C'était le 7 juillet et je suis en vacances chez ma tante comme d'habitude puisque mon père : Aaron Hotchner travaillent au BAU. Cela fait presque deux ans que ma mère est morte et je suis parvenu à me reconstruire grâce à l'amour de ma tante et surtout à celui de mon père.

Ce jour-là, je m'ennuie : tous mes copains sont partis en vacances - les veinards ! Bref, je demande une fois de plus à ma tante si je pouvais me rendre à pied au BAU. Comme d'habitude elle accepte.

Content je me rends au BAU à pied , je profite pour saluer l'hôtesse d'accueil, les personnes que je croise ici et là. Au croisement d'un couloir, je tombe nez à nez avec l'Agent Rossi.
Je le connais très bien puisqu'il est l'assistant de mon père-entraîneur. Hé oui ! je fais du foot et je suis entraîné par mon père et par l'agent Rossi.

Je lui lance joyeusement :

- Bonjour Monsieur Rossi ! Comment allez-vous ?

(en parlant ça si t'es des images ou des gifs ça serait super)

David venait de service administratif, des papiers encore des papiers, c'est bien une partie de son bouleau qui l'enerve, on aurait pu croire qu'a l'heure du numérique ce serait moins le cas. Il n'en est rien c'est même pire qu'avant. Alors comme tout américain qui se respect avant de continuer son travail il était allé à la salle de repos remplir son mug de café. Il regarde l'open space en se dirigeant vers son bureau, et il entend une voie qu'il connait bien puisqu'il l'entend au moins une fois par semaine. Et bon sang, que ça lui fait du bien, avec le temps et la complicité Aaron était devenu un vrai ami pour lui, et lorsqu'ils se voyaient en dehors de leurs travail était des moments tres agréable voire riche pour le barbu Rossi, qui en profitait pour etre un tonton gateau par adoption, lui qui n'avait pas eu d'enfant.

Alors tout en continuant son chemin ainsi avec Jack, il répondu

Hey Jack!! Bien merci et toi?!

La vérité c'est qu'il était crevé, que les affaires s’enchaînaient et son éditeur qui le pressait. Et qu'il en avait manqué de peu pour qu'il ne voit pas le petit et que celui ci se prenne une douche au café.

Qu'es ce que tu fais là?

Dav' jetta un coup d'oeil dans le bureau de Hotch au passage, celui ci était vide.

Viens avec moi, ton père ne devrait pas tarder.

Oui quand il était pas dans son bureau, il était de retourd assez vite, ce prévisible et attachant, si si attachant Aaron.

Je ris en voyant son visage ! Ce sacré tonton (hé oui ! je l'appelle aussi comme ça mais pas en public !) Il est tellement surpris en me voyant que je ne pouvais pas m'empêcher de rire. Ça me fait du bien de le revoir, d'autant qu'il est hyper sympa avec moi. Je l'accompagne non sans lui avoir proposé mon aide car je voyais nettement qu'il était plus que surchargé avec ses papier et son mug rempli de café. Il avait même raté son coup du café sur ma tête, ce qui m'aurait fait rire aux éclats. J'avais envie d'une telle blague... Mais passons ! Lorsqu'il me demande comment j'aillais, je lui réponds avec un large sourire :

- Moi ? Je vais bien, seulement... , Je poursuis après une brève hésitation, Seulement je m'ennuie un peu chez ma tante et mes copains sont tous partis. Donc j'ai décidé de voir mon agent de papounet.

Gardant toujours cet air malicieux, je note que mon père est absent de son bureau et mon tonton d'adoption me dit de le suivre, ce que je fais avec beaucoup de plaisirs.

Je profite du trajet pour lui demander :

- Dites Monsieur Rossi ?! Est-ce que vous allez continuer à nous entraîner l'année prochaine ?

• Cela le fit sourire, d'entendre le nom d'agent dans la bouche de ce petit garçon. Et la question qu'il prononça étonna également David.
  
  Premièrement appel moi David et euh, je sais pas, je pense oui ...
  
  L'hésitation était plus dans la surprise que dans la réponse, il ne voyait pour le moment pas de raison de ne pas continuer, au contraire.
  Ils entent dans le bureau de Rossi, celui ci lui où s’asseoir.
  
  Tu peu t’asseoir là si tu veux.
  
  Lui indiquant un petit canapé. La venu ce visiteur, permettait à l'agent de prendre une pause. Non pas qu'il avait le temps, mais il le prenait, d'une part le garçon le valait bien et puis il n'allait pas le laisser seul et d'une autre, si il devait se fier au travaille à faire, il ne cesserait pas de travailler

(comme toi, tout dépend de mon inspi, et puis Rossi, j'avoue ...)

J'ai noté de l'hésitation de Tonton David, ce qui m'a rendu un peu mal à l'aise.

Nous avons bien rigolé l'année dernière mes copains et moi. Quand mon père et lui nous avaient tourné le dos pour discuter entre eux, nous l'avons mimé et imité. Souvent c'était moi qui imitais David. Ces blagues étaient très appréciées par tous mais jamais nous nous sommes moqués de lui. Il était notre tonton de cœur à nous tous. Il était venu de temps en temps avec des crêpes, des gâteaux... qui étaient délicieux.

Même si je me suis un peu perdu dans mes pensées, j'ai noté qu'il m'a demandé de l'appeler tout simplement par son prénom, mais je vous avoue toute de suite un petite chose : je ne l'appelle pas "Tonton" mais "Tonton David". Il est, il faut le dire beaucoup plus présent que mon véritable oncle-cuisto.

- Entendu Tonton David ! , lui lance-je joyeusement.

Lorsqu'il me montre son canapé, je lui dis spontanément :

- Non merci Tonton David, ça ira.

je me permets de vous dire à présent que j'en avais un peu assez d'être assis à tourner les pouces. Je profite donc pour regarder mon environnement même si je le connaissais par cœur. Je connais tout le monde ici exceptés les stagiaires et les nouveaux agents.

Je me tourne donc vers mon Tonton David et lui demande :

- Il y a des têtes qui me disent rien et qui travaillent ici, Tonton David. Qui sont-ils ?

Je ne désigne personne car j'estime que pointer quelqu'un du doigt est la marque d'un manque de savoir-vivre, or s'il y avait bien une chose que ma mère m'avait bien inculqué, c'était bien la politesse ou le respect des autres si vous préférez.

(es ce que j'ose m'excuser pour l'énoooooooooooooooorme retard)

Le jeune garçon refusa de s’asseoir, ce que comprit bien aisément David. D'ailleurs lui aussi en avait marre d’être enfermé dans ce bureau.

Euh, je sais pas de qui parle tu?

Manifestement, ce garçon était observateur et attendait des réponses à ces questions. On ne pouvait qu'encourager ce fonctionnement mais pas n'importe comment. En effet, il n'allait pas raconter la vie des ses agents par exemple. Il regardèrent tout les deux à cet instant la fourmilière qu'est le FBi et notamment l'open space que le bureau de David surplombait. Le sourire de jack tranchaient avec ces personnes concentré sur leurs travail et la vision de ce petit homme dans les bureaux qui se veulent sérieux et important du FBi faisait un bien fou.

Et si on allait faire un tour?! Je suis sure que tu ne dirais pas non à une glace!

Bien entendu il laisserait un message à son père et n'irait pas bien loin de l'immeuble. Ce n'est pas souvent que jack venait au bureau, et puis les moments de détentes, ces derniers temps, ils n'en eurent pas beaucoup. Il comptait bien profiter de celui ci