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Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE

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MessageSujet: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyDim 24 Fév 2013 - 23:55

De temps en temps le soir j'aimais bien faire un petit tour dans le vieux quartier, après la fermeture du club, j'allais marcher un peu dans les petites rues tranquilles bordées de restaurants et de bars animés par la foule et les lumières à travers leurs vitres à carreaux teintées de poussières. Ce soir, j'avais fermé il était 21 heure, c'était un vendredi, et les entrainements finissaient tard, le temps de ranger et de vérifier quelques petites choses, puis de me changer, et je sortais dans la nuit nuageuse avec un chaud manteau de cuir et un chapeau noir. Le ciel avait été couvert toute cette journée, des masses de nuages s'entrechoquaient promettant un orage pour la nuit, les étoiles et la pleine lune étaient masquées et seuls les réverbères avec leurs lueurs diffuses jaunâtres habillaient un peu l'obscurité. Je n'habitais pas très loin de la salle de boxe, à quelque pas seulement, il suffisait de remonter la rue par la droite et de tourner à gauche, s'engageant sur l'avenue, c'était à 300 mètres de là. J'habitai dans un vieil immeuble en pierres grises composé de seulement trois étages, coincé entre une épicerie et un autre immeuble de deux fois la taille du mien. Je vivais seul au second étage dans un assez grand appartement que j'avais acheté.

Mais ce soir là, j'avais envie de rester un peu dehors avant de rentrer, c'était vendredi soir après tout, à mon âge on ne s'amusait plus tellement, mais une bière de temps en temps s'était un luxe. J'aurais bien pris un verre avec Jack mais il était de service ce soir, je verrais bien ce que je ferais, m'étais-je dis, en remontant sur le boulevard avant de prendre par les rues piétonnes.  J'avais envie de marcher et de prendre un peu de bon temps. J'aimais la ville le soir, son effervescence tranquille, son agitation, son euphorie, qui brillait et étincelait dans le noir. Pas mal de groupes de jeunes étaient de sortie pour fêter le week end à grand renfort d'alcool. Il y avait aussi des couples qui profitaient après une semaine difficile pour s'octroyer du temps en amoureux pour aller au restaurant et se balader dans les rues. Des familles aussi s'organisaient des sortis bowling ou allaient au chinois du coin. Parmi cette foule dense et éclectique, se détachait au-dessus de la masse ma silhouette comme taillée dans du roc, une ombre immense se profilant dans les cercles des réverbères sous lesquelles je marchais. Je m'étais habitué à paraitre effrayant, je n'y prêtais plus grande attention, je baissai un peu mon chapeau sur le haut de mon visage, les ténèbres envahirent mes traits. Je me glissais dans la foule, tranquille, et comme hors de toute cette agitation, comme si je m'étais posé là, contre ce mur, pour regarder passer les gens, de l'extérieur, comme un visiteur étranger à leur monde. J'avais tourné sous des halles aux arcades recourbées, les lumières éblouissantes des vitrines des magasins fermés rappelaient à tout le monde combien le gaspillage des ressources d'énergie était une spécialité de notre société, à vrai dire, je m'en foutais. Je tournai à l'angle de Witsroad où se cachaient quelques bars méconnus des moins de 25 ans, des bars de baroudeurs tatoués et de joueurs de fléchettes comme on en fait plus maintenant. Je m'engageai dans une autre rue un peu plus étroite et arrivai devant un rond de bois noir où se cachait une porte à vieux gongs. Au-dessus sur un écriteau était peint le nom de l'établissement " Gates of Hell ", un bar tout à fait charmant fréquenté en grande majorité par des mecs un peu comme moi, avec une forte carrure et un petit cerveau, qui aiment autant boire que frapper, et jouer au billard surtout. Bon, j'avais un peu dépassé ce stade, mais j'aimais cette atmosphère enfumée qui sentait le vieux whisky, où les jeunes fouteurs de bordel ne mettaient pas les pieds, et où quand on se mettait une droite, c'était entre vrais durs. Il y avait aussi les femmes, des jolies femmes avec une fort jolie caractère pour apprécier ce genre d'endroit. Ce n'était pas des gamines de 16 ans, ici on ne les laissait pas entrer, les filles qui venaient ici, c'étaient des filles spéciales, avec un charme de tueuse.

Poussant la porte je découvris une pièce habitée des voix rauques et de volutes de fumées, un grand bar prenait un bon bout du mur de droite, des tabourets le longeaient, à gauche des tables, des fauteuils et des canapés accueillaient pas mal de mecs, souvent autour de la trentaine, avec aussi quelques quarantenaires, ou des plus vieux comme moi, venus se détendre au bon endroit ce vendredi soir. Mais le plus gros de l'agitation se faisait au fond de la salle, autour des billards et du jeu de fléchettes. La stéréo diffusait du bon vieux rock anglais. A une table je remarquai un attroupement de motards et me rappelai la file d'Harley Davidson alignées plus loin dans la rue, de jolis engins. Je me dirigeai vers le bar et m'assis sur l'un des tabourets, quelques regards se tournèrent vers moi, j'étais un peu un habitué de la maison, et ce qui me voyaient ici savaient le plus souvent qui j'étais. Le barman, un gars à peine plus jeune que moi qui me ressemblait assez niveau carrure avec des cheveux en plus, vint vers moi en tenant une choppe qu'il était entrain d'essuyer avec un vieux torchon.

Barman : " Salut Hudson, qu'est-ce que je vous sers, un whisky comme d'habitude ? "

Il me serra la main, j'enlevai mon chapeau que je posai à coté de moi sur le comptoir. Un type sur ma gauche, à un tabouret de là, se tourna légèrement dans ma direction, prêtant l'oreille, avant de se détourner à nouveau, revenant à son fond de verre.

- Va pour un whisky Chuck, et avec des glaçons.

Il repartit quelques instants et revint avec mon verre qu'il posa devant moi, je le remerciai et le payais puis bu une bonne gorgée qui vint bruler dans ma gorge.

Barman : " Ca marche la salle de boxe en ce moment ? "

Continua-t-il pour engager la conversation, je regardais autour de moi sans vraiment y faire attention, remarquant que les motards s'étaient rapprochés du comptoir pour reprendre des bières, l'un deux qui avait une barde de bien 4 jours et un blouson de cuir avait un tatouage à son cou en forme de trident, du genre qu'on fait en prison. Je bu une nouvelle gorgée et revins à Chuck pour lui répondre.

- Toujours, des fois les journées sont plus tranquilles que d'autres, mais y a eu du monde aujourd'hui, je ferme plus tard le vendredi soir.        

A gauche le type de tout à l'heure s'était levé, titubant vers les toilettes où il allait probablement passer la suite de sa soirée. Il fut remplacé par un groupe de trois mecs qui vinrent s'accouder au bar. Un type se mit à gueuler à l'arrière parce qu'il venait de perdre au fléchettes, il se calma vite et alla boire sa bière dans un coin, les motards en profitèrent pour aller jouer à sa place.  

Barman : " Ca faisait un baille qu'on vous avez pas vu dans le coin, vous vous seriez pas trouvé une femme par hasard ? "

Il rigola tandis que je finissais mon verre et le reposais sur le comptoir, soit le verre était vraiment petit, soit j'avais vraiment soif. En tout cas j'en recommandais un deuxième qu'il m'amena mais que je ne commençais pas à boire tout de suite. Je faisais attention à ne pas boire trop, même si il en fallait beaucoup des verres pour que je sois bourré.

- Non, surtout pas, mais j'ai adopté un chat ça me fait de la compagnie le soir.

Répondis-je en plaisantant, attaquant finalement mon verre. Depuis Maya à vrai dire je n'avais eu personne d'autres, j'avais eu quelques conquêtes par-ci par-là, mais rien d'assez sérieux pour entamer une relation, et j'étais pas du genre à aimer pour un soir, même si la fille était très belle. J'étais fou amoureux de Maya, et je n'avais jamais pu retomber amoureux d'une autre femme depuis, je ne sais pas si je retrouverai un jour une personne que je pourrais aimer autant que je l'aimais, il faudrait vraiment que ce soit une femme exceptionnelle pour qu'elle puisse prendre cette place dans mon cœur qu'avait mon épouse. Et comme vivre tout seul parait que c'est pas bon à mon âge, j'ai pris un chat, ça me fait toujours une présence dans l'appartement. Tournant la tête j'aperçu justement une jolie fille, trop jeune pour moi, entrer dans le bar, je revins à mon verre tandis que Chuck continuait son service alors que la clientèle affluait dans le bar tout d'un coup. Il y avait du bruit derrière moi, apparemment ça gueulait encore dans le fond, et cette fois c'était autour du billard qu'était l'animation. Je pourrais parier mon titre que ça allait pas tarder à tourner en bagarre, Chuck commençait à jeter des coups d'œil nerveux vers le fond. C'était habituel, deux trois gars se foutaient un peu sur la gueule cinq minutes puis le gérant intervenait et ça se calmait. Le tout s'était que ça dérape pas au point de transformer toute la salle en champ de guerre, tout un tas de mec bien musclés et à cran c'était tout de suite plus compliqué à maitriser qu'une poignée de bourrés qui savaient pu très bien compter les points. Le genre de gars tu leur fous une tape sur l'épaule et y tombent. C'est pas assez amusant pour que je m'en mêle. Et puis ceux qui me connaissaient ici ne voudraient pas que je m'en mêle, au risque de se prendre une droite de ma part.      


Dernière édition par Harry J. Hudson le Sam 10 Aoû 2013 - 2:48, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyLun 25 Fév 2013 - 9:46

Amoryne venait de sortir de la base militaire, un endroit encercler par des barrières métallique. Un poste de garde se trouver à l’entrer de la base, un homme assez grand muscler et portant l’uniforme de l’armé y séjournait toute la journée pour vérifier les entrées et sorties dans la base. Elle venait de passer une journée charger d’entrainement. Tôt le matin, ils étaient déjà à courir alors que le soleil n’était pas encore haut dans le ciel. Il fallait qu’ils courent 10kilométres dans un temps limités. Amoryne était la seule fille aujourd’hui, la seule fille parmi une meute de gars aussi débile les uns comme les autres. Ils avaient passer leur journée à taquiner Amoryne du genre «  elle arrivera jamais à courir avec ce derrière énorme » Elle faisait comme ci elle n’avait rien entendu, elle ne voulait pas attiser les foudres de ses supérieurs en claquant la tronches aux soldats. Elle se retint puis continua l’entrainement acharner, après avoir couru se fut le tour à faire des pompes, une centaines. Amoryne s’était mis à l’écart des hommes et commença ses pompes elle sentait leur regard mais en fit abstraction. Bon après je vous épargne le reste de la journée car c’est comme ça tout le temps. Les femmes sont toujours vu comme des personnes qui doivent faire le ménage la cuisine et s’occuper des gosses. Franchement c’est complètement idiot de penser ça mais bon c’est la mentalité des mecs on ne peut rien y changer.

Amoryne venait de sortir de la base, le temps n’était pas au beau fixe aujourd’hui un peu nuageux mais sans pluie. Elle monta dans sa voiture une audi S3 blanche, une belle voiture avec les sièges sport S en cuir Nappa avec empiècements aux niveaux des épaules et coutures en forme de diamant. Elle s’installa à l’intérieur et mis le contact, elle roula jusqu’à chez elle, un quartier normal bordé d’une rue avec plein de restaurant et de bars. Elle monta chez elle au deuxième étage à pied, et pris une bonne douche et s’habilla d’un jean et d’un haut noir et redescendu pour aller manger un morceau dans un restaurant. Elle marcha pour se aérer la tête, et s’arrêta à un camion chinois ambulant. Elle n’y avait jamais pris à manger mais décida d’essayer. Elle commanda des nouilles sautés avec du canard laqué, une délice. Un plat exceptionnel, avec un gout sublime et subtile, un peu sucré et salé en même temps, elle remercia le petit chinois qu’il l’avait servi et le paya. Elle finissait de manger et mis ses détritus à la poubelle à côté d’elle. Après c’être rassasier l’estomac elle voulait se désaltérer mais pas avec de l’eau avec un liquide alcooliser. Elle marcha un peu au hasard et entra dans un bar. C’était un endroit sombre la lumière éclairer à peine la pièce, elle sentit les regards tourner vers elle, ba oui elle était la seule fille dans ce lieu. Elle n’y prêta aucune attention et alla s’accouder au bar, la mine fatigué elle avait envie de dormir mais elle était insomniaque depuis plusieurs jours, elle trainait les rues chaque soir. Le barman s’approcha d’elle :

Barman : Je vous sert quoi Mademoiselle ?

Qu’allait-elle bien pouvoir prendre ? Une bière ? Non pas assez fort pour elle, Il lui fallait quelques chose de très fort pour lui remettre les idées en place. Elle réfléchissa quelques instant puis lui demanda :

- Un wisky fera l'affaire lui dit-elle

Le barman bouger la tête affirmativement et lui servit un wisky avec des cubes de glaces qui fit monter le liquide alcooliser pour faire croire que le verre était bien remplie. Elle tenait le verre dans ses mains et avala une gorgée, elle se pinça les lévres, ce liquide de couleur foncé lui bruler la gorge mais lui fit un grand bien. Elle prit son verre pour aller s'assoire à une table à l'écart des autres. Trois mecs qui jouaient aux billard s'approcha d'elle avec un sourire stupide aux lévres.

Gars : Salut beauté un petit tout dans la ruelle derrière ça te tente ?

Elle ne leur réponda pas, inutile de bousiller sa salive pour ses pecnos. Trois jeunes garçons qui ne savent rien faire de leur vie à part picoler et faire les caïdes alors qu'il sont surment de sacrés frousard. Il commença à insister auprès d'elle en lui efleurant le bras, Amoryne réussi à se dégager en leur lança un regard noir.

Gars : aller ça va aller très vite t'en fais pas

Amoryne lui entrappa le bras et le remonta dans son dos quand le deuxième gars arriva elle repoussa très fortement en lui donna un coup de pied vertical au niveau de la poitrine, ce qui le fit reculer. Par contre elle ne vit pas le troisiéme arriver et passa son bras autour du cou d'Amoryne pour essayer de lui faire perdre connaissance. Le premier gars lui en profita mais elle le repoussa aussi d'un coup de pied pour le plaquer contre la table, puis pour le troisième elle lui donna un coup de coude au niveau des côtes puis un coup dans le nez. Hop déjà un a terre plus que deux maintenant...
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyLun 25 Fév 2013 - 20:22

La jeune femme qui venait d'entrer alla commander au bar, le barman la servit puis je la vis s'éloigner du comptoir pour aller probablement vers l'une des tables. Je retournai à mon verre et vit le barman passer devant moi un peu vivement, un coup d'œil vers le fond m'indiqua qu'il allait intervenir avant qu'une bagarre dégénère, séparant le groupes de mecs encore entrain de s'engueuler pour compter les points, un autre barman s'occupa du bar pendant que son collègue décidait de qui il allait foutre dehors. J'avalais une nouvelle gorgée et le liquide brûla agréablement mon palais. Je ne buvais pas beaucoup, j'avais été sportif à haut niveau, et dans ce genre de vie, même dans le milieu de la boxe, on y allait vraiment tout doux sur l'alcool, et pour ce qui est de fumer laissez tomber, autant vous laissez vous faire rétamer tout de suite dès le premier round parce que vous tiendrez jamais la longueur. Imaginez de vous taper plus de 5 rounds après dix ans d'addiction à la clope, et encore là on parle que de la cigarette. Mais même si je ne buvais jamais qu'un verre par-ci par-là, une petite bière de temps en temps avec un pote, l'alcool ne me faisait que très peu d'effet, à moins de boire vraiment beaucoup, il fallait pas mal de verres avant de saouler quelqu'un comme moi. Je reposai mon whisky sur le comptoir, l'un de mes doigts effleura le rebord de mon chapeau de feutre, je jetai un coup d'œil sur ma droite, où plusieurs gars venaient d'arriver pour commander, il y avait du monde ce soir. Soupirant je posais ma tête dans ma main, regardant sur ma gauche où un dépressif était entrain de se noyer dans son verre de cognac à quelques tabourets de moi, avant de tourner ma tête encore pour regarder derrière moi épaule.

Je vis à ce moment là un mec tenir la petite blonde de toute à l'heure par la gorge tandis qu'elle se défendait hardiment contre deux autres types. Je descendis de mon tabouret immédiatement, remettant mon chapeau, je la vis mettre à terre l'un des gars d'un bon coup de pied avant de se défaire de l'autre d'un coup de coude dans les côtes et dans le nez. Elle en avait foutu un à terre mais déjà les deux autres revenaient à la charge. Les autres clients du bar se foutaient pour la plupart de ce qui pouvait se passer autour d'eux, et avec tout le bruit et la musique on entendait rien. Les barmans eux étaient trop occupés par l'afflux soudain des clients qui arrivaient inlassablement, et n'avaient pas encore remarqué l'altercation au fond, d'autant plus que les trois mecs entourant leur victime s'étaient assez bien arrangés pour qu'on ne les remarquent pas trop à moins de bien y regarder. Dommage pour eux, mais j'avais un bon sens de l'observation et n'avait pas bu encore assez pour que l'alcool puisse altérer mes sens. Elle se défendait plutôt bien, même très bien en faite, mais je n'aimais pas trop regarder plusieurs mecs s'en prendre à une fille toute seule sans réagir, c'était par principe, j'avais toujours eu un certain instinct protecteur. L'un des types attrapa son bras pour la tirer en arrière, je le saisis par l'épaule d'une main et l'arracha de son bras pour le repousser et l'éloigner d'elle. Il voulu protester à coup de poing mais je lui assénais un coup de pied dans le genoux qui le fit plier à terre, et un crochet du droit le sonna assez pour l'y faire tomber et qu'il y reste bien quelques secondes. Me retournant je vis le second se ruer sur la fille, sur le point de lui porter un coup au visage, je m'interposai et arrêtai son poing dans ma main.

Gars : " Te mêle pas de ça le vieux. "

Il alla pour me donner un coup de pied que j'évitai avant de lui tordre le bras, il voulu me donner un coup de poing mais à nouveau, rapide, je l'esquivais, je le soulevais et le coinçais contre le mur, l'écrasant. J'essayais de modérer mes coups, et pour éviter de blesser quelqu'un je préférai jouer sur la feinte et la défense. Niveau combat j'étais dans une autre catégorie, et je savais que je prenais des risques si je me servais de mes compétences hors ring pour blesser quelqu'un de désarmé, même en cas de légitime défense, donc il fallait que je fasse attention. Mais en même temps voir des sales types comme ça s'en prendre à trois à une femme seule et sans défense, enfin visiblement elle savait se battre, ça me foutait en rogne et j'avais du mal à modérer mes propos quand je parlais avec mes poings. J'allais gentiment menacer celui que je tenais par le collet pour qu'il se calme quand je sentis qu'on m'attrapait dans mon dos. Son pote essayait de me tirer en arrière, peu de chance de me faire bouger comme ça cependant, mais il frappa dans ma cuisse blessée ce qui eu le don, en même que de me faire mal, de me mettre très en colère. Je me retournai et lui balançai un direct du gauche qui lui entama l'arcade sourcilière, puis un uppercut qui lui coupa le souffle. Il tomba par terre mais je le rattrapai et le soulevai par la gorge pour le remonter en face de moi, tout en essayant de se débattre pour fuir il me dévisagea et son air agressif et triomphant avec lequel il s'était attaqué à la fille l'avait définitivement quitté pour faire place à la peur et à la douleur. Mon visage était masqué par l'ombre de mon chapeau mais mes yeux furieux brillaient doucement.

- Je te conseille, à toi et à tes petits copains de vous tirer d'ici et de pas y revenir… Je serais moins gentil la prochaine fois, d'accord ?

Je le toisai, le tenant toujours, il hocha de la tête et je le laissais retomber par terre. Il cracha un peu de sang avant de se relever péniblement, aidé par son pote qui vint pour le soutenir.

Gars : " Il est fou ce type. "

Gémit celui que je venais de cogner, le troisième qui reprenait ses esprits un peu plus loin les rejoint, jetant un regard noir à la fille avant de cracher à ses pieds. Je le vis sur le point de rajouter quelque chose, certainement une insulte, mais il déglutit un me jetant un coup d'œil, et se ravisa.

Gars : " Allez on se casse ça craint ici. "

Ils dégagèrent sans demander leur reste, quoique avec leur tête d'abrutis ils seraient bien capables d'attendre dehors pour s'y reprendre un peu plus tard avec l'un de nous deux. Mais ils étaient trop froussards pour ça, et celui que j'avais à peine un peu secoué était déjà terrorisé. Ils étaient trop jeunes et pas assez expérimentés, ils reconnaissaient même pas quand ils avaient trop gros pour eux devant leurs yeux, ils étaient trop inconscients et présomptueux de leur force, quoiqu'en même temps ils avaient aussi la courage de s'en prendre à plus faible qu'eux, et de s'attaquer à plusieurs à une seule femme. Et puis quel affront qu'elle dise non quand c'était demandé avec tant de gentillesse et de politesse… Je détestais vraiment ce genre de types lâches et brutaux qui s'en prenaient aux filles et les voyaient comme des objets à leur service, ça me faisait trop penser à Sury et à ce que des connards comme ça pourraient lui faire. Mon instinct protecteur ne datait pas que de la venue au monde de ma fille, mais déjà avant, même si quand je n'étais pas encore avec maya, au sortir de prison, j'étais encore assez irréfléchis et inconscient, plus grosse brute qu'autre chose, j'aimais déjà pas trop qu'on s'attaque à plus petit que soi. Quand j'étais avec Maya, parallèlement au fait d'apprendre la boxe, je suis devenu plus mature, et beaucoup plus protecteur et bienveillant avec les filles, ceux qui sont plus petits, ou plus fragiles.

Je me retournai pour aller vers la fille, ses longs cheveux blonds glissaient sur son haut noir et ses yeux étaient brillants, je lui mis doucement une main sur l'épaule en lui demandant si ça allait :

- Ca va ? Ils vous ont pas fait de mal ?
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyLun 25 Fév 2013 - 21:50

Amoryne s’était retrouver en mauvaise posture, non pas que ça ne lui arrive jamais. Au cours de ce mois elle c’était battue quatre fois avec quatre hommes différent. Une fois à la base militaire il l’avait chercher en ce moquant d’elle une fois de trop elle c’est emporter contre lui en lui cassant une dent et le nez. La deuxième fois c’était dans la rue, un con c’était emporté contre elle car elle c’était garer là où il fallait pas et je pense que maintenant il regrette d’avoir croiser son chemin. Le troisième c’était une bagarre comme celle-ci à la sortie d’une boîte, ce jour une amie d’Amoryne l’avait entraîner là-bas c’est pas son genre de traîner des boîtes de nuits, là bas la musique pourrait nous crever les tympans, lui aussi en a eut plein son grade. Enfin le quatrième lui est bien c’était à la base aussi pour des broutilles.

Quand ce gars avait passer son bras autour de son cou, Amoryne se débattait autant qu’elle le pouvait en donnant des coups un peu partout. Elle pensa à la souffrance que ses parents avaient du ressentir quand ils sont mort. A quoi avait-il bien penser avant de rendre l’âme, mais toutes ses questions se dissipa quand un homme avec une grande carrure qui était assis au bar vint attraper le gars qui tenait Amoryne. Celle-ci se recula de quelques pas en le regardant ce battre contre ces trois hommes. Elle se demanda pourquoi cet homme était venu à sa rescousse ? Elle était un peu vexée en faite, elle n’aimait pas avoir recourt à de l’aide elle préfère se débrouiller toute seule. La lumière tamisa la salle, on y déceler presque personne, cet endroit c’est comme un endroit de déboire pour les déprimer Amoryne en faisait partie. Depuis son retour chez elle, elle à des terreurs nocturnes « des cauchemars » quoi. Elle se voit toujours en Afghanistan à essayer d’aider ses amis en vain…

Quand elle revint à elle, l’homme en question avait mis à terre un des trois gars et les autres était parti on ne sais où. Elle avait les yeux humides, c’est à cause de la fatigue cela fait maintenant une semaine qu’elle ne dort une heure ou deux par nuit. Elle en avait vraiment marre de ces cauchemars qui l’empêche de dormir. Cet homme qui venait l’aider sans qu’elle le demande déposa sa main sur son épaule pour lui demander si ça va. Amoryne planta son regard dans le sien en lui dégageant sa main de son épaule.

- Non mais je vous ai pas demander de m’aider !!! Cria-t-elle.

Elle ne supporter pas que l’on l’aide, elle e voulait pas que la pense faible, qu’elle ne peut pas se débrouiller seul. Pendant ces années où elle fut envoyer au combat son supérieur n’arrêter pas de l’humilier. Amoryne n’a aucune confiance aux hommes car elle c’est de quoi ils sont capable, ils veulent toujours quelques chose en retour d’une aide ou d’un service. Elle s’avança vers la table miteuse où elle était installer de couleurs marron foncé un peu délaver, la table était maintenant brisée en plusieurs morceaux et son verre d’alcool briser sur le sol. Elle voulait rattraper ses trois blaireaux et leur mettre une raclée digne de se nom. Quelle sensation cela doit-être de se faire tabasser par une fille ? Amoryne aime finir ce qu’elle à commencer. Après avoir lancer un regard noir à cet homme, elle s’avança vers le bar et jeta quelques billets

- Tenez c’est pour le dérangement !!

Amoryne reparti vers sa table et y pris sa veste. Elle était énervée « si je les attrape je frappe jusqu’à ce que leur cœur ne bat plus » pensa-t-elle. Dans ses yeux la haine pouvait si lire, elle sortie de ce fameux bars et regarda autour d’elle. Où étaient-ils ? Quant-elle vu qu’il n’avait plus moyen de les retrouver elle se résigna à re-rentrer dans le bar. L’homme qui l’avait aider était encore ici, quand elle entra tout le monde n’osa pas la regarder, de peur qu’elle leur saute à la gorge. Elle alla s’installer au bar et recommanda un whisky. Elle dit d’une voix neutre :

- Je n’avais besoin d’aucune aide de votre part ! Je m’en sortais très bien seule.


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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyMar 26 Fév 2013 - 14:18

A peine avais-je fini ma question que la jeune femme me cria dessus, en colère, en dégageant ma main de son épaule, elle me fixait en me jetant un regard noir et perçant. En la regardant j'eu le sentiment étrange de regarder une bête semblable à la mienne, une fureur grondante à l'intérieur d'elle et qui s'apprêtait à exploser de rage, qui était entrain d'exploser. Je la regardais, surpris et pris au dépourvu par sa réaction. Dans le ton de sa voix je reconnaissais de la colère, la colère d'une femme outrée et enragée, ce n'étais pas vraiment ce que j'avais cherché à provoquer en elle. Et d'ailleurs je n'avais rien cherché moi, j'ai vu trois mecs s'attaquer à elle, j'ai pas trouvé ça très sympa, alors je l'ai défendu… Elle l'avait pris mal visiblement. Comme si je l'avais offensé. Je connaissais cette réaction, mais chez les hommes surtout, en contexte de match, certains prenaient mal la défaite, non pas dans le fait de perdre, mais d'être considéré comme plus faibles. Evidemment je n'avais pas l'habitude de rencontrer cette attitude chez les femmes, je ne me battais pas contre des femmes, mais j'en avais connu assez, même juste en tant qu'amie, pour connaitre leur force de caractère et la combativité qu'elles pouvaient avoir. Je reconnaissais chez celle-ci une volonté féministe de se faire accepter et juger à l'égal d'un homme, voila pourquoi elle avait certainement pris mal que je la défende. Si je n'avais pas cet âge et mon expérience je n'aurais certainement rien compris à cette réaction, mais là au moins, ma connaissance des femmes, même si je les comprenais pas tout le temps, m'aidait un peu. Sauf que je ne comprenais pas très bien ce que j'avais fait de travers dans tout ça, j'avais juste répondu à certains de mes principes, ce n'était pas pour l'offenser, et je lui reconnaitrais volontiers ses capacités en combat que j'ai pu admiré un peu tout à l'heure, et aussi sa force de caractère, même teintée d'un petit peu d'agressivité visiblement envers la gente masculine.

Je la regardai retourner à la table prendre ses affaires et balancer un billet sur le comptoir avant de sortir comme une furie le tout en l'espace de quelques secondes. J'étais demeuré immobile, cherchant quoi faire ou quoi dire, stupéfait par sa colère. Un homme m'aurait parlé comme ça, j'aurais été énervé, avec une femme j'étais surtout dans l'incompréhension. Je n'étais même pas en colère, non, je comprenais un peu, du moins de mon mieux pour un homme, et comme je n'avais pas de raison de m'énerver contre elle directement, je restais plutôt calme. Est-ce que ça voulait dire que je faisais une différence entre homme et femme ? Rien que dans le fait de ne pas m'énerver contre elle alors que si ça avait été un mec je ne l'aurais pas laissé me parler comme ça… Est-ce que c'était misogyne ? J'étais tout sauf misogyne pourtant, je respectais autant les femmes que les hommes, chacun pour ses qualités et ses défauts. Mais peut-être que le trait de caractère qui me poussait à être protecteur, à prendre le parti et à défendre les plus faibles et les femmes relevait un peu de la misogynie… C'est vrai, si un mec se battait avec un autre mec, et que le combat semblait plutôt égal, et que personne semblait mettre vraiment la vie de l'autre en danger, je ne serais pas intervenu. Mais si une fille se battait avec un homme certainement que si. Là ils avaient été trois, c'était pas dans mes habitudes de laisser trois mecs s'en prendre à une fille seule. Et puis, elle était un peu plus vieille que devrait l'être Sury, oui je sais l'argument du père justicier, mais c'est vrai, je n'aimerai pas que ma fille se retrouve dans ce genre de situation et que personne ne soit foutu de se bouger pour lui venir en aide. Donc en gros, j'étais un peu misogyne ? Je me coucherai moins con ce soir… Oui mais quand même, ça me fait bizarre.

Le barman qui était resté figé, le regard fixé sur la porte, poussa un sifflement avant de murmurer une sorte de "eh ben", avant de repartir à ses occupations. Je me retournai vers le bar et repris mon verre à moitié plein, j'allais en boire une nouvelle gorgée histoire de me changer les idées après cette scène quand la fille revint dans le bar, visiblement toujours aussi furieuse. Les clients restèrent leurs regards fixés sur leurs verres, n'osant pas la regarder. Elle s'assit à quelques tabourets de là et recommanda un verre. Je bu une gorgée du mien, tranquillement accoudé au comptoir, avant de faire quelques pas pour venir m'asseoir près d'elle. Lorsqu'elle me parla, son ton était plus neutre, moins en colère, comme si à sa rage s'était suppléé un sentiment de tristesse, à l'indignation et à la frustration, une lassitude, ou un désespoir. Je posai mon chapeau à coté de moi, et sans la regarder bu une nouvelle gorgée de mon verre avant de le reposer.

- Qui vous dit que je voulais vous aider ? J'aime peut-être juste me battre.

Je laissais un petit temps de silence passer et l'observai du coin de l'œil, je me demandai ce que je risquais à sortir une plaisanterie, visiblement j'avais plus de chance de m'en prendre une que de la distraire. On oubli donc. Pourtant, quelque chose dans la situation me dérangeait, je saurais pas dire, mais en tout cas je voulais pas laisser les choses comme ça, entre la jeune inconnue et moi. Je n'avais pas voulu la blesser et j'étais ennuyé qu'elle soit aussi en colère alors que je ne lui avais pas voulu de tord.

- Et vous, vous aimez vous battre ? C'est vrai que vous vous défendiez bien, vous avez appris ça où ? En prison ou à l'armée ?

Je repris à nouveau mon verre pour en boire une nouvelle gorgée, voyant la fin venir je fis un signe au barman qui m'en ramena un troisième. Tant qu'à faire restons dans notre lancée. Je tournai la tête vers la jeune fille en la regardant cette fois, lui adressant un sourire amical. Je dirai armée, en prison les femmes étaient avec d'autres femmes, et pour développer une haine pareille des hommes, l'armée doit être le meilleur endroit.

- Armée, visiblement.

Continuai-je en remarquant ses plaques qu'elle portait autour du cou. Je me retournai pour prendre mon nouveau verre et en bu une petite gorgée.

- Je m'appelle Harry.

Terminai-je en me présentant.
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyDim 3 Mar 2013 - 19:13

Amoryne était assise sur l’un des tabouret du bar où elle était accoudée. Un siège pas très confortable, avec ces pieds en ferraille ronger par la rouille. Avec un haut de siège tout déchirer et pas très propre, elle avait hésité avant de s’assoir mais c’était vite aperçut que les traces était incruster dans son support. Elle était assise, le haut de son corps dépasser le bar couleurs chêne foncé. Droit devant elle se trouva une ligne de miroir où elle se voyait entrain d’avaler des petites gorgées de son alcool sec et fort qui se trouva dans son large verre. L’homme qui se prénomma Harry car il venait de se présenter, était assis a quelques sièges à côté. Elle ne le regarda pas mais l’écouta attentivement lui parler. Il lui posa des questions pour savoir pourquoi elle savait ce battre comme ça. Elle tourna son regard lentement vers lui son verre à la main quand il dit qu’elle faisait parti de l’armée. Ba oui bonne pioche elle fait partie de l’armée depuis plusieurs années, même si elle n’a jamais voulu en faire partie. A la mort de ses parents elle à vécu chez un oncle horrible qui a ses 17 ans et demi la envoyer dans une école militaire, tout ça parce qu’il était jaloux de la relation de Amoryne et de son petit ami de l’époque. Une jalousie qui à ruiner la vie de celle-ci… Elle posa instinctivement sa main contre ses plaques et pensa à tous ses amies mort au combat.

- Harry ? Votre tête ne m’est pas inconnu…

Elle posa doucement son verre vide sur le bar et fit signe au barman d’en resservir un. Depuis son retour elle aimait oublier ce qui c’est passé en buvant quelques verre d’alcool fort le soir devant sa télé. Elle vivait un peu comme une Hermite, elle ne sortait que pour aller faire quelques courses ou alors rendre visite à ses frères, à sa famille quoi. Elle venait rarement dans des bars miteux comme celui-ci, pour une fois qu’elle vient elle s’engage dans une bagarre heureusement que cela ne va pas aux oreilles de son supérieure, sinon ça barderez fort pour elle. Elle regarda ses mains, des mains douce mais pas féminine elle n’as pas les ongles long mais court, sur le dos de ses mains se trouve des cicatrices qui lui rappelle sa captivité chez l’ennemie au combat, un moment dur qu’elle à vécu et qu’elle aimerait oublier , mais cela en vain. On ne peut jamais oublié ce genre de chose c’est impossible. Elle tourna sa tête vers ce fameux Harry, une tête qui ne lui est pas inconnu.

- Amoryne dit-elle d’un ton un peu sec.
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyMar 12 Mar 2013 - 20:33

Je la regardai un petit temps avant de retourner mon regard pour le poser dans le vide, face à moi, dans la vitre, entre les étagères de bouteilles d'alcool forts se reflétait un visage fatigué et ridé, je vieillissais, de plus en plus vite, j'avais peur de mourir avant d'avoir pu revoir le visage de Sury. Je levai mon verre et trempai mes lèvres dans l'alcool qui me brula tandis que j'en bu une longue gorgée. J'haussai un sourcil, mon visage se tournant quelques instants vers la jeune femme avant de se détourner à nouveau, me reculant légèrement sur mon siège comme pour échapper à la lumière et me fondre dans l'ombre bruyante de la salle agitée de ténèbres. Possible qu'elle ait déjà vu mon visage, beaucoup de personnages avaient déjà vu mon visage, à savoir si c'était le champion de boxe qu'elle connaissait, ou le mari éploré qui avait perdu toute sa famille dans un massacre… Les deux visages avaient fait le tour du monde. J'étais prisonnier d'images. Du coin de l'œil j'observai la jeune femme, mais son comportement ne trahissait rien, si ce n'était un certain mal être intérieur certainement du aux activités de l'armée, vu sa descente de verres, et sans compter sa présence ici, pour une si jolie fille, un peu garçonne et abrupte, mais très… comment dire… femme, à sa façon. Depuis mon dernier grand match, j'avais mis mes gants au placard, enfin façon de parler, j'avais pu refoutu les pieds sur un ring pro, j'avais laissé la marque de mon absence dans le milieu de la boxe, le jeune champion abandonnant sa carrière après le drame survenu dans sa vie privée… Vie privée traquée, même après douze ans, me dis-je en pensant à la journaliste pot de colle qui m'harcelait depuis quelques temps, trop déjà. Mais les amateurs de boxe, surtout ceux de mon époque, n'avaient pas oubliés ni mon nom ni mon visage, beaucoup d'autres avaient vu mon visage dans les journaux, bien des jours suivants les meurtres. Ce n'était pas que je n'aimais pas parler de moi, non déjà je détestais, surtout avec des inconnus, mais j'avais une aversion pour les fouineurs. Mais la jeune femme n'avait pas l'air d'en être une, mais que faisait-elle donc ici ? C'était la question que je me posai.

- Vous devez confondre avec quelqu'un d'autre…

Grommelai-je, un peu sur mes gardes quand on touchait au sujet de ma vie sans que je connaisse les gens. Un ours vous dites ? Je vois pas ce que ça peut vous foutre. Je levai mon verre et le fini d'une traite, je fis signe à l'un des barmans de me remettre le même, ce n'était plus mon vieux pote mais un jeune qui travaillait ici depuis pas très longtemps.

barman : " voila monsieur Hudson. "

Je le remerciai et pris mon verre à la main sans l'entamer pour autant encore, j'en étais au combien, troisième ? Quatrième ? Je ne savais plus, mais bon fallait pas trop pousser non plus. Amoryne, c'était un très jolie nom je trouvais, même si sa propriétaire faisait preuve d'un poil d'agressivité en le disant. Elle n'avait pas l'air commode, une charmante jeune femme en tout point près à mordre la première personne qui passe pourvu que ce soit un homme. Mais avait-elle au moins un sens de l'humour ? Bonne question. J'avais de plus en plus l'envie espiègle de tester un peu son caractère de fauve, mais j'étais à peu près sûre qu'elle serait trop susceptible pour se retenir de m'en retourner une à la moindre petite remarque. Tant pis.

- Vous êtes dans quelle armée ? Ce n'est pas trop dur pour une femme ?

Non, je n'étais pas matcho, et mon ton montrait bien que je plaisantais, avec sa personnalité de femme fatale prête à tuer pour un regard de travers, c'était trop tentant. Et puis au pire je risquais quoi ? Qu'elle essaye de me casser une bouteille sur la tête ? Peut-être qu'elle avait assez d'humour et d'auto dérision pour comprendre… Ou pas.
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptySam 6 Avr 2013 - 12:15

Elle le confondez ? Impossible, elle regarder trop la boxe dans son enfance pour oublier qui était ce fameux Harry J. Hudson, un boxeur très talentueux et qui plus est un champion médailler dans son domaine de sport. Pour une fille Amoryne connaissait tout dans le sport, elle adorait ça, elle adore toujours d'ailleurs. Petite elle pratiquer le foot avec ses frères ensuite au lycée, le basket et le hockey sur glace. Elle aime ce dépenser en se défoulant sur quelque chose. Maintenant tout ça c'est du passé, le hockey, le basket, le foot, elle ne fait plus que ce que l'armée lui fait faire c'est à dire des pompes, des parcours et cetera. Quand elle rentre de mission, elle aime aller courir pour se vider la tête en écoutant un peu de musique. Alors qu'il ne dit pas qu'il n'est pas ce fameux champion du monde de boxe ce serait mentir et Amoryne déteste les mensonges surtout venant des hommes. Elle continua à vider ces verres tout en fixant le peu de miroir qu'il y avait devant-elle.

- Dans l'armée c'est tout ce que vous devez savoir..Si je vous le dit je serais forcer de vous tuer ensuite et j'ai pas envie de me salir les mains se soir.

A chaque qu'elle prononça cela à un homme qui la courtiser le soir dans des bars miteux, ils partirent à chaque fois tous en courant comme des grosses poules mouillée, vraiment pitoyable pour elle. Dès qu'elle dit qu'elle est a l'armée dans une section" spéciale" aucun homme ne voulait approfondir la discutions. Elle pensait qu'en disant cela il allait lui foutre la paix mais à son avis c'est mal connaître Harry J. Hudson. Elle roula ses yeux vers lui sans tourner la tête et le regarda siroter ses verres les uns après les autres, comme elle. A chaque fois qu'elle termina un verre elle en commanda un autre. Elle posa son verre en le claquant et se leva tranquillement en regardant d'un air sévère cet homme qui refuser de dire qui il était vraiment mais elle n'avait pas fini avec lui, il voulait mettre en rogne en disant que pour une fille l'armée c'est trop dur.

- J'imagine que personne ne vous attend chez vous ! Et que boire et votre seul échappatoire je me trompe ?

Jusque où pouvait-elle aller pour le pousser à bout ? Il l'humilier devant les autres, le peu de gens qui se trouver dans ce lieu elle aussi pouvait en faire autant. Elle avait peur de la réaction de Harry si elle s'aventurer dans ce terrain sur le fait que toute sa famille s'est fait tuer, elle voulait le titiller un peu sur ça. Elle n'avait pas peur de ce qu'il pouvait lui faire car elle pouvait en faire autant...


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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptySam 18 Mai 2013 - 20:57

En tout cas elle avait une descente impressionnante, nous buvions à un rythme assez semblable, abattant les verres de whisky comme si ce n'était qu'un jeu de cartes, commandant un nouveau verre dès que le cadavre du dernier allait rouler sur le comptoir et rejoindre les autres. Plus de vide que d'alcool dans leur carcasse, un vrai cimetière à éléphant. Peut-être qu'il serait mieux de ralentir un peu la descente avant de réussir à s'embrouiller les idées, elles n'étaient déjà pas bien claires d'ordinaires. En tout cas ce n'était pas une femme ordinaire, elle n'avait même rien d'ordinaire, vous en connaissez beaucoup des comme ça ? Des guerrières mantes religieuses blondes qui picolent du whisky à plus de 22 heures qui si c'était du sirop de grenadine. J'esquissais un sourire à sa menace à peine voilée, on dirait qu'elle n'avait pas vraiment de sens de l'humour, en tout cas ce n'était même plus de la haine à ce point là qu'elle nourrissait contre la gente masculine. Je l'avais énervé, mais je voulais comprendre cette personne, elle m'avait intrigué. Et puis, ce n'était pas à moi qu'elle allait faire peur.

- Je suis sensé avoir peur ?

Répondis-je sans moquerie, mais avec un sourire gentil. Je replongeais dans mon verre, que ça à foutre de toute façon, vu son amabilité et son affliction envers les hommes la conversation risquait de tourner vite court, à moins qu'elle ne me balance son verre. On dirait qu'elle n'avait pas aimé ma petite remarque, je regrettais un peu de l'avoir faite, je voulais la titiller, mais pas la peine de la mettre en colère. Je n'étais pas quelqu'un de méchant, elle m'avait juste rendu curieux, et si elle me connaissait elle ne devrait pas s'inquiéter que je la drague. Ca faisait longtemps que je ne regardai plus les femmes comme ça. En tout cas la petite furie qui venait de se lever de son tabouret avec la rage dans les yeux ne perdait pas de temps et se dépêcha de me répondre en me renvoyant la monnaie de ma pièce. Je dois dire que je ne m'y attendais pas, enfin la remarque sur l'alcool si, mais à vrai dire je m'en foutais, à mon âge je savais quelle personne j'étais, je n'avais pas besoin de me mentir quand j'allais boire dans un bar le soir. C'était ce qu'elle sous-entendait qui m'inquiétait plus. Je croisai les bras en me retournant vers elle, la regardant d'un regard un peu sévère et sombre, tout en gardant la maitrise, encore, de moi-même. Je la jaugeai du regard et finalement optai pour un effort de désamorçage de la situation. Je lui répondis me levant à mon tour et me rapprochant d'elle.

- En faite il y a mon chat qui m'attend. Et j'ai d'autres occupations. Excusez moi pour ma réflexion de tout à l'heure, je voulais tester qui gagnerai dans un combat entre votre sens de l'humour et votre opinion sur les hommes.
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptySam 15 Juin 2013 - 9:40

- En faite il y a mon chat qui m'attend. Et j'ai d'autres occupations. Excusez moi pour ma réflexion de tout à l'heure, je voulais tester qui gagnerai dans un combat entre votre sens de l'humour et votre opinion sur les hommes.

- Mon sens de l'humour ? il y a bien longtemps que je l'ai perdu...

Amoryne s'approcha de lui autant que lui s'approcha d'elle, elle  ne le lâcha pas du regard. On lui a toujours appris que baisser les yeux la  première était un signe de faiblesse hors Amoryne n'est pas du tout faible loin de là. Pourquoi cet homme l'intriguer autant ? Elle voulait savoir jusque où elle pouvait le piquer avec ses réflexions. Ce qui lui plaîtdans ce petit affrontement c'est que Harry lui emboite le pas, il ne s'en va pas comme les autres froussards, non lui il est là debout devant elle à repliquer à tous ce qu'elle lui dit, et ça sa lui plaît. Elle s'avança de plus en plus vers lui et passa à côté de lui en le frôle avec sa hanche pour aller recommencer deux verres de ce qu'ils venaient de boire tout les deux. Elle revint vers lui en lui tendant un des verres rempli de glace pilés comme elle aime. 

- Je plains votre chat le pauvre...Vivre avec vous ne dois pas être rose tout les jours. 

Elle ne lui adressa aucun sourire, mais son regard était sévère que plus tôt, elle s'était adoucie un peu elle sait à qui elle a à faire. Elle posa ses fesses sur le rebord d'un des billards du bar, les boules étaient sur le tapis vert et former un triangle au centre. Amo' aime bien jouer au billard mais ce soir son jeu favorie est d'embêter cet homme si intriguant du nom de Harry 

- C'est comme ça que vous draguer les filles Harry ? Va falloire revoir votre technique

Elle contiua à le regarder droit dans les yeux avec cette petite étincelle de défiance mais aussi d'attirance. Avec tout ce qu'elle à vécu à l'armée Amoryne à un peu de mal avec les sentiments, elle est comme disent les medecins antipathique et qu'ils ne peuvent rien pour ça. Dire que avant elle était une petite fille joyeuse et maintenant une femme incapable d'éprouver un sentiment de compation.
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyMar 18 Juin 2013 - 7:18

C'est bien ce qu'il avait cru comprendre… Rares étaient les femmes que l'aigreur avait à ce point renfermé sur leur propre haine au point que toute son existence y soit réduite. Comment en était-elle arrivée là ? Etait-ce seulement le travail difficile pour une femme dans un milieu d'homme très misogyne ? Ou y avait-t-il une autre raison à cette inimitié ? Quel secret dormait dans la haine. Elle le vit s'approcher de lui, répondant en miroir à son propre langage corporel, provocatrice et agressive, comme lui ? Sérieusement ? Comme lui ? Enfin… Avec… En fille quoi… Comme lui ? Elle tint son regard, longtemps, très longtemps, à vrai dire Harry ne savait même pas qui avait lâché le premier, peut-être en même temps, ou aucun des deux. Même le dos tourné à lui lorsqu'elle se rendit jusqu'au comptoir il lui semblait encore sentir la brûlure de son regard posé sur le sien dans un royal mépris de rage et de fureur. Elle l'avait frôlé en passant, Harry n'avait pas cillé, à vrai dire il s'en foutait, il ne savait pas bien ce qu'elle s'imaginait, mais en tout cas ce petit jeu était amusant. Et une petite pique en passant, pour le plaisir sans doute, mais malgré le ton dur, quoiqu'un peu radoucis lui semblait-il de la jeune femme, la remarque le fit sourire. 

- Il ne m'en a jamais rien dit en tout cas… Je suppose qu'il est heureux. 

Plaisanta-t-il avec un air parfaitement détaché. Qu'est-ce que son chat venait faire là ? Bon, et s'il attaquait avant qu'elle ne lui balance d'autres railleries du même genre, genre quelque peu ridicule néanmoins, mais amusant, mignon presque si ce n'était pas sorti de la bouche d'une dragonne excédée… Les femmes… Il prit le verre qu'elle lui offrait avant de la regarder du coin de l'œil s'assoir sur le coin du billard. Il la remercia d'un regard, la discussion ne se prêtait pas vraiment aux politesses présentement. Il ne but cependant pas son verre, se contentant de le garder à la main, il avait autre chose à l'esprit que boire, curieux de la jeune femme qui avait démarré avec lui cet amusant petit affrontement de personnalités toutes aussi originales et extrêmes l'une que l'autre. 

Cette fois elle faillit le faire éclater de rire, il se contenta cependant d'un rire contenu, maitrisé, tandis qu'elle supposait que le vieux boxeur était entrain de la draguer. Et qu'est-ce qui pouvait lui faire croire ça ? Une paranoïa aigue ? Surtout que ça ne lui ressemblait tellement pas. Il y avait tellement peu de femmes qui trouvaient grâce à ses yeux, non pas qu'Amoryne ne l'intéressait pas, non, elle était jolie, elle avait un caractère bien trempé, une sorte d'acier inoxydable pour une fausse blonde peroxydée. Mais… non ce n'était vraiment pas son genre de faire ça. Il ne venait pas dans les bars pour draguer des filles qui avaient pratiquement 20 ans de moins que lui, profitant d'une bagarre pour jouer le héros. Un moment son visage et ses yeux devinrent plus sombres, bien sûre il pensait à la femme qu'il aimait et qu'il avait perdu. Il n'avait rien contre Amoryne, il la trouvait même très bien, mais il n'était pas comme ça. Mais il ne se laissa pas démonter, il ne fallait pas qu'il perde la face non plus, malgré ce que sa pique avait pu évoquer de profondes blessures en lui. Il s'envoya une bonne rasade d'alcool avant de lui répondre avec amusement. 

- A parce que vous êtes une fille ? Je n'avais pas remarqué. Qu'est-ce qui vous fait penser que je vous drague ? C'est une paranoïa généralisée que vous avez avec tous les hommes ? Non dites-moi, j'aimerai comprendre.

Il la regardait tout en parlant, se rapprochant d'elle, très près, pas trop non plus il ne voulait pas se prendre un vilain coup de pied dans l'entrejambe, ça serait souffrir plus qu'inutilement. Mais assez près pour mettre mal à l'aise n'importe qui sous son imposante carrure. Il reprit son verre qu'il termina d'une traite. 

- Merci pour le verre. 

Dit-il avant de le reposer, puis de s'adresser à nouveau à elle. 

- Je vous en resserre un autre ?   

Il s'écarta alors d'elle, reculant, pour se détourner vers le bar reprendre deux autres verres. Il revint ensuite tenant les deux verres d'alcool tendant l'un d'eux vers la jolie jeune femme blonde.
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyJeu 20 Juin 2013 - 17:52

- A parce que vous êtes une fille ? Je n'avais pas remarqué. Qu'est-ce qui vous fait penser que je vous drague ? C'est une paranoïa généralisée que vous avez avec tous les hommes ? Non dites-moi, j'aimerai comprendre.

- Parce que mon cher, tous les hommes qui sont ici pensent que avec ce qu'ils ont dans leur pantalon et non avec leur cervelle ! 

Harry s'approcha près d'elle, elle était toujours adossée au billard mais ce leva quand elle vit que celui ci s'approcha. Il voulait la destabilisée  mais elle ne marcherait pas dans son jeu, Amo à une certaine fièrté et lui aussi à son avis. Ce petit jeu avec cet homme lui plaisait, c'est rare de rencontrer la même personne que soit avec le même caractère de  cochon. Il but son verre d'une seule gorgée et Amo fit la même chose avec un certain défi dans son geste. Il reparti au bar où il redemanda deux verres de ce liquide alcoolisé, Amo sait encaissée l'alcool elle peut boire autant qu'elle veut jamais sa tête ne tournera ou bien elle ne fera jamais de bord mais ses yeux deviennent rouge. Elle rit le verre que Harry lui tendit descendit du billard et bu une gorgée d'alcool avant de prendre la parole. 

- Le billard est prêt pour jouer, une partie ça vous dit ? 

Elle voulait s'amuser avec lui tout en le taquinant, et puis quoi faire d'autre ? Sur ce jeu elle pouvait certainement le battre. Enfait c'est soit le billard soit une partie de boxe mais bon en même il est boxeur pro alors il la batterait très vite, et Amo à horreur de perdre. Cet homme l'intrigue beaucoup, elle pouvait refuser de parler avec lui ou refuser les verres qu'il lui proposa pour enfin rentrer chez elle. Mais chez elle personne ne l'attend, personne ne ce soucis de ce qu'elle fait même sa famille. Ils ont tous tirer un trait sur elle, pourtant ils ne vivent qu'à quelques minutes d'ici. Ce qu'elle aime c'est ce que Harry lui tien tête personne n'a jamais oser lui tenir tête aussi longtemps, elle a enfin trouver un homme à sa hauteur. Amo alla cherché deux queue de billards et une sorte de craie bleu en forme de carré qui leur servira à frotter la partie qui entrera en contact avec la boule. Elle commença à jouer sans lui demander son avis après tout comme on dit "  les filles d'abord "  Elle tira sur la boule blanche qui claqua sur une autre boule qui termina sa cource dans l'un des quatres trous du jeu, puis elle en mis une deuxiéme mais ps la troisième
- A vous !!
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyLun 24 Juin 2013 - 10:29

Visiblement elle ne portait vraiment pas les hommes dans son cœur, et elle mettait Harry dans le même panier que tous les crétins malpolis qui jonchaient le plancher imbibé d'alcool. Il fallait avouer que le bar en était rempli et que les hommes comme Harry y étaient plutôt rares. En tout cas ce n'est pas lui qui irait offenser une femme de cette façon là, ni d'aucune autre d'ailleurs, si ce n'est pas quelques petites taquineries comme il venait de se l'offrir avec Amoryne car la charmante jeune femme était tout à fait à part des autres pour lui. Mais jamais il ne parlerait comme certains le faisaient aux femmes, en les traitant comme leurs objets, ou pire encore en ayant ce genre de gestes déplacés comme ceux contre lesquels il s'était battu tout à l'heure. Harry n'avait pas toujours été comme ça, et s'il était un gentleman c'était disons à sa façon, en tout cas il respectait trop les femmes pour leur faire ce genre d'affront. Même s'il n'était pas très doué avec elles. Mais à son âge les règles du jeu n'étaient plus tout à fait les mêmes et son expérience en la matière lui donnait beaucoup de points d'avances. 

- Donc c'est plutôt une paranoïa généralisée…

Plaisanta-t-il en lui tendant son verre qu'elle prit avant de lui proposer une partie de billard. En voila une occupation saine d'esprit, tirer dans des boules avec une queue pour les faire entrer dans des trous. Harry aurait préféré la boxe, il savait jouer au billard et ne s'en sortait pas trop mal mais disons qu'il n'était pas sûre de gagner, tout dépendait de ce qu'il avait en face, et la jeune femme avait l'air de cacher beaucoup de ressources, à si méprendre ce n'était pas comme cela qu'elle lui proposait ce jeu-là. Elle savait qui il était et c'était une fille combattive, elle aurait aussi pu parier sur un match de boxe amical, mais elle choisit le billard. Pourquoi ? Peut importe avec l'alcool qui commençait à toucher les neurones du vieux boxeurs il ne se posait plus ce genre de questions, malgré tout, et surtout malgré les verres, il tenait le coup. 

- D'accord pour le billard, mais si je perd je veux prendre une revanche… Dans le domaine de mon choix.

Annonça-t-il dès le départ, il était aisé de deviner quel était le domaine en question. Il n'avait aucune envie de lui faire du mal, mais ce qui se passait sur un ring c'était ce qui se passait sur un ring, et là-bas il était sûre de gagner. Pour autant même s'ils se battaient il ne frapperait comme il avait pu frapper à certains matchs, ces matchs où il avait failli donner la mort à ses adversaires en plus de la défaite. Mais pour le moment le temps était au tapis vert et aux boules de toutes les couleurs tandis que la jeune femme ouvrait la partie et que d'un délicat :

- Les femmes d'abord.

Il lui proposait de commencer, de toute façon elle n'attendit même pas sa réponse, c'était donc une affaire entendue. Elle se pencha au-dessus du billard et c'était peut-être l'alcool qui faisait son petit effet mais il trouvait la courbe de son corps magnifique. Elle tira la boule blanche dans une première boule qui ricocha sur une autre l'envoyant directement dans un  des trous. Coup de chance. Deuxième essai, encore une fois elle mit une des boules dans un trou. Un autre coup de chance se disait-il. Et au troisième coup… Eh ben autant dire qu'elle rata son coup. Harry prit donc la suite. Il plaça sa queue pour tirer dans la boule blanche, visant une autre boule qu'il fit ricocher sur un mur, l'envoyant dans une autre boule, il fut content de ne pas avoir raté son angle, qui tomba dans un des trous. Il se plaça pour tenter un deuxième coup, mais rien de bien fameux ne s'emblait s'offrir à lui, il chercha un angle assez simple pour une boule plutôt bien placé pourtant, mais alcool ou vieillesse il rata son coup. 

- Je vous interdit de vous moquer !

Plaisanta-t-il en lui laissant la place. Il était amusé finalement par ce petit jeu, Amoryne semblait plutôt doué, mais il défendrait quand même sa place, il n'était pas prêt de perdre la face et de laisser tomber, la jolie blondinette allait voir ce qu'elle allait voir.  
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyJeu 27 Juin 2013 - 10:55

- D'accord pour le billard, mais si je perd je veux prendre une revanche… Dans le domaine de mon choix.

- J'image que cela ce réglera sur le ring ? Facile pourun homme qui excelle dans ce domaine mais c'est d'accord si vous perdez alors on ce battra à la loyal mais si c'est moi qui perd alors vous devrez faire quelque chose de mon choix. Mais bon comme s'est moi qui vais gagné !! Je vous suivrez à votre salle de boxe s'est promis.

Après qu'il est joué et raté la deuxième boule, ce fut à nouveau le tour d'Amoryne. Elle osa faire naître un petit sourir moquer sur ses lévres. C'est la première fois qu'elle s'amuse autant avec un homme fraîchement rencontrer. Cet homme n'est pas si différent d'elle, elle a put constater qu'ils avient le même caractère de cochon. Faut croire que dans le monde de la boxe il faut aussi ce forger une certaine carapace pour ne pas se faire battre à plat de couture. Amoryne s'est imposée dans un monde où il n'y que les hommes qui y sont respecter. Grâce à sa persévérence elle a réussi à gravire les échelons les uns après les autres. Il existe encore des différents avec les autres mais elle réussi à leur tenir tête malgrè tout. Avec un début très difficile elle à sut rester debout malgrè tout. Elle fit signe au barman qui nettoyer ses verres avec un torchon derrière le comptoir de venir les reservir. Elle contourna le billard gardant son regard dans celui de Harry pour lui faire comprendre qu'elle allait gagnée, puis se pencha légérement contre le rebord du billard et se positionna avec la queue et tira dans la boule blanche qui tamponna la boule rouge, celle ci termina sa course dans le trou de l'angle droit. Elle se redressa fiérement pui se repencha pour tira une deuxièmre fois, la boule termina encore sa course dans l'un des quatre trous. Elle souria un peu timidement, sourire n'est pas une habitude pour elle de même que cette sensation de bien être.

Pour le troisème coup la chance lui tourna le dos, le boule jaune tamponna sur le rebord vert bouteille. Elle émit un son de mécontentement mais bon c'est le jeu. Le nombre de boule de billard diminua progressivement, ainsi que leurs verres d'alcool. La fatigue ne l'emparra pas, d'ailleur cela fait longtems qu'il ne la pas gagner. Une nuit de sommeil sans cauchemar, s'est tout ce dont elle rêve même une nuit comme ça ce n'est pas pour aujourd'hui.

- A votre tour et cette fois ci essayer de ne pas la rater Dit-elle en fixant dans les yeux le visage beaucoup plus détendu qu'au début de la soirée
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyMar 2 Juil 2013 - 15:09

Il se demandait ce qu'elle pouvait bien entendre par " quelque chose de son choix ", qu'est-ce que la jolie jeune femme voulait-elle ? Peu importe, puisqu'il accepta le marché en reprenant une bonne rasade d'alcool. Il commençait à sentir brûler ses veines et son esprit, non pas noyé dans la brume grise des volutes de fumées blanches expulsées par les cigarettes, mais comme différent, altéré par une enivrantes ivresse. Il décela le sourire moqueur sur ses lèvres lorsqu'il rata son coup, il répondit par un sourire à son tour et la regarda jouer. Après avoir recommandé des verres elle fit le tour du billard avec sa queue, sans le quitter des yeux, et lui aussi ne décrochait par son regard d'elle, de ses yeux dont il n'arrivait pas à discerner l'obsédante couleur entre le bleu et le vert… Puis elle se pencha en avant pour tirer une première boule, et les yeux d'Harry se perdirent dans la profondeur de son décolleté s'ouvrant à lui, laissant apparaitre les formes de sa poitrine, il rougit et détourna les yeux, suivant la course de la boule rouge qui termina dans l'un des trous du coin du billard. Il but une nouvelle gorgée d'alcool brûlante comme pour rafraichir son esprit qu'elle rendait fou. Elle mit une seconde boule et il se surprit même à la féliciter, il la regarda sourire, son visage était moins dur, moins fermé, lorsqu'elle souriait, elle avait presque l'air douce.

Les boules progressivement, chacune leur tour, finirent leur course dans les trous du billard, ou s'écrasant contre ses rebords, l'une d'elle faillit même finir dehors. Harry ne savait pas à combien de verres ils en étaient, mais ils étaient toujours bien conscients, et surtout heureux, et ça ce n'était pas seulement dû à l'alcool. La nuit semblait s'éterniser et au cœur des ténèbres ils pourraient presque imaginer qu'elle ne se terminait jamais et qu'ils resteraient là encore pour toujours sur la même partie de billard qui n'aurait pas de fin. A moins que l'un d'eux finisse par tomber sous les coups de l'ivresse mais ça ce n'était pas prêt d'arriver. Ca ça n'arrivait pas souvent, Harry Hudson était heureux. Il passait l'une des meilleurs nuits qu'il n'avait jamais eu depuis douze années. Il ne pensait plus à rien, le passé et l'avenir n'existait plus, il était juste heureux, il ne savait pas si c'était elle ou l'alcool exactement, mais pour un soir il avait oublié. Et il aurait pu passer la nuit comme ça, car aucune fatigue ne le fit jamais faiblir, s'il avait fait un souhait à ce moment là, c'est que ça ne se termine jamais.

A son tour de jouer, elle avait une petite, bon bonne, longueur d'avance sur lui, mais rien n'était jamais perdu quand on jouait au billard et il pouvait encore la rattraper. Il répondit à sa provocation par un regard de défi et prit sa queue, tournant autour du billard en réfléchissant. En fait il ne restait plus grand-chose de boules à faire rentrer et placé comme il était à vrai dire il ne savait pas comment il allait bien pouvoir se démerder pour en avoir une. Mais il finit par trouver un bon angle, il se positionna et tira, la boule jaune tapa contre une autre l'envoyant dans le trou, un bon premier coup. Oui mais maintenant il n'était pas dans la merde. Il avait beau regarder le tapis verre et la configuration des boules restantes il ne trouvait rien pour y faire rentrer sa boule blanche. Tant pis, il essaya un coup un peu tiré par les cheveux et qui avait peu de chances de fonctionner, en même temps il n'avait pas de cheveux. Il se positionna, mais au moment où il allait frapper la boule blanche, ses yeux croisèrent de l'autre côté du jeu la jeune femme blonde, le coup partit tout seul avant qu'il n'est eu le temps de bien mettre en place sa queue sur le tapis, et la boule se perdit dans le vide dans un coup manqué. Merde, elle allait gagner là, c'était sûre, il ne restait presque plus de boules à rentrer, elle en avait déjà plus que lui, et en plus sa connerie lui avait offert un super bon angle d'attaque. C'était sa faute aussi avec ses yeux bleus-verts qui brillaient doucement dans cette nuit enivrée au whisky.  

- J'ai été déconcentré…

Dit-il pour se donner une excuse, l'air faussement bougon, ça se voyait qu'il n'était pas sérieux.  
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptyMar 16 Juil 2013 - 9:10

Il ne restait plus que deux boules à mettre dans les trous du billard, Amoryne sourit quand Harry rata son coup. Il a était déconcentré ? qu'est ce qu'il a bien put le déconcentré ? M'enfin bon ce qui compte pour Amoryne c'est qu'elle allait gagner. Elle but d'un trait sec son verre et ce plaça devant l'une des deux boules à mettre, grâce à Harry il lui avait bien plaçait, peut-être un geste du destin, le destin voulait que Amoryne gagne pour pouvoir revoir cet homme. Elle mis la boule en un coup assez fort, elle ne tapa aucun rebord et termina directement sa course dans l'un des quatre trou du billard. Elle regarda Harry pour lui faire comprendre qu'elle allait gagner. Sa qualité a Amoryne s'est qu'elle sait très bien visé, un avantage pour elle. Sa spécialité dans l'armée s'est qu'elle est sniper, enfin plus communément appelé Tireur d'élite, une spécialité d'homme mais Amoryne a réussi à ce faire un nom dans ce domaine, elle est la seule a visé à plus de 1 800 mètres. Elle contourna le billard pour mettre la deuxième boules et réussi comme la première, voilà elle a gagner et elle en a jamais douter. Elle releva sa tête fièrement et regarda Harry

- Je vous avez bien dit que je gagnerai. Maintenant un marché est un marché, vous méritez une revanche dans votre domaine et ce sera avec grand plaisir.

Elle sourit de fièreter, elle venait de gagner et de nouveau elle venait de prouver à un homme qu'une femme peut-être sur le même point d'égalité qu'eux. Même si ce n'est qu'un jeu de billard elle était contente quand même. Elle posa sa queue de billard sur le tapis vert, et posa sa main sur son verre pour le faire glissé sur le rebord jusqu'à Harry. Elle prit un stylo qui était dans sa poche de pantalon et prit la main de Harry d'un geste franc. Elle y inscriva son numéro de téléphone. Elle avait vraiment envie de le revoir ensuite elle verra bien ce qui ce passera entre eux par la suite mais c'est la première fois qu'Amoryne fait assez confiance à un gars qu'elle ne connaît pas en plus pour lui donner son numéro.

- Tenez s'est pour votre revanche appelez moi quand vous voudrais la faire, ou si vous voulez qu'on...enfin à vous de voir mon cher Harry

Elle le contourna et repris sa veste qu'elle avait laisser sur la chaise où elle était assise au début de la soirée avant que ces deux imbéciles viennent l'embêter. Elle porta sur son avant bras et paya la note ainsi que celle de Harry elle ne voulait pas être inviter s'est pas son genre, avant de franchir la porte de ce miteux bar elle regarda encore Harry avec un petit sourire assez hésitant, elle sortie de ce bar et se mit à avoir un grand sourire elle venait de passer une belle soirée depuis des lustres. Maintenant elle allait rentrée chez elle à essayer de trouver le sommeil, un sommeil qui viendra la border pendant quelques heures avant d'être réveiller par son réveil.
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MessageSujet: Re: Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE Quand les jolies filles se mettent à mordre y a plus qu'à aller se planquer [Amoryne Swan] TERMINE EmptySam 10 Aoû 2013 - 2:47

Deux coups plus tard et Amoryne avait conclu la partie. Elle n'avait pas hésité, pas même tremblé, ses mouvements étaient d'une précision mortelle et sa grâce, elle, était inégalée. Dans chacun de ses gestes respiraient une puissance et une beauté où la force et le sublime n'avaient rien à envier l'un de l'autre. Elle avait gagné la partie et elle méritait bien cette victoire. Harry lui sourit et tapa dans ses mains pour la félicité.

- Ca sera un plaisir de vous retrouver sur cet autre terrain de compétition, mademoiselle, vous méritez votre victoire.

Il leva son verre à sa santé et le vida, pour ce qu'il en restait, laissant l'alcool qu'il ne sentait plus lui brûler la gorge. Amoryne vint vers lui et prenant sa main lui griffonna quelque chose dans le creux de la paume, lui expliquant ensuite qu'il s'agissait de son numéro de téléphone, il regarda les numéros inscrits avant de relever les yeux vers elle. Il était content d'avoir perdu, content de pouvoir la revoir. Et s'il le fallait il serait prêt à reperdre encore et encore pour la revoir à nouveau. C'est la pensée qu'il se formula, rapidement, osant à peine. Cette nuit cette pensée occupera tous ses songes, comme un poison qu'elle aurait fait couler dans ses veines. Il croisa les bras, s'asseyant à moitié sur le rebord, il lui adressa un petit sourire en coin gentil, sans trop être charmeur, du moins ce n'était pas ce qu'il voulait, à moins de souhaiter se prendre une baffe de la belle demoiselle à la tête en plomb.

- Merci… Pour la soirée… Je vous rappellerez pour notre petite revanche.

Il avait un peu rougis à sa précédente réplique, mais comme l'alcool avait déjà fait rougir son teint ça ne se vit pas trop, du moins ça ne se démarqua pas sur son visage. Elle le contourna et récupéra sa veste avant de payer la note, malgré les protestations d'Harry, tant pis il se vengerait plus tard. Juste avant de sortir elle se retourna une dernière fois vers lui, à peine le temps pour qu'il lui lance un :

- Bonne nuit, Amoryne.

Et elle disparut dans la nuit telle qu'elle était venue, une apparition dans les ténèbres. Il souriait comme un con et le barman dut le secouer doucement pour le faire bouger. Harry salua son ami, attrapant son chapeau qui traînait là, et sortit à son tour, la souffrance en lui s'était apaisée et ce n'était pas l'alcool qui avait mis ce baume sur son cœur. Dans la rue il se surpris à la chercher des yeux, mais elle avait déjà disparu. Il prit une inspiration profonde, profitant de l'air de la nuit. Quelle heure était-il ? Très tard surement. L'air frais et le silence nocturne avaient pour eux d'être aussi doux et désirables que le lit d'une femme. Harry se mit à marcher, flânant dans les ruelles seulement animées d'un ou deux miaulements de chats se faufilant entre les poubelles. La nuit était belle et douce, mais l'air froid mordait la peau d'une suave violence, comme Amoryne. Il retourna chez lui, à peine éméché, mais heureux comme il n'était rarement, surtout à la tombée de la nuit. Il se coucha rapidement et s'endormit tout aussi vite, pour une fois il dormit d'un lourd sommeil sans rêve, sans cauchemar, sans regret. Le silence et la paix, même s'ils ne devaient durer qu'un temps, lui avaient offert un brève répits, un bonheur qu'il n'avait plus depuis longtemps espéré.
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