J'étais entrain de me balader dans les couloirs du FBI à la recherche d'une petite information qui pourrait m’amener a une grosse information susceptible d'interresser les agences de renseignement ennemi lorsque je me retrouva je ne sais comment dans le service d'analyse du comportement. J'étais donc là dans cette mini fourmilière qui pourchassais des malades... je me plaisais même a penser qu'un jour se serait moi qu'il chercherait à force de tuer les gens qui gênent mes petites affaires. Mais heureusement, pour le moment, il avait à faire avec des vrai psychopathe et j'en avais la preuve en entendant en passant devant un bureau un homme répondant à une recherche.

-Moi aussi si tu veux... je viens pas d'arrivé mais je suis une sorte d'électron libre spécialisé dans le terrorisme, Andrews Davenport. dis-je en me mettant à côté de l'homme proposant son aide.

C'était un certain Danny Loréno, effectivement un nouveau n'ayant jamais vu sa tête avant. Après l'avoir rapidement dévisagé, je reporta mon attention sur le jeune face à moi attendant une réponse. Vous devez probablement vous demandez pourquoi j'ai décider de participer à cette enquête ? C'est une bonne question moi même je n'en ai pas la moindre idée, une envie, probablement, histoire de tromper mon ennuis car aussi bizarre soit il, les terroristes étaient assez calme ces derniers temps malgré les informations que je leur fournaissait. Et puis si cela permettait de partir loin de ma soeur quelques jours autant en profiter non ?

Il nous donna les dossiers et je devais le reconnaître, j'étais plus qu'emballer par le meurtrier. Des gars aussi dérangés sont à voir au moins une fois dans la vie. Le type qui dirigeait l'enquête semblait assez presser et sans ajouter un mot je fis comme mon nouveau collègue. Je me dépêcha pour arriver à mon bureau et pris rapidement mon sac avec le nécessaire. J'avais appris avec l'expérience d'avoir toujours ce sac prêt dans le bureau, cela pouvait toujours servir, un dépannage ou comme là un départ imprévu. En sortant de mon bureau, je sorti mon portable et offris un sourire faux à mes collègues qui me disaient au revoir.

-Bonjour, vous êtes bien sur la messagerie d'Emma Davenport, veuillez laissez un message après le bip... biiiiiiiip.

-Emma, c'est Andrews, qui d'autre de toute façon... enfin bref... je ne serais pas la pendant un moment, je ne pourrais te dire combien de temps, deux jours, une semaine ou plus. Tu t'occupes de la maison et de Bob, n'oublis pas de lui faire ses piqûres et de rachetez des croquettes par la même occasion. Je veux voir la maison nickel en rentrant. Allez a plus.

J'arriva ensuite à hauteur de mes deux nouveaux collègues lorsque le nouveau demanda comment nous allions procédé, sans rien ajouter, j'attendais la réponse du chef si on pouvait l'appeler comme ça. J'étais curieux de connaitre la réponse.