ᘛ She stops bleeding after thirteen years. Then she understands.
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Sujet: ᘛ She stops bleeding after thirteen years. Then she understands. Dim 30 Sep 2012 - 0:13
FBI Confidential File n°00328 200 16
FEAT. REINA TANAKA
identity card ; state of virginia
What's your story ?
Anonymous a écrit:
❝ With nine hundred and ninety-nine paper cranes I'm always just one away. Even so I see the thousandth flying over the horizon where it'll forever be waiting for me. ❞
VII
Sumire passa une main distraite sur la cicatrice en forme d’étoile qui ornait son poignet droit, presque machinalement, et elle grimaça en sentant la texture rugueuse, même après toutes ces années, sous ses doigts. Ô combien elle détestait cette cicatrice - elle lui rappelait ses erreurs, son passé, ses émotions, et le tout se percutait en un flash étonnant, pour ne former qu’une image indécise au fond de son esprit, et un sentiment si familier exploserait dans sa poitrine, lui contracterait lui entrailles, lui dirait tu es seule, personne n’est là pour toi, tu es seule. Elle était habituée aux regards compatissants des gens quand ils voyaient sa cicatrice. Elle n’en voulait pas. Elle ne voulait pas de pitié pour quelque chose qu’elle avait tellement, tellement mérité. Ses yeux foncés, presque noirs, se posèrent sur son reflet dans le miroir, et elle dut s’accrocher de toutes ses forces aux rebords de l’évier pour ne pas succomber à ses pulsions et le briser. C’était une mauvaise habitude qu’elle essayait de supprimer, mais elle ne supportait pas, franchement pas, de voir son visage se refléter quelque part.
Beaucoup de gens la complimentaient sur la beauté de son visage, la finesse de sa taille, ou pour d’autres raisons, mais elle n’écoutait jamais que d’une oreille distraite. À chaque fois qu’elle se voyait dans le miroir, elle voyait cette ombre inexistante flotter au-dessus d’elle et ses sourcils se fronçaient par pure frustration, parce qu’après toutes ces années, elle n’avait pas réussi à tourner la page.
« Alma » voulait dire « âme » en espagnol. Quand elle avait lu ça, elle avait ri jaune. Elle avait déchiré la page du livre dans lequel c’était écrit et l’avait jetée. En relevant les yeux, elle avait vu son reflet et ce fantôme cruellement familier.
Était-elle condamnée à voir son âme, jour après jour, comme triste souvenir de ce qu’elle avait fait ?
III
- Quand tu seras adoptée, qu’est-ce que tu feras, Sumy-chan ? - Almaa ! Je t’ai déjà dit de ne pas m’appeler comme ça ! grogna la fillette, ses yeux dérivant sur son meilleur ami, puis elle posa un doigt sur sa bouche comme pour réfléchir. Hmm, quand je serai adoptée, je viendrai te voir tous les jours, et on jouera ensemble. Et on fera tous ces trucs que les enfants de dehors font, comme aller manger des glaces au parc, aller à l’école, partager nos goûters - mais seulement si tu me promets que tu mangeras pas tout le mien, parce que tu manges vraiment beaucoup !
Au manque de réponse de son meilleur ami, elle se tourna pour le voir (elle n’avait même pas remarqué qu’elle avait avancé en parlant) et elle vit que des larmes se formaient au coin des yeux d’Alma et que sa bouche était ouverte en un 'o' parfait. Sumire soupira et elle prit son ami dans ses bras - même si c’était compliqué, parce que maintenant, il la dépassait d’au moins une tête. Elle fit la moue en constatant pour la énième fois cela. Qu’est-ce qu’il mangeait pour être si grand ? Elle était presque sûre qu’il avait des boîtes de soupe cachées sous son lit qu’il buvait la nuit, quand tout le monde dormait. Pour ne pas avoir l’air petite, elle se mit sur la pointe des pieds, et sa tête reposa sur l’épaule du garçon. Fière d’elle, elle put se concentrer sur le corps qui sanglotait contre elle, et elle leva les yeux au ciel.
- Alma, tu pleures vraiment pour rien ! À chaque fois que je dis quelque chose comme ça, tu te mets à geindre comme une fille.
Les pleurs du petit ne firent que redoubler d’intensité et elle soupira ; mais rapidement, une paire de bras vint s’enrouler autour de son corps frêle, et elle se sentit tout de suite en sécurité, à la maison, quand son corps tomba dans cette étreinte familière. Il finit par ce calmer - à grand renfort de tapes sur le dos et de mots susurrés à son oreille par son amie - et il renifla, pour dire dans un souffle :
- Sumire, je…
Il n’eut jamais l’occasion de finir sa phrase, car le Professeur Yamashita les rappela à l’ordre. Elle se décolla et ses sourcils se froncèrent pour la cinquantième fois de la journée (c’était devenu un geste fréquent depuis qu’Alma était son meilleur ami) en remarquant l’expression qui montrait clairement la déception de son ami face à l’échec qu’il avait rencontré. Elle rigola doucement, lui tapota l’épaule, et attrapa sa main pour se diriger vers le bâtiment où déjà les autres enfants s’attroupaient. Voyant que l’expression du garçonnet ne changeait pas, elle dit dans une voix qu’elle voulait rassurante :
- T’inquiète pas, Alma ! Tu me diras ça plus tard, n’est-ce pas ? On a le temps !
Son visage resta contracté quelques secondes de plus, puis un sourire se profila sur ses lèvres, il acquiesça avec entrain, et sa main resserra son emprise sur la sienne.
VIII
Elle ne fit jamais d’études - mais son travail au théâtre lui convenait. Elle n’étais pas stupide, loin de là. Elle n’avait juste pas voulu passer une seconde de plus dans sa vie dans un bâtiment qui appartenait à l’état. Les fantômes du passé surgissaient de tous les coins, sinon. Elle rencontra Isy et Luke comme ça ; tous deux travaillaient avec elle. Isy était une jeune fille plein d’entrain, et douce - c’était aussi la petite amie de Finn, le garçon qui travaillait à la bibliothèque, lui confia-t-elle, les étoiles plein les yeux. Luke était son opposé. Il était grincheux, renfermé, calme et ne parlait jamais pour ne rien dire et chacune de ses phrases était ponctuée par une insulte, mais ses intentions n’étaient jamais mauvaise. Mais tous deux étaient passionnés par le théâtre, et Sumire les apprécia immédiatement.
Elle apprit à les connaître ; deux simples personnes sur huit milliards, et pourtant, ces deux simples personnes semblaient toujours la mettre de bonne humeur. Même si Isy était parfois trop enthousiaste et Luke trop dur dans ses mots.
Sumire se surprit à penser qu’elle donnerait n’importe quoi pour garder la vie qu’elle avait à présent, à Quantico, avec son gardien irresponsable et ses amis étranges.
I
La lune brillait étonnement fort, cette nuit-là, et elle contrastait avec la couleur noire du ciel. Rien ne venait perturber le silence ; parfois, peut-être, des étudiants passeraient et leurs rires résonneraient dans les rues ; parfois, un couple rentrerait de soirée, et la femme se blottirait aux creux des bras de son époux ; parfois, un soufflement de chat se ferait entendre suivi d’un aboiement de chien, et le bruit de griffes courant sur le béton - mais bien vite, le silence reprendrait ses droits, plongeant la ville dans la quiétude la plus parfaite.
Un des seuls endroits où le bruit régnait était l’hôpital. Des éclats de voix, le bruits de plateaux s’entrechoquant, les pleurs, les rires. L’hôpital pouvait signifier début comme fin, joie comme peine, bonne ou mauvaise nouvelle. Certains pensaient que tout était dû au destin ; d’autres à la compétence des médecins ; d’autres à dieu quelconque.
Un cri de bébé déchira soudainement la nuit, suivi presqu’immédiatement par une voix fatiguée mais joyeuse qui dit :
« C’est une fille ! Félicitations, Madame Ishii ! »
V
La poigne qu’elle avait sur son arme improvisée se resserra tandis que les policiers l’entouraient, lui demandaient si elle allait bien, lui posèrent une couverture sur les épaules, mais bizarrement, elle ne sentit aucune chaleur en irradier. Ils lui expliquèrent rapidement qu’ils s’étaient rendus compte que l’orphelinat faisait du trafic d’enfants, chose plutôt courante au Japon, et que tout allait bien, maintenant. Il lui posèrent beaucoup de questions, lui demandant si elle était la seule survivante, si ses amis allaient bien, eux aussi. Ils eurent leur réponse quand la porte s’ouvrit et que le corps d’un enfants tomba sur eux, les yeux encore écarquillés sous le choc. C’est la dernière chose qu’il fallut à la petite fille pour que les larmes lui reviennent, et elle murmura entre ses sanglots :
- Je suis désolée, Alma… Tellement désolée…
IX
Puis un jour, alors que Sumire vagabondait à la bibliothèque, elle était tombée sur une jeune fille qui devait avoir des origines asiatiques, à sa peau de couleur jaunâtre et ses traits tirés. Elle n’y avait pas prêté plus d’attention - après tout, croiser d’autres asiatiques était fréquent, même aux USA - et elle avait replongé dans sa lecture (Hamlet de Shakespeare), mais elle avait été rapidement gênée par la sensation de deux mains jouant avec ses cheveux. Elle s’arrêta un instant pour sourire, avant de dire :
- Finn, tu pourrais me laisser lire tranquillement ?
Finn Parker était un jeune homme énergique qui souriait à la vie et acceptait tout à bras ouvert. Il vivait avec son grand-père, un homme grincheux, mais avec un bon fond, qui tenait la bibliothèque - même si la plupart du temps, c’était Finn au comptoir et pas lui. Elle était devenue amie avec le jeune homme aux cheveux blonds brillants dès le premier jour. Mais à vrai dire, tout le monde était ami avec Finn. Comment ne pas l’être, quand on était toujours accueillis par un sourire sincère et brillant ? Il était sans doute son ami le plus proche - enfin, avec ses deux autres camarades qui jouaient au théâtre. Le jeune homme se contenta de rire et de lui embrasser le crâne. Elle soupira : elle aimait Finn, oui, mais pas autant que Shakespeare, et elle était plongée dans son roman - comment avait-il osé la déranger alors qu’Ophélie criait : « Ô venez-lui en aide, cieux bienveillants ! » ? Un deuxième baiser fut déposé sur sa tête et elle craqua. Elle était d’un naturel poli et réservé, mais trop était trop, et elle assena un coup sur la tête de son ami. Les livres ne devraient pas être utilisé pour la violence !, disait-elle souvent, mais Finn avait l’habitude de retourner ses propres dictons contre elle.
- Errr ! Hidoi desu, Sumy-chan ! - Aaargh ! N’essaie pas de parler Japonais, imbécile ! Tu fais saigner mes oreilles ! Et ne m’appelle pas Sumy-chan !
Il se contenta de rire et poser ses mains sur son dos, sa bouche s’étirant en un sourire tandis qu’elle lançait toujours des éclairs dans sa direction. Il soupira, puis s’approcha de son oreille. Il lança des coups d’œil à droite et à gauche, avant de poser sa main devant sa bouche - comme si ça allait empêcher les autres d’entendre ce qu’il allait dire, pensa Sumire en levant les yeux au ciel - et lui dit sur le ton de la confession :
- Tu sais, Sumy-chan (elle hissa et il l’ignora promptement), il y a cette jeune fille qui vient souvent et qui me fait penser à toi. Elle aime les même livres, elle est asiatique, elle est jolie… - Est-ce que tu viens de dire que j’étais jolie ? - … et je suis sûr qu’elle s’énerverait si je lui donnais un petit surnom affectif. Tu devrais lui parler - regarde, elle est là, dans le coin !
Sumire tourna la tête pour voir la direction qu’il lui montrait, et elle reconnut la jeune fille qu’elle avait entraperçu plus tôt. Sa bouche se réduit en une ligne sceptique, mais Finn, en remarquant son expression, lui arracha Hamlet des mains et Sumire pleura mentalement sa perte, puis la poussa dans la direction de l’inconnue. Elle le maudit mentalement et se fit un plaisir de lui envoyer un regard meurtrier, avant de soupirer et de se diriger vers l’inconnue. Elle s’assit à côté d’elle et prit une grande inspiration, avant qu’un sourire ne se forme sur son visage et qu’elle ne dise d’une petite voix malgré ses efforts :
- Hum… bonjour ?
X
Le lendemain, quand elle croisa son reflet dans un miroir, l’ombre avait disparu, et elle se demanda distraitement si c’était grâce à Ayame.
IV
Elle avait toujours aimé le rouge. Le rouge tait sa couleur préféré. Ça lui rappelait les roses de la passion, le soleil au crépuscule, le sweater d’Alma qui sentait si bon. Ce n’était que naturel que sa chambre soit remplie de rouge.
Pourtant, son amour pour le rouge disparut le jour où elle vit son meilleur ami entouré de rouge, du rouge, partout, partout du rouge, qu’importe l’endroit où ses yeux se posaient. Elle se souvint avoir hurlé. Ou plutôt, elle s’était vue hurler, comme si son monde était passé à une perspective à la troisième personne. Les yeux chocolat qu’elle aimait tant s’étaient posés sur elle, et un sourire sincère avait déformé les traits de son ami, comme s’il n’en revenait pas qu’il ait épargné Sumire. Son sourire était toujours là lorsqu’il lui dit, en enlevant la lame du couteau du corps de madame Satô, une jeune femme si jeune, trop jeune :
- Sumire… je suis désolé, mais il va falloir que je te tue, maintenant.
VI
Il lui fallu du temps pour reconstruire sa vie. Après tout, qui pourrait reconstruire un château sur des ruines de quelque chose qui fut avant somptueux ? Elle savait qu’elle n’arriverait jamais au résultat voulu, mais elle essaya de tout son cœur. Elle ne put dire qu’elle reçut l’aide de son tuteur - le salaud, qui passait son temps à courir les jupons et à boire - mais la musique lui apporta. Quand elle jouait du piano, elle avait l’impression que tout disparaissait. Et c’est comme ça, que jour après jour, un sourire reprit place sur son visage, et elle posa un masque joyeux sur son visage. Peu de gens arrivaient à voir à travers. Et c’était son but. Elle ne voulait pas de pitié. Elle s’arrangeait pour cacher sa cicatrice, ses larmes, ses émotions. Parfois, son tuteur la regardait faire de loin et s’ébrouait. Mais elle l’ignorait.
Et elle posa un voile opaque sur un miroir déjà brisé irréversiblement.
II
Elle savait que quelque chose ne tournait pas rond à l’orphelinat. Souvent, elle voyait d’autres enfants venant d’autres orphelinats, et ils n’avaient pas l’air d’être traumatisés, comme eux. Ils n’étaient pas blafards. Pas frêles. Ils semblaient heureux, et la plupart du temps, Sumire les regardait avec jalousie et tristesse. Certains remarquaient son regard et se moquaient d’elle.
Elle ne se souvint pas de quand tout cela avait commencé.
Quand on lui avait fait visiter, tout le monde avait eu l’air gentil, chauds et accueillants. Mais dès qu’elle fut installée, quelques semaines après la mort de ses parents (on ne lui avait pas dit qu’ils étaient morts, mais elle le savait, simplement. Si ses parents l‘aimaient tant que ce qu‘ils l‘affirmaient, pourquoi l‘auraient-ils laissée derrière quand il était parti « dans un endroit très loin », comme disaient les policiers ?) on la marqua au fer rouge sur le poignet droit. Elle avait eu tellement mal en sentant sa chair brûler, elle avait hurlé, pleuré, frappé, mais rien n’y faisait. Elle ne comprenait pas pourquoi on lui faisait ça : avait-elle été méchante ? Non, elle n’avait rien fait pour ennuyer les grandes personnes. Elle avait longuement pleuré après ça, dans la petite cour où les autres enfants jetaient à manger aux oiseaux. Et alors qu’elle était sûre qu’elle était vidée de toute ses larmes et qu’elle ne pleurerait plus jamais, un bras était venu s’enrouler autour d’elle et elle avait senti un corps chaud s’asseoir à côté d’elle. Elle avait tourné les yeux, la vision toujours embrumée par les larmes, et avait aperçu un garçon de son âge.
Elle l’avait déjà vu - il semblait être le chouchou des adultes. Il souriait tout le temps, et maintenant, alors qu’il la tenait tandis qu’elle pleurait, il lui souriait aussi. Elle sentit un sentiment incertain gonfler dans son corps, et elle se sentit un peu plus légère. Il était joli, avec ses cheveux courts ébouriffés et ses yeux marrons, quelques tâches de rousseur parsemant son nez et ses joues. Elle se demanda s’il avait déjà eu mal comme ça, donc elle osa un coup d’œil à son poignet et remarqua avec peur que lui aussi, avait cette marque en forme d’étoile. Remarquant le regard effrayé qu’elle lui portait il rigola doucement, et dit :
- On a tous cette marque quand on arrive. Ils disent que c’est pour montrer qu’on appartient à l’orphelinat.
Son regard se fit vague, mais il se remit aussi vite à sourire, puis il lui dit dans une voix tendre et calme - et Sumire se demanda vraiment si ce garçon n’était pas en réalité un ange :
- Je suis Alma, au fait. Et toi ?
Et c’est ainsi que tout commença.
PSEUDO • Hmmm... Appelez-moi Violette, d'accord ? C: CELEBRITE CHOISIE • Reina Tanaka AGE IRL • AHAH you wish. MULTICOMPTE • Nop. COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM • C'est une question rhétorique ? NIVEAU D'ACTIVITE • NIVEAU DE RP • DEBUTANT MOYEN BON TRES BON CONNAIS-TU CRIMINAL MIND• Pffft, non, c'est pour ça que quand ma mère a regardé le 6.18 cet aprèm, j'ai pleuré en voyant Ashley. AS-TU UNE REMARQUE/QUESTION • Mon histoire vous a confus ? Bien, parce que c'était mon but. Sérieusement, je voyais pas comment l'écrire autrement. (Et, AHAH, Greg, regarde au final j'ai fait un scénario différent des autres xD) Donc vous l'avez brouillon, parce que mon bêta reader a pas eu le temps de le relire. *fait la moue* HS, je suis débutante parce que ça fait perpette que j'ai plus RP et RP c'est différent d'écrire pour soi-même. Aussi, l'histoire de Sumire ressemble très fort à l'histoire de Yuu & Alma de DGM, d'ailleurs si quelqu'un lit le manga ça lui sautera aux yeux, donc disons que Katsura Hoshino a autant de droits que moi sur ce texte. BREF. Aussi mon Greg chéri, j'étais pas sûre pour Ayame & Sumire, donc si faut que je change (si tu veux que leur rencontre soit dans d'autres circonstances, ou si tu veux qu'on les fasse se rencontrer en RP), tu me le dis, de toute manière, MSN c'est là pour ça :3 AS-TU LU LE REGLEMENT •
Dernière édition par Sumire Ishii le Dim 30 Sep 2012 - 18:58, édité 7 fois
“  Delphine Moore Emia  ” Special Agent (SA)
Sujet: Re: ᘛ She stops bleeding after thirteen years. Then she understands. Dim 30 Sep 2012 - 0:57
Bienvenue sur le forum et bonne continuation pour la fin de ta fichette x)
“  Aaron Hotchner  ” Supervisory Special Agent (SSA)
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▌Messages : 2908 ▌Date d'inscription : 10/12/2010 ▌Métier : Chef d'équipe au BAU ▌Avatar : Thomas Gibson
Sujet: Re: ᘛ She stops bleeding after thirteen years. Then she understands. Dim 30 Sep 2012 - 1:09
Rebienvenue sur le forum
Contente de te revoir parmi nous Bon, je t'épargne le blabla habituel, tu connais de toute façon ^^ Je n'ai pas encore lu ton histoire (vu l'heure tardive, je le ferai plutôt demain), mais il me tarde déjà Bref, sinon bon courage pour la suite de ta fiche et un bon RP parmi nous ! C'est Grég qui va être content de voir la fiche
“  Invité  ” Invité
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Sujet: Re: ᘛ She stops bleeding after thirteen years. Then she understands. Dim 30 Sep 2012 - 9:19
Bienv'nue à toi ^^
“  Invité  ” Invité
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Sujet: Re: ᘛ She stops bleeding after thirteen years. Then she understands. Dim 30 Sep 2012 - 10:12
Sujet: Re: ᘛ She stops bleeding after thirteen years. Then she understands. Dim 30 Sep 2012 - 12:21
Alors, déjà ... Re-Bienvenue à la maison
Comme je te l'ai déjà dit plusieurs fois, ta plume est vraiment très jolie. J'ai lu par deux fois ton histoire, dans le but de ne louper aucun détails. Et j'avoue même que je m'y suis fait prendre. Tes chapitres séparés et mis dans le désordre, font penser à ces livres que je lisais dans le passé, en lançant des dés J'ai vraiment adoré ce concept, d'autant plus que tu es la première membre qui le fait. Ton histoire est vraiment captivante. Je la relirai encore avec plaisir D'ailleurs, c'est bien pour ça que je l'ai enregistrée sur mon ordi pour le faire et le refaire à loisir J'ne fais que me répéter, mais je suis vraiment fier de voir que tu as accepté de prendre l'idée du personnage. Effectivement, tu as eu là une autre idée de celles que tu m'avais proposé via MP, et franchement ... Ça a valu le coup d'attendre J'en suis absolument bluffé. Ton histoire m'a donné la larme à l'oeil. C'est tellement bien écrit, qu'on en ressent les émotions qui passent à travers les mots. Le fait de voir autant de soin apporté à un personnage que j'avais imaginé à la va-vite, le fait de voir autant de détails, d'imagination ... Ça me laisse rêveur J'ai hâte de pouvoir en lire la suite. En tous les cas, la fin de ton histoire me donnera certainement des idées pour - pourquoi pas - entamer un premier sujet là-dessus, quand tout sera okay Si tu veux bien Ton code est bien évidemment valide
Je n'ai rien d'autre à ajouter, si ce n'est bonne chance pour le reste, et encore un gros, un énorme, un immense MERCI pour ton entrain et ta détermination à ne pas laisser tomber Ça m'a réchauffé le coeur, avec c'que j'ai pu traverser dernièrement Et évidemment, j'ai fait exprès de le poster avec Ayame. Pas pour l'histoire des personnages et du ship que l'on va en faire, mais surtout pour les émotions et la sincérité qui passe à travers mon message. J'me voyais mal l'écrire sous la peau d'un psychopathe à moitié dérangé
Dernière édition par Ayame A. Takahashi le Lun 1 Oct 2012 - 10:42, édité 1 fois
“  Invité  ” Invité
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Sujet: Re: ᘛ She stops bleeding after thirteen years. Then she understands. Dim 30 Sep 2012 - 14:35
@ Delphine : Marchiiii !
@ Sev : HAAAAN SEV NON ! Quand tu l'auras lue, tu diras plus ça Quoiqu'il en soit, merciiii
@ Aleksandra : Merci !
@ Onika : Merci et merci !!
@ Greg :
Wat.
Qu'est-ce que tu - jikhnedfslhkdfsklhnjgdcjlnfds. Juste, jikhnedfslhkdfsklhnjgdcjlnfds.
Je m'attendais pas du tout à un compliment pareil ! Ça me fait hyper chaud au cœur, venant d'un Dieu comme toi ! Surtout vu que cette fiche a traîné en longueur et que j'avais hyper peur de poster ma présentation à cause de la façon dont le texte est disposé - tu sais, mélangé. J'avais peur qu'on me remballe et qu'on me dise "VIOLETTE YOU GO AND RESPECT THE RULES" ou un truc du style. Donc... Ah, ça m'émeut tout ça.
Par contre j'ai changé deux HORRIBLES fautes, donc ne m'en voulez pas s'il y en a d'autres... Et HS, mais j'ai posté ses liens. J'ai plus qu'à remplir le reste (ce qui sera sans doute fait ce soir, même si j'ai encore Allemand à étudier... tant pis, yolo) :3 En espérant que tu penses que ce soit aussi bien que le texte xD
Et j'ai hâte de RP avec vous tous !
(Hai, tadaima, nii-san )
EDIT : Terminé !!
“  Nolan Baker  ” Supervisory Special Agent (SSA)
Sujet: Re: ᘛ She stops bleeding after thirteen years. Then she understands. Dim 30 Sep 2012 - 16:54
Une bien belle fiche, que voilà J'suis fier de toi
Je ne vais donc pas te faire attendre plus longtemps ; je vais te valider, te donner ta p'tite couleur et ton appartement Enjoy Yourself ^_^
Tu pourras créer tes deux sujets de demandes, quand tu auras le temps Bon jeu parmi nous, c'est officiel honey :3
“  Invité  ” Invité
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Sujet: Re: ᘛ She stops bleeding after thirteen years. Then she understands. Dim 30 Sep 2012 - 17:11
Merciiiiiii ! Je suis verte ! Je suis veeeeeerte-eeeeeuuuh ! /SLAP/
Je vais faire ça tout de suite, mon petit Greg !! Puis faut qu'on fasse, obligé, un RP entre Ayame et Sumire Bref, merci, et je vais enfin de nouveau RP avec vouuuus !
“  Nolan Baker  ” Supervisory Special Agent (SSA)