PROFIL PSYCHOLOGIQUE
Le Joker est un malade mental, un véritable concentré de folie, de sauvagerie, de barbarie et de tous se qu'il y à de plus ignoble et malveillant dans l'univers.

Une psychiatre a avancé le fait que le Joker possède un « super-équilibre mental ». En fait, elle explique que le Joker n'a aucune personnalité propre, que pour s'y retrouver dans le monde où il vit, il est obligé de se réinventer chaque jour, passant par exemple du clown blagueur au tueur en série complètement fou, d'où son côté imprévisible. En dépit de ces « transformations quotidiennes », certains traits de caractères subsistent : il est rusé, sadique, complètement égocentrique, et fait de l'humour à tout bout de champ, bien que ses blagues soient très douteuses. Par ailleurs, il est conscient de sa propre folie mais se voit comme irrécupérable.

En outre, le personnage est extrêmement manipulateur et conçoit des plans d'un génie hors du commun, qu'il est capable d'adapter et de modifier constamment selon les circonstances. Très fin psychologue, il est capable de contrôler ou de faire douter n'importe qui, ce qui en fera peut-être l'ennemi psychologique de certains le plus puissant.

Le Joker ne s'appuie pas sur ses seuls dons. Il mise énormément sur une part d'improbabilité et de chaos, de risque (ce qui lui permet de ne jamais s'ennuyer). Il aime se lancer à lui-même des défis macabres et soudains, n'éprouve aucune peur de souffrir ou mourir ; c'est justement cet aspect de sa personnalité qui le rend imprévisible, renforçant son narcissisme et sa folie. Une fois le Joker joua à la roulette russe sur lui-même avec un revolver en plein milieu d'une rue sur un coup de tête, et il y survit, ce qui ne manqua pas de lui octroyer un énorme fou rire.

Cette intelligence hors du commun peut mettre des doutes sur la réelle folie du Joker. Est-il simplement fou ou « trop » lucide ?

Ses actions ne sont pas motivées par l'argent ou le pouvoir, ce dont le Joker n'a cure, mais par la seule volonté d'instaurer le chaos, car ça l'amuse. Il fait le mal pour le mal, et n'a donc ni morale ni éthique. De fait, c'est sa propre psychose, sociopathie et psychopathie, qui motive toutes ses décisions. Son obsession reste de prouver aux yeux des représentants de la loi que le monde partage sa folie, mais la réprime.

Le Joker est très rusé et capable de manipuler beaucoup de monde à sa guise. Le Joker est par ailleurs très fort en ce qui concerne la torture psychologique : il a perverti l'esprit de Harley Quinn qui deviendra sa compagne ; il a failli rendre fou plusieurs personnes.

On apprend, si l'ont cherche bien, que tous les psychiatres qui l'ont examiné ont conclu à chaque fois qu'il souffrait d'une pathologie mentale différente.

Pourtant, il arrive que le Joker ressente des émotions « normales ». Sa relation avec Harley Quinn en est témoin. Bien que le Joker passe le plus clair de son temps à la mépriser et parfois même à tenter de la tuer, le couple a quelquefois connu de rares moments de tendresse.

Le Joker se souvient parfois aussi de l'homme qu'il était, même si ses souvenirs sont peu fiables. Il utilise ses souvenirs comme garantie, pour faire croire aux gens qu'il a mal tourné sans avoir eu le choix, ce qui est contradictoire avec le personnage, car il affirmera, lors de son interrogatoire -avant d'être interné- que le meurtre est un choix (ce qui montre sa lucidité quant à sa maladie mentale, et aussi par rapport à tous les autres psychopathes).

Le Joker affiche un goût particulier pour les farces macabres. Les armes chimiques n'ont pas de secret pour lui et il porte en permanence plusieurs sortes d’acides ainsi que son venin de Joker, un composé binaire faisant littéralement mourir de rire ceux qu’il infecte en paralysant leur faciès avec un rictus semblable au sien.

CONDITION PHYSIQUE
le Joker a les cheveux mi-longs et grossièrement teints en vert, souvent en bataille, pas vraiment peigné même si il arriver parfois qu'il les peigne en arrière, ses lèvres sont prolongées par deux cicatrices qui remplissent une bonne partie de la surface de ses joues. Cette cicatrice fait référence au roman L'Homme qui rit de Victor Hugo, et au sourire de l'ange, légende urbaine répandue : l'agresseur prolongeant le sourire de sa victime avec un fil de nylon ou un couteau. La couleur blanche de sa peau n'est due qu'à un maquillage négligé destiné à effrayer les habitants de Quantico. Il donne une centaine versions de la cause de ces cicatrices, toute plus tordu et malsaine les unes que les autres. Mais la vraie version reste ignorée.

Il arbore également un large sourire, mais il semble que celui-ci soit volontaire car le Joker ne l'affiche pas en permanence. On notera que la couleur écarlate des lèvres du Joker est dû à l'utilisation d'un rouge à lèvres, contrairement à une légende urbaine qui raconte que se serait le sang de ses victimes fraichement dévorer.

A PREVENIR EN CAS D'URGENCE
◮ Quinn Harley •Passion et Destruction La petite Harley est une gentille fille, très gentille. Psychologue anciennement en charge du Joker, elle l'aida à s'enfuir lorsqu'il réussi enfin à la rendre folle, une hystérique de plus, et folle d'amour pour son nouveau mentor au maquillage de clown, un sentiment pas vraiment réciproque même si cela l'amuse d'être ainsi vénéré.

NOM, PRENOM P. • (titre du lien en minuscule) description pour faire classe, description. description pour faire classe, description. description pour faire classe, description. description pour faire classe, description.

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CASIER JUDICIAIRE
Le Casier judiciaire du Joker, alors là, vous aller être servi. Il aurai commis ses premiers méfaits à New York, pour commencer quelques vols à la sauvette... Mais la machine était lancer, l'engrenage infernal c'était mis en route et rapidement ce fut des vols à mains armé, de rare meurtres et des viols un peu moins rare. Mais qu'était-il arrivé? La Schizophrénie, les petites voix, ses amis imaginaire d'enfance était à présent une foule entière de personnalités toutes plus diabolique et folle les uns que les autres, et sa vrai conscience n'existait plus, il n'y avait plus qu'eux... Cette légion de démons à l'humour noir qui ne forme plus qu'un seul monstre, le Joker.

Rapidement les braquage de banques suivirent, des petites banques discrète pour ne pas attirer l'attention, des meurtres et viols en série tous plus horrible les uns que les autres et finalement il quitta la Grande pomme pour se retrouver à Quantico. Il voulait faire un grand coup, et il avait entendu de ces gens, des profileurs, ses gens qui sont censé établir le profil des tueurs.... Tous les psychologue qu'il avait vu dans son enfance avait trouvé des choses différentes, mêmes les diplômer de l'asile où il fut interner un moment ne savait quoi faire... Cela serait amusant de faire tourner ses gens en bourrique en transformant cette ville en terrain de jeu chaotique et diablement fou?

PARCOURS PROFESSIONNEL
Je... Hum, je peut pas vraiment dire se que j'étais, ce que j'ai fait, d'où je viens. Après tous, c'est bien plus amusant de se réinventer chaque jour! Alors je vous vous raconter une des mes histoires, celle que j'ai choisi pour cette semaine.. Enfin, je changerais peut-être demain si j'en suis pas fier.

Alors disons que je me nomme... Jack Napier, parce que je trouve que c'est cool, Jack n'à pas pied dans les WC, mwahahahah.
Alors, Jack Napier, je suis né d'un père français et d'une mère américaine à New York. Une histoire pas très intéressante, une rencontre comme toutes les autres, une fête entre ami, et blablabla... Les belles rencontres se font partout mais surtout ailleurs, héhé.

Donc je suis né, dès ma plus tendre enfance j'ai fait preuve d'une intelligence particulière, bien plus mature que les autres bambin et capable de parler bien avant les autres. Rapidement on à dit que j'étais surdouée, mais il faut dire qu'entre un père ivrogne et une mère absente j'ai pas vraiment eu l'attention que je mérité. Seul, exclu et rapidement devenu misanthrope je me suis imaginé des amis imaginaires.

Odi, ah Odi, mon fidèle petit chien parlant, il en savait des choses, je pense que c'était lui le surdouée et pas moi, c'était lui qui me souffler les réponses et me disait quoi dire que je paniquer. Puis il y avait Monsieur Jacob Jacob, l'oiseau chimiste qui m'inviter à étudier l'art des mélanges et des produits. C'était amusant, et sans oublier Miss Queen, une gentille petite fille pâle mais tellement jolie, c'était mon amoureuse... Mais les gens disait que non, que j’étaie trop imaginatif et que mes trois amis n'existait pas, en faite ils étaient invisible et seul les personnes très intelligente pouvait les voire.

Finalement Odi et les autres ont ramené des amis, on était nombreux, et comme je discuter souvent avec mes amis, mes parents m'ont amener voir un psychologue. Je crois qu'ils n'aiment pas que je sois plus intelligent qu'eux... surtout mon père, il buvait trop et quand il rentrait du bar il pété littéralement un câble et me frapper à chaque fois que je parler à Miss Queen et aux autres. Même parfois je parler pas du tous et il me frapper quand même. J'ai vraiment cru mourir, chaque soir, surtout le soir où tous mes amis sont venu me soutenir et me donner la force de lui répondre... J'ai fini tous un Week-end dans le cagibi sans manger ni boire, avec Miss Queen.

Sa à changer ma vie, j'ai trouver dans se cagibi se que l'on appel des Comics. Des BD américaines. Tous de la même collection, Batman. Une révélation! Tellement d'histoire intéressante, et surtout se Joker... Un personnage si intéressant, qui respirait la joie de vivre, contrairement à moi, tous en étant un méchant. Un paradoxe pour les gens habitué à voir des méchants...méchants.

Quand je suis sortit de ma prison j'avais le sourire, je voulait lui ressembler, au Joker. Mais sa n’a pas durée longtemps, rapidement je perdit le sourire, retombant dans une dépression total, trop déprimé pour rester en vie, et trop peureux pour se suicider. J'étais coincer.

A l’école, j’étais toujours mis de côté, autant par les élèves trop stupide et méchant, que par les professeur qui mettais mon échec scolaire (sauf en physique chimie et en science) sur le compte de la fainéantise. Quel bande d"idiot, c'était mon existence toute entière qui me bloquer. Et ça, seul mes vrais amis le savait, me comprenait.

Au fur et à mesure Miss Queen et devenu Miss Quinn puis tous simplement Harley Quinn. Cette jeune femme blonde qui adule le Joker dans les comics de batman. Elle était toujours aussi belle, mais folle, et folle amoureuse de moi... Elle m'appelait Mister J. J'ai fait une total collection des BD Batman, volant ceux que je ne pouvais acheter, me faisait parfois voir mais jamais attraper. Si bien que mon visage fut connu cher tous les libraires et autres, alors je devais exclusivement voler et jamais acheter, de toute façon ils n'accepterait pas.

J'ai tellement aimé ça... Le stress, l'adrénaline que l'on ressent lorsqu'on s’enfuie avec ce petit bout de papier dans la main. J'ai voulu essayer autre chose, j'ai prit de l'argent, des objets. Puis un jour, avec un pistolet en plastique j'ai braquer le librairie, j'ai prit tous l'argent et les BD.

Un autre jour je me suis vengé de Clarisse, cette petite salope qui se croyait supérieur, la bimbo de la classe. On était en 3em, j'ai décide de me venger de tous se qu'elle disait sur moi, cette haine que je ressentait pour elle... pourtant atténué par cette envie que suscité en moi son corps... Je... ahahahah. Harley Quinn m’a encourager, alors je l'ai violé dans les toilettes du collège! Mwahahah. Elle n'est jamais ressortit des toilettes, du moins pas vivante. Au moins elle était heureuse, avec se grand sourire graver sur son visage avec un compas.

Sa à fait du bruit cette histoire, mais personne n’a cru à un élève, trop barbare comme crime selon eux. Alors j'ai continuer, j'ai tuer tous ceux à qui j'en voulais, plus discrètement cette fois. Odi m’a dit de les inviter à une fête sans signé, pour qu'ils viennent tous. C'est se que j'ai fait, je les ai invités dans une vielle maison abandonnée, dont j'ai fermé les issus, les fenêtres était déjà condamné et j'avais rempli le jardin (qu'il fallait traverser pour quitter la propriété) de piège à loup prit à mon père qui pratiquer la chasse.

Je devais me faire beau, être parfait. Alors j'ai voulu ressembler à mon idole, le maquillage blanc, le rouge à lèvre et les cheveux verts. Je peut vous dire que j'ai fait un massacre, avec un sourire sadique et un couteau de chasse bien aiguiser. Tous torturés, coupé en morceau et bruler avant de voir leurs cendres enterré dans ce même jardin.

Mais je devais disparaître, être le seul survivant de ma classe attirerait l'attention... Alors Odi m’a proposé quelque chose... Quelque chose de fou. Je suis rentré cher moi, j'ai préparer mon magnifique acide au gaz hilarant et je l'ai fait avaler à mon père pour qu'il meurt en riant, en riant à l'unisson avec moi.

Puis je me suis versé une petite dose de l'acide sur le visage, pour être marqué à vie, pour ne plus être reconnaissable. Je me suis ouvert les joues avec un couteau pour former un grand sourire digne de mon idole, encourager par une centaine d'ami, ou plutôt une centaine de millier d'ami. Une fois que je ne ressembler plus à rien j'ai mis le feu à la maison, attendant que tous prenne bien feu, puis je suis sortit en hurlant de douleur.

Les voisins sont arrivé, l'ambulance, les pompier. On m’a amener aux urgences et ma mère (qui était absente au moment du meurtre) à utiliser l'argent de l’assurance vie de mon père pour me payer une opération chirurgical. Un visage refait, aux aires de plastique, ressemblant à un étrange mannequin animé, cela me plaisait mais je n'en disait rien.

Les autorités ont conclu que le tueur qui avait mis le feu à ma maison était le meurtrier des autres enfants, je leurs avaient dit où se trouver les cendres, expliquant que j'avais été obligé de regarder puis que le tueur m'avait ramené cher moi pour tuer mon père et mettre le feu à la maison après m'avoir défiguré.

Parfait, parfait. J'ai alors grandi de mon côté, seul cher moi, sans jamais sortir, j'avais prier ma mère pour qu'on me donne des cours par correspondance pour ne pas souffrir de mon opération pas franchement réussi. Je me suis spécialisé dans la chimie, j'étais déjà fort grâce à Monsieur Jacob Jacob, et je l'était encore plus.

J'ai commençai à travailler dans une entreprise de cosmétique, mais à côté je suis rentré dans un gang pas franchement efficace. Je leurs ai proposé de braquer le batiment dans lequel je travaillais, en leurs donnant les clefs et en effaçant les preuves pour eux. Quel bande d'idiot, j'ai fait ça pour supprimer les membres qui me faisait obstacles. J'ai innocenté ceux que je voulais garder en les effaçant des bandes vidéos, et les autres je les ais gardé. Je suis devenu maître du gang, j'ai perdu mon boulot après la faillite de l'entreprise (que j'avais un peu aidé à sombrer il fait dire) et j'ai commençai à faire de gros coup.

Les banques, les bijouterie, et autres. Pas vraiment pour l'argent, le plus gros était versé à mes hommes et le reste était utilisé pour avoir du meilleur équipement. La mafia n'aimait pas trop qu'on deviennent puissant, on à dû se méfier.

Avec les flics et la mafia sur le dos on à dû arrêter nos affaires. Mais avant, il fallait faire un gros coup, un très gros coup! J'ai laissé filtré des infos sur un casse dans une banque, la mafia nous y attendrais pour nous trouer. Harley Quinn m'à convaincu de faire ce qu'il fallait, je me suis réouver les joues pour avoir le grand sourire du Joker et je me suis maquiller comme lui. Mes hommes, déguiser en clown... et finalement, on à tous fait pété avec un bus scolaire! Mwhahahah.

Tous été détruit, et je suis resté là, couché par terre à rigoler comme un malade. Tous ça faisait partit du plan, on m’a emmener à l'asile, officiellement j’étaie un maboule suicidaire qui à foncer dans une banque avec un bus scolaire alors que la mafia se préparer à un casse. Sa aide de simuler la stupidité et laisser tous ses amis s'exprimer à sa place.

J'étais le Joker. J'étais dans un Asile de fou, comme l'asile d'Arkham dans Batman. Et j'ai littéralement hypnotisé une psychologue comme le Joker, une petite blonde toute mignonne, je l'ai rendu aussi folle que moi. La fiction à dépassé la réalité, et Harley Quinn à quitté mes amis invisible pour s'incarner en elle. Elle m’a aidé à m'évader, on à quitter New York tous les deux, en amoureux psychotique. Et on à rejoint Quantico, les gens là bas, qui sont chargé d'établir le profil psychologique des tueurs était très performant selon les articles de journaux, pourquoi ne pas les mettre au défi de savoir se qu'il avait alors que les psychologue de l'asile était incapable de le faire?

Sa promet d'être...Amusant.