Ah! Enfin un peu de repos. Quoique c'était bien illusoire de ma part de le penser. Si je n'était pas au FBI j'étais sur le téléphone entrain d'aider une escouade à résoudre un problème d'explosif quand je n'était pas carrément sur place à tout faire. Mais là je n'étais pas enfermé dans es bureaux du FBI et mon téléphone était silencieux! Que de bonheur de faire un peu de shopping en silence! D'ailleurs un léger sourire flottait sur mes lèvres pendant que j'errai sur le trottoir à regarder les vitrines. Elles arboraient toutes des nouveaux pour l'été que se soit hommes, femmes ou enfants. Tiens pourquoi ne pas entrer dans cette boutique de linge pour homme et me gâter un peu?

Bon je dois vous dire que je ne suis pas fan de magasinage, oui bien je suis un homme ne l'oublions pas! Passer presque trente minutes dans cette boutique pour me trouver quelques shorts et t-shirts pour l'été c'est de la folie! Je ne les mettrai probablement jamais en plus! Bah, pour les fois ou je me prélasse ça vaut bien le coup non? Je continuai à déambuler sur la place admirant les gens, le paysage je me décidai et entrai dans un petit bistro tout tranquille pour me commander un café glacé pour emporter et ainsi enjoliver ma petite promenade. Non qu'entends-je?? Pas mon cellulaire!! Pas maintenant! Petit regard pour voir que c'est ma mère qui m'appelle.

- Maman! Oui ça va et toi? ...Non je ne suis pas au boulot je me promène... Quoi? Heu,,, je vais voir pour aller te rendre visite le plus tôt possible. Oui moi aussi je t'aime prends soin de toi.

Que c'est bon d'entendre la voix de sa maman même à mon âge. Oui bien on reste gamin longtemps avec sa maman! J'étais à farfouiller mes poches pour remettre mon portable en place quand je me fis bousculer par une bande de jeunes qui arrêtèrent à peine sauf pour éclater de rire en voyant mon café faire un vol plané et moi entrain de leur crier dessus. Le dit gobelet termina son vol sur les jambes de quelqu'un et déjà je me précipitai avec des serviettes de papiers à la main me préparant une excuse.

- Je suis désolé mademoi...

Là devant moi se tenait une femme resplendissante ses yeux marrons agrandis par la surprise le café glacé dégoulinant sur ses jambes. J'étais pétrifié, j'avais les serviettes à la mains et ont avait dit que le temps c'était figé. Je n'entendait rien autour de moi et on aurait dit qu'il n'y avait que nous. Mon coeur fit un bond et soudain toutes mes fonctions se remirent en marche, ainsi que celui de la parole.

- Excusez-moi laissez-moi essuyer ça. Je paierais pour le nettoyeur si ça vous inquiète.

J'étais déjà accroupi épongeant le peu de liquide qui restait à éponger. J'étais à me demander ce qui m'avait pris là il y a quelques secondes. J'étais du genre sociable et même charmeur mais figer là et ne rien faire d'autre... non c'est pas moi ça. Je me relevai sourire aux lèvres et mes yeux noirs plongèrent dans les siens comme hypnotisé. Je tripotais les serviettes avant de les lancer dans une poubelle non loin. Mais qu'est-ce que j'avais donc?

- Au fait je suis Jack Sutton. Encore désolé pour tout ça une bande de gamins...

Oui bien elle les avaient vu aussi elle avait même le résultat son son pantalon.

Une journée rien qu'à moi , et bien ça fait du bien, être apprentie profiler n'est pas de tout repos. D'abord je me suis lever tard ça fait du bien d'avoir une bonne nuit de sommeil. Je me suis fait un bon petit déjeuner tout ce qu'il faut pour tenir toute la journée, il faisait beau aujourd'hui je n'est pas vraiment prévue quoi que ce soit. Avant d'organiser mon aprés midi je devais d'abord à la douche. Je me déshabilla et entra dans ma nouvelle douche acheté 3 semaines plus tôt. Une plus spacieuse que la précédente, je faisait couler l'eau chaude sur moi pendant une dizaine de minute puis je sortie et enfila mon peignoir de bain. J'entra dans ma chambre et ouvri le placard pour choisir une tenue, je n'avais rien de nouveaux et ça m'agaçée et une idée me vint pour quoi faire du shopping aujourd'hui ?

Je m'habilla tranquillement et fini par sortir de chez moi, je harpentais les rue à la recherche de boutique sympa, il était plus de midi et mon ventre commencer à crier famine. Je m'arrêta dans un petit resto sympa et commanda une salade composé. Ensuite je repris ma route dans les boutique à la recherche de fringue. Le temps passait à une vitesse fénoménale, j'avais trouver une tenue de soirée puis deux jeans, plusieurs tee-shirt et une paire de chaussure. Le temps était parfait, je m'arrêta à un café pour boire quelque chose. Une bande de jeune faisait l'imbécile près de moi et bouscula un homme qui était venu chercher un café, mais malheureusement son café termina sur mes jambes...Génial

- Je suis désolé mademoi...

J'étais prit de stupeur, je sentais le café dégouliner, et ce gentil monsieur essuyer la maladresse de ctte bande de loubard.

- Excusez-moi laissez-moi essuyer ça. Je paierais pour le nettoyeur si ça vous inquiète.

Il se releva vers moi et là nos regard se croisèrent, ces yeux noir fixa les miens, je ne savais pas quoi dire à part le regarder, mon cerveaux me disait répond plus bon sang, mais aucun son ne sorti.

- Au fait je suis Jack Sutton. Encore désolé pour tout ça une bande de gamins...

- Oh... euh oui !!! ce n'est rien ne vous inquiétez pas. Noléne Wattford Enchantée lui dis-je Dommage pour votre café vous n'avez pas eut le temps de le dégusté lui dis-je en lui souriant. Je fis signe à un des serveurs et lui demanda un autre café. Je fis signe alors à Jack de s'assoire avec moi. Vraiment les jeunes ils n'ont aucun respecter...

Cet homme à un charme fou quand je suis un peu nerveuse je me met toujours à parler pour rien dire, et des fois même je ne sais même pas de quoi je parle. Je continuais de sourire bêtement en regardant la tache sur mon jean, je pris une serviette et frotter dessus mais elle était déjà encrasser sur le tissus.

Pendant quelques secondes, qui me sembla durer une éternité, elle ne dit rien elle non plus. Quand j'eus fini d'éponger le café, et que j'eus l'air d'un imbécile pendant quelques minutes, elle fini par me répondre que ce n'était rien. Décidément les femmes m’impressionneront toujours! Ce n'est rien...je venais de gâcher son pantalon mais ce n'était rien. Je fit un petit sourire avant qu'elle me dise son nom. Nolène...ça sonnait comme une note de musique à mes oreilles. En fait sa voix était douce et presque chantante... bon d'accord ça fait un moment que je suis seul et la simple voix d'une femme me rend tout chose... Nan! Pas toutes les voix...Bon revenons à nos moutons.

Je pris place devant elle un peu mal à l'aise malgré mon entregent naturel. Le serveur arriva se confondant en excuses et déposa un nouveau café glacé devant moi me certifiant "que c'est la maison qui paye". Je le remerciai gentiment quand la jeune femme fini sa phrase en disant que les jeunes de nos jours n'avaient aucun respect. Sourire plus élargi de ma part pendant que je me calai dans ma chaise.

- Oh mais pour ça je suis d'accord avec vous Noléne. Mais je crois que c'est la société et la demande toujours pressante sur le dos des parents... Bon je vous épargne le discours philosophique car je n'y connaît rien en gamin.

J'émis un rire un peu gêné car une voix me disait mentalement "Tu en es un toi-même alors" Pendant un moment je tripotai ma paille avec la seule question qui me tourbillonnait dans la tête, et que je trouvais la plus nulle du monde! Finalement je posai le gobelet de plastique et remontai mes yeux vers elle. Raaaa mais c'est pas possible être bloqué à toutes les deux phrases! Il me semblait que je n'avais rien d'intelligent à lui dire même "comment ça va?" me semblait nul. Mais je devais trouvé quelque chose sinon elle me prendrait pour un abruti de première... ça c'est si ce n'était pas déjà fait!

- Vous... vous faites quoi dans la vie Noléne pour avoir un regard si juste sur la jeunesse?

Je l'encourageai du haussement d'un sourcil et une vague de chaleur m'envahissant et ce n'était pas à cause du soleil! Même cette phrase aussi gentille soit-elle me paraissait la plus conne du monde! Mais si on y pensait un peu on ne se connaissaient pas alors c'était justifié. Cependant malgré mon combat mental à savoir qu'elle phrase était la plus digne d'être dites, je ne pouvais m'empêcher de détailler la jeune femme et toujours je revenais à son regard perçant. Oui bien on peut pas chasser le policer de l'homme quand même.

Jack prit place en face de moi, et le serveur vint alors lui apporter son café. Me voilà à prendre un café avec un homme que je ne connais pas et qui à un charme fou. Que faire maintenant, à part le regarder avec un sourire béha, j'ais vraiment l'air d'une quiche. Il prit alors la parole, heureusement parce que je ne savais pas quoi dire, ah si peut-être que faites vous dans la vie ? Ou bien même Vivez vous dans les parages ? Alors là cette question est vraiment stupide, si il se proméne dans les rues c'est qu'il n'habite pas loin.

- Oh mais pour ça je suis d'accord avec vous Noléne. Mais je crois que c'est la société et la demande toujours pressante sur le dos des parents... Bon je vous épargne le discours philosophique car je n'y connaît rien en gamin.

- Oui c'est vrai que les parents sont toujours sur le dos de leurs enfants..( et j'en sais quelques chose ma mére me colle au basque depuis qu'elle à déménager pour venir vivre prés de chez moi ) Ah ce que je comprend vous n'avez pas d'enfant ?

Un petit silence ce fut, il navait sans doute rien à dire comme moi, enfin moi plutôt parce qu'il me troubler un peu mais peut-être que lui cétait simplement parce qu'il voulait repartir et continuer son shopping. Je continuais à lui sourire bétement, je pris mon verre et bu une gorgée, ce qui fit un petit bruit quand j'avala et le reposa devant moi.

- Vous... vous faites quoi dans la vie Noléne pour avoir un regard si juste sur la jeunesse?

Ah question fatidique, que faites vous dans la vie ? Et bien...je suis apprentie profileuse me dis je dans la tête mais allait-il savoir ce que c'est ? Au moins cela aller faire un sujet de conversation mais bien sûr à la base je suis agent du FBI.

- Et bien...Je suis agent du FBI, mais jaimerais bien devenir profileuse, c'est pour cela que je suis des cours de criminologie et de psychologie et vous ?

Vous savez de quoi nous avions l'air? De deux collégiens! Oui exactement deux collégiens vierges et dieu sait que l'un comme l'autre nous ne l'étions plus. Je secouait la tête doucement quant elle évoqua la question d'enfants. Non je n'en avais pas, bien que celui que j'aurais eu est mort.. avec sa mère bien au chaud dans son ventre. Aaaah! Je ne voulais plus que Julia hante chaque pensées, je voulais une vie à moi et non celle de quelqu'un qui vit dans le passé.

Elle répondit à ma question le plus simplement du monde. Mon visage s'éclaira en l'entendant dire qu'elle était agent du FBI et apprentie-profiler. Là je dus admettre qu'elle avait dû étudier chaque phrase, chaque tressautement de mon visage... non ça c'était les expert en expressions faciales. Bof m'en fou une collègue et fort jolie il faut le dire!

- Bah ça! Dans tout Quantico je tombe sur une collègue! Je suis également agent au FBI, spécialisé en explosif. Donc vous êtes de la BAU si je comprends bien. Des gens formidable vous verrez!

Oui bien on collaborait un peu avec la BAU, mais je n'avais pas de lien particulier avec eux. Il étaient gentils et très professionnels... la différence du petit coq de basse-cour que j'étais. Je m'appuyai sur la table vraiment heureux d'avoir trouvé un sujet de conversation, enfin c'est elle qui me le fourni.

- Ça fait longtemps que vous êtes avec la BAU? Moi je suis au FBI depuis 2 ans dans l'équipe de Lucy Evans je sais pas si vous la connaissez. Et vous vous êtes dans l'équipe de... mince comment il s'appelle déjà... Outch...Atcht.. Non Hotchner!

Oui bien on en voyait des agents alors se rappeler de leur non était forcément un exercice mental! Toujours est-il que je la fixai vraiment heureux de parler d'un sujet qu'elle comprenait.

- Bah ça! Dans tout Quantico je tombe sur une collègue! Je suis également agent au FBI, spécialisé en explosif. Donc vous êtes de la BAU si je comprends bien. Des gens formidable vous verrez!

Lui aussi ? Il y avait 1 chance sur je sais pas combien de tomber sur un de la maison. Spécialiste en explosif ? j'étais franchement admirative. Enfin on a trouver un moyen de combler les blanc qui c'était immisser. Notre travail ! enfin quelqu'un à qui je pouvais parler de mon travail sans que l'on me dise " ta du en voir des morts !! tu fais des cauchemars la nuit ? Toi agent ? Non mais tu plaisante !!" ect...ect... Pour cela que je n'ais pas de relation qui dure, mon travail est un obstacle.

- Ça fait longtemps que vous êtes avec la BAU? Moi je suis au FBI depuis 2 ans dans l'équipe de Lucy Evans je sais pas si vous la connaissez. Et vous vous êtes dans l'équipe de... mince comment il s'appelle déjà... Outch...Atcht.. Non Hotchner!

- Et bien cela fait 1 ans et demi que je suis au FBI mais cela ne fait pas longtemps en tant qu'apprentie profiler. Vous voulez parler de l'agent Aaron Hotchner ? Et bien malheureusment non je ne suis pas dans leur équipe mais cela ne veut pas dire que je ne suis pas bien avec celle ou je suis bien au contraire. Ils sont adorables... ET vous spécialisé dans l'explosif je suis imprésionner vous navaez pas peur qu'un jour cela se retourne contre vous, je sais que chaque mission chaque enquête que nous menons peut-être la derniére c'est bien ce qu'il me plait, ne pas savoir ce que nous réserve l'avenir. Je suis trés contente de faire partie de cette grande famille..

Noléne arrête de parler comme une imbécile !! Et oui je parles je parles, je vais finir par le faire fuir avec tout ce que je sors. Je continuais à le regarder en souriant, je me rapellée qu'après son hésitation sur le nom de Hotchner. IL y avait un énorme soleil dans le ciel, ces rayons donner sur le visage de Jack ce qui le rendre encore plus mignon. Une drôle de sensation me parcouru commencais-je à tomber amoureuse ? Impossible et puis de tute façon je suis sûr de ne pas lui plaire mais en tout cas je suis très contente qu'il est fait tomber son café sur mes genoux ( même si ça me coûte u jean ^^ ) et qu'il se soit assis à ma table pour discuter de tout et de rien.

Comme j'étais ravi que l'on ai un sujet de conversation commun. Pur ma part quand je faisais part de ma spécialisation certaines femmes devenaient toutes mielleuse et roucoulait des "Oh... Des bombes! C'est dangereux!" ou encore la plus nulle que j'ai entendu: " Humm... des bombes? Et vous êtes-vous également une bombe en dormance?" Oui on en entendaient des pas possible dans notre métier. Malgré tout je restai attentif à la jeune femme devant moi buvant ses paroles. Notre métier semblait lui avoir délier la langue et je dois dire que j'en étais quand même fier. Elle avait une de ses voix mon ami, à faire sombre un sain d'esprit dans la folie. Elle n'était pas dans l'équipe d'Aaron mais elle ajouta rapidement qu'elle était bien avec celle où elle était. Vint ensuite LA question: si j'avais peur qu'un jour ça se retourne contre moi.

Je réfléchi un moment car je ne m'étais jamais vraiment arrêter à cette question. Pourquoi? Simplement parce que j'aimais cette décharge d'adrénaline qui déferlait en moi à chaque fois.

- Je dois vous dire Noléne que je ne me suis jamais vraiment posé la question. Disons que j'aime cette... comment dirais-je. Cette excitation quand je suis appelé pour étudier ou même désamorcer une bombe. Je perds la notion du temps et ma concentration est seulement pour mon travail. Mes sens son décuplés même à travers d'épais gants je sens les fils aussi petits soit-il, j'entends chaque chose qui se passe autour de moi. C'est... je sais pas comment le dire... excitant?

Je parlais comme jamais je n'avais fait les mots sortant de ma bouche comme l'eau d'un robinet. J'étais animé par mon boulot, c'était ma passion. Bon disons qu'à part ça je n'avais pas grand chose pour m'occuper c'est bien de nettoyer mon arme mais à un moment donné c'est de l’obsession. Mes yeux étaient plongés dans les siens quand je la vit sourire. J'espère que je ne passais pas pour un dingue des bombes... et depuis quand je me souciais de ce que les gens pensaient de moi? Je sentis un flot chaud envahir mon corps sentiment que je croyais endormi depuis des lunes.

- Vous... vous devez avoir un petit copain qui vous attends je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse.

Intérieurement je me surpris à penser ** Faites qu'elle soit célibataire SVP** Bon c'était trop tôt pour parler "d'amour" mais je dois dire que je me sentais bien avec elle il semblait que la tempête qui faisait toujours rage en moi. Mais ma conscience me dit que je m’immisçais peut-être trop dans l'intimité de la jeune femme. Mais d'un autre côté j'avais séduis Julia en à peine quelques minutes alors...

- Excusez-moi je me montre peut-être trop curieux.

- Je dois vous dire Noléne que je ne me suis jamais vraiment posé la question. Disons que j'aime cette... comment dirais-je. Cette excitation quand je suis appelé pour étudier ou même désamorcer une bombe. Je perds la notion du temps et ma concentration est seulement pour mon travail. Mes sens son décuplés même à travers d'épais gants je sens les fils aussi petits soit-il, j'entends chaque chose qui se passe autour de moi. C'est... je sais pas comment le dire... excitant?

Je l'écoutais parler de son travail, il aime ce qu'il fait ça ces certain. Jamais personne ne parler de son travail avec une telle passion, je pensais être la seule à être dingue de son boulot. On choisit un travail non pas pour l'argent mais parce que ce travail nous plait. Certain y vont juste pour gagner leur argent, ces gens ont du mal à ce lever le matin car ils ne veulent pas passer encore une journée de misére. Alors que moi le matin, je me leve et je suis très contente de prendre ma voiture pour me mettre en route à mon bureau et retrouver les gens que j'apprèci.

Vous... vous devez avoir un petit copain qui vous attends je ne voudrais pas abuser de votre gentillesse
- Et bien Jack vous avez l'air d'aimer énormément votre travail. Non je n'ais pas de petit ami qui m'atten dmalheureusmeent je les fait tous fuir, peut-être à cause de mon travail, il ont peur pour leur vie, peur peut-être que je me met un tueur en série sur le dos et qu'il s'en prenne à lui. et vous Jack ?

Et vas y Noléne recommence, j'étais là entrain d'étaler ma vie sur la table. Et lui m'écouter c'était agréable de savoir que quelqu'un écoute ce que l'on dit. Je ne voulais pas non plus le saouler. Peut-on tomber amoureuse aussi vite ? Et bien oui si c'est un coup de foudre. Est ce que c'est ce qui était entrain de m'arriver ? peut-être bien que oui... Je continuais à boire mon café tout en le regardant, je n'arrivais pas en m'en défaire. Il va me prendre pour une idote à le regarder et à sourire bêtement,.

Si j'aimais mon travail?? J'étais carrément fou raide dingue de mon boulot! C'est un bon médicament pour les coeurs brisé comme le mien. Cependant je n'allais pas lui rabâcher les oreilles avec ça! Non le style "Je me sens seul et je le coeur en miettes" non non pas pour moi. J'étais belle (et grande) gueule, charmeur et j'allais miser sur ça pas sur ma souffrance passé qui, heureusement, commençait à s'amenuiser.

- J'adore mon boulot! Malgré tout les risque qui peuvent survenir et malgré que ça peut me péter à la figure à tout moment.

Oui bien c'était un constat que je n'envisageais jamais sinon il y a belle lurette que je ne travaillerait plus là-dedans. Je terminai mon café quand elle me dit qu'elle n'avait pas de petit copain. Étrangement je me sentais tout content qu'elle soit seule. J'avais "le champ libre" si je puis dire et je rougis légèrement quand elle me retourna la question.

- Ben en fait... non personne. Drôle de coïncidence non? dis-je en riant doucement

Je me redressai la regardant franchement les bras croisé sur mon torse. Devrais-je le faire? Bah! Depuis quand je m'arrêtai à mes scrupules? En pleine décision je me tortillai sur ma chaise pour finalement lécher mes lèvres et me lancer.

- Écoutez vous me trouverez peut-être effronté mais j'aimerais vous inviter à souper. Bien sûr je vous donnerais le temps de vous changer car je doute que vous vouliez sentir le café encore longtemps. Mais si je me montre trop... rapide dite-le moi.

En mon for intérieur j'espérais TELLEMENT qu'elle ne le refuse pas! Mon besoin de me sentir aimé était presque viscéral je dirais même vital. C'est lourd d'être seul si longtemps à chérir un fantôme. Non là je devais tourner la page et vivre dans le présent et disons que j'avais là devant moi une excellente raison de foncer.

Il est célibataire ? C'est ce que jais bien attendu enfin jespére, je suis devenue folle dans ma tête. Je me disais " super jais une super chance aujourd'hui" note a moi même : " penser a jouer au loto" Drôle de coincidence ? Bien sûr, le hasard fait bien les chose, le destin à voulu qu'il fasse tomber son café sur mes genoux, et grâce à ça nous sommes là assis toput deux à une table à raconter nos vie. En plus nous avons au moins un point en commun non, deux points en commun: 1 : nous faisons le même travail, 2: Nous adorons énorment ce que l'on fait. Plutot pas mal pour commencer.

Écoutez vous me trouverez peut-être effronté mais j'aimerais vous inviter à souper. Bien sûr je vous donnerais le temps de vous changer car je doute que vous vouliez sentir le café encore longtemps. Mais si je me montre trop... rapide dite-le moi.

Quand il me dit qu'il voulait m'inviter à dîner, je finissais mon café et j'avais presque faillis m'étrangler avec la derniére gorgée de café. Cela m'étonna enfaite, il voulait faire plus ample connaissance avec moi, j'ais réfléchis pendants quelques secondes, il fallait bien commencer à avoir une vie sentimentale. Et puis étrangement quand un homme me plaît j'oublis ma timidité et avec lui je l'oubliais très vite, je voulais savoir un peu plus sur lui, et lui surement de moi

- Et bien...vous allez vite en besogne Monsieur Jack, j'accepte avec plaisir votre invitation. A quelle heure voulez vous que nous nous retrouvions ?

BOn oui c'est vrai ma demande était rapide et franchement je m'attendais à un " Non mais ça va pas la tête?!" alors de voir son air surpris me fit pencher dans cette direction. J'avais le don en plus de faire des demande quand les gens finissait leur boisson! Donc aussitôt que je le vis tousser je m'inquiétai mais elle repris contenance pour finalement me répondre

- Et bien...vous allez vite en besogne Monsieur Jack, j'accepte avec plaisir votre invitation. A quelle heure voulez vous que nous nous retrouvions ?

Un large sourire éclaira mon visage. Elle avait dit oui!! Elle avait dit oui!!! Présentement je me sentais comme un adolescent à qui la plus belle fille de l'école venait d'accepter de l'accompagner à la danse de l'école. Néanmoins je tentai de cacher ma joie subite, et je dois dire que j'échouai lamentablement!

- Bien... Pourquoi pas ici à 19:00? C'est un bistro tranquille et ils servent de bon petits plat. N'oubliez pas votre Jean pour que je l'apporte au nettoyeur. Écoutez je dois y aller mais je vous retrouve ici d'accord.

Je me levai et fut partager entre la bise sur les joues ou simplement un sourire. J'optais pour une poignée de main accompagner de mon plus beau sourire. Je me sentais léger comme l'air. Je la quittai non sans un regard en arrière et filai chez-moi.

(HRP: Petit bond dans le temps)

Tout l'après-midi j'avais été nerveux et agité. Depuis Julia je n'avais pas vraiment côtoyer de jeunes femmes et la perspective qu'elle me trouve ennuyant me harcelait. Cependant j'ouvris ma penderie une fois ma douche prise (encore) et enfilait un pantalon de coton bleu marin et une chemise plus pâle et s'en alla directement au bistro. Mon coeur cognait dans ma poitrine tellement j'étais nerveux. Je regardai ma montre 18:30 j'étais en avance et bien sûr je ne la vit pas. Je pris une grande inspiration pour me donner du courage. Je trouvai une table vide et allai m'installer en regardant autour de moi me demandant ce qui m'avait pris quelques heures plus tôt. Je n'allais pas se défiler non je n'étais pas comme ça. S'il y a quelque chose dont je suis fier c'est bien de faire face à mes actions. Je demandai une carafe d'eau attendant Noléne.

- Bien... Pourquoi pas ici à 19:00? C'est un bistro tranquille et ils servent de bon petits plat. N'oubliez pas votre Jean pour que je l'apporte au nettoyeur. Écoutez je dois y aller mais je vous retrouve ici d'accord.

- Trés bien je vous rejoindrez ici alors dis-je

Il se leva et j'en fit de même, nous nous sérâmes la main avant de se quitter. Nous allions nous retrouver ce soir pour un dîner, et ceci avec une joie non dissimuler. Je le regarda s'en aller, je souriais j'étais contente qui auarait put prévoire que je tomberais sur un homme aussi charmant que lui et de qu'il m'invîte ce soir et bien...Personne. Je me demande bien ce que je vais mettre ce soir je ne vais pas y aller avec jean tee-shirt. Je paya mon café et reparti chez moi avec cette question en tête.

Toute l'après midi s'était écoulé depuis ma rencontre avec Jack, je m'était demander ce que j'allais mettre pour ce soir et je me rappella que j'avais acheter tantôt dans la journée. Je pris une nouvelle fois ma douche, j'avais mis mon pantalon taché de café dans ma machine " je la ferais tournée demain". J'enfila ma robe noir à dos nu, décolleté en rond sur le devant, la robe s'attache au cou avec un lien rouge et derriére un noeud décoratif rouge en bas du dos. Je me regarda plusieurs fois dans mon mirroir pour voir si elle m'allait bien et si elle n'était pas trop vulgaire. Jaime pas trop me montrer en robe dehors, je n'aime pas vraiment que tout les regard se pose sur moi, mais là il faut que je fasse un effort pour mon rencart. Je décida de la laisser et de metrre mes chaussure à talon. Je me maquilla en accord avec ma tenue et regarda ma pendule de chambre, 18h45. " Oh mince je vais être en retard" L'endroit n'était pas loin de chez moi, alors hors de question de prendre la voiture. Je parti à toute hâte et arriva au café où nous nous étions rencontrer, il était déjà arrivé et moi comme d'habitude en retard de quelques minutes je mavança vers lui:

- Bonsoir Jack! veuillez m'escusez pour se retard ( en souriant bien sûr )

Je pianotai sur la table non pas par impatience mais nervosité. Oui je l'étais. Quelques mots échangés ce midi était différent d'une soirée. Néanmoins je me calmai pour au moins avoir l'air à l'aise et "cool". Je ris intérieurement sachant fort bien que c'était tout le contraire. Je me surpris à avoir des papillons dans le ventre signe d'un attirance non pas sexuelle mais bien parce qu'elle me plaisait. Il y avait longtemps que je n'avais pas senti ça et je dois avouer que c'était une sensation agréable même plus que ce que toutes les bombes du monde pouvait me fournir en adrénaline.

C'est sa voix qui me sorti de ma torpeur. Je remontai mes yeux vers elle et... Wow! Elle était époustouflante! Sa robe caressait ses forme mais rien de vulgaire ou même d'osé juste ce qu'il fallait pour qu'elle soit toute mignonne. Elle me souriait en s'excusant du retard. Je me levai à mon tour pour tirer sa chaise, oui je peux être un peu disons ringard mais c'était dans moi un Jack différent à la maison quoi!

- Mais vous êtes toute pardonnée Noléne!

Je m'assied devant elle encore sous le choc de la voir aussi belle. Ses yeux brillaient et je dois dire que j'étais loin d'être indifférent. Je me parlai car la dernière chose que je voulais bien c'était la mettre mal à l'aise. Le serveur nous apporta les menus et je plongeai mon nez dedans non sans quelques œillades à la belle demoiselle devant moi.

- Je dois vous le dire, Noléne vous êtes ravissante! Cette robe vous va à merveille!

Je m'arrêtai là ne voulant pas passer pour un gros pervers. Je fis mon choix et posai le menu près de moi et croisai mes doigts sur la table évitant ainsi que je tripote tout ce qui était à ma portée. Le serveur vint rapidement (heureusement) et pris nos commandes et j'optai pour une bouteille de vin à nous deux.

- Alors... dis-je en souriant bêtement

Je pensai là ** Dis quelque chose sinon elle va vraiment te prendre pour un imbécile!**

- C'est fou hein mais... j'étais nerveux tout l'après-midi. Pas que j'ai peur d'être seul avec vous ce n'est pas! Non c'est que... depuis deux ans je suis célibataire et que je n'ai pas fréquenter d'autre femmes alors disons que je me sens rouillé. ajoutai-je en gloussant.

Une petite voix retentit dans ma tête moqueuse en me disant: " Ha ben bravo super Jack! Là elle va te trouver tellement imbécile qu'elle te plante là tout de suite après le dessert!"

Je rangeai cette pensée loin dans ma tête et tentait de trouver quelque chose d'intelligent à dire et encore une fois je fus bloqué par la gêne sans doute. Oui bien 2 ans sans avoir côtoyer une femme mis à part celle qui avait traversé mon lit le temps de quelques ébats.

- Excusez-moi vous devez me prendre pour un idiot...

Il m'avait tout escusez de mon petit retard, il m'invita à m'assoire devant lui, je lui souria pour le remercier. Le serveur arriva avec les cartes de menu, je le parcourra des yeux, je sentai les yeux de Jack se poser sur moi de temps à autres. Je ne savais pas quoi prendre, il fallait que je prenne quelques chose de simple pour pas qu'il croit que je suis une goinfreuse qui adore manger tout et n'importe quoi, j'opta pour quelques chose de très simple et en fit par au serveur qui attendait nos commande. Jack me complimenta sur ma robe, ce quime fit légèrement sourire, car je dois avouer que me mettre en robe est rare pour moi, j'en ai des dizaines chez moi, et je ne les ai jamais mit mais quand je dis jamais cest vraiment jamais a part dans la cabine d'essayage pour voir si elles m'allaient. Je le remercia avec un beau sourire. Le serveur arriva assez rapidement apporter nos plats, et je le remercia d'un hôchement de tête.

- C'est fou hein mais... j'étais nerveux tout l'après-midi. Pas que j'ai peur d'être seul avec vous ce n'est pas! Non c'est que... depuis deux ans je suis célibataire et que je n'ai pas fréquenter d'autre femmes alors disons que je me sens rouillé.

- Alors ne vous inquiétez pas vous vous en sortez à merveilles, lui dis-je en souriant Je suis célibataire depuis un petit moment moi aussi, trouver un homme sérieux de nos jours est très rare

Je ne voulais pas le mettre mal à l'aise, car moi même je l'étais, je ne savais pas trop quoi abordé comme sujet, a part notre travail que nous avons en commun. Mais parler boulot toute la soirée, cela n''est pas vraiment bien ( même si j'aimerais ^^) il fallait nous trouver d'autres points commun. Je commença à manger quelques fourchettes et buver de temps à autres quelques gorgée de vin rouge.

- Alors Jack ! A part votre travail qu'aimez vous dans la vie ? Quelles sont vos passion ?

Là j'entendis l'écho d'un cri de coq dans ma tête. Oui ce chant victorieux de l'homme qui fait bien et qui se le fait dire. Oui bien on m'avait déjà dit que j'étais un petit coq de basse-cour alors je trouvait l’image amusante. Toujours est-il que je me coupait un bon morceau de steak avant de l'enfourner dans ma bouche. Ne vous inquiétez pas j'avais pris une bouché décente, je voulais pas avoir l'air d'un gros porc! Toujours est-il qu'elle me demanda qu'elles étaient mes passion à part mon boulot. Disons que depuis la mort de ma fiancée je m'étais lancé corps et âme dans mon boulot. Je devai bien avoir autre chose que j'aimais non? Je mastiquai lentement avant d'avaler et de prendre une gorgée de vin. Le liquide roula un moment dans ma bouche imbibant mes papilles pour découvrir tout l'arôme du vin.

- Mes passions? Euh bien... Le cinéma, quoique ça fait un bon moment que je n'y ai pas été. Les bars mais là encore je n'y vais pas souvent. Sinon quoi... La lecture...

J'avais l'impression que ce que je disais était d'un ennui mortel. Je pinçais les lèvres contrarié que j'étais tentant de trouver quelque chose t'intéressant fouillant ma mémoire. Non depuis deux ans je ne vivais que pour mon métier m'informant et prenant tout les formations possible pour me perfectionner.

- En fait Nolène c'est que je suis toujours appelé soit avec mon équipe soit seul et je vis avec un beeper accroché à moi. Sinon quand je suis en congé je fais un ça. Un peu de shopping, des sorties pour me changer les idées pour me sortir la tête du boulot quoi. Et vous Noléne des passions? Autre que votre boulot?

Je lui fit un sourire car elle aussi vivait avec un beeper accrochée à elle. Donc même notre souper pourrait être interrompu en tout moment, chose qu'il ne voulait pas non plus. Il fallait qu'il se détende un peu il était aussi tendu qu'une corde d'arc. IL posa sa fourchette pour prendre sa coupe et prendre un gorgé qu'il fit rouler dans sa bouche pour bien goûter tout le parfum de cet élixir.

La soirée était chaude sans être écrasant et l'air frais entrait doucement dans le bistro jouant dans les cheveux de ma compagne. Je n'étais plus Jack Sutton l'agent mais simplement l'homme. Oui parce que pour un fois depuis longtemps mon inconscient me donna le droit d'être autre chose que l'agent casse-cou.

- Mes passions? Euh bien... Le cinéma, quoique ça fait un bon moment que je n'y ai pas été. Les bars mais là encore je n'y vais pas souvent. Sinon quoi... La lecture...

Je sourais dans ma tête, il ne savait pas trop quoi répondre, c'est un homme mordu par son boulot. C'était très mignon de le voir chercher ce qu'il aime faire d'autres que d'aller à la recherche de bombes. Alors il aime le cinéma moi aussi mais il n'y va pas souvent et bein moi non plus. Les bars je n'aime pas trop mais j'aime bien m'y arrêter pour prendre un café ou alors pour boire un verre avec une amie. Je comptais pour l'instant ce que nous aimons, pour l'instant c'est bien parti.

- En fait Nolène c'est que je suis toujours appelé soit avec mon équipe soit seul et je vis avec un beeper accroché à moi. Sinon quand je suis en congé je fais un ça. Un peu de shopping, des sorties pour me changer les idées pour me sortir la tête du boulot quoi. Et vous Noléne des passions? Autre que votre boulot?

- Je ne crains d'être comme vous Jack, accrocher à mon travail, entre le boulot et les cours que je suis je ne sai splus où donner de la tête. Mais à l'occasion quand j'ais une journée de libre comme aujourd'hui, je fais du shopping, cinéma, je flâne dans des librairies car j'aime beaucoup lire, et de temps à autres je rencontre un gentil garçon qui m'invite dès la première rencontre dis-je en souriant

Bien sûr cette remarque était juste pour le faire sourire, jespère au moins qui ne va pas le prendre comme une remarque désobligeante à son égard. J'éssaye juste de détendre l'atmosphère,je suis à vrai dire pas douer pour ça, mais il faut savoir ce lancer un jour. Je voulais lui demander si il serait d'accord pour un ciné à notre prochaine rencontre, mais je n'osa pas lui demander, peut-être qu'il n'aurait pas de prochaine rencontre alors je me tû et fit taire cette voix dans ma tête qui me disait " vas-y demande lui" Je le regarder avaler son steak en gardant le sourire bien sûr, et j'avala mon assiette lentement ( même si d'habitude j'englouti en un rien de temps mon repas)

BOn bien je n'étais pas le seul à être complètement envahi par son travail! Visiblement on ne vivait que pour notre boulot, et il fallait le dire, c'était presque pathétique. Cependant il fallait comprendre que notre job justement n'était pas du 9 à 5. Les criminels ne prennent pas de congé. Tout en l'écoutant je vis que non seulement moi manquait de hobby mais Noléne aussi. Sa dernière remarque me fit lever les yeux de mon assiette et je la regardai quelques secondes avant de sourire et de rire gentiment.

- Hé bien, je dois dire que vous avez plus de loisir que moi. Disons que pour ma part la horde de femme que j'invite ne se lance pas d'emblée. dis-je en la regardant un lueur moqueuse dans l'oeil

Je pris une gorgée et m'appuyai sur la table et je m'avançai légèrement plantant mes yeux dans les siens. Quoique cette dernière partie n'était pas trop difficile car j'étais sans cesse rivés aux siens. Mes mains étaient restés à plat sur la table à une distance, disons respectueuse, des siennes.

- Mais je dois vous dire que je suis ravi que vous ayez accepté sinon j'aurais eu l'air d'un pauvre imbécile. Ceci dit...

Je me relevai lentement et fini mon assiette que je terminai lentement, alors que d'habitude j'aurai tout manger en quelques minutes. Oui bien en étant célibataire on n'observe pas la même éthique. Je posai mes ustensile dans mon assiette et nous resservi du vin, qui ma foi était délicieux, et la chaleur qui envahissait mon corps étant enivrante. Non je n'étais pas soûl juste bien, très bien même.

- Écoutez je ne veux pas paraître être un gros dragueur à cinq sous mais... vous êtes magnifique et agréable et... comment je pourrais dire...

J'étais toujours rivés à ses yeux et la soirée était charmante et malgré notre timidité nous arrivions à discuter de tout et de rien. Ce n'était pas moi de ne pas prendre les devants. Ha! LA peur de se faire rejeter était toujours aussi apeurante même à mon âge. Une petite voix me dit "Allez lance-toi!" Je me pinçai les lèvres et en quelques secondes je me dit que bah tant qu'à risquer!

- J'aimerais vous revoir. Ne vous sentez pas obliger d'accepter mais j'aimerais beaucoup. De plus je n'ai pas vraiment envie de rentrer tout de suite alors je vous propose ceci...

Bon c'est là où je vais avoir soit un oui ou une baffe en pleine gueule quoique la dernière partie j'en doutais fort. Je levais ma main et la posai doucement sur la sienne comme si j'avais peur de l'effrayer. Le contact de sa peau, aussi petit soit-il, m’électrifia. Je pouvais presque sentir son pouls à travers sa peau.

- Si on se baladait après notre repas. Hé non je vous jure je ne vous traînerais pas dans les ruelles sombres... De toute façon vous me verriez venir des milles à la ronde. dis-je en un large sourire

Quand j'eu mon assiette terminer, je posa mes couverts dans l'assiette, une habitude. Tout en terminant de manger j'avais pensais que moi aussi j'e n'avais pas beaucoup de hobby a part mon travail, il faut dire que celui ci me prenais tout mon temps. Jack posa ses mains à plat sur la table, Il me dit que la horde de femmes qu'il inviter ne se lancer pas d'emblée, une façon pour lui de répondre à mon petit clin d'oeil. Je souris à cette remarque, il continua à me parler avec sa voix douce et calme. Je buvais ces paroles, il posa alors ses couverts, et nous resservi du vin, j'ocha la tête un signe pour lui dire merci. Il me dit qu'il me trouvait magnifique et agréable, cela me fit rougir. Est-ce sa remarque ? ou bien alors l'alcool qui commencer à monter.

- J'aimerais vous revoir. Ne vous sentez pas obliger d'accepter mais j'aimerais beaucoup. De plus je n'ai pas vraiment envie de rentrer tout de suite alors je vous propose ceci...- Si on se baladait après notre repas. Hé non je vous jure je ne vous traînerais pas dans les ruelles sombres... De toute façon vous me verriez venir des milles à la ronde. dis-je en un large sourire

Il venait de poser sa main sur la mienne, la chaleur qu'il dégager, sa peaux si douce au contact de la mienne, mon coeur commença à battre à la chamade, je fixai sa main j'avais envie de poser la mienne sur la sienne mais non je n'osa pas faire ce geste.

- Merci pour tous ces compliments Jack. Où voulez vous aller ? Dis-je

J'avais été tellement vite pour lui répondre, il le fallait sinon je n'aurais jamais oser lui dire oui. Je ne sais pas pourquoi avec lui je me sentais bien, à l'aise ( enfin c'est vite dit à l'aise mais plus que d'habitude quand un homme vient me parler ) Moi non plus je ne voulais pas rentrer de suite chez moi, je veux que cette instant ne s'arrête pas pour le moment.

Je sentais mon cœur s’accélérer et ma respiration aussi. Ce simple contact que je voulais disons, amical (oui bien plus même) me pétrifia presque sur place. Je remarquai le même trouble chez ma compagne qui me répondit d'un souffle. J'étais accroché à ses yeux souriant bêtement comme un collégien. Je fus ravi et serrait sa main avant de briser le contact physique pour finir ma coupe qui était en train de se vider. Je posai ma coupe et fit un petit signe au serveur.

- Bien pourquoi ne pas commencer dans le quartier et voir où nos pas nous mène...

Mon portable sonna à ce moment. J'ouvris les yeux d'horreur! Pas là! Pas maintenant! Merde j'avais une belle soirée! Je me retint de lancer mon téléphone à bout de bras mais disons que ce n'était pas l'envie qui manquait. J'émis un grognement avant de me saisir de mon téléphone et de me lever pour parler plus loin en levant un doigt. Je marchais et fut soulagé d'entendre ma mère. Elle m'avait fait peur. C'était seulement pour me dire qu'elle voulait que moi et Kate soyons là pour les fêtes de Noël (qui était encore loin je dois vous le dire) car ça faisait un moment qu'elle ne l'avait pas vu. De meilleur humeur je me rapprochai de la table en mettant fin à la conversation.

- Oui m'man.... Oui je le dis à Kate et je lui demanderais qu'elle passe te voir. D'accord je dois te laisser là. Bye.

Je poussai un soupir de soulagement en rangeant mon téléphone dans son étui. Je fis un sourire désolé à ma compagne.

- Je suis désolé ma mère. Disons qu'elle m'a flanquer une de ses frousse! Bon alors... je posai ma carte de crédit sur l'addition, je te propose une balade toute tranquille et on verra ensuite!

Le serveur parti et revint tout aussi rapidement et je rangeai le tout dans mon porte-feuille et me levai laissant passer devant moi Noléne. Pendant que nous débutions notre petite balade je mis mes mains dans mes poches (ne sachant où les mettre) et je regardai un point devant moi.

- Dites, comment vous faites pour dresser un profil de criminel? Disons que moi je fonce quand on le dit mais il faut bien que quelqu'un trouve le bon... enfin vous comprenez quoi.

Oui bien je ne voulais pas aborder le sujet du boulot mais disons que le côté profiler m'intriguait. Non je ne voulait pas en être un j'étais trop téméraire et trop impulsif pour ça je me ferais jeter avec un pied aux fesses.

Il me proposa une promenade dans le quartier, pourquoi pas, le temps que cette promenade se passa avec lui, pour c'est tout ce qui compter. Nos yeux étaient toujours plonger l'un dans l'autre quand son téléphone se mit à sonner. En une fraction de secondes, notre magnifique soirée aller s'arrêter, c'était surement son boulot et il allait partir malheureusement... Mon visage s’attrista quand je le vit partir pour répondre à l'appel. Je ne voulais pas que cette soirée s'arrête maintenant, nous venions de partager de très beau moment depuis le début de l'après midi, depuis que nos regard se sont croisés. iL revint ensuite à notre table, j'étais prête à partir quand il me dit que l'appel venait de sa mère. D'un coup d'un seul mon visage s’élimina, avec un sourire ne coin j'étais très heureuse qu'il ne part pas pour son boulot. Il paya l'addition et nous nous dirigions tout deux en ballade.

Dites, comment vous faites pour dresser un profil de criminel? Disons que moi je fonce quand on le dit mais il faut bien que quelqu'un trouve le bon... enfin vous comprenez quoi.

- Et bien, c'est une analyse du comportement, on étudie son mode opératoire, sa signature et cela nous permet de savoir à quel genre de criminels nous avons a faire.Tout ce genre de truc quoi...

J'étais pas très explicite et je me mélanger les pinceaux mais là j'étais seule avec lui, il n'y avait plus personnes avec nous. Plus de gens assis à côté de nous là nous étions tout les deux côte à côte le coeur s'accélérant quand sa main frôla la mienne. J'en perdis mes moyens. Je croisa mes mes bras le vent commença à monter et moi comme une idiote je n'avais pas pris de gilet. On débuta notre ballade, la rue était parsemer de magasin qui étaient fermé bien sûr à part quelque un qui étaient encore ouvert.

- Pourquoi avez-vous choisi d'être flic et plus précisément dans l'explosif ?

Je me baladai tranquille sans me casser la tête. Pour une des rares fois depuis un moment j'avais l'esprit libre. Elle m'expliqua comment on arrivait à dresser un profil. Bon ce n'était pas disons explicite mais je comprenait l'ensemble. S'il était méticuleux ou non, comment il choisi ses victimes enfin le genre de truc que je n'aurai pas été capable de faire car, pour moi, ça ne bouge pas assez.

Elle croisa les bras devant elle bravant le vent en me retournant la question. J'enlevai mon veston et la posai sur ses épaules pour au moins la tenir au chaud. Non mais je ne voulais pas en plus qu'elle ai un rhume! Pourquoi j'avais décidé d'être flic? Voilà ZE question! Je haussai les épaules. Je crois que j'avais toujours été prédestiné à ça.

- Je sais pas. Plus jeune j'étais assez téméraire, au grand désespoir de ma mère, alors quand j'ai commencé l'école je protégeai ceux qui n'y arrivait pas. Il est arrivé souvent que je revenait de l'école avec des bleus et du sang et ça c'est pas quand le directeur appelait ma mère.

Je fis une pause en repensant à ma mère qui prenait ma défense et une fois à la maison ses premiers mots était " Pourquoi Jack?" J'eus un sourire nostalgique à cette pensée. Ouais j'en avais fait voir de toute les couleur à ma mère! Elle méritai tellement de se reposer tranquille.

- Alors je crois que c'est de là qu'est parti mon intention d'être flic. Pour ce qui est des explosifs...

Je fis une pause car ceci remontait à Julia et sa mort. Je lui en avait parlé mais elle comme moi avions juger que c'était un peu trop dangereux alors je l'avait mis de côté. sa mort a raviver ce désir et je me suis lancer, surtout pour oublier ma peine et ma douleur.

- Disons que des éléments de ma vie passé m'ont acheminé vers cette branche. J'avais déjà eu ce désir mais je l'avais mis de côté. Pourquoi? Simplement parce que j'ai besoin que ça bouge de sentir mon corps tendu par l'adrénaline c'est.... comment dire, enivrant!

Je risquai un oeil vers Noléne et bien que je sois enthousiaste elle ne semblait pas comprendre. De toute façon elle ne savait pas ma vie alors c'est sûr qu'elle ne comprenait pas.

- Et vous pourquoi les science du comportement?

Il enleva sa veste et me la mit sur mes épaules. Le vent monter, mais il faisait lourd quand même, une brise de vent chaud mais un petit vent quand même. Il m'expliqua le pourquoi de sa carriére, pourquoi à t-il choisi ce métier et pas un autre. Je l'écouta attentivement, il me plaisait ayé je suis amoureuse. On marché où ? Et bien nul part nous n'avions pas de but précis, nous marchions là où nos pieds nous guider. Il me demander à mon tour pourquoi les sciences du comportement ?

- Et bien déjà, quand jétais petit mon père me raconter des histoire policière avant de mendormir et je m'y croyais. Je pensais à chaque fois que c'était moi qui élucider le crime. Puis après j'ais grandi et jétais toujours intéréssée par les enquêtes criminels alors je suis rentré dan sla police puis dans le FBI et j'ais trouver leur travail tellement fascinant, alors j'ais voulu entrer dans leur service. Leur façon d'entrer dans la tête d'un tueur, ou même de retracer sa vie comprendre le pourquoi du comment tout cela me fascine.

Et oui j'aime énormément mon travail tout autant que lui aime son métier. Je le regarder en lui souriant, je me sentai un peu idiote, de lui dire le pourquoi, car enfaite pourquoi je suis rentrer dans la police et un peu banal ce n'est pas comme certain ou certaine, qui y sont parce qu'elles ont vécu une histoire très triste comme l'assisinat d'un parents ou autres. Mais moi non...Enfin il y a des choses que ne l'ont peux pas avouer au premier rendez vous.

J'aurais tellement aimé avoir un père tout petit! Mais non le mien avait fui en lâche et de plus mettait la fidélité de ma mère en doute!!! Quel con! De ce fait je crois que c'est là que je me suis révolté plus jeune et durant mon adolescence. Bon je n'étais pas un gros bandit mais disons que ma mère n'aimait pas que je traîne dans les rues. Alors pendant ce temps je l'écoutai pendu à ses lèvres comme un assoiffé du désert. Plus nous marchions et plus discutions plus je me sentais tombé en amour avec elle. Oui je sais c'est un peu rapide de le dire ainsi mais c'est ainsi que je le sentais.

- Wow! Mais d'arriver à retracer sa vie et son comportement juste en voyant son comportement je dois dire que ça me fascine! J'ose à peine imaginer ce que tu as déjà réussi à lire en moi. dis-je en riant.

Oui bien j'étais peut-être bon à cacher certaines chose mais je n'étais pas de taille contre un agent de la BAU. Mais je repensai à certains poseur de bombes. c'était un peu la même chose, moi à travers les fils et les déclencheurs je pouvait voir s'il s'agissait d'un novice ou d'un pro. Ouais... mais même à ça je ne pouvait dire l'histoire de sa vie à regarder quelques fils et des boutons. Non sérieusement j'étais épaté! Belle, intelligente et qui n'a pas l'air timide ouais c'était vraiment une bonne raison pour que je succombe à son charme.

- Ceci dit, c'est un peu comme les bombes. Je sais si j'ai affaire à un professionnel ou à un novice. Comme à quelqu'un de sain d'esprit ou un malade. Tout ça en examinant les fils, les déclencheurs et même juste comment la bombe est faites! dis-je enthousiasmé

Nous marchions tranquillement moi les mains dans mes poches (oui je sais je pourrais lui prendre la main mais que voulez-vous je suis un peu con alors...) et elle avec ma veste sur les épaules. Bon il ne faisait pas froid à se les geler mais la brise était fraîche quand même; signe que l'été tirait à sa fin. Nos pas nous menèrent près d'un parc entouré d'arbres et de lampadaires, quelques passants erraient tranquilles, des couples trainassaient ici et là les yeux dans les yeux. Ceci me fit penser à la photo que Marilyn m'avait montré il y a quelques temps. Tiens ça me fais penser qu'il faudra que je lui dise qu'on arrête de se voir... du moins pour les nuits folles. Enfin je me retournai vers elle et son visage était à quelques centimètres du mien.

Mes yeux étaient rivés au siens et mon souffle semblait s'arrêter quelques minutes et les battements de mon coeur s'accélérer. Sans que je m'en rende compte je pris doucement son visage entre mes mains et sans que je m'en aperçoive je lui relevai le visage pour poser mes lèvres sur les siennes. Ce simple contact m'électrisa, je reçu comme une décharge ne voulant pas interrompre mon baiser glissant doucement mes doigts dans ses cheveux sentant leur douceur et leur parfum. J'aurais rester ainsi toute la nuit! Je sentais mon coeur cogner dans ma poitrine, son souffle contre ma joue. Je mis fin au baiser, non pas parce que je voulais mais bien parce que je commençai à manquer d'air.

- Désolé... je n'ai pu m'empêcher.

J'avais laissé mes mains contre ses joues fraîches les caressant du pouce.

Il me compliment asur mon travail, il est vrai que ce travail est fascinant pour les autres. Mais pour moi il est tout simplement génial, pouvoir aider les autres, ou bien même eviéter que des personnes innocente ne meurt. Quand une enquête ce terminer, et que l'on à réussi à éviter qu'une personne mette l'arme à gauche et bien on se sent utile, on fais du bon boulot je dois dire. On sarrêta quelque instant, il se tourna vers moi plaçant ses mains sur mon visage, " oh mais il fait quoi là" mon coeur batta à la chamade, il est maintenant tou près de moi il n'y a que 2 ou 3 centimétres qui nous sépare. Le moment fatidigue: il plaça ses lévres sur les miennes, un contact qui me fit chaud au coeur. J'avais des papillons dans le ventre, une drôle de sensation, décidément c'est vraiment un coup de foudre. Je m'étais toujours dit " ne te donne pas le premier soir Noléne" et bien là cest raté parceque je n'avais pas envie de rentré chez moi, en tout cas pas tout de suite

- Désolé... je n'ai pu m'empêcher.
- Ne sois pas désolé répondis-je

Je l'embrassa à mon tour, posant mes mains sur ces hanches. Un moment magique, franchement ce matin en me levant je n'aurais jamais pensée que je tomberai sur un mec ( qui plus est très beau et gentil). Que jaurais le droit à un dîner en tête à tête, d'une ballade suivie d'un baiser. A chaque fois que je me vois dans un mirroir je me demande tout le temps " est ce que je plait ?" Ma mére le dit toujours que je suis une belle femme, mais moi ce n'est pas moi avis. En faite je ne vois que mes défauts, mais ce soir je dois dire que ma mére à raison...

Ne sois pas désolé? Mais j'avais agi avec l'émotion du moment! Mais elle coupa libre court à mes pensées quand je sentis ses mains sur mes hanches et qu'elle m'embrassa de nouveau. Ses lèvres étaient chaudes et je ne me retint pas à ce moment. Je refermai mes bras autour d'elle la serrant doucement contre moi voulant sentir son corps chaud contre le mien. Elle sentait bon le parfum et sa peau était douce comme le satin. Je ne voulait pas qu'elle se détache de moi comme si maintenant elle faisait partie de moi. Étais-je en amour? peut-être bien en tout cas je sentais toute les émotions! Qui aurait dit que ce petit congé j'aurais été frappé par Cupidon et ses flèches? Présentement je sentais comme un "signe" de Julia qui me "permettait" d'être amoureux encore. Je mis un terme au baiser et l'amenai sur un banc et la colla contre moi sans rien dire.

Je ne voulais pas briser cette bulle, ce moment magique. Le parc était tranquille et le ciel totalement dégagé comme mon cœur où j'avais laissé Noléne entrer. Je ne voulais pas parler préférant garder le silence mais je le devais ne serait-ce pour ne pas qu'elle crois que je veuille la mettre seulement dans mon lit... quoique je crois que j'avais été assez gentlemen pour ne pas lui laisser croire. Je baissai les yeux et vit sa main et j'allongeai le bras et entrelaçaient mes doigts avec les siens.

- Il y a longtemps que je n'ai pas éprouvé ce que je ressens présentement...

Je jouai avec ses longs doigts fins pendant que je me perdait dans la beauté de ses yeux. Comment une femme aussi jolie pouvait risqué sa vie à tenter de comprendre des criminels? Probablement pour la même raison que lui défendait les victimes. Je relevai la tête et la regardai tendrement un léger sourire flottant sur mes lèvres.

- Bon là j'ai l'air pathétique mais... je fis un petite pause, je voulais que tu sache que je crois être tombé amoureux de toi. On va peiner à se voir mais sache que je serais toujours là pour toi Noléne.

Je tassai une mèche de son front avant de lui sourire tendrement. Oui il était encore tôt pour dire que j'étais fou d'elle mais si ça allait comme je le prévoyait, ce n'étais qu'une question de temps!