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Qui a dit que j'avais besoin d'un psy ? [Gillian]

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MessageSujet: Qui a dit que j'avais besoin d'un psy ? [Gillian] Qui a dit que j'avais besoin d'un psy ? [Gillian] EmptyMar 17 Sep 2013 - 18:27

Qui a dit que j'avais besoin d'un psy ?

Le Japon, mon pays d'origine, je l'affectionne beaucoup et il me manque un petit peu. Ce qui me manque surtout, c'est toutes les pratiques que nous avions. En général, nous réglons les problèmes entre nous, la police a rarement besoin de s'occuper de nous à part si nous sommes de très grands criminels. C'est simple, si quelqu'un fait quelque chose de mal, il y aura forcément quelqu'un d'autre pour le tuer. Le meilleur, c'est quand tu fais partie de la Mafia, comme moi grâce à mon père, personne ne vient t'embêter et les flics ne veulent pas trop se confronter avec ceux qui t'entourent sous peine de mourir. Mais ce n'est pas pour autant que mon père m'a envoyé dans un autre pays. C'est à cause de lui que je suis ici, il a eut peur que les flics ne me trouvent et me mettent en prison. Ce n'est pas mieux car du coup, j'ai été en prison aux États-Unis.

Et quelle prison de dingue. Je n'ai jamais vu des gens aussi fou furieux que dans cette prison de cinglés. Que des personnes qui ne supportent pas du tout les violeurs comme moi et qui vous le font bien comprendre tout au long des cinq années que j'ai passé là-bas. Un truc de malade, ils sont tous fous là-bas, je me suis fait frappé, cracher dessus, hurler dessus et même violé dans les douches. Si ce n'est pas malheureux de se faire traiter ainsi en prison. Au moins, si j'avais été en prison au Japon, jamais cela ne me serait arrivé. Tout le monde me connaît et tout le monde sait que je suis le fils du boss de la Mafia. Personne ne m'aurait traité comme ça sous peine de mourir. Mais ici, que voulez-vous que je face ? A part me faire tout petit, je n'ai rein trouvé de mieux.

Le pire c'est à ma sortie, j'ai eut beaucoup de rendez-vous avec les avocats de pleins de gens, des femmes que j'avais agressé, même si elles étaient mortes, leurs familles ne voulaient pas que je sorte de prison. Donc même en dehors, je m'étais encore fait agressé verbalement par toutes ces familles énervées, et même part d'autres familles dont je ne connaissais pas l'existence. Mais c'était la solidarité apparemment, enfin, c'est comme ça qu'ils appellent ça.

Puis un jour, un autre papier dans ma boîte aux lettres, un papier d'un autre genre. Ce dernier m'indiquait le lieu et la date à laquelle j'avais rendez-vous... chez le psychologue ? C'est quoi cette blague. Sur cette lettre, il était écrit que c'était la procédure à respecter si je voulais rester hors de la prison assez longtemps. Je devais y aller pour m'expliquer et indiquer pourquoi je faisais tout ça. Encore une chose que nous n'avons pas chez nous au Japon, ce truc est complétement débile. C'est quand même incroyable de demander une chose pareil à quelqu'un. Comment peuvent-ils penser que j'ai besoin d'un psychologue ? C'est dingue. Bon pas grave après tout, j'ai juste à m'y rendre, à parler un petit peu à ce bonhomme et tout ira très bien. Ensuite je serais enfin libre de mes mouvements car en plus, pendant un certains temps, je me tape quelqu'un sur le dos qui surveille tous mes mouvements. Jamais ça ne me serait arrivé au Japon, surtout pas à moi qui suis le fils de la Mafia.

J'arrive donc à mon rendez-vous très tôt le matin. Je pense que je suis le premier rendez-vous de la journée de ce psychologue. Un policier m'indique le bureau dans lequel je dois aller et je décide de rentrer. Il n'y a encore personne, tant mieux. Comme ça je peux inspecter les lieux et me préparer mentalement à ce rendez-vous. Pour venir, je me suis quand même habillé en costard cravate noir, c'est mon père qui m'a dit de toujours être présentable même pour un rendez-vous dont je n'ai pas envie. Ma chemise est blanche et mes chaussures sont de simple chaussures de ville noires. J'ai tout acheté hier car je n'avais rien de prévu pour une telle occasion. Je décide alors de rester debout au milieu de la pièce en attendant le psychologue avec qui j'ai rendez-vous.

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MessageSujet: Re: Qui a dit que j'avais besoin d'un psy ? [Gillian] Qui a dit que j'avais besoin d'un psy ? [Gillian] EmptySam 28 Sep 2013 - 19:07

Encore une fois, il avait fallu que ça tombe sur elle ! Elle n’arrivait pas à croire qu’une fois encore on lui refile un délinquant sexuel, et qui plus est un violeur en série. Certes, elle savait bien que le FBI ne lui envoyait pas exclusivement ce genre de détraqués. Personne n’en voulait mais il fallait bien les traiter, donc la hiérarchie faisait en sorte de répartir équitablement les violeurs sur l’ensemble de ses psychologues. C’était toute une organisation qui avait soulevé bien des débats, mais une fois encore, Gillian pensait qu’il n’était pas normal qu’on envoie ces bêtes aux femmes. Pourquoi les hommes ne pouvaient pas en avoir l’exclusivité ? Ils risquaient bien moins leur vie et leur honneur à ce petit jeu…
Le patient du jour s’appelait Takashi Mori, un jeune expatrié japonais dont plusieurs femmes avaient eu le malheur de croiser la route. Comme son dossier l’indiquait, il était le fils d’un grand nom de la mafia japonaise mais cela ne l’avait pas empêché de se faire incarcérer. Ainsi donc, Gillian devait le suivre une fois par semaine pour surveiller son comportement ? C’était de la folie. C’était comme agiter un bout de viande sous le nez d’un chien tenu en laisse : un jour ou l’autre, la laisse finit par casser. Ce n’était pas le premier délinquant sexuel qu’elle traitait et pourtant c’était toujours la même terreur lorsqu’elle franchissait les portes de son bureau. Elle avait beau savoir qu’elle était entourée d’agents armés, elle avait toujours de mauvais pressentiments… Après avoir passé une bien mauvaise nuit, Gillian se leva et suivit sa routine matinale jusqu’au choix crucial de ses vêtements. Elle n’avait pas droit à l’erreur, il fallait porter quelque chose de sobre et qui ne mettait pas trop son corps en valeur. Malheureusement, elle ne pouvait pas se pointer habillée n’importe comment au FBI, elle choisit donc un pantalon de tailleur noir avec une veste assortie ainsi qu’une chemise claire qu’elle boutonna soigneusement jusqu’en haut. Après un dernier coup d’œil à son reflet, elle sortit de chez elle, prit sa voiture et se mit en route.

Cet homme était son premier patient de la matinée, de quoi foutre en l’air toute une journée. Elle arriva dans son bureau assez tôt pour pouvoir s’installer avant son arrivée. Tranquillement assise dans son fauteuil, elle était en train de relire son dossier quand le téléphone sonna. Son supérieur lui demandait de venir récupérer un formulaire dans son bureau. Excédée, Gillian se leva et y alla de mauvaise grâce. L’aller-retour ne lui prit qu’une poignée de minutes, mais quand elle poussa la porte de son bureau, un jeune homme en costume se tenait au milieu de la pièce. C’était lui, à n’en pas douter. Gillian en eut un frisson mais elle fit en sorte de ne rien laisser paraître. Elle décida de ne pas commencer sur un ton agressif ou sur la défensive, le plus neutre était de mise.

- Bonjour, je suis le docteur Foster. Vous devez être monsieur Mori ?

Même si son ton était courtois, elle ne lui serra pas la main. Elle refusait tout bonnement d’avoir même le plus insignifiant contact physique avec les criminels d’ordre sexuel. Elle nota cependant que pour le moment, il n’avait pas de traces d’agressivité dans ses micro-expressions et qu’il avait fait l’effort de s’habiller de manière convenable pour ce rendez-vous. Ce n’était pas le cas de tous les détraqués qu’elle avait vu défiler dans son bureau. D’un geste de la main, elle l’invita à prendre place dans le canapé qui faisait face à son fauteuil à elle. Avant de se lancer dans cette introspection, elle pria une dernière fois pour que tout se passe bien.
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MessageSujet: Re: Qui a dit que j'avais besoin d'un psy ? [Gillian] Qui a dit que j'avais besoin d'un psy ? [Gillian] EmptyDim 29 Sep 2013 - 0:31

Qui a dit que j'avais besoin d'un psy ?

Lorsque j'avais pris ma douche ce matin, lorsque j'avais décidé de m'habiller convenablement, lorsque j'avais décidé d'enfin me rendre à ce débile rendez-vous chez le psychologue, lorsque j'avais lu cette lettre horrible qui m'ordonnait de venir au rendez-vous... Personne ne m'avait dit et je ne m'étais même pas posé la question une seule fois d'ailleurs. Que mon psychologue était enfaite une femme. C'était un truc de malade. Comment avaient-ils pu penser ces gros débiles de policiers ou de je ne sais pas qui, qu'il fallait me mettre une femme comme psychologue. Mais c'était vraiment un gros inconscient qui avait fait ce geste. C'était quoi ça encore, un test c'est ça ? Non mais sérieusement, y-a-t-il des personnes qui utilisent leur cerveau dans ce monde de la justice ? Ce n'était pas mon avis.

C'était une chose horrible, mon cœur s'était mit à battre à cent kilomètres heure. Le seul mot que je venais de comprendre dans sa phrase, c'était "Bonjours". C'était bien le seul mot que je pouvais me permettre de comprendre. Me voila à ma cinquième année d'abstinence sexuelle et la première chose qu'ils pensent à faire, c'est de me mettre une psychologue au lieu d'un. Je pense sérieusement qu'ils ont fait exprès afin de pouvoir me tester et me renvoyer tout de suite d'où je viens... La prison. Cette fois, ceux qui ont fait ce geste veulent que je face une peine de prison à vie voir pire, la peine de mort.

J'avais pourtant fait un effort, je m'étais bien habillé, en plus j'étais venu au rendez-vous avec une ou deux minutes d'avance pour ne pas paraître pour le débile qui n'a ni montre ni portable pour avoir l'heure. J'avais tout préparé pour que tout soit parfait. Une bonne douche, je m'étais rasé, j'avais acheté un beau costume, des belles chaussures qui vont avec. Je m'étais même coiffé et légèrement parfumé pour ne pas agresser le nez de la personne que j'allais avoir en face de moi. Mais, si j'avais su que ce serait une femme, tout se serait passé autrement. Je me serais déjà habillé comme ça, mais j'aurais choisit un meilleur parfum et une meilleure coupe de cheveux car une vulgaire crête c'est pas terrible.

Ce signe de main venant de la part de ma nouvelle psychologue me fait sortir de mes pensées. J'allais presque la déshabiller du regard quand elle me montra le canapé. Hors de question que ma séance de psy se passe comme dans les films. Je me couche sur le canapé et je raconte ma vie pendant que le psychologue écrit et hoche la tête en signe de compassion. Je reste donc debout au milieu de la pièce car je n'ai pas encore exprimé mon mécontentement face à cette situation déplaisante.

Tout ce que je sais d'elle, c'est que son nom de famille est Foster, qu'elle est assez jolie pour son âge que j'estime dans les 35-40 ans. Mais le meilleur dans tout ça, c'est quand elle est passée à côté de moi en entrant dans la pièce pour se diriger vers son fauteuil. J'ai alors senti une vague d'air qui m'a amené le délicat parfum de la jeune femme jusque dans mon nez. Pour ces choses là, mon odorat est surdimensionné, je sentirais une femme rien qu'à l'odeur de son parfum si je le connaissais par cœur. Et sa voix est parfaite, elle a tout fait pour garder un ton neutre avec moi sachant parfaitement que j'étais un violeur. C'est bien, elle est parfaitement rentré dans la peau du personnage. Mais bon, j'ai décidé de ne pas bouger, je refuse de faire cette séance comme un petit robot couché dans son fauteuil. Je reste planté au milieu pour enfin prendre la parole.

Est-ce que c'est une mascarade Madame Foster ? J'ai l'impression d'assister à une plaisanterie. Si l'on m'avait prévenu que le psychologue chez lequel j'allais été en réalité une femme, je n'aurais même pas pris la peine d'user mon essence pour ça. Je pense que dans les forces de l'ordre, vous aimez vous moquer des gens...

Mon regard se porte vers elle. Je décide alors de faire un quart de tour sur moi même afin de me retrouver face à face avec la belle psychologue. Ce n'est pas à elle que j'en veux mais bien aux autres idiots qui m'ont envoyé dans ce bureau. Je reprends avant qu'elle ait le temps de placer un mot.

Je ne suis pas sur que vos supérieurs ou vos collègues aient compris ce que je suis. Je pense qu'ils font exprès de jouer avec mes nerfs car là je suis encore assez calme et je me contrôle afin de ne pas exploser. Je pense que vous comprenez de quoi je veux parler. Après tout, je ne dois pas être votre premier cas puisqu'ils m'ont envoyé vers vous. Vous devez avoir l'habitude désormais de gérer des cas de ce genre. Mais je n'ai pas l'habitude de raconter ma vie à un professionnel et encore moins à quelqu'un de sexe opposé.

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MessageSujet: Re: Qui a dit que j'avais besoin d'un psy ? [Gillian] Qui a dit que j'avais besoin d'un psy ? [Gillian] EmptyMar 5 Nov 2013 - 10:56

L’attitude de son nouveau patient lui avait semblé agréable dans un premier temps. Légèrement en avance sur l’heure du rendez-vous, une tenue de mise, sobre mais élégante. Pour un violeur en série, Gillian l’avait trouvé calme et en total contrôle. Mais comment se maîtriser quand le FBI lui envoyait une femme comme psychologue ? Tout ce qu’il s’était efforcé de contenir pendant cinq ans explosa sous le coup de la colère. C’était le comportement typique de toute personne contrainte de consulter un spécialiste : le refus catégorique de parler. Mais pour une fois, elle était d’accord avec lui. Même si elle ne devait pas lui faire part de son avis, elle aussi, elle en voulait à ses supérieurs. En fait c’était devenu une sale manie chez eux de lui refiler les violeurs en série et toute sorte de délinquants sexuels. C’était un manque complet de tact également, car tous savaient qu’elle avait été agressée quelques années plus tôt. L’homme n’avait pas eu le temps d’aller jusqu’au bout, mais il l’avait sérieusement blessée à l’épaule et traumatisée. Par la suite, une bavure dans l’organisation avait fait qu’elle avait reçu un premier violeur deux ans plus tard. Evidemment, elle était montée au créneau pour pousser une gueulante, mais elle avait quand même été dans l’obligation de traiter ce patient. Puis, au fil du temps, ses supérieurs avaient commencé à disséminer des délinquants sexuels parmi ses nouveaux patients et lui avaient imposé ces thérapies malgré le traumatisme qu’elle avait vécu. Le prétexte ? C’était la meilleure psychologue de l’équipe au FBI. La BAU en avait de meilleurs ? Peut-être, mais c’était au FBI de les traiter. C’était un simple jeu de pouvoir que les deux départements jouaient, mais c’en était également un entre Gillian et sa hiérarchie. C’était à croire qu’ils le faisaient exprès ou qu’ils s’improvisaient psychologues pour lui imposer une thérapie pour éradiquer sa peur des hommes. Elle était en colère car à chaque détraqué qu’ils lui envoyaient, elle risquait sa sécurité. Que ce soit avec des tueurs, des terroristes ou des violeurs, la tension était la même : écrasante. Mais c’était toujours pire pour les hommes comme Mori. Techniquement, ces criminels n’étaient pas en mesure de s’en prendre à elle car l’étage était sécurisé, mais il était impossible de prévoir ce qui se passait dans leur tête. Et même si l’attaque ne se faisait pas pendant la thérapie, ils pouvaient très bien l’attendre à la sortie du bâtiment ou même jusque chez elle.
Oui, elle était complètement d’accord avec lui, mais elle ne devait pas le montrer, elle n’était pas là pour partager le point de vue du japonais. Lorsqu’elle l’avait invité à s’asseoir sur le canapé, il avait catégoriquement refusé et était monté dans les tours. Refus total de coopération, le coup classique. La jeune femme essaya de jouer la carte de l’empathie pour éviter qu’il ne se braque, mais elle ne s’assit pas la première pour ne pas se mettre en position de faiblesse.

- Monsieur Mori, je comprends tout à fait ce que vous ressentez. Mais je vous assure que ceci n’est pas un test, je suis votre psychologue attitrée et même si vous n’approuvez pas le choix du FBI ce sera comme ça jusqu’à ce qu’on vous déclare apte à vivre en liberté totale. Vous pouvez toujours exprimer votre mécontentement, mais vous n’êtes pas en position de négocier quoi que ce soit.

Elle refit le même geste de la main pour désigner le canapé où il était sensé s’asseoir.

- Maintenant asseyons-nous pour parler un peu de votre situation.

La jeune femme ne s’assit pas la première, elle voulait rester maître de la situation et ne surtout pas se mettre en position de faiblesse vis-à-vis de cet homme. Question de survie, tout simplement. Elle avait l’habitude de faire face à ce genre de criminels.
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