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" ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! "

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MessageSujet: " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " EmptyLun 5 Nov 2012 - 22:17

" ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " 317104_160113090800911_2049892902_n" ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " Icon211

07.00

07.00.
Quoi ? Sept heures ? Oh God Sept heures... Je n'avais pas entendu le premier réveil sonner, il y avait... une heure de cela. Alors on peut affirmer que ce matin-là, j'étais réellement en retard. De plus, Addison n'avait pas dormi avec moi, cette nuit, puisqu'elle était de garde. Je devais la voir, tout à l'heure. Cette idée me fit sourire et me tira, par la même occasion, du lit et de ma couette bien chaude. Le temps de prendre une douche, d'enfiler un café et quelques vêtements et me voilà prêt. Un coup d'oeil sur ma montre m'indiqua qu'il était 07.30 et que j'avais battu mon record de vitesse matinale. Pas mal pour quelqu'un qui avait dormi une heure de trop. Je quittai l'appartement, refermant derrière moi la porte à clé. Dehors, le vent était doux pour une matinée de fin d'automne. Au coin de la rue, j'achetai au kiosque habituel, le journal qui allait m'annoncer le type de patients qui m'attendait à l'hôpital. Il y était question, en première page, du blessé par balle arrivé la veille aux urgences. Un peu plus loin, les journalistes parlaient d'une recrudescence de virus en cette saison mitigée. Oui, rien qu'hier, j'avais vu quatre cas de gastro, une présomption de grippe et une varicelle. Certes, j'avais soigné d'autres patients, mais les maladies de ceux-là ne laissaient rien présager de bon. Enfin ! Chaque année, nous réussissions à vaincre la vague d'assaut des virus, alors il suffisait de recommencer.

Tandis que je remontais les rues, grouillant déjà de monde à cette heure-ci, je replaçai dans ma tête le programme de la journée. 08.00 - 12.00, les consultations. 12.00 - 13.00, visites du service. 13.00 - 13.30, pause déjeuner. 14.00- 16.00, les consultations. Et après, je pourrais consacrer un peu de temps aux recherches, passer au labo. Je n'avais pas eu le temps de passer la veille, alors il fallait que je sache ce que donnaient les derniers tests. La vue du bâtiment principal de l'hôpital me tira de mes profondes réflexions. Je passai les portes coulissantes et aussitôt je fus imprégné de l'odeur, des bruits et des couleurs familières. Ce matin-là, en arrivant, je me dis une fois de plus que j'avais la chance d'être ici, et de pouvoir être au coeur de la recherche du traitement contre la myofasciite à macrophages.

Alors que je me rendais jusqu'à mon bureau, je vis dans la salle d'attente une dizaine de patients qui attendaient, tremblants de fièvre ou toussotant. Je poussai un léger soupir, me disant que les journalistes n'avaient peut-être pas tant exagéré le problème, finalement. La matinée se déroula sans évènement notoire, simples interrogatoires, auscultations, palpations, quelques certificats délivrés et un petit paquet de médicaments prescrits. Aux alentours de midi, je sortis pour les visites aux patients hospitalisés. C'est alors que j'entendis du bruit, des cris, plus précisément. Aussitôt, je reconnus la voix d'Addison, donnant les ordres à exécuter à ses collègues. Mais ? En passant la tête par la porte de la chambre où elle se trouvait, la 202, je vis qu'elle n'était aidée que d'une infirmière et que les renforts n'étaient pas encore là. M'emparant de mes gants, fronçant les sourcils, je m'approchai de la patiente. Je lus rapidement son dossier, demandant en même temps à ma petite amie :

" Bonjour ma chérie. Je peux t'aider ? "

Il s'agissait d'une femme, de 34 ans, hospitalisée pour risques de grossesse prématurée. Et maintenant, elle m'avait tout l'air d'avoir perdu les eaux. Le liquide amniotique répandu sur les draps m'en donnait la confirmation.

" Je suis le docteur Walker. Vous êtes entre de bonnes mains, et la cavalerie ne va pas tarder madame Stiles. "

Je relevai les yeux vers Addi', en quête d'une aider à lui porter. C'était elle qui dirigeait par ici. Je lui obéirais au doigt, et au stéthoscope !
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MessageSujet: Re: " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " EmptyMar 6 Nov 2012 - 16:38

" ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " Tumblr_md1o55QqbV1qazrmro5_250" ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " Tumblr_md20lhK7EM1rxq5qio1_250


# Une nuit entière de garde, laisser moi vous dire comment c'est la galère surtout quand le lendemain on entame non stop un journée de plus. Mais une chose et sur c'est que j'adorais se que je faisais, et que j’abandonnerais mon métier pour rien au monde. Pour ma part la ma nuit de garde avait était plutôt calme, une femme au urgence et arriver pour accoucher sont accouchement c'est très bien passé mais il mon appelait pour l'enfant, car il avait des problèmes respiratoire, et croier moi ou non quand mon pipeur sonne et que c'est pour une urgence en néonatalogie, je cours dans le couloir, même si dans le règlement de l'hôpital il y a bien écrit qui est interdit de courir dans les couloir de l'hôpital. Mais quand on et a l'autre bout de l'endroit ou on doit aller, et bien nous avons pas de pouvoir magique pour nous déplacer, la seul chose que nous avons et bien se sont nos jambes, et plus tôt on arrive au prés de l'enfant ou de la mère et bien on a plus de chance de faire tout notre possible pour les sauver. Un fois que j'était arriver en néonat' et bien j'examina le bébé et je ne trouvait aucun pouls, aucun rythme cardiaque, je commença donc a pratiquer une réanimation cardiaque, je fis se que l'on appel plus couramment un massage cardiaque, l’infirmière que se tener a mes coters s’occuper d'apporter de l’oxygène au bébé, d'un seul coup, comme par miracle le bébé retrouva un pouls et un rythme cardiaque normal. On pouvait retrouvais un magnifique sourire sur mon visage. Par la suite je partit rasuser la mère de l'enfant qui avait vu partir sont fils très vite et certaine sans presque vois aucune explication. . . Enfin bref voilà a quoi avait ressemble ma nuit a l’hôpital.

Par la suite, la fallait bien de je dorme un peux car prendre un garde de 12h00 n'est pas chose facile. Un fois que je pus me reposer disons un dizaines de minutes bien ou j'aller tout de même pas dormir deux heures ou même plus faire ma nuit, non, puis de toute manière cela me sufiser pour être en forme, avant de sortir de la salle de repos je repris mon pipeur que j'avais pauser sur une petite table de chevet que se tener a coter du lit, et je rattacha mes cheveux correctement, je me fis une queue de cheval asser haute pour ne pas que mes cheveux me gene. Puis par la suite je me passa un coup d'eau froide sur le visage pour que j'ai l'aire bien réveiller, même si sa n’enlever pas totalement les trait de fatigue qui se trouvais sur mon visage. . .

Une fois que j'u terminer, je partit en direction de la cafétéria pour me prendre une bon café bien noir pour bien me réveiller, Aujourd'hui pour moi j'avais un programme pas trop charger je ne pouvais pas trop me plaindre en même temps je venais de faire une nuit entière pour la mâtiner jusqu’à 12 h 00 j'étais comme pour dire au urgence, après j'avais donc une heure de consultation ou de suite de soins. Apres de 13 h 00 à 14 h 00 j'ai une pose déjeuner, et j’espère fortement que Declan l'a au même horaire que moi comme sa nous pourrions passer du temps ensemble. Et je finissais mon service a 16 h 00 comme j'avais passer la nuit de garde a l’hôpital.

Mais j'u a paine le temps de finir mon café, car mon pipeur sonna. . . J'était attendu dans la chambre de Madame Stiles en urgence, Je partis donc a tout allure dans la chambre 202, là ou la jeune dame se tener, elle avait était hospitalier pour un risque de grossesse prématurée, et le diagnostique était bon car la jeune femme venais juste de perdre les eaux comme on le dit, la poche des eaux était donc rompu . . . Il fallait donc commençais un accouchement, j'était aider d'une infirmière, j'atender les renforts, mais sa n'arriver jamais asser vite a mon gout. Je t'enter de rassurer la jeune femme qui était age de 34 ans, c'était un première grossesse pour elle. Je lui dit que nous allons l'instaler pour commencer l'accouchement car la poche des eaux venais de se rompre et que nous n'aurions pas asser de temps de se rendre dans la salle d'accouchement.

D'un seul coup, j'entendit Le voix de Declan qui me disait bonjour, et qui me proposa sont aide alors je lui répondit avec un magnifique sourire.

" Bonjour, mon chéri. Oui bien sur avec plaisir tien enfile une paire de gant et viens par la."

Oui, il et vrai que je donnais des ordres, mais en même temps c'était ma patiente. Et il fallait bien que se magnifique bébé sorte, et commence a vivre sa vie. Je regarda a combien le colle du bébé était dilater, et il était dilater magnifiquement car je santie la tête du bébé, Declan me regarda alors je lui dit :

" Declan, comme personne d'autre n'est arriver, tu va prendre un champ stérile pour accueillir le bébé "

Bien oui car quand le bébé aller arriver je me doutais très fortement qui aller falloir des soins et très vite. sur le monitoring je constater que la coeur du bébé commençais a ralentir . . . Ce n'était pas très bon . . . Je regarda donc la future maman et lui dit :

" Mme Stiles, alors voilà je ne vais pas vous mentir. Le coeur de votre bébé commence a ralentir. Donc a la prochaine contraction vous allez prendre une grande inspiration et pousser le plus longtemps possible. "

Je regarda l’infirmière qui tener compagnie a la jeune femme en la rassurent en lui donnent des petits conseille. #


[HS: Ho c'est la première fois que je suis autant inspirer que cela. . . Smile J’espère que mais autre réponse le serons aussi, et que celle la te convient. Si on je peux changer Smile]



Dernière édition par Addison R.Cooper le Jeu 8 Nov 2012 - 22:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " EmptyMar 6 Nov 2012 - 22:41

Je vis Addison inspecter le col pour savoir s'il était beaucoup dilaté. Elle tenta de garder un visage impassible, mais je sus y lire tout ce que j'avais besoin de savoir. Tout était en place pour l'accouchement et le bébé allait arriver. Aussitôt, l'obstétricienne commença à donner ses directives. Ce n'était pas la première fois que je voyais ma petite amie travailler, mais cette fois-ci, je sentais qu'il y avait une différence. J'allais l'assister. Lâchant la main de la future mère, je fis volte-face pour me saisir d'un champ stérile et le mettre en place à la seule place qu'il me restait : le deuxième lit. C'est alors que je me retournais pour apporter mon aide à Addi' que j'entendis un "bip" peu agréable. Un rapide coup d'oeil au monitoring confirma mes doutes et m'informa que le rythme cardiaque du bébé ralentissait. D'une voix ferme, mais néanmoins très douce, Addison expliqua à la mère ce qu'il se passait. Je regardais cette femme allongée sur le lit. Ce jour allait changer son existence. Jamais elle n'oublierait le nom du médecin qui mettrait au monde son enfant. Jamais elle n'oublierait les contractions, la douleur, les mots d'Addison. Elle se trouvait à l'un de ces tournants qui ne vous laissent aucun répit et vous transforment jusqu'à votre dernière expiration. Ce n'était pas la première fois que j'intervenais comme assistant lors d'un accouchement. Je me ressaisis aussitôt, laissant de côté mes pensées philosophiques pour me concentrer sur la situation. D'un placard, je sortis un kit d'accouchement d'urgence. Serviette-éponge, clamps, chlorexhidine, compresses stériles... Tout était là, étalé sur une tablette devant moi, tel que je l'avais disposé. Bien, j'étais prêt à écouter toutes les demandes d'Addison.

L'infirmière connaissait bien son job. Elle conseillait et rassurait à la fois la pauvre mère en souffrance. Le travail avait commencé, et allait certainement s'achever rapidement, puisqu'il allait à une vitesse affolante. Toutefois, le rythme cardiaque du nourrisson continuait de diminuer, et cela n'était pas bon du tout. Je m'approchai d'Addison, jusqu'à me trouver à ses côtés. Je fronçai les sourcils en voyant la tête se profiler entre les mains de ma petite amie. Bien, j'avais craint un instant que le bébé ne se mette en siège, ce qui expliquerait le ralentissement du rythme cardiaque. Heureusement, ce n'était pas le cas. Ces inquiétudes étaient bien vaines puisque de toute manière, le rythme n'avait pas trop chuté. La contraction arriva, et je vis la jeune maman se tordre de douleur et pousser de toutes ses forces. J'étais prêt à réceptionner le bébé, mais surtout à clamper et couper le cordon ombilical. A la fin de la contraction, Addison tenait dans ses mains le nouveau-né. Il ne pleura pas. Il arrive que certains bébés se mettent en apnée. En quelques gestes précis et efficaces, je clampai et coupai le cordon, puis Addi' me confia l'enfant. Je l'enveloppai dans la serviette stérile, puis le déposai sur le lit.

" Allez bébé, dis bonjour. "

Je n'obtenais aucune réaction, tant à la stimulation qu'à la mobilité. Notre tout nouvel ami commençait à prendre une teinte bleutée fort inquiétante. Il ne respirait toujours pas. J'entrepris de lui faire un massage cardiaque. Il fallait agir vite. Instinctivement, j'encourageais à voix basse le nouveau-né. Je ne voulais pas inquiéter la mère. Ce ne devait être qu'une apnée de courte durée. Une manière un peu spéciale de la part du petit enfant de saluer son entrée dans le monde. Heureusement, je sentis la cage thoracique, si fragile, se soulever sous mes doigts, et un cri s'échappa de sa bouche. Le visage reprit des couleurs rosées assez rapidement. Soulagé, je réinspectai le petit garçon. Il réagissait bien, et sa fréquence cardiaque était supérieur à 100. Il s'agitait désormais, et, le recouvrant de la serviette, je l'apportai à la jeune maman.

" Je ne sais pas si vous saviez mais, c'est un garçon, et il est en pleine forme. "

Délicatement, je déposai le nourrisson dans les bras de sa mère qui le fit aussitôt téter, sur les conseils de l'infirmière et de l'obstétricienne. Je souris, attendri face à ce tableau d'amour maternel. Puis je laissai cette petite famille dans l'intimité nécessaire, et je m'approchai d'Addison, après avoir jeté mes gants usagés.

" Beau travail docteur Cooper. Vous méritez que je vous invite à déjeuner. "

Comme par hasard, dès que j'eus terminé ma phrase, la cavalerie composée d'une aide soignante et de deux infirmières débarqua dans la salle.

" Voyez, ma chère Addi', comme la cavalerie n'est jamais à l'heure ! "

Le dossier rempli, les ordres donnés, Addison et moi sortîmes de la pièce où avait eu lieu, quelques minutes auparavant, la naissance d'un être humain, l'arrivée d'un bébé.
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MessageSujet: Re: " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " EmptyJeu 8 Nov 2012 - 22:05

La prochaine contraction arriver comme prévu, la patiente s'avait ce qu'elle devait faire, je lui avait tout bien expliquer, a la contraction elle devait prendre une grande respiration tout bloquer et pousser de toute c'est force car le coeur du bébé . . . était très faible. La jeune femme poussa magnifiquement bien, je la regarde et lui dit tout en souriant :

" C'est très bien se que vous faite Madame Stiles, a mon avis encore une ou deux contraction, grand maximum trois et je pense que votre bébé sera parmis nous, en revanche si lors de la prochaine contraction le bébé le decsant pas je serais dans l'obligation d'utiliser la ventouse, ne vous inquiéter pas ce n'est pas grave, c'est seulement pour aider un peux le bébé car sont coeur et très très fatigué. Attention voilà la contraction, aller y prener une grande respiration ! Bloquer tout héééééééééé Pousser Aller y continuer Posser Pousser . . . "

Incroyable la maman en vouler en une fraction de seconde la tête était de sortie. Je regarda la Maman car a se moment précis de sa vie elle était presque maman. Je lui dit d’arrêter de pousser qu'elle avait bien travailler mais que maintenant c'était a nous de travailler. Il fallait bien que l'on travail a un moment donner quand même. J'avait une main de chaque côter du bébé, je le tourna d'un côter sur l'autre mais très doucement pour faire passer les épaule du nouveau né et c'était une chose réussi, après il fallait faire passer délicatement la bassin du bébé et c'était chose réussi, la nouveau né était magnifique mais, mais bien ou il y avait un mais il ne pleurais pas, donc aucune respiration . . . Je le mis dans les bras de Declan, toujours aucune réaction, on me donner deux clam pour clamper le cordon ombilicale de nouveau né et ensuite pour le couper. . . Mais on n'avait toujours aucune réaction de la par du nouveau né, Declan me regarda et commença a effectuer les gestes pour ramener le bébé, car celui ci commençait a avoir un tien bleu, qui ne me plaiser guerre . . . Mais heureusement au boue de quelques instant la petit garçon commençais a reprendre sa respiration, sont taint commençais a devenir rose, dailleur on pouvait en voir sur mon visage car un magnifique sourire me tener.

Par la suite, comme on entender les petits crie du jeune nouveau né, Declan le déposa dans les bras de la mere, celle ci avait un aire un peu fatiguer, mais sa n'arreter pas la jeune maman car aussi tôt qu'elle eu sont magnifique bébé dans les bras elle le fit téter. C'était magnifique a voir. On avait bien travailler, j'était fiére de ma petite équipe que j'avais. Je pris la paine d'enlevez mais quand souiller, usager pour les mètres dans une poubelle. Puis on laissa la petite enfin nouvelle famille un petit peu tranquille, puis le Docteur Walker, me dit que l'on avait bien travailler et que pour la peine il m'invita a déjeuner, j'était très heureuse je lui dit donc un magifique sourire et je lui dit :

" Oui nous avons bien travailler Dr Walker, et puis c'est avec plaisir que je déjeunerais avec vous! "
Et quelques instant plus tard, comme part hazard la cavalerie arriva, manque de chance pour eux ou non, nous venons juste que finir le travaille et Declan dit que la cavalerie n'était comme on la voyer jamais a l'heure. Je le regarda et lui dit :

" Oui, vous avez bien raison très cher docteur. "
Par la suite je pris la paine de donner mes direction, car il fallait faire les premier soins au nouveau né, et faire les sois de la maman du bébé, puis je pris le temps de remplir les quelques papiers a remplir, pour le dossier, et avec le docteur Walker nous sortons de la chambre.

Je regarde Declan et lui dit avec un magnifique sourit :

" Merci de m'avoir aider, je ne sais pas comment j'aurais fais si non! "
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MessageSujet: Re: " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " EmptyVen 9 Nov 2012 - 14:02

Addison et moi nous entendions très bien. Il y avait une réelle complicité qui s'était établie au fil du temps, et chaque fois que je l'appelais Dr. Cooper et qu'elle m'appelait Dr. Walker, entrant pleinement dans mon jeu, je ne pouvais m'empêcher de sourire. J'adorais ces petits clins d'oeil que nous nous faisions sans autre but que de renforcer le lien qui nous unissait. Une fois que nous fûmes sortis de la chambre N°202, Addi' me remercia avec un sourire réellement craquant. Je le lui rendis en lui disant :

" Y a pas de quoi. C'était un plaisir de t'aider, et voir le sourire d'une mère quand elle tient son bébé pour la première fois, c'est toujours plein de bonheur. Même si le petit bonhomme m'a fait une mauvaise surprise ! "

Je passai une main dans le dos d'Addison pour l'inviter à avancer, pour nous rendre à la cafétéria. J'avais vraiment très faim. Nous prîmes l'ascenseur, jusqu'au troisième étage, où nous pourrions nous restaurer. Une fois à la cafétéria et nos plateaux remplis, je choisis une table, près d'une fenêtre et je m'y assis, attendant Addi'. Elle arriva et s'installa face à moi. Je commençai à manger puis je lui racontai ma matinée.

" Il va falloir se méfier. Les virus sont de sortie... "

Je repensais à mes patients et je remontais les heures jusqu'à mon réveil. Je m'étais senti un peu seul ce matin, et cela faisait plusieurs jours que je retournais la question dans ma tête. Finalement, il y a quelques jours, j'en étais arrivé à cette conclusion : j'allais proposer à Addison de s'installer avec moi. C'était une idée sécurisante aussi, puisque depuis peu, les Warbloods me surveillaient. En vivant aux côtés de ma petite amie, je pouvais mieux la protéger. Et puis, j'avais envie de m'engager un peu plus dans notre relation. Ce qui m'avait retenu de le faire était d'afficher un peu plus, de façon publique, notre couple. C'était une prise de risque, que j'avais considérée à plusieurs reprises et que j'avais décidé de prendre. Je pris une inspiration, profonde, et je regardai Addison dans les yeux en lui disant :

" Il faut que je te parle Addi'. Je pense... je crois qu'on pourrait s'installer ensemble, maintenant. Tu sais, je t'avais parlé de... du gang et... je pense que ce serait plus raisonnable qu'on vive ensemble, pour éviter les ennuis. Et j'me sens prêt à emménager avec toi. Tu en penses quoi ? "

Je mordillais avec anxiété l'intérieur de ma lèvre inférieure. Je voulais qu'elle accepte. Si elle refusait, cela risquait de créer un malaise entre nous et de fragiliser notre complicité. Je tenais réellement à Addison, elle avait prit beaucoup d'importance pour moi. C'est pour cette raison que j'avais peur de sa décision, mais je la respectais tant, que j'étais prêt à attendre s'il fallait qu'elle fasse son choix. Une semaine, deux. Davantage. Pourvu qu'elle en vienne faire ce qui était bon pour elle.

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MessageSujet: Re: " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " EmptyLun 24 Déc 2012 - 16:02

Oui il est vrai de le petit bonhomme avait fais une mauvaise surprise que bien venu . . . Sa c'est exacte, mais bon il fallait dire que tout était rentré dans l'ordre maintenant le petit et sa maman se porter très bien, il était en plaine forme enfin d'un point de vu mental, car physiquement la mère était épuisé elle a donner toute ses forces, elle a épuisé toute ses ressource pour m'être au monde se si jolie petit être humain. De plus Declan me dit qu'il était heureux de m'avoir aider sur cette accouchement. Bien oui c'est pas tout les jours qu'il peux être sur une intervention avec moi. Alors je le regarde et je lui dit :

" Oui moi aussi je suis heureuse d'avoir travailler avec toi. Oui c'est vrai que cette jeune maman avait un magnifique sourire en voyant son bébé. C'était tellement beau. Tellement d'émotion. Enfin bref c'était une superbe matinée "

Nous continuons notre chemin jusqu’à la cafétéria de façon a prendre notre déjeuné tout les deux, Declan passa en premier il remplis sont plateau et alla s'installer sur une table près d'une fenêtre. Je pris dons un plateau a mon tour pris de quoi faire un repas équilibré et disons le plus correcte possible. Une fois mon plateau repas remplis je partis donc rejoindre Declan, ou il avait réservé notre table, bien oui il faut dire que pour le déjeuné il y a foule le midi. Une fois arrivée a la table je posa mon plateau en face de celui de Declan, de façon a communiquer plus facilement. On commença tout les deux a mangée plus Declan me raconta sa journée. Puis il insista légèrement sur le fait qu'il avait eux beaucoup de malade et que les virus était de sortit, et qu'il fallait faire attention je finis ma boucher de salade qui sa trouver dans ma bouche et lui dit :

" Oui comme tu dis il va falloir faire attention. EN plus je ne conte pas être malade, du moins pour l'instant. "


Par la suite je senti que Declan voulais me dire quelques chose, mais je ne savais absolument pas de quoi il sagisser. . . Sur des moment comme celui ci on se pose beaucoup de question on se demande si, il veux mètre fin a notre relation, si il va annoncer un départ qu'il va partir loin de Quantico Enfin plains de question comme celle si. Je ne voulais pas montrais ma peur, mais j'avais vraiment très peur. Et là contre toute attente Declan s'il voulait que je vive avec lui. Sur le coup j'étais complètement rassurer, et heureuse qu'il me demande cela. Alors je regarda Declan tout en souriant, joyeuse et heureuse et lui dit :

" Bien sur avec grand plaisir, j’accepte. C'est la plus belle chose que tu pouvais me demande. Enfin l'une des plus belle. Mais le plus important et que je t'aime. Et que si l'on et ensemble rien ne pourra nous arrivé. "



[HRP: Désolée pour ma réponse tardive! ]


Dernière édition par Addison R.Cooper le Ven 19 Avr 2013 - 21:02, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " EmptyMer 26 Déc 2012 - 19:22

[ Aucun problème, t'en fais pas Wink ]

Son sourire fut comme un baume sur mes doutes. Apaisant mes terreurs, chassant ce que le gang avait implanté en moi. Plus besoin de me cacher. De nous cacher de leurs yeux. Elle acceptait que nous vivions ensemble. " Ensemble rien ne pourra nous arriver ". Elle avait raison, je le croyais avec ferveur et intensité. Je sentais mon coeur battre. J'étais empli de toute la vie qu'elle mettait en moi par ses simples paroles. Je cessai instantanément de malmener mes lèvres que je rongeais de mes dents, pour afficher un sourire magnifique. Addison me rendait heureux. Malgré tout, mon passé, mes embrouilles, mon caractère parfois difficile, elle m'aimait. Et je crois que jamais je n'aurais pu me passer d'elle une seule journée. C'était, je le découvrais enfin, la femme qui donnait les pulsations à mon coeur. Ma main saisit celle d'Addi'. Mes yeux n'avaient pas quitté les siens. Je ne savais pas quoi dire après les mots doux et joyeux de ma petite amie, qui résonnaient encore dans ma tête à la manière du tintement léger de petits grelots. Qui résonnent, et qui résonnent, et leur écho restait là. Habitant le vide.

Je finis mon repas à la manière de la foudre qui trouve un arbre et l'abat avec vitesse et précision. Je pensais à vive allure. Tout tournoyait l'intérieur de moi et j'avais du mal à fixer mes idées. Beaucoup de notions surgissaient, les unes pardessus les autres, avec toute leur complexité. Nous pourrions prendre mon appartement. Non, le sien est plus grand et moins loin de l'hôpital. Et pourquoi ne pas en chercher un à nous ? Cela serait peut-être plus simple. Et nos meubles ? Tout garder ? Tout racheter ? Et comment Addison s'organisait-elle pour le ménage ? Aimai-t-elle les baies vitrées ? Une maison, ou un appartement ? Je pourrais louer le mien, ça me ferait une petite source de revenus supplémentaires. Je bus quelques gorgées de ma boisson et jetai un regard à Addi'. Se posait-elle les mêmes questions que moi ? Je décidai de prendre les choses dans l'ordre et de voir tout cela avec elle :

" On pourrait chercher un nouvel appartement. Je regarde les annonces de temps en temps et j'en ai repéré deux ou trois assez sympas et pas loin de l'hôpital ! "

Je regardais ma petite amie faire disparaître son repas. Je crois qu'il y avait de la douceur, mais surtout de l'amour dans mes yeux. Je me voulais protecteur avec elle, bienveillant. Mais la plupart du temps, c'était elle qui veillait sur moi ! Une légère vibration suivie d'un bip sonore m'éveilla de ce doux songe. Mon bipeur. Je l'observais afin de découvrir ce qu'on me voulait, marquant une pause dans la discussion que je menais avec Addison. Le sien ne devrait d'ailleurs pas tarder à sonner, puisque c'était le petit nouveau de madame Stiles qui battait de l'aile...
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MessageSujet: Re: " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " EmptyVen 19 Avr 2013 - 21:01

Tout aller pour le mieux dans la petite vie de la jeune femme. Dans sont travaille tout aller pour le mieux elle venait juste a l'instant de faire un magnifique accouchement, avec une petite frailleur mais seulement quelques instant plus tard tout était rentré dans l'ordre plus aucune problème. En plus Declan était arriver a sont secoure pour l'aide.

Tous deux était maintenant dans la café de l’hôpital afin de manger tout les deux. Il aimer beaucoup se retrouver tout les deux pour mangé le repas quand il sont au travaille sa ne se faisait pas si fréquemment que sa mais des que tout les deux avait un créneau ou l'occasion d'avoir le même heures de pose.

Quelques temps après que tout les deux et commencer a manger Declan lui avait demander si la jeune femme voulais vivre avec lui et bien sûr celle-ci accepta. Elle était tellement heureuse avec lui. Le vie était magnifique a ses côté maintenant elle ne rêver que d'une seul et unique chose c'est de se réveiller au côté de Declan se qui allait bientôt pouvoir se réaliser car celui-ci lui proposer justement de chercher un appartement pas très loin de l'hôpital et ou il pourrait habité ensemble. Le rêve c'était le rêve pour la jeune femme. Comme sa elle n’aurait plus a s'inquiéter quand Déclan ne dort pas avec elle car dorénavant il aller tout le temps dormir avec lui.

Alors elle lui dit en souriant :


"Oui sa me convient très bien du moment que je suis avec toi et qu'il et pas loin de l'hôpital. Moi tous se que je veux c'est être a tes côtés, me réveiller tout les matin sur ton épaule. Te sentir prés de moi quoi. "

Alors que tout les deux était encore en plaine discutions le bipeur de la jeune femme se mis a biper. Elle regarda se qu'il avait d'écrit c'est la néonat' Le petit de Madame Still faisait encore ses siennes. La jeune femme regarda Declan et lui dit :

"Désolée mais le devoir m'appel. C'est la petit de Madame Still a moins que tu m'accompagnes?"


[HS: Désolée c'est court... Mais je vais me ratrappé a mon prochain poste....]
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MessageSujet: Re: " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " " ... la cavalerie ne va pas tarder, madame Stiles ! " EmptyDim 12 Mai 2013 - 10:32

Je n'avais pas cessé de regarder Addison pendant que je lui expliquais ce que je désirais le plus au monde. Son sourire. Ses yeux s'étaient allumés d'une petite lumière. Je savais rien qu'à voir son visage qu'elle voulait elle aussi qu'on emménage ensemble. J'étais sincérement heureux, mais comme à mon habitude, cela ne transparaissait qu'à travers un franc sourire. J'avais tendance à ne pas me jeter trop vite sur le bonheur. C'était ainsi. Mais ce que je ressentais était si complet. je lui montrai l'une des annonces que j'avais vues dans un magazine immobilier et qui trainait dans la poche de ma blouse depuis une semaine. A dix minutes de l'hôpital à pied, lumineux, centre ville, et...

Mon bipeur sonna. Et le sien aussi. Addison releva les yeux vers moi et m'expliqua qu'elle avait reçu une urgence pour le bébé de Madame Stiles.

" Bien sûr que je t'accompagne ! "

J'avais moi aussi reçu le message. Et ce genre d'urgence n'a pas lieu pour aller simplement changer une couche. Je me levai et suivi Addison jusqu'à la chambre où nous avions laissé notre maman et son jeune prématuré. Une infirmière et un interne s'affairaient autour de la couveuse. Des complications. Je leur demandai ce qu'il se passait d'un ton peut-être un peu trop impératif, mais j'avais horreur des complications sur ce genre de patients. Je m'approchai du bébé et vis qu'ils essayaient de l'intuber.

" Il ne respire presque plus, ça fait cinq minutes qu'on essaie de l'intuber. Y a rien à faire ! "

Je levai les yeux vers Addison. C'était elle la spécialiste des bébés, prématurés, en difficulté ou en bonne santé.

" A toi l'intubation, je t'assiste. "


Je me plaçai de côté et immobilisai le jeune bébé. Il était si petit. Pourvu qu'Addi' parvienne à l'intuber. Et que son cerveau n'aie pas été atteint ! La mère, quant à elle, priait, implorait qu'on sauve son enfant. Nous allions tout mettre en oeuvre pour répondre à ses prières.
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