On pourrait écrire un livre sur le physique d’Edward. Pas qu’il soit particulièrement beau, mais plutôt qu’il sorte de la norme ! Avec son corps élancé, certains le comparent parfois à une fille. Il est très mince et très grand. Il a des cheveux bruns courts et de magnifique yeux bleus qui font tourner la tête de plus d’une fille. Toujours avec un sourire sur le visage, tic qu’il a pris d’une connaissance, il semble toujours être joyeux, ce qui dévoile ses dents blanches parfaites qui font ressortir ses yeux. Il a une peau extrêmement blanche, si bien qu’on se demande souvent s’il a assez de sang dans l’organisme pour vivre. Et pourtant, il est bien vivant le petit ! Il n’a aucun tatouage ou piercing ; il trouve cela étrangement vulgaire. Il n’aime que les boucles d’oreille, mais soit quand celles-ci sont discrète ou distinguées - il n’aime pas, dit autrement, les gros anneaux qui pendent aux oreilles.

Edward ? Si il y avait bien un mot qui le décrirait, c’est « perturbé ». Et dans tout les sens du terme ! Oui, car il est extrêmement intelligent - son QI s’élève à 163 - et complètement déjanté. Dans le sens ou il est toujours le premier à rigoler de quelque chose ou à danser quand quelqu’un le lui demande. Il rigole tout le temps, aussi, ainsi qu’il a, dit plus haut, toujours un sourire sur les lèvres. Autre façon d’interpréter perturbé : il est amoureux… De quelqu’un qui ne l’aime absolument pas, du moins, qui ne le laisse pas paraître. Ce qu’il fait que si plus d’une fille lui a fait des avances, il ne s’en rend même pas compte. Il semble qu’il dépend de cette personne. Sinon, il est aussi extrêmement modeste et sensible. C’est toujours le premier à se rabaisser alors qu’il a un curriculum vitae impressionnant. Il est végétarien ; drôle de chose vu qu’il travaille au FBI. Mais il est contre l’abattage des animaux, surtout quand on voit la manière dont-ils sont traités avant leur mort (saviez-vous que généralement, lorsque que votre poulet est « élevé en plein air », cela consiste juste à une fenêtre couverte de barreau donnant sur l’extérieur ?). Calme, il ne s’inquiète pas souvent, sauf bien sûr quand il s’agit de son boulot. Son travail est toute sa vie, malgré que s’il se fait licencier, il pourra facilement trouver quelque chose à laquelle se rattraper. Et sa c’est certain ! Mais il ne veut pas quitter le FBI parce que c’est le seul endroit où les gens ne le briment pas à propos de son intelligence. Tout sa vie il a été victime de sévices de la part de ses camarades ou même des gens qu’il connaissait, ce qui fait qu’il est aussi très renfermé bien qu’il sera le premier à se diriger vers des gens, parfois. Il a une intelligence verbale impressionnante. Il parle vraiment bien et ne ferait jamais de faute d’Anglais ; il connaît des tonnes et des tonnes de livres par cœur, et est passionné de littérature. Il considère les langues comme l’essence de la vie. Il parle d’ailleurs le Français, langue qu’il apprécie particulièrement. Il trouve qu’elle sonne vraiment bien et que les phrases font très distinguée. Ainsi que le Chinois, le Suédois, l’Allemand et l’Espagnol. Comment ? Simplement grâce à l’école ou à des cours qu’il prenait le soir. Il adore la musique aussi, surtout la musique classique, et écoute beaucoup de Beethoven, Mozart ou Bach. Mais il ne donne pas sa confiance si facilement ! Rares sont les amis sur qui il sait qu’il peut compter sans problème, et à qui il serait prêt de confier sa vie.

Il n’en a qu’une, mais extrêmement gênante de son point de vue : être maniaque. Cela remonte à l’enfance, quand son grand-père l’emmenait dans le grenier, et qu’il voyait tout ce bazar qu’il devait ranger. Depuis tout doit être placé au millimètre près, car selon lui, si on range quelque chose dès qu’on l’a utilisé, on n’aura jamais un tas d’affaires, à un moment ou un autre, qu’on devra trier et classer.

Normalement et banalement. Jeans, t-shirt, chemise à manches courtes, longues, écharpe, pull-over, veste, veston, marcel et cardigan… Il porte généralement des tennis mais il lui arrive de les troquer contre une paire de sandales ou de tongs. Chez lui, il sera plus décontracté ; un training ou juste un t-shirt simple et un jean, avec des pantoufles. Lors des vestes, ce sera un costume noire, chemise blanche, et cravate bleu nuit, toujours. Il ne change pas, il déteste aller dans des soirées en fait. Mais adorerait regarder toutes les robes des filles présentes en essayant de terminer laquelle a la plus belle. Au bureau, ce ne sera jamais un costume et ça variera là aussi. Parfois il met des chemises, des fois de gros gilets, ou même des cols-roulés. Tout dépend du temps et de la saison aussi. Il ne suit pas particulièrement la mode, mais aime ne pas trop faire « vieux jeux » en se vêtant de salopette ou même de vieille chaussure qu’il appelle des chaussures de grand-père.

Pas grand monde, en réalité. Ses collègues, qu’il apprécie beaucoup. Sa petite sœur, Elizabeth, à laquelle il rend souvent visite à Washington. Et bien sûr, Ashley Seaver. Ils se sont rencontrés pour la première fois au collège : la petite blonde venait d’entrer en sixième quand lui était en troisième. Autrement dit, ils ne sont restés qu’un an ensemble mais il se revoient par la suite, sur le campus. Elle suivait des études de psychologie et lui de droit et de langues. Une forte attirance, inexplicable, est née entre les deux personnes malgré leur différence d’âge. Ses défunts parents, aussi. Il va souvent se recueillir sur leur tombe et déposer des fleurs.