froidement assassiné de sang froid. C'est faut, je sais que ce n'est pas moi, je veux bien assumer tout les meurtres que j'ai commis, mais Carole, ce n'est pas moi qui l'ai tuer, je n'étais même pas conscient, c'est cette chose, je le sais, j'en suis sure. Cela ne peut être moi, je l'aimais, je voulais avoir une vie normal avec elle. Au moment ou Noléne m'accusa d'avoir assassiné sans remord ma femme je serra les poings de toute mes forces et balança des dossiers par terre, je me suis mis a grandement hausser la voix.

Mes yeux était remplie de haine, de colère, et de frustration, j'étais prêt a laisser la partie sombre prendre le dessus. J'en avais marre de ces accusations, a l'entendre on dirait que je n'aimais pas Carole, je l'aimais, je l'aimais bien plus que moi même, la seul femme a avoir réussis a me faire changer. Je pris une grande inspiration et me calma doucement, je me rassis en cachant mon visage avec mes mains pour ne pas montrer ma frustration et ma douleur. Je fini par dire d'une voix tremblotante.

J'avais vraiment envie qu'elle parte, elle n'arrête pas de me mettre mal a l'aise, elle me balancé mes actes a la figures d'une façon si brutal. Je ne voulus pas qu'elle reste, je voulus qu'elle parte d'ici le plus vite possible. Elle m'a a l'oeil, sa je le sais, je ne me suis jamais aussi traquer qu'avec elle. J'ai l'impression d'être enfermer, et cela m'insupporte...

J'eu a ce moment envie d'étrangler Noléne, l'étrangler tellement fort a en arrivé ou ces yeux sortirais de leur orbite. J'ai envie de m'équiper d'un couteau et de lui planter sur sa poitrine, si je me suis imposer des limites, si aujourd'hui je ne m'en prend qu'au gens méritant de mourir comme les violeurs ou les tueurs, c'est pour apaisé ma soif de meurtre. Imposer des limites a cette choses me poussant a tuer et avoir le contrôle total sur cette chose. Mais Noléne, elle va trop loin dans ces propos, quand elle me demanda de me confesser en disant qu'il n'y'a qu'elle et moi, pendant un instant j'eu envie de tout dévoiler, mais il fallut rester fort, je regarda Noléne et dit d'un ton désespéré.

Cela me faisait du mal quand on parler de Carole, ce fut la seul femme que j'ai étais capable d'aimée, la seul femme a avoir réussis a me faire changer. Moi, un monstre sanguinaire dénué de tout sentiment, je mis mes mains sur mon visage, je n'aime pas parler de Carole, a chaque fois que l'on parle d'elle cela me met mal a l'aise, et puis, je me rend compte que plus jamais je ne sentirais son doux parfum, plus jamais je ne sentirais ces bras autour de moi, plus jamais elle ne ce reposera sur mon épaule, est-ce vraiment ma part d'ombre qui l'a tuer ? Peut-être qu'en réalité c'est... Moi, oui, j'étais trop heureux avec elle, je l'ai tuer... Des larmes coulèrent sur mes joues, je mis ma tête contre mes bras afin de ne pas montrer a Noléne mon désespoir et dit d'une voix tremblotante.

Noléne eu envie de passer a autre chose, elle me demanda mon rapport sur la victime, je me ressaisis en essayant de passer a autre chose et fit rouler mon siège roulant jusqu'à l'ordinateur, au bout de quelques clic l'imprimante ce mis en route et le rapport de Noléne en sortis. Je retourna a ma place d'origine de façon a être dos a elle, je ne voulus pas qu'elle me voit comme sa. Je lui montra les feuilles sortis de l’imprimante et dis avec conviction et frustration.

En réalité j'avais déjà préparer ce rapport bien avant son arrivé et il me fallut juste imprimer les dossiers enregistrer dans la base de donnée de mon ordinateur. Je crue qu'elle en avait finis avec Carole mais elle m'en reparla, elle dit que Carole fus morte car elle eu croisé ma route. Je pris une grande inspiration et baissa la tête, elle est vraiment persuadé que c'est moi. En même temps elle n'a pas tord, mais je dois nier, je le dois, je ne peux me permettre de craquer maintenant. Pas maintenant, pas après avoir trouver une solution pour continuer a tuer sans m'en prendre au innocent. Je me retourna en face d'elle et lui dis avec un large sourire.