PROFIL PSYCHOLOGIQUE ◮ Évaluation psychologique, comme chaque trimestre, et comme chaque trimestre le même discourt, je me sens bien comme je suis. Me décrire en quelques lignes, je suis quelqu'un de proche de ma famille, je ferais absolument tout pour eux, depuis le mariage, non depuis la naissance de mon fils voir même depuis ma rencontre avec Jennifer je me sens complet. Est-ce que je suis anxieux a propos du travail de ma femme, bien sur que je le suis, mais je sais que je peux la laisser partir chaque matin, je sais que je peux lui faire confiance et qu'elle rentrera toujours à la maison.
Comment est-ce que je supporte les horreurs que je vois tous les jours... Je fais face, j'espère contribuer à un monde meilleur pour mon fils et pour tous les autres petits.
Parfois je suis un peu sur-protecteur, pour ma famille et mes amis, parfois j'aimerais mieux ne rien savoir parce que j'ai peur aussi d'être blessé, je suis pas du genre jaloux avec ma femme, et je lui fait confiance. Je suis quelqu'un de franc et de direct, je n'aime pas qu'on cache des choses, je suis parfois peut-être un peu trop direct au point d'en devenir bourru et de manquer de tact.
Ce que je rêvais de faire quand j'étais petit ? .... Je voulais être mon père, je ne dirais pas que je le suis, je ne suis pas mon père. Mais d'un autre coté j'ai réussi à être ce que j'admirais le plus chez, un protecteur. J'espère juste ne pas faire les mêmes erreurs que lui, pour mon fils je ne veux pas seulement être un héros, je veux avant tout être son père.
Oui en effet, j'en reviens toujours à ma famille, je crois qu'elle me définit.
Merci docteur,et à dans trois mois.

CONDITION PHYSIQUE ◮Je suis un gars plutôt banal, mais ma femme me trouve un petit truc.. Décris objectivement je devrais ressembler à ça, Environ 1m80, mince, je l'admet je ne ressemble pas à une montagne de muscle prête à en découdre, mais des muscles j'en ai, juste plus discret. Un visage fin et allongé comme le reste de mon corps, une barbe naissante mais pas plus, qui me donne un air nonchalant, un nez que je qualifierais de droit et de simple, des yeux bruns foncé et des cheveux courts bruns. Je vous l'avais dit d'un simplicité limite triste. En parlant de triste, on me dit souvent que j'ai un regard triste, profond ou encore mélancolique, mais je crois que c' est surtout parce que mes sourcils sont bas...
Je ne porte pas de piercing ou de tatouage, juste deux petites cicatrices, là où les balles ont traversées ma peau, les risques du métiers, et je m'en étais bien sortit hormis les cicatrices je n'avais gardé aucunes traces de l'accident.
Peut-être que mon style vous expliquera pourquoi ou plutot comment j'ai réussi à épouser une femme comme Jennifer, mais j'en doute. Généralement chemise boutonné presque jusqu'en haut, pas de cravate, je trouve que c' est inconfortable même si très élégant, jeans ou autre pantalon de couleur foncé comme le noir ou le gris, chaussure vernis noir, lunette de soleil quand l'occasion se présente, à la ceinture arme, menottes, et autre indispensable au métier ... Vraiment je crois que ma femme ma choisit pour mon incroyable personnalité.

A PREVENIR EN CAS D'URGENCE ◮ JENNIFER JAREAU. • (ma femme)" Je le veux" et c 'est trois mots merveilleux fit de cette femme, ma femme, la personne avec qui j'aurais le droit de passer le reste de ma vie.

HENRY LAMONTAGNE-JAREAU. • (mon fils) Je n'aurais jamais pu imaginé qu'être père est un tel bonheur.

PARCOURS PROFESSIONNEL Mon histoire commence le 21 avril 1981, c'était un jour plutôt clair, surtout quand on habite la Nouvelle-Orléans, la Louisiane, le sud, le soleil... De mes tendres années, je n'ai que quelques souvenirs heureux éparpillés, des gâteaux d'anniversaire trop sucré et trop grand, de mes camarades et moi ennuyant les petites filles trop nunuches pour jouer avec nous, des noëls pas si froid que ça et des étés où les piscines étaient reines. C'était une période magnifique, je savais que si mon père était rarement là c' est parce que c'était un super héros, ma mère elle était femme au foyer, une femme aimante, elle cuisinait terriblement mal, mais je ne lui ai jamais dit, mon père n'aurait pas fait mieux, pour lui cuisiner ce limitait au micro-onde, ou au réchauffe plat.
Je pense que j'ai eu la vie que tant d'autre aurait voulu avoir, nous n'étions pas riche mais pas dans le besoin, on vivait une petite maison dans un cartier calme, où je pouvais faire du vélo avec mes copains, sur la surveillance de son père, le mien n'étant pas là. Souvent je passais mon temps avec Steeve mon ami et voisin, avec son père, nous allions voir des matchs de foot, ou de base-ball, il nous emmenait au cinéma, il disait souvent qu'il avait comme un deuxième fils. Parce que mon père à moi il sauvait des gens.
J'ai grandit, et bien que je continuais à croire que mon père faisait le bien, il me manquait, j'avais parfois besoin de lui, mais il ne pouvait jamais me consacrer assez de temps. J'aurais pu y trouver un prétexte pour commencer mon adolescence, mais je n'arrivais pas à m'y résoudre, je voyais ma mère vieillir et se fatiguer à m'élever seule. Je me suis retenu longtemps au point que quand j'ai voulu commencer il était déjà trop tard, j'étais trop grand, on attendait de moi une autre conduite...
Ma mère est morte, je n'avais que 17 ans, elle est partie soudainement, cela m'a détruit, mais j'appris plus tard que c'était mieux ainsi, elle n'avait pas eut le temps de souffrir.
Mon père toujours autant absent, j'ai grandit seul, j'ai un peu traîné avec des jeunes, pas de gangs, mais des jeunes un peu plus âgés qui m'ont appris à boire. Un soir alors que je rentrais chez moi, j'ai croisé une patrouille, des collègues de mon père, ils se sont arrêté pour me saluer, mais une fois à ma hauteur, ils sentirent l'alcool que j'avais bu, et sûrement aussi un peu l'herbe que mes amis avaient fumés, ils ont froncé les sourcils. Il ne servait à rien de mentir ou d'essayer de partir, alors je les ai suivit, en chemin ils ont reçut un appel d'urgence, nous sommes arrivés avant les autres, ils m'ont dit de rester dans la voiture, ce que j'ai fait mais même de là j'ai tout vu, comment le collègue de mon père avait pris une balle dans la jambe et comment ils avaient sauvé ce jeune crétin de sa propre stupidité. Ça m'a rappeler que mon père était un héros et que c' est pourquoi il n'était jamais à la maison, il combattait chaque jour pour que ma vie soit meilleure, il n'avait jamais abandonné maman, il ne m'avait jamais abandonné, au contraire il faisait ça pour moi... C'est comme si mes yeux d'enfants avaient repris leurs places. Je me souvenais enfin de qui j'étais et de qui je voulais être. J'ai quand même eut droit à une punition, mais je ne l'a trouva pas injustifiée.
Je suis sorti du lycée, pour rentré tout droit à l'école des officiers, je ne dirais pas que ce fut les plus belles années de ma vie, mais c'était un passage obligatoire, pour parfaire mon parcours j'ai choisi en sortant de faire 2 ans en criminologie, juste pour ne pas rester éternellement officier.
Je suis devenu détective à la Nouvelle-Orléans, après pas mal d'années de services, mon père meurt ensuite lors du passage de Katrina(2005). Peu de temps après ça je faisais la connaissance de Jennifer Jareau, membre du BAU, que mon patron avait appelé au secours lorsqu'un tueur en série avait commencé à sévir dans la région.
Environ 2 ans plus tard naît ma petite merveille, mon bonheur et ma fierté, notre petit Henry Jareau Lamontagne, je crois que c 'est le plus beau jour de ma vie. Entre temps j'ai bien entendu déménagé pour être avec celle que j'aime à Quantico. Où j'ai eut droit à une promotion, dans la police de virginie j'étais lieutenant Lamontagne.
Maintenant je peux dire que je vis une vie « tranquille » autant que peut l'être le mari de ma femme... avec mon adorable petit monstre qui a la bougeotte... Ma vie est parfaite, j'espère qu'elle le sera encore ... et encore.