Un sourire angélique, une belle gueule, plutôt grande, mince, voilà comment on me décrit. Le vrai cliché de la pom-pom girl. Mais en fait, non ce n’est pas vraiment ça. Oui, j’ai la gueule qui le fait penser et alors ? Je ne pense pas être trop moche, voir pas du tout et je souris beaucoup, ça c’est pour le côté gentille fille qui aime tout le monde. Mes tailleurs mettent mes formes en valeur, mes jeans, me donnent un côté décontracté tout en restant sexy. Je n’aime pas trop faire camionneur, quand tu fais partie du FBI t’es obligé d’avoir un minimum de classe. Donc on va dire que le portefeuille de maman papa m’aide beaucoup pour mes fringues. J’aime bien souligner mes yeux claires d’un coup de crayon, mais jamais bien plus ça fait vulgaire et ressembler à une poupée pot de peinture n’est pas du tout dans mes attentions. Souvent le regard des garçons se tournent en ma direction, mais ne dit-on pas qu’il ne fait jamais se fier aux apparences ? Je ne suis pas ce genre de fille facile. J’aime faire la fête et alors ? Donc oui, on peut me trouver à son goût, mais tu vas vite comprendre qui je suis. Laisses-moi te compter la suite… : Description psychologique
Je suis intelligente. C’est la première facette de ma personnalité. Intelligente, oui, surement de trop. Un petit génie ? Je n’aime pas vraiment ce terme, mais disons que j’ai la mémoire absolue, une mémoire visuelle et auditive. Pour tout dire un QI de 165. Je suis capable de lire un livre aussi rapidement que toi, quand tu lis une nouvelle de dix pages, tu me suis ? Mais malgré mon étiquette de la première de la classe, je ne suis en rien la fille coincée et introvertie. Non. Je sors beaucoup avec mes amis, j’aime faire la fête, sourire, la boisson, fumer, parfois je fume un peu trop ça va finir par me tuer je sais. Attention, pas de drogue, ça me couterait ma place. Je ne suis pas folle et inconsciente non plus. Mais qu’avec des amis. Pour ce qui est des hommes, je pense que la oui, on peut le dire, j’ai un ballait dans le cul. Sans paraitre vulgaire, c’est tellement vrai. J’aime malgré tout passer mon temps la tête dans mes bouquins, à apprendre, encore et encore plus. J’aime avoir raison, trouver les réponses à tous. Je sais que j’en suis capable. Donc je me torture l’esprit. On me dit tout le temps que je connais tous sur tous. Non ce n’est pas vrai, la connaissance absolue ça reste utopique. Je me souviens juste de tous. Parfois ça peut être une bonne qualité. Pas besoin d’agenda… J’ai des amis qui me demandent souvent comment je fais pour tenir la distance. Il peut m’arriver de faire la fête, de prendre une cuite, de ne pas dormir et d’arriver complètement fraiche au FBI. Je pense que le cerveau restera toujours quelques chose de complexe mais de passionnant, tout ce passe dans la tête. Je suis quelqu’un de relativement sérieuse et passionné par ce que je fais. Et pour le moment, mes études reste le plus important. Je fais tout ça car je sais que j’arrive à suivre. Mais une fois ma plaque et mon arme en poche, je pense qu’il faudrait que je songe sérieusement à revoir mes occupations et mes priorités. :
Manie(s) : Je fais tout le temps tourner mon stylo entre mes doigts, c'est nerveux. Quand je réfléchis j'ai une fâcheuse tendance à froncer les sourcils et à me mordre les lèvres quand je ne trouve pas une solution.
Tenue vestimentaire : Décrite dans le physique. Mais je porte souvent des vêtements simples. Le tailleur quand je n'ai guère le choix, mais ce n'est pas mon truc.
Piercing / Tatouages : Non
Liens affectifs et relations
Je suis quelqu'un de très sociable. Le genre de personne qui compte ses connaissances par un nombre plus qu'improbable. Je peux aller dans un bar, sans forcément connaitre des gens et en ressortir avec des tas d'amis. Pourtant, malgré que je sois rarement seule, mes amis se comptent sur le nombre de deux. Maxime et Ellen. Des vieux amis de lycée. Un qui a fini journaliste, l'autre, qui étudie au seins de la police scientifique.Pour ce qui est de ma situation sentimental, tu me crois si je te dis que je suis encore vierge ? Tu peux. Je ne suis pas bien intéressée par les garçons, je veux juste rencontrer quelqu'un comme moi, faire une partie d'échec avec lui sans forcément gagner, lui parler de la théorie de la chute des trois corps sans que l'on me regarde de travers, lui parler des auteurs quasi inconnues en citant des passages précis de ses œuvres, en débattant sur celui qui a raison ou non. Bref, je me dis que cet homme-là est bien quelques pars. Je suis du genre à savoir ce que je veux. :
History ~
Il y a quatre ans…
« Quelqu’un reconnait ces visages ? »
Un sourire s’affiche sur mon visage, je ne peux m’empêcher de répondre du tac au tac, sans même laisser une chance aux autres étudiants.
« Les victimes du tueur du sentier. »
Sans même me lancer un regard, je laisse l’agent Gideon continuer son cour. Le regardant avec un brin de fascination.
« C’est comme ça que les journaux de virginie l’appellent. Nous, on se refaire à lui comme un sujet inconnu. J’ai dit à la police de Virginie On cherche un homme blanc d’une vingtaine d’années, qui possède un camion de marque américaine en mauvais état. Ayant un job minable. Je leur ai dit, quand vous le trouverez, ne soyez pas surpris de l’entendre parler avec un bégaiement aigu. »
« Je ne voudrais pas paraitre sceptique, mais un bégaiement, tout de même… »
Penchée sur ma feuille, je grimace quand je vois l’une de mes camarades l’arrêter pour poser une question que je qualifierais moi-même comme inutile. Les yeux rivés sur le tableaux, les photos défilent dans ma tête d’une manière rapide. Lieux isolé, personne aux alentours, cet homme souffre de manque de confiance en sois, il veut se cacher, il doit avoir honte de quelque chose. Mais je ne dis rien. Jason Gideon se contente de me donner raison, sans même le savoir :
« Où est-ce que les meurtres on eu lieux ? Sur des chemin de randonné, isolés. Si je suis un tueur qui doit imposer une dominance immédiatement, même au milieu de nulle part, je manque de confiance. Je ne peux pas les entrainer dans ma voiture comme Ted Bundy. Je ne peux pas parce que j’ai honte de quelques chose… »
Deuxième interruption. Je lève les yeux de nouveaux en soupirant. Je crois que le cour est fini. Dans quelques temps, se sera à moi de faire mes preuves devant un jury… M’accordant oui ou non, ma place en tant que « bleu », pouvant ainsi passer plus de temps au département que dans une salle de cour. Ce moment, je l’attendais et je savais que je serais prête…
Maintenant.
« Je lève mon verre à ma réussite ! »
D’une traite je m’enquille le verre de tequila qui se trouvait devant moi, sans même grimacer. Ce soir j’ai le cœur lège et la conscience tranquille. J’ai vaincu, je passe enfin en dernière année. Je peux aller sur le terrain, étudier, comprendre, voir, savoir. Je crois qu’il n’y a rien qui ne peut égaler le bonheur que je ressens à ce même moment. Aujourd’hui fut une journée éprouvante. Je ne sais pas pourquoi, je me souviens de ce qu’il m’a mené ici. Cela fait bizarre, c’est une chose plutôt étrange. Il y a deux sortes de victimes. Ceux qui partent du côté du bien, et d’autre, qui deviennent exactement comme leur agresseur. Je crois que j’ai choisi le bon côté de la chose. Quand je lève mon bras une seconde fois ma manche glisse un peu le long de mon poignet, dévoilant cette marque qui ne me quittera jamais. Ces initial qui ne faisaient que me rabaisser comme sa chienne. Mais pourtant qui me gardent si forte et si persévérante dans ce que je veux entretenir. Et qui me font comprendre pourquoi je fais ça maintenant, et pas autre chose.
1993 :
« Terry ! Terry ! Excusez-moi, vous n’aurez pas vu ma fille ? Brune, six ans, elle porte une robe bleue claire et un ruban jaune dans les cheveux ? Terry ! Non pitié. Terry ! »
Les yeux d’un enfant, reflet de l’innocence, la naïveté à l’état pure. Le coup du bombons, réellement cliché, mais tellement pratique pour attirer le regard d’une petite fille de six ans. On ne sait pas vraiment ce que l’on fait, la seule chose est que l’on se contente de suivre cet inconnu, de monter dans la voiture et de lui demander le bombons avant de retourner vers sa mère. Mais bien entendu, il n’y a ni bombons, ni retour. Rien juste le néant, une nouvelle vie, un enfer. La voiture démarre et on commence à pleurer, mais l’homme vous rassure, pause une main délicate sur cette petite tête, caressant les cheveux, lui disant que tout va bien se passer. On demande sa maman, mais non, elle ne vient pas. Ne répond pas et on ignore qu’elle est en train d’hurler son nom dans le magasin. Cinq secondes, peut-être six sont suffisantes pour perdre son enfant de vu et ne plus jamais le revoir. Quand on arrive à destination on se retrouve dans une chambre minable, un lit aux ressorts usés, il grince, les murs sont gris, il n’y a ni poupée, ni fenêtre, ni ruban rose, ni papier peint avec des fleurs. Le regard se fige, on pleure encore plus, à six ans, la mémoire et formée, à six ans, on sait que ce n’est pas ses parents, on sait que l’on n’est pas chez-soi, mais on n’est incapable de savoir, de comprendre ce que l’on fait ici et qui est cet homme, ainsi que, ce qu’il nous veut…
Trois semaines, peut-être quatre passent, sans rien, pas de nouvelle de sa mère, de son père, rien. Juste cet homme étrange qui nous donne un repas par jour, un verre d’eau matin et soir. On maigrie, on a faim, mais plus le temps passe et plus on s’habitue. Un jour cet homme étrange vient, et nous dit que l’on est lié pour la vie, que jamais rien ne pourra nous séparer. Alors on tremble, on pleure, on a peur, mais on ne dit rien. On se contente de hurler quand il pose ce fer rouge sur l’avant bras. Ca fait mal, c’est douloureux, mais il n’y a jamais rien pire que la torture moral. Marqué à vie, ne jamais oublier. Il était intelligent, savait que même si on venait la retrouver, elle ne pourra jamais l’oublier. Jamais.
Quatre ans passent. Pourtant il ne nous touche pas, non, il se contente de nous garder, de nous traiter comme sa petite princesse. Rien. Quatre ans et on a toujours pas revu le jour. On a oublié l’odeur des fleurs, la sensation de courir pieds nus dans l’herbe humide le matin, la saveur d’une glace, l’odeur d’un bon bain chaud, la sensation de l’amour. Oui il nous en donne, mais ce n’est pas un amour paternel, rien. Ce que l’on éprouve pour lui, de la haine, du mépris, de la peur. On ne sait pas quand ce cauchemar va se terminer. On a toujours pas oublier sa mère, ni son père, mais on ne sait plus trop d’où l’on vient. On se demande encore si ils viendront un jour nous chercher. On garde espoir, sans même en avoir. C’est la seule chose qui nous reste ici. Quatre ans, c’est bien suffisant pour tuer une innocence, mais pourtant. C’est le temps qu’ils ont mit pour me retrouver. Il s’appeler Nathan Guilmoor, pédophile, passé sale, comme la majorité de ces êtres. Violé à son enfance, battu, il a tourné du mauvais côté. Pourtant, il ne m’a jamais touché. Je ne suis pas seule dans ce cas là. Nous sommes plusieurs, et d’autre n’ont pas eu la même chance que moi…
1999 :
Je peux enfin aller à l’école. Durant deux ans, ce ne fut que de la surprotection. Je vais bien, je pense. Je ne parle pas beaucoup, mais je reprends de plus en plus confiance en moi. Je n’ai jamais connu l’école, mais aussi étrange que cela puisse paraitre, en deux ans j’ai rattrapé tout mon retard, j’en sais surement même plus que les autres élèves et je ne comprends pas pourquoi. Mettre le pied à l’école pour la première fois à douze ans, ca fait mal, c’est douloureux, mais on fait avec, on a pas le choix. Je n’ai pas eu le choix. Sur le coup on me regarde comme la nouvelle, me demandant d’où je viens. Je réponds de nulle part. Je ne veux pas me souvenir, je ne veux rien savoir. Un bandana enroule mon avant bras, cachant cette marque que je ne peux enlever. Les professeurs connaissent mon passé et l’on me regarde comme la pauvre petite fille, la victime. Je n’aime pas ça. Alors je comprends. Je me fais rapidement des amis, tentant de retrouver le sourire, aussi rapidement possible. Je ne suis pas une victime. Je suis une parmi tant d’autre, j’aimerais tellement qu’ils comprennent. Je ne suis pas à blâmer. Non, loin de là. Ca aurait pu arriver à sa fille, à la petite qui habite au coin de la rue, à n’importe qui. Ca ne m’est pas arrivé parce que je m’appelle Terry Klarkson, non, loin de là, sinon, ils n’auront pas retrouvé ces quatre squelettes sous son planché. Je ne fus pas la seule. Et je ne suis pas la dernière, je le sais. Et je sais aussi que je me bâterais, pour leur prouvé que toute victime ne deviennent pas criminel, pas comme lui…
La veille :
« Mademoiselle Klarkson, vous êtes prête ? »
J’inspire un bon coup, aujourd’hui c’est la chance de ma vie. Je réussi ou je foire, foirer voudrait dire que tout le travail que j’ai commencé ne mènerait nulle part. Je n’est pas le choix. Je dois vaincre. Montant sur l’estrade, allumant le vidéoprojecteur, je commence ma thèse. Une enquête imaginaire, un tueur fictif, mais un profil que j’ai dû tenter de comprendre, pour voir, si je suis capable ou non, de passer l’étape et d’aller enfin sur le terrain. Je jette un coup d’œil rapide sur les autres élèves qui se trouvent devant moi. Me jugeant, me trouvant trop jeune. Ils ont tous entre vingt-sept et trente ans, si ce n’est plus. Mais autant te dire que je m’en tamponne le coquillard comme l’an quarante. Je prends une inspiration, laissant enfin filer les mots d’entre mes lèvres…
« Sarah Palmer, la première victime. Dix ans à peine. Retrouvée allongé sur son lit, le torse ouvert. Les marques laissent à penser à des griffures, comme si un chien l’avait attaqué ou l’on ne sait quoi. Les traces de sang, si l’on regarde bien ne semblent comme effacées, il est indiqué dans le dossier que la scientifique à retrouvé des traces de salive sur le corps. On a bu son sang. Il est évident que cet homme est donc un anthropophage. Pour Richard Trenton Chase, plus connu sous le nom du tueur vampire, il buvait le sang de ses victimes, pensant que des aliènes buvait son propre sang. Au premier abord j’ai pansé que cela pouvait être ce genre de criminel. Un sociopathe, paranoïaque. Mais les prochaines victimes m’ont menées autre part. Martin Landry, retrouvé mort le crâne fracassé, rien à voir, Samuel Decass, noyé. Des crimes qui ne se ressemblent en rien. Alors pourquoi faire le lien me diriez-vous ? Pour la phrase laissée sur la première scène de crime.. : « C’est peut-être la haine que tu veux que j’invoque dans le commencement de cet œuvre… ». Quand on connais l’œuvre, on connait la réponse. Le compte de Lautréamont, ou appeler aussi Maldoror. Ce n’est qu’une légende écrite par Isidor Ducasse, dans son recueille, il y décrit la vie d’un homme, sanguinaire, psychopathe, se prenant pour un vampire, capable des pires atrocitées. Des crimes, comme le fait notre homme. Les mêmes. Tous cités à un endroit dans ces six-cent-quarante-cinq pages. Ce qui me laisse à croire que cet homme est cultivé, méticuleux et doit surement souffrir du syndrome de Narcisse à un point que vous ne pouvez imaginer. Nous recherchons donc un homme, âgé dans la quarantaine. Je ne ferais pas une fourchette plus large, car j’en suis persuadée. Surement professeur de littérature à l’université, ou bibliothécaire, cherchez dans les domaines de la littérature. Il est surement souvent accompagné, il a confiance en soit, il n’est pas timide, il aime se montrer, qu’on le regarde, qu’on sache qui il est. Il veut que l’on se souvienne de lui. « J’établerais en quelques lignes comment Maldoror fut bon, voilà, ceci est fait. » S’il ce compare réellement à Maldoror, cet homme est faut, il a dû avoir un passé sale, il a surement dû commettre ses premiers crimes durant son enfance, sur des animaux, passant des insectes à des sujets plus gros. Cherchez dans les dossier psychiatrique. Il y a surement quelques chose à trouver là-dedans… »
Aujourd’hui.
Je revois le directeur, me regarder, hocher de la tête. Je n’avais rien oublié malgré la complexité de l’enquête. Demain, j’entre en dernière année et je suis prête à entrer sur le terrain et pratiquer avec l’agent le plus réputé, Aaron Hotchner…
Dernière édition par Terry Klarkson le Dim 20 Fév 2011 - 1:49, édité 5 fois
“  Invité  ” Invité
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Sujet: Re: Terry Klarkson (UC) Sam 19 Fév 2011 - 10:27
Hello, hello
Bienvenue parmi nous, j'espère que tu te plairas parmi nous & que tu t'amuseras bien ici, même si, pour cela, je ne pense pas qu'il y ai de réels problèmes. Comme tu t'y connais, je ne pense pas qu'il n'y en aura besoin, mais si jamais tu as des questions à poser, tu peux t'adresser à J. Jareau, A. Hotchner, A. Seaver ou bien moi-même, nous tâcherons d'y répondre au mieux. Je te rajoute au groupe apprentice profiler et lorsque tu auras fini ta fiche, je ferai ton appartement Il manque l'année de naissance par contre (:
Bonne continuation pour ta fiche & bon jeu (;
“  Invité  ” Invité
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Sujet: Re: Terry Klarkson (UC) Sam 19 Fév 2011 - 12:08
YATAAAAAA SOPHIA BUUUUUSH ( en parlant d'elle, j'ai regardée un épisode des frères scott, hier et elle était sublime dedant *O* )
Welcome ! J'espère pouvoir RP avec toi Et Tasha à tout dit donc ...! =D
“  Aaron Hotchner  ” Supervisory Special Agent (SSA)
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▌Messages : 2908 ▌Date d'inscription : 10/12/2010 ▌Métier : Chef d'équipe au BAU ▌Avatar : Thomas Gibson
Sujet: Re: Terry Klarkson (UC) Sam 19 Fév 2011 - 13:15
Bonjour et bienvenue sur le forum !!
Natasha a tout dit, donc je 'ai plus qu'à te souhaiter bon courage pour terminer ta fiche et surtout bon RP parmi nous, au plaisir de te lire
“  Invité  ” Invité
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Sujet: Re: Terry Klarkson (UC) Sam 19 Fév 2011 - 13:45
Bienvenue ! Très bon choix d'avatar ^^
“  Derek Morgan  ” Supervisory Special Agent (SSA)