Alors qu'on croit tout contrôler, on s'aperçoit très vite qu'on ne contrôle rien et à ce moment là, on se sent mal, très mal, trop mal peut être. Ce moment là Danny commençait à s'en approcher, progressivement, il était plus le même depuis sont agression, il n'en avait parler encore à personne, du moins Hotch se posait pas mal de question, mais Danny n'y répondait jamais et gardait sa version des faits : une perte de mémoire. Bref, ce jours là, rien ne se passait comme prévue, son réveil n'avait pas sonner, Aiden et lui c'était embrouiller, Nathan était malade, Sky n'avait presque pas dormit de la nuit, résultat il l'avait laisser à son oncle pour la journée. Danny était fatigué, et très énerver. Il s'était diriger vers la cafétéria, sans dire un mot, pensant que si il ne parlait à personne, personne ne lui parlerait et que de ce fait tout irait bien. Arrivé à l'endroit de ses pensées, il sortit une pièce de sa poche de chemise et celle-ci lui échappa des mains, il craqua et fit :

"Mais merde, c'est pas vrai, ça continue ! J'aurais dut rester coucher ce matin !"

Il se pencha prenant appuis d'une main sur le rebord du fauteuil roulant dans lequel il était cloitrer depuis deux mois maintenant, et de son autre main, il tenta d'attraper cette maudite pièce. Il manqua à deux reprises de tombe du fauteuil, jusqu'à ce qu'un bon samaritain lui ramasse la pièce et le lui la donne. Généralement on dit merci, on fait un sourire, et on propose un café à cette personne, mais dans les jours où tout va mal, on ne fait rien comme d'habitude. Danny ne prit pas la peine d'observer la personne et lui lâcha sur un ton sec :

"J'aurais put le faire tout seul !"

Puis relevant la tête, il se sentit passer au rouge écarlate, il ravala sa salive et fit d'un air totalement gêné et complétement désemparer, comme un enfant se rendant compte de sa bêtise :

"Oh...désolé agent Rossi, je ne voulais pas vous parler, ainsi..."

Il ne savait pas trop comment agir, il se sentait mal, mais en même temps il en avait marre qu'on le traite comme un mourant, il voulait sortir de cette chaise, de ce fauteuil, de cette chaise, il voulait courir, jouer, retrouver enfin le sourire, il voulait vivre tout simplement.

[ j'espère que ça te plaire :/]

Une journée allait commencer, personne ne sait ce qu'elle allait réserver. Alors pour profiter de cet instant de tranquillité et pour mettre en route sa journée de façon positive. Il se rendit à la machine à café, un jeune homme en fauteuil était entrain de fouiller dans ses poches. Il se mit derrière attendent son tour. Il fit tomber des pièces, ne voulant le gêner et l'ayant entendu râler juste avant.
David l'avait laissé ramasser ces pièces, mais voyant qu'il n'y parvenait pas et comme cela semblait tout à fait naturellement quelque soit la condition de cette personne. Rossi ramassa les pièces et les tendit au jeune homme. Quand la personne reprit les pièces elle rouspéta.
L’agent Rossi ne répondu rien et de toute façon il n'en eu pas le temps. Manifestement ce jeune homme le connaissait. Apparement gêné, David sourit largement, essayant de mettre à l'aise la personne devant elle.

Y a pas de mal...mais si ça peu vous rassurer je l'aurais fais avec n'importe qui d'autre.

Il aurait bien rajouter d'autres choses ou d'autres commentaires, mais il ne connaissait pas cet homme. Sinon il lui aurait dit que au contraire vu sa ravissante humeur, il a préféré attendre avant de voire qu'il avait du mal. Et qu'il devrait pas prendre les choses ainsi pour divers raisons qu'il aurait développé ou non. Mais ne serais ce parce que les gens ne peuvent lire dans les pensées et qu'ils ne doivent pas récolter ce que d'autres ou soit même ont semé.

[dsl pr la quantité]

Le jeune agent avait un visage fatigué et limite dépressif, il n'en pouvait plus, le fauteuil c'était pas pour lui et pourtant il devait être dedans. C'était dur mais c'était comme ça. Ces temps-ci il était plus déprimer et agressif que d'habitude et pour cause, il avait la sensation d'être devenue un point en plus pour sa famille et ça il ne pouvait pas le supporter, et qui le pourrait d'ailleurs ? Bref, sa réaction assez vive avait été causer par le faite qu'il ne supporte plus qu'on le prenne pour un handicaper. Mais en relevant les yeux il avait vu l'agent Rossi, il le connaissait parce qu'il suivait de loin bien sur, toutes les affaires de l'équipe de Hotch, il admirait leur travail et adorait leur façon de faire, il les respectait et lorsqu'il s'était rendue compte qu'il avait mal parler à l'un de ses idoles en quelque sorte, il s'était sentit très mal. Il regarda l'homme et s'excusa, Rossi , lui dit que ce n'était rien et qu'il aurait agit ainsi avec n'importe qui. Danny le regarda et lui dit :

"Vous dites ça pour que ça passe mieux, n'est-ce pas ? Vous savez je ne suis pas dupe, je sais que tout le monde chercher à m'aider, mais chaque fois j'ai la sensation d'être encore plus handicaper que je le suis...Je pourrais un jour remarcher, je le sais, mais...le temps est long, trop long à mon goût..."

Il le regarda et grimaçant un peu, il lui dit :

"Je vous paye un café, pour vous remercier d'avoir essayer de m'aider ?"

[ pas grave ne t'en fais pas, je ne regarde pas la quantité mais la qualité ]

(pour la petite histoire, j'avais déjà du y répondre et ça a beugé quand je l'ai posté ou un truc ocmme ça enfin bref)

pour reprendre :

Spoiler:

Inutile d'être un grand psychologue pour comprendre la réaction exagéré du jeune homme.
Ces traies étaient tiré et à en juger par son allure et sa morphologie, il n'était pas du genre à ne pas bouger ou à se laisser aller, on pouvait donc facilement imaginer son état émotionnel.
Mais comme je suis également humain, je fus un bref instant surprit par sa réaction. En vu de sa réaction la gentillesse, la compréhension et l’amabilité ne seront pas d'une grande aide, je pris une respiration et répondu, sur un ton neutre et avenant.

Jeune homme! sachez que quand je dis quelque chose, je le pense et si je vous dis que si vous n'auriez pas été sur roulette je vous airais aidé aussi mais que vous voulez pas le croire libre à vous.
Je peu comprendre à quel point ça peu être lourd de supporter les âneries des gens et combien c'est pénible d’être limité, mais personne n'a demandé à ce que cela vous arrive, alors si vous êtes en colère défouler vous mais pas sur les gens.

Oui! David lui rentrait dans le lard, il en avait marre de la gentillesse, alors passons aux choses plus abrupte.
Et puis c'était le coté, veille américain qui ressortait de Rossi, régulièrement, il avait parfois des phrases d'américain typique, ce qui fait sourire son équipe.
Malgré tout il n'aimait pas ce genre de méthode, mais il faut savoir s'adapter...
Puis il sourit à sa proposition et lui répond : oui avec plaisirs. Qu'es ce que vous fêtes ici? Vote visage me dit quelque chose non?

Danny se rendit compte que son comportement pouvait bloquer les gens qui lui voulait du bien et juste l'aider. Alors il décida de ranger son amertume et de passer à autre chose. Cet agent n'y était pour rien dans son agression. Et Dan n'avait pas à se venger sur ce type. Alors bon il finit par lui proposer un café que l'agent David Rossi accepta volontier. Danny finit par lui dire que oui il était également agent du FBI et qu'il voudrait bien rentrer dans le BAU, mais que cela dépendrait de pas mal de chose et que pour le moment il avait d'autre chose à gérer.

Redressant la tête, il roula jusqu'à une table, où il poussa une chaise et prit place. Il attendit que l'agent Rossi n'arrive, et là il croisa les bras sur son torse. Danny avait le visage assez fatigué mais bon ça passait encore et c'était compréhensible après tout ce qu'il devait endurer. Il se tata un peu et finit par demander :

"Agent Rossi...ça vous est déjà arriver de vous demander si vous étiez fait pour votre métier ?"

Une question comme une autre pour certaines personnes mais pas pour Danny, c'était très important pour lui de savoir. Il voulait découvrir si ce qu'il ressentait là était dut à sa dépression, ou si c'était sincère et qu'il voulait vraiment tout lâcher. Il espérait que Rossi puisse l'aider, mais il ne savait pas demander de l'aide...c'était ainsi.

[ pas de problème ne t'en fais pas ^^]

David sourie quand il comprit que la question du jeune homme était dans un sens plus terre à terre et précise. En même temps il est vrai qu'il a répondu comme il le pouvait avec les élements qu'ils avait.

Ah! D'accord! , dit il en souriant

Cela me rappel une discutions que j'ai eu une fois avec un collègue en rentrent d'une affaire. Il est vrai que cette question est épineuse car dans un sens vous voulez être un bon père mais pour cela vous devez être comblé personnellement et ça comprend le fait d'aimer son travail.

Le visage de David se fit plus sérieux et dure lorsque le jeune homme répondit à l'agent Rossi.
En effet l'agent loreno, parla de garder sa fille et de quelque chose qu'il lui était arrivé, fit une coupure et reprit en disant u'il ne voulait pas que ça recommence. David ne comprenait pas pourquoi il se mettait à parler d'autres personnes et de faits qui recommence.

Hey, Danny, c'est ça?! Qu'es ce qui a? Je comprend pas, pourquoi parlez vous ainsi, que vous ai il arrivé? De quoi avez vous peur?

Oui, il ne le connaissait pas, mais l'ambiance était plus au petit prénom qu'a la solennités.
Il joint sa parole à un geste de sa mains sur le haut du bras du garçon, constatant l'attitude corporel de l'homme en face. Il avait comme l'impression qu'a cet instant précis, cette nouvelle connaissance baissait les armes et lui montrait ses blessures comme pour demander de l'aide, peu être. Il est vrai, que de toute façon l'agent en face de lui, c'était montré ouvert et sincère dés le début de cet échange.

Il venait une idée à Rossi mais nous verrons cela plus tard.

Un quart de seconde Rossi fut un peu inquiet d'entendre cette phrase, mais malheureusement tout le monde la sort à tord et à travers et c'est bien ainsi que David là comprise. Il lui répondit simplement :

Bah fait le! Bah oui quoi, vous êtes en vie, rien ne vous en empêche!

L'agent écouta le jeune homme,

C'est rien je peu comprendre, moi même ça me rendrait fou, mais vous voyez ça vous a au moins appris une chose comme vous venez de le dire, délégué. Je suis sure que eux ne le prenne pas comme ça, et puis c'est passagé. C'est votre vie, c'est donc la vie d'avant...

Rossi était étonné de parler ainsi avec cette personne qu'il ne connaissait presque pas, et étonné surtout que lui même ou un de ses proches ne lui est pas dis déjà toute ses choses. Ou alors peu etre, était il bourru.
Cela ne le dérange pas d écouter les autres, mais parfois ce jeune homme avait l'air d'avoir besoin comme on disait dans le temps, d'un bon coup de pied au cul pour lui remettre les idées en place.
Puis Donnay continu, il sentait que la personne en face de lui, lui disait vrai, il n'était pas lui même, le sentait il faut le dire perturbé.

Non merci ça ira, répondit il en souriant légèrement

Mais par contre, qu'es ce que vous faites ici? Vous avez reprit une partie de votre travail?

David regarda sa montre, il devait retourner au travail, mais il avait encore quelques minutes à accorder à son interlocuteur. Il devait avouer qu'il ne savait pas trop quoi penser de ce jeune homme ...

La dernière question de Rossi fit taire Danny. En faite, il n'avait pas réellement l'autorisation d'être au boulot. Mais il en avait marre de rester enfermé, donc il avait prit le droit de revenir et de bosser. Fallait dire que pour faire des dossiers, il n'avait pas besoin d'avoir des jambes, mais juste d'avoir ses bras et sa tête et ça il les avait. Il ne savait pas vraiment ou voulait en venir cet agent, est-ce qu'il cherchait à l'aider ou à l'enfoncer. En y réfléchissant la réponse était plutôt simple, il voulait lui faire comprendre qu'il pouvait avancer et qu'il devait arrêter de se plaindre. Mais Danny ne s'était pas plaint comme ça depuis tellement d'année qu'il se demandait pourquoi aujourd'hui il n'avait pas le droit de jouer les gamins et de se plaindre pour un oui ou un non ? Peut être parce qu'il était père et qu'il devait agir entant que telle ! Il fit à l'agent Rossi :

"Pas vraiment en faite...Mais comme je vous ait dit je n'en peux plus de rester chez moi, je dois bouger, je dois faire d'autre truc, et du coup je suis venue bosser. Je ne resterais pas longtemps et puis y'a pas besoin d'avoir des jambes pour écrire et faire des dossiers."

Il espérait que l'agent ne le dénonce pas, parce que sinon Danny avait bien peur d'avoir des soucie, et ça il n'en voulait pas. Il sourit à l'agent et lui fit ensuite :

"Merci pour le coup de pied aux fesses. C'est pas dans mon habitude de me plaindre, mais disons que là j'avais besoin qu'on me le rappelle...Agent Rossi, je peux vous posez une question ?"

Il marqua une pause et fit :

"Qu'est-ce que vous diriez à un mec qui n'arrive pas à parler de ses problèmes ?"

Bon la question était limite ouverte, car effectivement on savait et on devinait qu'il parlait de lui, mais il voulait quand même savoir ce que l'agent dirait à ce garçon, cet homme qui était Danny. Car effectivement Danny voulait parler de ce qui s'était passer dans son enfance, et dans cet entrepôt mais il était incapable de mettre des mots sur ce qu'il ressentait, et aussi il n'arrivait pas à parler aux gens de tout ça...

Le faite que Rossi lui proposait de passer dès que Danny aurait ses jambes un peu de temps avec les agents du BAU, cela lui fit très plaisir au jeune agent car il pourrait réellement faire ses preuves. Au il tenait bien à faire bonne figure. A ne pas se laisser aller, à rester droit et professionnel, à ne pas montrer trop de sentiment et à ne pas exploser. Mais en même temps Il ne voulait pas non plus passer pour un boulet pour le reste de l'équipe de Rossi en tentant de leur cacher des choses ou en se faisant passer pour quelqu'un d'autre. Il savait que par moment il pétait de gros câble, notamment face aux pédophiles et Dieu seul sait combien ils en rencontraient. Le jeune homme fit à Rossi :

"Je viendrais soyez en sur...mais avant je devrais parler à l'agent Hotchner...j'ai certaines choses à lui dire, je pense."

Par la suite Danny avait demander à Rossi ce qu'il dirait à une personne qui n'arrive pas à parler de ses problèmes. En gros il devait se trouver un confident, ou une confidente et parler car sinon en gros Danny était foutue. Car oui Rossi n'était pas dupe, et puis c'était son métier de lire entre les lignes. Il avait bien comprit que Dan parlait de lui même. Mais c'était pas si simple de parler de ses soucie et surtout de ceux dont il devait parler. C'était comme si on devait raconter sa plus grosse peur, ou son cauchemar le plus horrible à une personne. On y arrivait pas forcément, surtout si on devait expliquer le pourquoi du comment. Danny fit à Rossi :

"Je vois...je lui en parlerais alors..."

Regardant sa montre Danny comprit qu'il était bien l'heure de retourner travailler. Il avait des dossiers qui traînaient sur son bureau et il devait tout ranger. Il fit à Rossi :

"Merci encore pour le café et pour les conseils...je vous promet de ne plus me plaindre de cette manière."

Il sourit, il était beaucoup plus serein et beaucoup plus souriant que tout à l'heure, cette conversation lui avait fait du bien et il en serait énormément reconnaissant auprès de Rossi. Bien qu'il se doutait dans son coin que la proposition de Rossi pour le BAU était un test et non une invitation. Mais c'était normal après tout.