Le forum ferme ses portes après 5 longues années d'existence.
Merci à vous tous de nous avoir suivi et qui sait, à bientôt sur d'autres forums ♥
Le Deal du moment : -11%
Smartphone 6.36 ” Xiaomi 14 (12 Go / 256 Go
Voir le deal
641 €

Partagez|

Parfois, il ne faudrait jamais demander de l'aide à son voisin [PV Jean] (NC - 16 ans)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Victims
 Victims 





• • • • • • • • • • • • •


▌Messages : 4
▌Date d'inscription : 12/12/2010

Parfois, il ne faudrait jamais demander de l'aide à son voisin [PV Jean] (NC - 16 ans) Empty
MessageSujet: Parfois, il ne faudrait jamais demander de l'aide à son voisin [PV Jean] (NC - 16 ans) Parfois, il ne faudrait jamais demander de l'aide à son voisin [PV Jean] (NC - 16 ans) EmptyMer 25 Mai 2011 - 22:37

C'était une belle matinée du mois de mai, les enfants étaient à l'école, les maris au travail et les femmes au foyer restaient à la maison pour préparer le repas quand leur famille rentrerai. C'était le cas pour Carol Markson, elle préparait tranquillement son repas pour le midi mais en mettant son plat au four, elle remarqua qu'il ne chauffait pas. N'étant pas une très bonne bricoleuse, elle ne préférait pas tenter de le réparer, elle allait plutôt demander de l'aide. Vu l'heure qu'il était, un professionnel, n'allait jamais se déplacer avant l'heure du repas et elle ne voulait pas changer son menu. Elle regarda alors par la fenêtre pour voir si un voisin pouvait l'aider.

Dans la maison de droite, il n'y avait ni voiture garée dans l'allée, et les volets étaient toujours fermés, elle ne pouvait pas compter sur eux. Dans la maison d'en face, elle avait vu son voisin quittait la maison quelques heures plus tôt et savait très bien qu'il n'allait pas rentrer pour le déjeuner. Il ne lui restait plus que son voisin dans la maison de gauche. Elle ne le connaissait pas très bien, elle ne l'avait pas vu beaucoup sortir de chez lui depuis qu'il avait emménageait. Elle ne connaissait même pas son nom. C'est un bon moyen de connaître son voisin. Elle sortit de chez elle et se dirigea vers la maison de cet homme.

Elle passa la petite allée de la maison et s'arrêta juste devant la porte. Elle frappa deux coups et attendit patiemment qu'on lui ouvre. Elle espérait vivement qu'il soit encore chez lui pour qu'il l'aide à réparer son four.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
 Invité 
Invité




• • • • • • • • • • • • •



Parfois, il ne faudrait jamais demander de l'aide à son voisin [PV Jean] (NC - 16 ans) Empty
MessageSujet: Re: Parfois, il ne faudrait jamais demander de l'aide à son voisin [PV Jean] (NC - 16 ans) Parfois, il ne faudrait jamais demander de l'aide à son voisin [PV Jean] (NC - 16 ans) EmptyVen 27 Mai 2011 - 1:30

10h du matin, ayant trop chaud dans mon lit, malgré les conseils du médecin que je suis allé voir la veille à cause de troubles du sommeil, je choisis de me lever pour faire un peu de rangement à la cave. J’en profite car Tiffany passe toute la semaine avec sa mère qui l’avait invitée pour son escapade à Berlin. Depuis son départ je dors mal, elle rentre dans deux jours mais l’accumulation de fatigue est mauvais pour mes nerfs m’a répété le médecin en me précisant qu’il valait mieux que je dorme jusqu’au zénith. Rien de bien spécial à signaler jusqu'à présent, une fois la cafetière lancée je descendis donc à la cave. Depuis que j’ai emménagé ici elle a prit une toute autre valeur que celle que lui donnait les anciens propriétaires qui s’en servaient de débarras. Pour ma part cette endroit à comme une âme, et depuis certaines expériences dans celle-ci une atmosphère glauque y règne. Je ne vais pas vous narrer le léger différent avec le père de la meilleure amie de Tiffany qui ici entraina son décès dans les heures qui suivirent, des pulsions provenant de mes anciennes tortures en Irak m’ont littéralement poussé à le tuer lentement avant de me débarrasser du corps en le jetant dans le ciment tout juste coulé pendant les travaux dans la ville voisine, j’avais en effet profité de la pause déjeuner des ouvriers pour couler son corps dans ce qui est aujourd’hui les fondations du centre d’affaire d’une grosse entreprise de chaine hôtelière . Malgré le plaisir et la satisfaction qui en sont ressortit je préfère oublier ce sombre épisode que connu se lieu. Soudain j’entendis sonner à la porte, je n’ai pas vraiment d’amis dans le quartier ni réellement d’amis en général qui pourrait me rendre visite à cette heure. En ouvrant la porte, j’aperçu un visage qui ne m’étais pas inconnu, il s’agissait d’une voisine : Carol Markson. Elle m’expliqua la situation et je lui répondis donc sur un ton amical :

« Bien entendu Madame Markson. Entrez je vous prie. »

Elle franchit donc le seuil de ma porte. Avant de redescendre chercher un beau service en porcelaine neuf pour le café je lui demande si elle accepterait d’en boire un avec moi le temps que le four fasse son travail. Elle ne refusa pas, mais tout ces souvenirs ayant ressurgit dans la cave, sans trop savoir pourquoi dans un premier temps je pris l’initiative de verser discrètement dans sa tasse quelques gouttes d’un puissant somnifère qui la ferai s’écrouler sur place. Tout ce déroule comme prévu, près de 10 minutes après sa première gorgée elle s’était endormie. En voyant son corps gisant sur le sol je revit ces images, de corps de civils durant la guerre que j’avais tué de sang froid parfois devant leur famille, ne perdant pas une seconde, la prenant dans mes bras, je descendit à nouveau dans la cave.

Près de deux heures après elle ouvrit enfin les yeux se demandant ou elle se trouvait. Elle ne vit qu’une ombre en face d’elle, elle tenta de se débattre car elle sentait une pression sur ses poignets et chevilles. Je l’avais attachée en croix sur deux planches de bois solidement attachées l’une à l’autre par mes soin qui formait un « X ». Elle se mit a pleurer voyant qu’elle était captive d’un homme qui pourtant au début lui paraissais si gentil. C’est alors que je m’approcha d’elle, un vaporisateur à la main. J’avais bien entendu prit soin d’enfiler une paire de gants, elle se mit à crier mais c’étais trop tard elle ne pouvait plus s’enfuir et allais être torturée jusqu’à la mort. Vaporisant à plusieurs reprises l’acide contenu dans mon jouet infernal. Au bout de quelques minutes je vis les effets de cette solution qui avait réduit en lambeaux presque tous ces vêtements et avais bien attaqué sa peau. Après avoir gravé un message à l’attention de celui qui retrouvera le corps une fois que j’en aurais fini avec. Ne supportant plus ses cris je lui enfonça dans la bouche des boulles de papiers journal puis pour scotcha celle-ci. Elle ne pouvais plus parler mais ces yeux s’en chargeait, les larmes qui coulaient de ceux-ci sur ses joues et ces yeux demandant un acte de pitié envers elle me mit hors de moi, j’avais déjà rencontré ce genre de regard auparavant, je prenais désormais un réel plaisir à continuer de torturer mes victimes. C’est sur un regard malicieux et un petit rictus qui en dit long que je me suis retourné pour aller chercher une sorte de grosse batterie, une peu comme celles que l’on trouve dans les camions, bien entendu j’y avais apporté ma touche, petit interrupteur « ON/OFF » accompagné d’un petit smiley qui sourit auquel j’avais relié une dizaine de pinces crocodiles que je m’empressât de mettre en place sur diverses parties sensibles du corps où se trouvait de nombres terminaisons nerveuses. J’en positionne donc deux sur la langue après avoir transpercé les couches de scotch, ainsi que sur chacun de ses tétons, ses paupières aussi furent visées par ces pinces crocodiles car j’aime voir les yeux de ma victime se révulser quand j’allume la bête. Sans l’ombre d’un remord je mis donc en route mon instrument de torture que je compte dans mes favoris, ses yeux comme prévu et comme je l’aime se révulsaient, même avec ce que je lui avais mit dans la bouche j’entendais ces cris de douleurs qui me sont vite devenu insupportables à entendre. Pour en finir avec ses cris je prit soin après avoir retiré la bouillie qui restais du journal dans sa bouche, un magnifique couteau que j’ai hérité de mes grands parents, pour couper lentement ce qui lui restait de langue, bien entendu ne voulant pas de taches de sang sur mon sol entre autre, je prit soin de le recouvrir de film plastique. De nombreuses effusions de sang gisaient elle commençât peu à peu a perdre connaissance, mais je n’étais pas encore satisfait c’est alors que je lui dit ironiquement :


« Tu t’es plutôt bien défendue je ne pensais que tu serai restée consciente jusqu’ici. Il est maintenant temps d’achever le travail que j’ai commencé »

Le sang sur le plastique l’avait rendu glissant, les ténèbres qui consument mon âme par un désir de vengeance de mon père toujours inassouvi commencent avec sa mort à s’estomper jusqu'à la prochaine fois, il fallait encore l’achever. J’opta pour un classique simple, efficace et qui facilite le transport, le démembrement. Une fois fait je prit soin de placer les différentes parties de ce corps dans un grand sac poubelle puis y mit le film plastique couvert de sang en prenant soin que pas une goutte de sang ne coule sur le sol, une fois fait je mis le tout dans un second sac poubelle. D’une traite je monte les deux sacs que je jeta dans le coffre de ma voiture située dans mon garage.
Avant d’aller me débarrasser des ordures je devais me changer car le sang avais taché ma belle chemise couleur bleu ciel et la moindre tache m’insupporte au plus haut point.

10 minutes plus tard, chemise dans la machine à laver avec une bonne dose de détachant maison et armé d’une autre chemise bleu ciel identique à la première je monte dans ma voiture pour entamer ma route vers le bois. Comme à son habitude il était désert je pris soin de jeter les sacs dans un coin du bois peu fréquenté mais ou on trouvera les sacs d’ici quelques jours je pense. C’est plus excitant de savoir qu’un corps à été retrouvé mais qu’aucune trace pouvant mener à son assassin l’accompagne, ce qui présage une traque plus ou moins amusante pour ma part car jamais ils ne pourront avec mes méthodes remonter jusqu’à moi. Néanmoins je ne peux pas me permettre de tuer à tord et à travers surtout quand Tiffany sera rentrée, je me suis battu pour sa garde je ne peux l’abandonner et aller en prison, elle est tout pour moi sans elle je meurs. Mais cette torture suivie de ce meurtre m’ont procuré de la satisfaction, mieux : du plaisir (comme chaque torture d’ailleurs). Maintenant commence pour moi un période de délectation, quand je lirais mon journal le matin et que je verrais des articles sur cette affaire, mais les autorités par le message que j’ai gravé sur le corps, doivent s’attendre à de futures affaires similaires. En effet sur chaque bras une petite phrase est visible et celles-ci forment le message dont je vous parle.


« The game has just begun. Now try to catch me »
Revenir en haut Aller en bas

Parfois, il ne faudrait jamais demander de l'aide à son voisin [PV Jean] (NC - 16 ans)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

Sujets similaires

-
» Dis, je peux te demander un truc...(PV Gillian )
» Mon Voisin Du Dessus (MVDD)
» La curiosité mène tout le monde, mais parfois vos mieux l'ignorer. (libre)
» Tu n'aurais jamais dû te trouver sur mon chemin | (PV PNJ Victims)
» Les échanges sont parfois trop court...
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
RPG Criminal Minds :: Divers :: RP terminés (ou abandonnés)-