Pardonne moi seigneur....

Sujet: Pardonne moi seigneur.... Ven 5 Oct 2012 - 17:59

Un frisson me parcourut le corps lorsque je m'arrêta devant l'église. C'était comme si, le bâtiment m'appelait. Comme si cette église me demandait de venir me confesser. Je n'étais pas rentré dans une église depuis huit ans. La dernière fois, c'était il y a huit longues années... Mon frère venait de se faire tuer par deux gars et heureusement pour moi, je venais de sortir de l'hôpital le jour même de son enterrement. Pourquoi j'étais à l'hôpital ? Tout simplement parce que j'avais essayé de sauver mon frère mais que je n'avais pas réussit. Ce souvenir me hantait toutes les nuits. Le souvenir de notre bagarre avec ces deux hommes qui avaient réussit à mettre fin aux jours délicieux de mon frère. Je suis resté deux semaines entière à l'hôpital à cause de mes blessures multiples. Heureusement pour moi, les agents du FBI ont eut besoin de garder le corps de mon frère pendant ces deux semaines pour faire des examens complets et pour découvrir l'identité des deux malfaiteurs. Enfin, je dis heureusement pour moi, mais c'est juste pour signaler que s'ils ne l'avaient pas gardé deux semaines, je n'aurais pas pu assister à son enterrement.

J'étais arrêté au même endroit depuis déjà cinq minutes et je ne m'en étais pas rendu compte. Ce n'est qu'en regardant ma montre que je pu remarqué que le temps avait passé. Mettant un pas devant l'autre, je décida de rentrer dans l'église. Je marchais assez lentement. J'avais un petit peu peur des églises. Elle me rappelait ce mauvais souvenir de l’enterrement et me le lançais au visage. C'était assez horrible, mais il fallait que je demande pardon au seigneur pour la faute que j'avais commise. Celle de ne pas avec sauvé mon frère. J'avais mit longtemps pour venir me confesser, cela faisait déjà huit ans qu'il était au fond de sa tombe et je venais seulement aujourd'hui me confesser pour cette faute. J'aurais aussi pu le faire en prison, il y avait une toute petite église là-bas pour les prisonniers qui souhaitent pardonner leurs fautes. Et aussi pour la messe du dimanche, mais je n'y avais jamais assister. Cette église aussi m'avait peur dans la prison car déjà que je n'aimais pas être là-bas alors il ne fallait pas en plus rajouter le fait de devoir me confesser. En plus, les gardiens de la prison voulaient que je me confesse pour la faute d'avoir violer une jeune femme voir plusieurs, ils ne pourraient pas comprendre le fait que je veuille me confesser pour la mort de mon frère.

Les portes étaient déjà ouvertes lorsque j'étais arrivé en haut des escaliers qui menaient vers l'intérieur, je continuais de marché lentement. Il fallait que je me dirige vers le fond de l'église, sur l'un des bancs du premier rang pour être le plus près possible du seigneur. En arrivant au fond de l'église, je me suis trouvé rapidement une place sur l'un des bancs du premier rand. En même temps, il n'y avait que deux ou trois personnes dans cette église. Ils étaient assis sur les bancs derrière bien loin de moi. Je pouvais donc me confesser sans avoir peur que quelqu'un m'entende. Je préfère être le seul à entendre mes paroles car je n'aime pas que les autres personnes connaissent ma vie. Mettant mes mains l'une contre l'autre, et baissant la tête entre celles-ci, je pouvais désormais parler.

Pardonne moi seigneur de l'horrible chose que j'ai faite il y a bien longtemps.

Je releva la tête pour regarder vers le ciel. Je pensais à Justin en demandant pardon au seigneur. Je ne pensais pas le moins du monde à une des nombreuses filles que j'avais violer. En même temps, si j'avais réalisé un tel acte plusieurs fois, c'était à cause de ce que j'avais fait. Je ne me pardonnais pas d'avoir laissé mon frère mourir alors je me vengeais sur les filles que je rencontrais. C'était dommage pour elles mais cela me faisais un bien fou. J'étais heureux lorsque je violais une jeune femme. C'est d'ailleurs pour cela que je recommençais encore et encore. Et c'est à cause de ça que j'avais été en prison. Mais d'un côté, aller en prison, c'était une autre punition que je m’affligeais à moi même pour la mort de mon frère.

Pardonne moi Justin...

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Ven 5 Oct 2012 - 20:45

Je venais de finir mon service, j’avais travaillé sans relâche depuis vingt-quatre heures et j’étais crevé. J’avais envie de dormir, mon lit m’appeler d’ailleurs je frottais mon visage entre mes mains. Je regardais ma montre au poignet, je soupirais j’attrapais les clés de ma voiture et ma veste. J’avais rangé le dossier sur lequel je travaillais, direction le parking. Je montais dans ma voiture, je mis le contact avec la musique histoire de me tenir en forme le temps de rentrer. Je quittais le bureau, je devais traversais la ville pour rentrer chez moi, j’avais un peu le moral dans les chaussettes aussi. La raison de cela était qu’aujourd’hui, était le jour où je m’étais fait tirer dessus lors de ma première enquête. Quand ma vie à prit une toute autre tournure et que j’ai faillis y rester, je ne pourrais jamais oublier cette journée. Ca me hanté tous les jours ou presque, j’avais encore du mal à oublier cette lourde épreuve.

Durant le trajet, je me repassais le film et le peu de souvenir que j’avais encore dans ma tête. Nous étions rentrés dans ce hangar, perdu au milieu des champs. Nous étions certain d’une chose, nous l’avions enfin trouvé ce salop et il allait passer sa vie derrière les verrous. Je ne m’étais pas assez méfié ce jour-là, quand j’étais rentré et je n’avais pas vu venir mon « assassin ». Il m’avait tiré dessus à bout portant, je m’étais écrouler et après le trou noir. Je ne me souvenais de rien, juste de mon réveille à l’hôpital. J’avais affreusement mal, j’étais branché de tous les côtés avec des fils partout. Je paniquais un petit peu, me demandant alors ce qu’il s’était passé. On me racontait la grande histoire, j’avais alors décidé de tout arrêter. Je sortis de mes pensées, j’étais arrêté devant l’église du centre-ville. Les voitures derrières klaxonnées, je me garais sur le bas-côté posant mon front sur le volant. Je sortis de ma voiture, je ne sais pas pourquoi mais c’était comme ça. Je devais me rendre à l’église, prier, me confesser et parler ouvertement. Je traversais la rue, je fermais ma voiture histoire qu’on me la vole pas. Ici, les vole ça arrive souvent et monta les escaliers doucement. Je respirais profondément, avais-je raison de faire ça ? D’aller à l’église, pour prier et remercie me seigneur de m’avoir laissé la vie après cette bavure.

Je poussais la porte de l’établissement, que je refermais doucement pour ne déranger personne. Il y avait peu de monde, mais assez pour déranger durant leur prière. Je marchais doucement le long de l’allée, et me mis sur un banc juste derrière un jeune homme. D’ailleurs, son visage me parlé à vrai dire, j’essayais de me souvenir de qui était cette personne. Son prénom me revenu, Andrew je connaissais le jeune homme. Il semblait perdu, et s’excuser auprès d’un certain Justin. Posais ma main doucement sur son épaule, assise derrière.

Bonjour Andrew…

Dis-je doucement et un petit rictus gêné.

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Sam 6 Oct 2012 - 17:55

Je pensais à tellement de choses en même temps que je n'avais même pas remarqué qu'une nouvelle personne était entrée dans l'église. Depuis que j'étais assis au premier rang, il n'y avait que moi et seulement moi qui comptais. j'avais réussit à faire abstraction des autres personnes qui se trouvaient dans l'église en même temps que moi. Je restais dans la même position depuis que je venais de finir ma phrase qui était pour mon frère Justin. Je sursauta lorsque que quelqu'un posa doucement sa main sur mon épaule. Mais j’hallucine, qui ose dérangé quelqu'un qui est entrain de se confesser dans une église. Enfin, je me confessais pas réellement car il n'y avait pas de prêtre à qui je parlais mais pour moi, se confesser, c'était demandé dans une église à être pardonné. Je me suis donc retourné en quatrième vitesse pour apercevoir... Ashley. Mais que faisait-elle ici ? Avait-elle aussi des choses à se faire pardonner ?

Ashley... Bonjours. Comment allez-vous ?

C'est bon, en cherchant bien, je me suis rendu que cela fait un an jour pour jour qu'elle s'était fait tirer dessus. Par moi même. Hum, jamais je ne lui avais avoué cette action que j'avais réalisé. En même temps, la police me recherchait et je n'avais pas d'autre choix que de me cacher. J'avais acheté récemment un pistolet pour me défendre contre la jungle urbaine de Quantico. Malheureusement pour elle, elle n'avait pas prit assez de précaution et la panique qui m'avait emmené à cette fin tragique de devoir lui tirer dessus pour ne pas qu'elle me voit. Je m'étais ensuite enfui car les autres policiers s'étaient occupés d'elle rien qu'un instant et j'en avais profité. En même temps, en plein milieu des champs, il est facile de disparaître en deux secondes. Surtout avec la forêt qui était même pas à un kilomètre. J'ai donc pu m'enfuir très vite et ils ne m'ont pas retrouvé, pas même depuis l'accident.

Pourquoi venir dans une église ? Vous n'avez pas l'air d'avoir grand chose à vous confesser.

C'est vrai que cette jeune femme à l'air d'un ange à côté de moi. Je ne vois pas pourquoi elle est venue ici. Surtout comme par hasard le même jour que moi. Le bon dieux veut que je me sente mal en la voyant. C'est sans doute encore une nouvelle façon que Justin à trouvé pour me punir. Je suis sur qu'il travail avec dieu pour me punir car je n'ai pas réussit à le sauver à temps avant qu'il meure. Il trouve beaucoup de façon de me punir ce Justin en ce moment. C'est un sacré filou, il l'était déjà avant donc ça ne va pas changer. Mais bon, il fallait vraiment que j'arrête de laissé des morts contrôler ma vie moi. Surtout en ce moment, je ne faisais que ça avec mon frère.

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Sam 6 Oct 2012 - 19:50

A peine, je posais ma main sur son épaule je le vis se retourner rapidement. J’imagine qu’il aurait préféré que je ne fasse pas ça, je ne savais pas vraiment à vrai dire. Mais, il se détendait et à la fois semblé stressé de me voir. Andrew, été un homme que je trouvais très mystérieux, mais je ne lui avais rien dis pour le moment. J’aurais pu faire des recherches sur lui, mais je ne sais pas je ne l’avais pas fait. J’avais préféré rester simple, ne pas impliquer mon travail dans mes relations, même si entre lui et moi il n’y avait rien. C’était juste un ami, une simple connaissance que je commençais à connaitre avec le temps. Mais, je dois avouer que j’ai remarqué une chose chez lui, quand je suis avec lui Andrew est étrange et semble un peu stresser de m’avoir prêt de lui. Avait-il quelque chose à cacher, qu’il ne voulait pas que je sache ? « Ashley... Bonjours. Comment allez-vous ? »

J’aurais pu répondre dessuite que ‘allais bien, très bien même sauf que ça serai un mensonge. Ma réponse, ne serais pas vraiment sincère après tout, je pouvais car Andrew n’était qu’une connaissance. Je pouvais lui cacher des choses à mon sujets, ne pas lui parler de ce qu’il sait passer. Mais, je ne comptais pas lui dire, j’ai moi-même mes secrets comme beaucoup dans ce monde. Personne ne dis la vérité, tout le monde ment quelqu’un et refuse d’admettre la vérité à soi-même parfois. J’en suis la preuve formelle, je me suis menti à moi-même plus d’une fois avant d’admettre la vérité. Je posais mes mains sur mes genoux, avec un léger petit sourire sur mes lèvres.

Ça va, je vous en remercie Andrew. Je vous rends la question, mais je pense avoir la réponse déjà.

Je ne suis pas du genre à venir dans une église régulièrement, comme la messe du Dimanche. Ce n’est pas mon truc, certes je remercie Dieu pour m’avoir laissé la vie. Mais, je ne suis pas une fille très religieuse. Je suis rentré aujourd’hui, car je me suis senti obligé comme si on me pousser à mis rendre. Mais, je me rendu compte que je n’allais pas prier mais discuter avec un jeune homme que je connaissais peu. Mais, qui m’intriguait tellement à la fois…Il me demandait alors, pourquoi j’étais venue dans une église ? Je n’avais pas l’air d’avoir grand-chose à me confesser, il ignorait tellement la vérité. Le pourquoi je suis venue ici, alors que je pouvais rentrer chez moi et oublier cette journée. Me dire alors, que ce n’était que le passé et que tout aller bien aujourd’hui. Mais, ma vie est en danger à longueur de journée, je suis profiler et je côtoie des criminelles tous les jours. Je suis sur le terrain, des armes en mains au risque de mourir et de ne pas être sauver cette fois-ci. J’avais beaucoup de chose à dire, mais il n’y avait qu’une seule personne avec qui je m’ouvrais facilement.

Je dois remercier dieu, nous avons tous nos secrets non ?

Je regardais le jeune homme qui se tenais devant moi, assis sur le banc blanc.

Et vous, c'est quoi qui vous emmene ici?

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Dim 7 Oct 2012 - 0:27

Pour qui elle se prend celle là, déjà qu'elle vient me déranger, et en plus elle pense en savoir plus sur moi même que moi ? Non mais, c'est pas la fête. Le seul qui me connaissait par coeur, c'est Justin, c'est surement pas elle. Et encore moins tous ces débiles mentaux de profiler qui ont tous essayé pendant ma première année de prison de déterminé pourquoi j'avais violer ces femmes. Toutes ces questions qu'ils m'avaient posé pour déterminé mon profil psychologique. Et dire que c'est un métier de faire ça, j'y crois pas. C'est dingue le nombre de personne qui essaye de faire comme s'ils connaissaient tout le monde alors que c'est faux. Non mais c'est vrai, je ne l'ai pas vu tant de fois dans ma vie Ashley. On ne se voit que de temps en temps et en général, ce n'est que du hasard. Comme aujourd'hui, je n'avais surement pas prévu que je la verrais, et pourtant si.

J'essayai de paraître normal aux yeux de la jeune femme. Après tout, je lui avais quand même tirer dessus. "Comment doit-on se sentir lorsque l'on commet un tel acte de cruauté envers l'être humain ? Qu'il soit féminin ou masculin, on est tous censé éprouvé un remord profond et s'en vouloir énormément." C'est le psychologue de la prison qui m'avait dit ces deux phrases. Elles m'ont marqué car dans tout ce qu'il disait, il avait toujours raison. Et lui au moins, il avait mieux réussit à me cerner que n'importe lequel de ses profilers ou de ses gardiens de prison qui sont censé vous connaitre par coeur.

Je pourrais allé mieux, mais je pense que vous ne me connaissez pas tout au fond de vous, vous espérez me connaitre mieux pour arrivé à me comprendre. Vous en savez peu sur moi, alors que j'en sais un peu sur vous.

Je voudrais bien lui lancer en pleine figure que je sais qui lui a tiré dans le dos il y a un an, moi. Mais ce ne serait pas drôle, il faudrait que je la laisse encore réfléchir quelques semaines, voir quelques mois. C'est assez marrant de voir que les gens ne comprennent pas dans quel sens je vais. Parfois je peux être bon et d'autre fois, je peux devenir très mauvais pour les personnes qui m'entourent. La phrase que venait de prononcer Ashley me fit sourire. Elle était entrain de m'affirmer que nous avons tous des secrets. Je le sais bien ça, elle ne sait pas à qui elle parle apparemment car je doute qu'elle s'approche de moi si elle le sait.

Le remercier d'être en vie. Bien sur que nous avons tous des secrets. Moi je suis venu m'excuser d'une faute que j'ai commise dans le passé. J'aimerais bien réparer cette erreur mais c'est impossible.

Hop, j'avais glissé cette petite phrase au début de ma discussion pour qu'elle comprenne un peu que j'en connaissais sur sa vie, un événement peut être, mais un événement important. Impossible oui que je ramène mon frère à la vie. Mais elle, avait-elle peur de me cacher des choses sur sa vie privée que je connaissais déjà ? Comme le fait qu'elle venait remercier dieu d'être encore en vie et de ne pas l'avoir laissé mourir il y a un an. Si elle aurait été seule, je l'aurais tué et au moins je n'aurais plus de problèmes. J'avais de léger remord sur ce que j'avais fait ce jour là. C'est encore pire car elle est en vie et elle pourrait découvrir que c'est moi à n'importe quel moment de ma vie. Ce serait dommage, je suis en plein dans ma période ou je viol deux-trois femmes par mois seulement. Depuis quelques temps, je commence à me calmer. En Allemagne, avant ma condamnation, j'en ai violé une petite dizaine en un mois. C'est sans doute pour ça qu'ils m'ont retrouvé.

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Dim 7 Oct 2012 - 16:33

On ne connait pas les gens, on pense que l’on sait qu’ils sont vraiment. Mais, on ignore ce qu’il se cache derrière leur masque, nous portons tous un masque. Derrière ses sourires, cet air détendu ce cache souvent un secret. Moi-même, j’ai le miens et je n’en parle à personne la peur que j’ai au ventre. Je veux gérer cela toute seule, je sais que je peux y arriver et que ses peurs passeront en temps et en heure. Andrew m’inspirer confiance, mais à la fois j’étais méfiante mais je ne voyais pas vraiment de négatif en lui. Il semblait certes perdu, comme s’il avait un poids lourd sur lui et que s’était dur à porter. Mais, jamais je ne me douter du réel problème entre lui et moi. Pour répondre à ma question, mon interlocuteur ajouté que ça pouvait aller mieux. Mais au fond de moi, je ne le connaissais pas, essayant à me comprendre pour mieux le connaitre. Moi, je ne savais pas grand-chose sur lui, pourtant lui savait un peu sur moi. Je fronçais les sourcils, son parlé me rappeler parfois la façon dont je parler.

Certes j’ignorais tellement de lui, je ne le connaissais pas vraiment je refusais d’avoir à faire aux ordinateurs. Fouiller dans sa vie, pour savoir si je suis ou pas en danger, s’il est ou non rechercher. Je vis dans une ville, rempli de suspens et de détraqué et ils sont parfois forts. Même très fort, ils sont particuliers je l’ai reconnais facilement. Je ne pense pas qu’Andrew et un détraqué ou un meurtrier, qui prend plaisir à faire ce qu’il fait. Au contraire, je le trouve parfois fragile et torturer intérieurement. Comme s’il avait vécu une enfance terrible, que sa vie n’a pas été un cadeau du ciel.

Quand vous dite en savoir un peu sur moi, vous parlez de quoi ? On ne se connait ni l’un, ni l’autre, du moins je pense ça. Nous n’avons pas vraiment parlé la dernière fois, vous êtes très mystérieux Andrew.

Je lui souris doucement, mais nous étions dans cette église pour la même chose. Presque là même chose, car je ne pense pas qu’il est la même chose à dire à dieu. Le remercier pour l’avoir laisser en vie, ne pas lui avoir retiré sa vie et le laisser en paix. Non, il avait autre chose en tête, mais j’ignorais quoi. Je n’étais pas là pour jouer les profiler, essayais d’établir un profil et fouiller dans sa vie. J’étais une citoyenne et un civil à présent, pas le flic. « Le remercier d'être en vie. Bien sur que nous avons tous des secrets. Moi je suis venu m'excuser d'une faute que j'ai commise dans le passé. J'aimerais bien réparer cette erreur mais c'est impossible » J’haussais les épaules, certes réparer certaine erreurs était bien compliquer. Mais, il y a toujours une solution au problème. Mais, ce qui retenait mon attention été le fait qu’il reprenne ma phrase…je ne disais rien je l’observer.

J’ignorais vraiment ce qui pouvait me rapprocher de ce jeune homme, pourquoi être tombé devant lui ce jour-là. Je me souviens, il m’était différent et gentil je me suis dit que nous pourrions faire connaissance. Boire un verre, il se comporter normalement mais si je voyais parfois ses regards, voler vers de jolies jeunes femmes. Je me disais, qu’il aimait les femmes et qu’il devait avoir de nombreuses conquêtes à son actif. Après tout, les hommes ne sont jamais stable, ils sont peu fidèle à leur copine ou leur femme. Je posais ma main sur mon abdomen, avant de laisser retomber ma main sur le banc.

On regrette souvent nos erreurs, mais c’est trop tard quand sait fait. Mais, qui peut vous mettre dans un tel état ?

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Lun 8 Oct 2012 - 11:33

Jamais je ne pourrais lui avouer que je lui avais tiré dessus. Il fallait qu'elle le découvre elle même car je ne pouvais pas arriver un jour devant elle et lui dire "Je t'ai tiré dessus il y a un an tu te souviens" De toute manière, elle ne pouvait pas se souvenir de grand chose, tout ce qu'elle avait pu voir de moi, c'était mon dos et c'est tout. Comme j'avais changé mes vêtements depuis alors je n'avais aucune raison d'avoir peur qu'elle me découvre. Mais après tout, ma vie était faites de ça, je faisais des bêtises et Justin trouvait mes punitions. Je le laissais contrôler ma vie. Les punitions de mes viols étaient la prison ou les nombreuses fois où certaines femmes avaient de quoi se défendre et que je ne le savais pas. En tout cas, Justin trouvait toujours quelque chose pour me punir de mes actes. C'est pour ça qu'après ce que j'avais fait à Ashley, c'était à elle de découvrir que c'était moi. Je lui donnais bien sur quelques indices car je m'en voulais énormément. Je violais des femmes, c'était un plaisir énorme pour moi mais jamais, non jamais je ne les tuais par la suite. La seule fois de ma vie où j'ai fais du mal à une femme et qu'elle ait faillit mourir, c'était à Ashley. Je m'en étais voulut longtemps et je m'en voulais encore. C'est pour ça qu'elle devait le découvrir par elle même mais sans avoir de preuve pour ne pas me mettre en prison. Car si je lui avouais d'un coup, elle aurait des aveux pour aller me dénoncer aux forces de l'ordre.

Gardant mes yeux plantés dans les siens, je l'écoutais parler. Elle avait une si jolie et si douce voix. Cela me rendait encore plus coupable d'avoir essayé de mettre fin à ses jours, même par légitime défense, enfin, de mon point de vue personnel. Ce n'était pas du tout de la légitime défense mais plutôt de l'attaque pour la survie. Elle affirma alors que j'étais mystérieux car je savais une chose sur elle. Un sourire en coin s'afficha sur mon visage et l'illumina. Oui, j'étais mystérieux, surtout sur cette journée d'il y a un an que je n'avais raconté à personne.

Je ne peux pas vous dire ce que je sais sur vous. Seulement que c'est quelque chose qui vous blessera.

Peut être que c'était aujourd'hui le jour de vérité, un an après, peut être que aujourd'hui, je devais lui faire comprendre mes paroles pour qu'elle devine enfin que j'étais là. J'étais là il y a un an lorsque sa vie à faillit basculer dans le vide total. Mon sourire s'effaça de mon visage et je baissa les yeux. Ce n'était pas en signe de soumission devant elle mais plutôt en signe de honte par rapport à ce que j'avais fait. Parfois, certaines nuits j'en faisais même le cauchemars et elle mourrait. Ou d'autres fois j'en faisais le rêve et je visais à côté puis j'allais la voir pour m'excuser et me rendre aux forces de l'ordre. Ce n'était pas un cauchemars pour moi d'aller en prison, c'était un rêve envoyé par Justin.

La phrase qu'elle venait de prononcer me fit presque devenir tout blanc. ma respiration s'arrêta quelques secondes car elle venait de me troubler. Parler de ça avec elle, c'était comme lui avouer qu'il lui avait tiré dessus. l'an dernier. C'était surtout la fin de la phrase qui me faisait réagir comme ça. "Qui peut vous faire autant de mal ?" Cela se voyait bien qu'elle n'avait rien compris. En même temps, qui pouvait comprendre ce genre de chose rien qu'en le regardant. C'était impossible. Je releva les yeux vers elle pour lui répondre.

Personne ne me fait du mal... C'est moi qui ai fait quelque chose.

Je n'ai pas réussit à empêcher la mort de mon frère jumeau, Justin.

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Lun 8 Oct 2012 - 16:37

Je trouvais Andrew anxieux, plus nous discutions et plus il semblait changé. La conversation avec moi le gêner à ce point ? Devais-je alors être plus méfiante, faire attention à mes arrières et arrêter de faire confiance à Andrew. Je suis une femme assez compliqué, qui ne fait pas toujours confiance facilement et qui a beaucoup de caractère, même trop parfois. Mais, je m’étais peut-être trop emporter et laisser avoir par lui. Mon interlocuteur, ne parlé pas il se contenté juste de me regarder. Son regard plongé dans le miens, je parlais d’une petite voix douce et calme. C’était une habitude, je n’avais jamais parlé fort et ma voix été calme, enfin maintenant car à la chasse au malfrat je ne suis pas aussi calme. Je suis caractériel et je ne suis pas à prendre avec des pincettes, par exemple si je voyais celui qui pourrit en prison. Celui qui a voulu me tuer, qui a tirer de sang-froid sans que je n’ai le temps de réagir. Mes collègues, l’avait mis en prison à ce que je sache c’était un jeune de trente ans. Il disait que ce n’était pas lui, mais il était bien là quand je me vidais de mon sang au sol. Quand, je voyais ma vie défilée à toute allure. Je revivais cette scène, la douleur et l’incapacité de faire quoi que ce soit. J’avais envie d’hurler et de pleurer, mais je gardais mon calme et m’apaiser doucement.

Andrew, finissait par reprendre la parole et répondre alors à ma question. Trop intrigué par celui-ci, je devenais méfiante sans même savoir pourquoi. Mon instinct de flic peut-être me disait que je devais faire attention, après tout je ne le connais pas autant que je l’aurais pensé. Il ne pouvait pas me dire ce qu’il savait sur moi, je le regardais d’un air très inquiet. La seule chose qui réussissait à me dire, était que c’était que cela me blessera. Mon corps s’était raidi, comme s’il voulait m’avouer quelque chose. Me dire la vérité, mais sans me la dire directement et me faire juste comprendre. Me faire chercher la vérité, que je comprenne avec des mots. **flashback**

Je suis dans un champ au milieu de nulle part à Quantico, la seule chose autour de nous est une grange abandonnée. Il fait froid, mais vu l’adrénaline j’ai chaud et j’ai qu’une seule envie arrêter se salop. Il a violait ses femmes, comment faire de telle chose les faire souffrir qu’il a pu le faire, en plus il prend du plaisir. Armée, je suis avec mes collègues on doit se séparer, le prendre en filature car il est malin celui-là. J’entre dans la grange, je ne fais pas le moindre bruit surtout je marche doucement. Je pense, que j’arrive enfin à mes fins que qu’il est à moi ! Je vais me faire plaisir, l’allonger au sol sans aucune pitié et le ligoter comme un chien ! Dos contre l’établi en coin, je me penche pour le voir. Personne, je décide alors de me mettre à découverts et courir vers la sortie de derrière. Il court, puis s’arrête et tire dans le vent, sauf que ce n’était pas dans le vent. La balle fini dans mon abdomen, je m’écroule net au sol je ne contrôle plus mon corps. Je n’ai plus de force, mon corps percute le sol violement et la douleur est insupportable. J’ai du mal à respirer, mes larmes coulent le long de mon visage pâle. Mais, pas de mots ni même de cri, j’en ai absolument pas la force. Je dois subir cela, attendre que ça se passe mon co-équipier arrive à toute allure. Il hurle mon prénom et me demande de rester éveiller, que tout va bien. Je sais que sait un mensonge, je souffre tellement que je pense que sait fini pour moi. Le sang coule, il ne me restera plus que quelques minutes. Puis, je ne sais plus rien je vois un trou noir. Je me réveille à l’hôpital.
**fin du flashback**

Je regarde Andrew.

Que veux-tu me faire comprendre en disant, que tu vas me blesser ?

Et s’y la vérité…je devenais folle et je commençais à me faire des idées. Il fallait que j’arrête ma parano, certes je ne l’avais pas vu le tireur mais les autres oui. Il s’était fait prendre, il devait parler d’autre chose. Je lui demandais qui lui faisait autant de mal, il disait que ce n’était personne. C’était lui qui avait fait quelque chose, je me levais du banc en passant ma main dans mes cheveux.

Quel genre de mal ? Tu peux me parler Andrew, je suis là pour ça.

J’étais flic, c’était dans les gènes et je devais le faire parler.

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Lun 8 Oct 2012 - 18:35

Non, je ne pouvais pas, je m'y refusais. Il ne fallait surtout pas que je le dise. Il ne fallait pas que j'en parle. Je ne pouvais pas lui avouer ce que j'avais fait dans cette grange il y a un an. Je ne voulais pas lui faire de mal, je n'avais pas fait exprès. Je m'en voulais. Mais je ne pouvais pas tout lui dire sinon elle aurait envie de m'envoyer derrière les barreaux. Mais pourquoi pose-t-elle tant de question cette femme ? Que devait-elle penser de moi maintenant ? Bon, ce n'est pas grave, je n'ai pas besoin d'elle pour vivre tous les jours. Je suis peut être mal devant elle à cause de ce que j'ai fait mais sinon lorsque je ne la vois pas de la journée, ce n'est pas pour ça que je me sens mal. Après tout, je m'en sors très bien sans elle tous les autres jours de l'année. Mais bon, je devais lui répondre quand même.

Je ne vous dirais rien, je ne peux pas le faire, je ne dois pas le faire.

Je me leva du banc en même temps qu'elle. Il ne fallait pas montrer de faiblesse. C'est quelque chose que j'avais apprit en prison. Devant n'importe qui, il ne faut jamais montrer de faiblesse. Au contraire, il faut montrer de la supériorité. Voila que Ashley se prenait pour une psychologue. Je ne voulais pas lui en dire plus sur ce que j'avais fait. Sur ce que j'avais fait à mon pauvre frère jumeau. Il ne fallait surtout pas que je commence à parler de ce sujet car j'allais craquer et faire une grosse bêtise. Et il ne fallait surement pas faire ce genre de bêtise dans une église. C'est pire que tout de violer quelqu'un dans une église. Je fis le tour du banc sur lequel j'étais assis avant et pour me retrouver dans la rangée du banc de la femme. J'avançais jusqu'à elle presque jusqu'au corps à corps. Je ne voulais pas crier sur tous les toits que j'étais un violeur mais là, c'était juste pour faire peur à Ashley. J'approchais ma tête de la sienne pour pouvoir atteindre son oreille. Je voulais murmurer à son oreille des mots. Pas forcément des mots doux pour elle, mais des mots doux pour moi. Tout ne lui prenant la main, je commença la conversation qu'elle n'allait surement pas aimer.

Quel genre de mal ? Je peux faire le genre de mal que vous les femmes vous ne supportez surement pas... Vous voyez bien de quoi je veux parler bien sur ?

Pour lui en faire comprendre encore plus au cas où elle n'avait pas saisit que j'étais un violeur, je passais ma main dans ses cheveux délicatement avant de faire un pas en arrière. Je ne pouvais peur être pas lui dire que j'étais l'homme qui lui avait tiré dessus, mais je pouvais au moins lui dire que j'étais un violeur. Après tout, que pouvait-elle faire contre moi avec cet aveu. Je la tenais et je pourrais surement faire ce que je voulais d'elle. Sauf si elle était des forces de l'ordre, enfin, même si elle était flic, il suffisait juste que je la face chanter et que je lui face peur. J’avais un petit sourire en coin. On était dans une église après tout, je ne pouvais pas me permettre de faire quoi que ce soit ici. Je ne pouvais qu'utiliser la parole et quelques gestes pas trop violent. Et elle ne pouvait qu'en faire de même, ici, dans l'église, elle ne pouvait rien contre moi. Enfin, si Ashley a le respect des églises, elle ne fera rien, sinon, j'aurais des ennuis.

Ne faites aucun gestes brusques dans cette église, si vous ne tenez pas à avoir la honte sur vous. Ou pire, si vous ne voulez pas que j'ai des gestes brusques envers vous. J'en serais capable... Je l'ai déjà fait.

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Lun 8 Oct 2012 - 21:13

La tension montée de plus en plus entre Andrew et moi, je commençais à ouvrir les yeux. Comprendre petit à petit, mais en même temps je doutais, car il était derrière les barreaux. J’en étais certaine, il n’était pas sorti puis ce n’était pas celui que j’avais vu sur les photos. Mais, Andrew me cachait quelque chose, il n’était pas net et mijotais quelque chose derrière ce stress. J’étais calme, même si j’étais en train de bouillir de l’intérieur, il devait me dire ce qu’il savait à mon sujet. Je ne le connaissais, je me disais que finalement j’aurais dû faire des recherches à son sujet. J’aurais dû réagir comme un flic, ne pas être « normale » et être sage envers lui. Je lui demandais donc, ce qu’il voulait dire dans ces paroles précédentes. Il me regardait, son visage avait changé d’u seul coup. Il disait qu’il ne pouvait rien dire, il ne me dirait rien. Il ne devait pas le faire, je m’étais donc mise debout en passant mes mains dans les cheveux. Il fit de même, il semblait déterminé et non intimidé.

Si, vous allez me dire ce que vous savez ! Andrew, je dois savoir de toute façon je le serais rapidement…

Dis-je froidement, je le fusillais du regard je n’étais pas une faible. J’étais fasse à mon meurtrier ? Je ne me rabaissais pas à lui, loin de là je serais forte. Je sais faire preuve de sang-froid, je suis une femme de caractère et nous somme dans la maison de dieu. Ni lui, ni moi n’oserons faire quoi que ce soit dans ce lieu. Je respectais les églises, dieu alors je ne ferais rien. Mon arme était dans ma voiture, je me désarmée automatiquement, quand j’allais dans un lieu public en dehors du travail. J’avais peut-être le reste à ma ceinture, caché par mes vêtements. Je suis douée, pour cacher certaine chose. Le film me repassais en boucle dans ma tête, je ne voyais pas on visage, JE NE LE VOYAIS PAS !!!!! Pourquoi ? Andrew se rapprocher de moi, l’air menaçant je le fixais longuement. Il ne me ferait pas baisser les yeux, il sait qui je suis, ce que je fais alors pourquoi réagir ainsi face à moi ? Approchant son visage du mien, il approchait ses lèvres vers mon oreille pour y chuchotais des paroles. J’avais demandé au jeune homme, de me dire quel mal il avait fait. Il reposait la question, j’étais de marbre et ne bougeais pas. Nous n’étions pas seul de plus, autant dire je ne pouvais rien dire ou faire dans cet endroit. Pourquoi ai-je mis les pieds ici, j’aurais dû rester à l’extérieur. Il pouvait faire le genre de mal, que toutes les femmes ne supporteront pas…Oui, je voyais de quoi il parlait. C’était un violeur, un détracté complet et il fallait l’enfermé, il prend du plaisir à faire ça. Pour oui, c’était une façon de se sentir bien, le son de sa voix et son comportement le trahissait si facilement. Murmurant doucement, vers lui.

Je vois très bien où tu veux en venir, t’es malade !

Ma voix était devenue roc et froide, on pouvait entendre la haine en moi. Il avait approché son corps vers le mien, il passait ses mains dans mes cheveux. Je retirais ses mains de moi et mon corps violement.

Tu me lâche, où tu vas regretter ce que tu fais, ne m’oblige pas à faire ça dans la maison de dieu.

Il me menaçait de ne faire aucun geste brusque dans l’église, si je tenais à ne pas avoir honte. Si je le faisais, lui oserait après tout il avait déjà essayais. Je ne pouvais rien faire ici, bon sang je devais sortir…dehors je serais libre.

Sortons d’ici, on verra celui qui est super ! Ici, tu profites car t’es un faible et tu sais parfaitement, que je ne ferais rien dans une église.

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Mar 9 Oct 2012 - 0:07

Enfin, elle m'avouait enfin qu'elle était flic avec cette phrase. Je le savais déjà bien évidement grâce à ce que j'avais fait il y a un an ou à cause. Mais maintenant je le savais et je pouvais m'en servir à l'oral. Je m'en serais servit avant, elle se serait déjà posé encore plus de questions. Je savais très bien qu'elle allait faire des recherches sur moi. En tout cas, elle aurait du en faire car maintenant, elle était à ma merci. Bien fait pour elle, elle aurait du comme tous les autres flics se renseigner sur les gens qu'elle fréquente. En même temps, pour une fois qu'un flic n'agit pas de la sorte. Ce serait presque respectable de sa part. Mais il est hors de question que je la respecte. Quelqu'un que je respecte, ce n'est surement pas quelqu'un que je viol ou que j'ose violer. C'est quelqu'un avec qui je rigole, c'est quelqu'un avec qui je parle des heures mais ce n'est pas quelqu'un comme Ashley. La femme est belle et elle correspond parfaitement à mes critères de femmes à violer. Bon, ce n'était pas non plus de sa faute si elle était belle, c'était plutôt tempi pour elle.

Je ne vous direz rien car je pense que vous avez déjà deviné.

Je la fixais droit dans les yeux. Lorsque je m'étais approché d'elle de très près, j'avais pu lui parlé et j'avais surtout pu entendre sa réponse. J'étais malade d'après elle... Hum, oui elle avait surement raison. J'avais un problème mais ce n'était pas une maladie, c'était plutôt un problème de coeur qu'elle ne pouvait pas comprendre. Un énorme problème qui me hantait depuis déjà huit longues années. Depuis la mort de mon frère jumeau Justin j'étais devenu malade comme elle sait bien le dire. Mais ça, ce n'était pas son problème, c'était mon problème au quotidien. Son problème a elle était de rechercher des meurtriers, des fous furieux de la gâchette et des violeurs, comme moi. Elle avait reculé et elle avait rejeté mes mains dans ses cheuveux. J'étais plus fort qu'elle ne le pensait. Des années en prison passé à la salle de sport, ça muscle tout ça. Je ne répliquais même pas sur cette phrase comme quoi je suis censé être un malade. Il était hors de question que j'en parle où j'allais sortir de mes gonds. Et on ne peut pas se mettre dans des états pareil dans la maison du seigneur, c'était impossible pour moi d'imaginer ça.

Que je ne vous oblige pas à faire quoi dans une église ? A me tuer ou pire grâce à votre arme ? Comme j'ai déjà faillit le faire avec vous ?

Voila, tout était dit, j'étais enfin libéré de ce poids qui pesait sur mes épaules depuis déjà un an. J'étais libre de ne plus y penser et surtout libre de ne plus avoir peur que quelqu'un le découvre. Ashley me défia de sortir de l'église. Pourquoi aurais-je envie de sortir ? Surement pas, une fois dehors, elle me tuerait ou elle me planterait un couteau. Je connais bien ce genre de personnes, les flics sont prêt à tout pour arrêter quelqu'un, mais elle ne m'aura pas. Enfin, pas aujourd'hui. Moi je ne l'aurais pas non plus car je ne peux pas violer quelqu'un à l'intérieur d'une église. Mais je peux faire toutes sortes de choses sans pour autant en venir au sexe pure et dure.

Par rapport à vous, moi je ne suis pas obligé de faire des gestes brusques qui risquent de déranger les autres personnes de cette église.

Je m'approchais à nouveau d'elle pour cette fois lui attraper la main et la tirer vers moi. Je la serrais contre moi et je pu allé assez vite pour pouvoir lui faire un bisou dans le cou avant qu'elle ne se débatte. Je laissais un sourire s'afficher sur mon visage. C'était déjà un bon plaisir pour moi que d'embrasser dans le cou une femme, même si ce n'était pas pour la violer. J'avais décidé de rester dans l'église alors c'est ce que j'allais faire. Je serrais la main d'Ashley pour ne pas qu'elle puisse s'en aller.

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Mar 9 Oct 2012 - 9:16

La situation était de plus en plus compliquée, je ne savais pas vraiment quoi faire. Le problème était le lieu où nous étions, je ne pouvais pas me comporter comme un flic dans cet endroit. Nous n’étions pas seuls, car je ne me serais pas gêner et ça croyez moi. Je n’aurais pas eu peur, de l’allonger au sol ce salop, et lui mettre la misère avec le sourire en prime. Mais, là c’était plus compliquer…Andrew était un malade et un détraqué prêt à absolument tout. Rien ne pouvait l’arrêter, je sais de quoi je parle car j’étais enfin compris la vérité, il avait joué avec moi. Il s’était foutu de ma gueule, il savait depuis, le début qui j’étais réellement. Que j’étais la femme qu’il avait essayais d’abattre, que j’étais flic et que j’avais pris trop confiance en lui. Je venais de me bruler les ailes, il fallait que je trouve le moyen de l’arrêter, de le faire sortir et ne pas éveiller les soupçons vers les deux catholiques non loin de nous.

Oui, j’avais deviné et il était cotent en plus, au fond de moi j’étais effondrer et à la fois j’avais cette envie de l’achevé. Je devais me calmer, mais comment faire quand vous vous retrouvez face à votre assassin et en prime c’est un violeur sans pitié. Ils n’ont d’ailleurs aucune pitié pour personne et aucun remords, bien au contraire ils se sentent si bien après et fière. Il avait eu son premier contact avec moi, j’avais repoussé ses mains. Il était hors de question qu’il me touche, mon métier été de foutre ses pourritures derrière les barreaux. Jamais on ne m’avais fait ce genre de chose, mais je ne suis pas une victime. Je suis un flic en mauvaise posture qui doit trouver une solution rapidement, il était en crise et je sais que je ne pouvais pas l’arrêter. Andrew n’irait pas dehors, car il sait parfaitement comment on procède et ce que je peux faire de lui. Il était venu ici, car il avait des remords pour autre chose mais j’ignorais la vérité encore une fois. Mais, celle-ci il ne me l’avouait pas…enfin je ne pense pas. Je devais essayais d’établir une autre solution pour l’apaiser et arrêter sa crise. Il se croyait plus fort car je suis une femme et lui un homme, mais il se trompait on ne se fit pas aux apparences. Je suis entrainer, je ne suis pas une femme qui a peur facilement même si à ce moment je devrais. Il murmurait que je ne pouvais pas quoi dans cette église ? Le tuer avec mon arme, comme il avait fait pour moi. Je serais mes poings, j’allais le tuer de mes propres mains. Quitte à ce que je me face des tords, mais je me disais que je ne pouvais pas…J’avais envie d’hurler, de pleurer et me défouler sur moi comme il a fait sur moi.

Te tuer serais trop facile Andrew, j’en ai pas l’intention vois-tu. Malheureusement pour toi, je ne suis pas morte je suis une dure et je suis à présent revenue.

J’approchais mes lèvres de son oreille, en chuchotant doucement d’une voix terrifiante.

Je suis revenu de chez les morts…certain n’ont pas pu, mais te le fond payer autrement.

Sourire en coin, il commençait à se laisser emporter. Il ajoutait que comparé à moi, lui n’était pas obliger de faire des gestes brusques qui risque de déranger. Il était contre moi, prit ma main en la serrant fortement. Il déposait un baisé dans mon cou, d’un geste sec et violent je lui mis un coup d’épaule en pleine tête. Je me retrouvais face à lui, je ne pouvais pas le laisser faire. Il en était hors de question, les deux personnes dans l’église relevèrent la tête. Ils ne parlaient pas, juste regardaient ce qu’il se passait.

Maintenant on va sortir gentiment Andrew, d’accords ?

J’avais ma carte de police sur moi, ça pouvait me sauver déjà. Je demandais aux deux chrétiens de ne pas s’inquiéter, ce n’était rien de grave j’étais de la police. J’avais promis une chose, ne jamais faire ce genre de chose dans la maison de dieu, mais me faire violer hors de question !

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Mar 9 Oct 2012 - 11:50

Les choses commençaient vraiment à prendre une autre ampleur. J’avais trouvé un truc pour l'énerver. Mais une femme énervé est pire que le meilleur homme de la terre entrainé. Je ne peux pas savoir ce qu'elle va faire et la force qu'elle va mettre dans son action. Déjà que la dernière fois, une femme que j'allais violer c'était énervé et m'avait assommé, alors une femme flic énervée, je ne savais pas ce que ça pouvait donner. D'un certains côté, je trouvais plutôt cela amusant qu'elle résiste. C'était plus marrant de les voir résister. Mais c'était aussi drôle de les voir apeuré. Tout ce que disait Ashley ne me fit sourire qu'encore plus, tout ce qu'elle était entrain de dire me montrait qu'elle était belle et bien énervé. Je ne savais donc pas quelle force elle pourrait déployer pour m'exploser la tronche. Mais elle n'avait pas envie de me tuer, ça c'était sur sinon elle m'aurait déjà trainé dehors pour le faire. Mais d'un, on était dans un église et de deux, elle voulait me faire payer et me faire souffrir, pas me tuer, cela se voyait dans ses yeux. Elle était réellement en colère. Je pouvais même le sentir au ton de sa voix. Elle avait un tout petit peu peur, mais vraiment un petit peu et le reste n'était que colère et rage. Elle avait vraiment envie de me le faire payer. Cela me faisait sourire.

Je ne voulais pas vous tuer, le coup est partit tout seul, mais maintenant que vous le dites, j'aurais aimé que vous restiez au sol.

Après tout, maintenant qu'elle voulait me faire la peau et m'exploser la tronche autant devenir méchant à mon tour avec elle. Lorsqu'elle me chuchota qu'elle était revenu d'entre les morts, un petit rire sortit de ma bouche. Elle fit allusion aux autres gens que j’avais tué, je n'en avait tué aucun donc je ne me sentais absolument pas responsable. Le seul que j'ai tué pour moi, c'était mon frère. Personne d'autre n'était mort de mes mains, enfin, déjà que lui je ne l'avais pas tué alors les autres... Elle s'était une erreur mais jamais de la vie je n'avais donné la mort à quelqu'un. Sinon comment la police de Berlin aurait pu me retrouver si ce n'était pas grâce aux témoignages des jeunes femmes que j'avais violé. Si je les avais tué, je n'aurais pas été en prison car j'aurais cherché de bonnes cachettes pour les enterrer. Je n'aurais pas été débile à ce point. Mais non, il était hors de question que je tue quelqu'un.

Je n'ai jamais tué quelqu'un, vous étiez une erreur. Je devais me protéger pour m'enfuir.

Ashley venait de sortir de ses gonds, elle était tellement en colère contre le bisou que je venais de lui faire qu'elle me donna un violent coup d'épaule dans la tête. Je souris, je n'avais pas trop mal, après tout, en prison combien de fois je m'étais battu contre d'autres hommes et combien de coups de poings dans la tronche j'avais eut. Je ne les comptais même plus. Je pu remarqué qu'elle avait sorti sa carte de police pour rassurer les deux qui étaient entrain de prier et que nous avions dérangé. C'était le moment de sortir, elle avait raison sur ce point, il était hors de question que je dérange des gens qui prient. Je prie donc la jeune femme en posant ma main par derrière son dos sans toucher aucune de ses parties intimes, j'aurais pu la mettre plus bas vers ses fesses, mais d'une, elle se serait défendu et de deux, j'étais dans une église. Nous allions vers la sortie, là-bas, c'était une autre Ashley que j'allais découvrir. Le soleil me fit plisser légèrement les yeux, cela faisait quelques temps qu'on était dans l'église. Arrivé dehors, je lâcha Ashley et je descendis en vitesse les escaliers avant qu'elle ne m'attrape. Je préférais l'attendre en bas des escaliers c'était plus sur, il ne manquerait plus qu'elle me pousse dans les escaliers la tête la première.

Voila, nous sommes dehors, que voulais-tu me dire ?

Mon sourire s'afficha à nouveau, j'attendais qu'elle descende les escaliers pour reprendre là où on en était.

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Mar 9 Oct 2012 - 14:50

Je n’étais pas le genre de femme à prendre avec des pincettes, j’étais une femme forte et avec beaucoup de caractère. J’avais fait mes preuves dans le passé, j’étais même l’une des meilleures lors de ma promo et quand je suis rentré au FBI. Je me souviens de la tête de mes collègues, qui me regardé stupéfait. Je suis une femme menue, petite et pas très épaisse, mais pourtant je savais taper et être méchante. Andrew avait su souci à se faire, il a peut-être fait de la prison pour viol. Cela pourrait me faire peur, mais pas du tout même s’il a pu s’endurcir et prit de nombreux coup en pleine tête. J’étais rempli de rage, je lui en voulais terriblement et je voulais me venger. J’étais si contente de l’avoir devant moi, il était à moi, à moi seule ! Dieu m’avait mise sur le bon chemin finalement, je commençais à prendre plaisir. Mais, je ne le tuerais pas car ça serait bien trop facile. Je voulais le faire souffrir, lui montrer ce que j’ai enduré durant toutes ses années j’ai encore mal. Tellement mal au fond de moi, Andrew devait subir ce que j’ai moi-même subit. Sourire aux lèvres, il disait ne pas vouloir me tuer. Le coup était parti tout seul, il n’avait pas eu l’intention de me tuer. Tu parles, il avait tiré sur moi comme un chien. Mais, il aurait aimé me laisser au sol, que je sois morte et loin de ce monde.

Qu’elle joie je me ferais, si je le pouvais mais je me trouvais dans cette église. Il profitait de ce moment, pour jouer avec mes nerfs et me mettre à bout pour que je flanche. Mais, je lui avais bien dit qu’ici je ne ferais rien. Je respectais l’église, donc il était hors de question que je fasse quelque chose de grave. Je lui murmurais à l’oreille, que j’étais revenu de chez les morts. Alors, je me venger de la part des autres, il se mit à rire si fort. Jamais il n’avait tué qui que ce soit, j’étais juste une erreur. Cette erreur était pour se protéger, bien sûr il disait cela mais je ne croyais pas un mot de tout cela. Puis, il avait osé m’embrasser dans le cou, toutes ses femmes avaient subi le même sort. Mais, elles ne pouvaient rien contre un homme, ils sont si fort et on le déçu facilement. Elles ne sont pas flics, militaire où je ne sais quoi, pour connaitre les techniques de défenses. Elles doivent attendre que ça se passe, souffrir en silence et pleurer. Je savais qu’Andrew été louche, mais à ce point je ne l’aurais jamais cru. Je lui mis un coup violent au visage, il souriait et ne disait rien. Il avait peut-être connu ce genre de frappe, ce n’était pas une première. Sauf, de la part d’une femme qu’il essai de violer. Nous devions sortir, les gens prié et il ne fallait pas les déranger plus longtemps. Prier sait pêcher, hors de question que l’on foute la pagaille dans le coin. Il passait son bras autour de ma taille, face aux personnes je ne disais rien. Mais, je ne me laissais pas tripoter plus longtemps. J’attrapais mon bras, en le poussant vers l’extérieur de l’établissement catholique. Je le poussais, nous étions enfin seul et face à face. Il prit la fuite en descendant les escaliers, il était en bas amusé. Il ne faisait pas la main, pourtant il aurait pu mais je l’impressionner ? Avait-il peur de ma réaction, que je lui fasse connaitre l’enfer. « Voila, nous sommes dehors, que voulais-tu me dire ? »

Tu as peur de moi ? Pourquoi est-ce que tu part aussi rapidement, je suis une femme pourtant. Je devrais être simple à maitriser, être ton jouer comme toutes..

Je descendais les escaliers en pierres rapidement, j’étais déterminer. Je ne le lâchais pas des yeux, j’avais un regard menaçant. J’attrapais Andrew par le col de son tee-shirt.

Vous protégez pour vous enfuir, je suis une erreur, vous prenez du plaisir en violant toutes ses femmes. Aujourd’hui, c’est moi qui est les cartes en mains. J’ai attendu ce moment depuis trop longtemps, je me ferais un plaisir de t’envoyer derrière les barreaux.

Je le regardais dégouter et hors de moi, je lâchais mon assassin. Il fallait que je parte, si je ne partais pas j’allais commettre une grosse erreur. Je ne voulais pas en venir là, ce n’était pas mon but.

On va se revoir Andrew, bientôt ne t’inquiète pas.

Sujet: Re: Pardonne moi seigneur.... Mar 9 Oct 2012 - 15:40

La jeune femme se laissa prendre par la taille. Après tout, il fallait faire bonne figure devant les autres. Mais arrivé dehors, elle me tordit le bras pour se dégager de moi. Je souris. Je descendis vite fait les escaliers pour ne pas avoir à tomber dedans à cause d'elle. Elle me posa une question très débile, j'avais peur d'elle ? Surement pas. Je n'avais peur de personne à par de Aaron car il essayait de me faire interner en hôpital psychiatrique, il était hors de question que j'aille là-bas. Je préférerais limite d'aller en prison qu'en hôpital. Il le savait et c'est pour ça qu'il voulait m'envoyer là-bas car je deviendrais encore plus fou et cela me plaisait moins que la prison. Après tout, je préfère rester dans ma cellule de prison seul et au calme que d'être dans la chambre d'un fou qui pourrait me faire perdre la tête. Je préfère rester dans la cour avec des centaines de prisonnier encore plus méchant que moi et qui vont me casser la tronche parce que je suis violeur que d'aller dans la cour d'un hôpital psychiatrique où je serais entouré de dizaine de fou. Oui, je connais ce qu'on fait au violeur en prison, je m'en suis déjà prit plein la face. Je me suis fait frapper, je me suis fait tabasser, une fois même dans les douches, je me suis fait violer moi même par un homme, je sais très bien ce que c'est que d'être violeur en prison. Le pire, c'est qu'on pourrait croire que cela amuse les gardiens de voir les violeurs se faire tabasser. Lorsqu'il y avait une bagarre contre moi, ils attendaient un petit moment avant d'arrêter la bagarre alors que lorsque je déclenchais une bagarre, c'était coup de matraque tout de suite sur moi bien sur. Je sais très bien que ce n'est pas bien ce que je fais, mais une fois que je suis lancé, je n'arrive plus à m'arrêter.

C'est pour ça que tout à l'heure j'ai faillit déraper et dans une église en plus. D'une certaine façon, c'est grâce à Ashley si je n'ai pas été plus loin. Grâce à sa capacité qu'elle a eut de me repousser et aussi celle qu'elle a eut de parler aux autres personnes de l'église. Cela m'a calmé un peu et lorsqu'elle m'a demandé d'aller dehors et que nous y sommes allé, j'ai eut le temps de réfléchir sur le tout petit chemin qui m'avait mené à dehors. C'est là que j'ai comprit l'erreur que j'avais faillit faire de violer quelqu'un dans une église. Mais je ne m'en voulais pas tant que ça. J'avais toujours le sourire aux lèvres. La voix de Ashley me renvoya à la réalité. Elle me parlait de m'envoyer derrière les barreaux. Cela ne me dérangeait pas du tout car elle n'allait pas le faire tout de suite. Sinon, elle aurait déjà sortit ses menottes. Dommage car la prochaine fois que je la verrais, cela veut dire que soit elle ne sera pas toute seule, soit elle sera dans un lieu public. Dans tous les cas, je ne pourrais jamais la violer celle-là. Elle allait être méchante et sur les gardes avec moi maintenant, mais elle ne m'aurait pas. Jamais, non jamais elle n'arrivera à me mettre en prison. Elle m'avait attrapé par le col pour me dire tout ça, je n'avais pas bougé, je m'étais contrôlé, car si j'avais encore essayé de la violer ici, j'aurais directement été au poste de police puis en prison. Je savais très ce qu'il allait se passer.

Je ne vous attendrais pas, je me ferais un plaisir d'en violer une autre au passage.

Soudain, Ashley fit quelque chose que je ne m'attendais pas à attendre. Elle fit demi tour et elle m'expliqua qu'on se reverrait. J'avais encore le sourire aux lèvres. Je remis mon tee-shirt correctement et j'attendis qu'elle parte un peu plus loin avant de partir moi aussi dans une direction opposée pour ne pas qu'elle me suive au cas où. Je rentrerais chez moi plus tard dans la soirée, là, le plus important c'est de ne pas se faire arrêter. Même si j'étais fatigué de cette petite journée, j'attendrais d'être chez moi en sécurité pour dormir.

» « Qui devrait être celui qui pardonne, qui devrait être le seul à aimer et qui devrait être celui qui souffre ? »

Pardonne moi seigneur....

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