18h00. Nolan était rentré dans sa planque de fortune. Il avait posé son blouson, et les clés de sa moto, qui avait tintées contre son bureau. Machinalement, il jeta un oeil sur ce dernier et il voyait son tas de photo éparpillées. Il devait bien y avoir des centaines de cibles, là-dedans … Et curieusement, ces cibles étaient toutes des femmes. Plus étrange encore : même tranche d'âge : 18-30 ans. Bah quoi ? Un tueur en série à bien le droit de choisir son terrain. C'est comme si un virtuose choisissait avec brio son instrument, ou comme si un jardinier choisissait ses outils avec soin … Ah … Justement, quand on parle des deux lascars, … Ces deux là, Nolan les avaient rencontrés, l'un après l'autre, à une intervalle de temps régulière … Installez vous dans votre fauteuil, et écoutez donc ceci …

Le début de cette histoire, s'est passé en 1998, lorsque Ho Sung Pak débarqua de sa chère Corée du Nord natale, pour y découvrir le sol américain. Faisant d'abord escale à Washington D.C., c'est dans cette ville qu'il rencontra Nolan, notre chirurgien national. De là, ils firent tous les deux plusieurs virées, apprenant chacun, l'un de l'autre. Ils avaient pu délirer ensemble sur plusieurs mois … Après ces petites expérience, ils avaient tous les deux entendus par la radio, et lu par la presse qu'un psychopathe de leur trempe, s'était enfuit de chez lui, après avoir assassiné ses parents, en leur tranchant la gorge. Autant vous dire tous de suite, que nos deux comparses avaient compris qu'ils leur fallait aussi cet homme dans l'équipe. C'est pourquoi, il ne tardèrent pas à le contacter, dans un bar miteux, pour débuter dans les affaires, à l'abri des regards indiscret …

Le nom du p'tit nouveau ? James Miller : psychopathe recherché par le FBI pour double hommicide volontaire sur ses parents, ainsi que pour avoir immolé un chiot sans défense, qui était un cadeau de ces derniers. Plutôt horrible comme histoire, mais tellement assez pour les deux autres. Ils étaient sur de leur coup. Nolan était bien fier d'avoir des amis aussi timbré que lui ! Pour tout vous dire, les beuveries à trois, ça y allait sec !

Voilà ce dont se souvenait notre chirurgien en herbe, tandis qu'il faisait tournoyer son scalpel dans les airs, se balançant sur sa chaise … Soudainement, il s'arrêta ! Il venait d'avoir une idée. Une très bonne idée. Les recontacter, afin de faire ressurgir ce groupe et anéantir tout Quantico ! Mettre cette si belle ville à feu et à sang ! Oh que oui … Ca s'était une idée excellente ! Ni une, ni deux, Nolan prit son cellulaire, pour envoyer un SMS aux deux complices :

« Salut, c'est Nolan Baker ! Ça fait un petit moment, n'est-ce pas ? J'aurais aimé qu'on se retrouve chez moi. Vient d'ici trois heures, à l'angle de River St, dans ma villa. J'ai de quoi discuter. Je t'attends ... »

Et voilà qu'après un bidouillage rapide, le message avait été envoyé à Ho et à James, alors qu'il se mettait en route en prenant un taxi. Cette soirée promettait d'être énorme … Dans tous les sens du terme …

Ho était seul chez lui, dans son loft à l'angle de Glove St et de Cand St. Il composait un nouveau morceau puis il se stoppa. Ho était nostalgique, il se souvenait du jour de son arrivée aux États-Unis d'Amérique et plus particulièrement de sa rencontre avec Nolan, très peu de temps après ... Tout était allé si vite, du premier meurtre ensemble, jusqu'à l'arrivée de James. Son histoire à lui, Ho s'en souvenait très bien. Car au moment de l'entendre, il était complétement cuité, au bar avec Nolan, et il avait aussitôt eu idée d'aller le retrouver ... C'était la belle époque ! Et Ho voulait bien faire un retour en arrière pour pouvoir revivre de tels instants ...

Pourquoi n'avait-il jamais eu l'initiative de recontacter ses deux amis ? Lui-même ne pouvait pas répondre à cette question, quand soudain ... Son téléphone mobile s'était mit à vibrer. Et là ... Surprise ! Il s'agissait de Nolan ! Ce dernier, lui demandait de le retrouver chez lui, d'ici trois heures à l'angle de River St ... Il avait apparemment besoin de le revoir, ainsi que James ... Ils était de retour ! Enfin ... Et tous les flics et les autres râclures du coin n'avaient plus qu'à bien se tenir !

Ho, pressé de revoir ses deux amis, s'empressait donc d'aller prendre une douche. Pendant ce long moment de détente, Ho songeait tout simplement au passé ... De nouveau, il se revoyait tuer cette jeune femme, sous les yeux de Nolan, qui lui, profitait du spectacle. Pourvus qu'ils reprennent du service ensemble ! Sortant de sa douche, Ho avait décidé d'y aller en moto. Sa Ducati était sûrement beaucoup plus rapide qu'un taxi ! Surtout que River St, ce n'était pas la porte d'à côté, étant donné que c'était à l'autre bout de la ville. Ainsi, même en moto, Ho allait en avoir pour 2h15 de route. Il s'alluma une cigarette, puis il prit la route pour aller retrouver ses fidèles compagnons ...

James Miller Psychopathe depuis sa plus tendre enfance enfin tendre tout est relatif, mais ce n'est pas ca le sujet, comme vous avez pus lire plus haut Nolan à envoyer un message à James et Ho pour se revoir. Quand James reçus le message il avait les main dans le corps sans vie et encore chaud d'un motard, en faite pour tout vous expliquer sur cette homme il l'avait coller d'un peu trop prêt, James était tranquillement en train de boire un verre au resto du coin, et en sortant il se son rentrée dedans, le motard à voulue lui casser la tronche mais il ne connaissez pas James ... ni une ni deux James lui à planter un Bout de bois dans la mâchoire, plus la amener dans la ruelle à coter pour s'amuser avec lui, je vous passe les détails il était juste méconnaissable.

Une fois le message écouter, James euh aussi un flashback, étrange ils on tout les trois euh un flashback, d'ailleurs c'était que des flashback sur leur rencontre, James lui avait 15 ans à ce moment la, donc il se sont rencontrer dans un bar alors que James trainer sans but enfin si un seul, survivre. Donc je disait il était dans un bar mais aller savoir pourquoi Nolan et Ho l'on trouver, c'était les seul qui avait euh le courage de l'approcher, en entendant le nom de Ho James avait éclater de rire ce qui lui à manquer de se faire démonter la tête, donc James à rejoins c'est deux associer qui lui avait appris des chose et donner un lieu ou vivrez..

Donc James presser de les revoir plis la première voiture qu'il vue, mais pas de la merde non plus, attendez il aller pas prendre une voiture qui faisait du deux à l'heure il était déjà assez en retard. Il se mis à rouler à vitesse normal après tout si Nolan les a contacter, il est capable de l'attendre mais Ho lui serait moins patient sauf si c'était pour revoir un ancien Collègue. En y repensant c'est con qu'il se soit séparer comme sa, tout sa à cause d'un meurtre qui à mal tourner, ils se sentait en danger alors il on décider de se séparer un moment, mais c'était vraiment un long moment, après tout c'était mieux comme sa valait mieux couper les pont avec de bon amis que de passer le reste de sa vie en prison.

Quoi qu'il en soit James était presque arriver, encore quelque minute et il y serrez arriver, et Nolan pourra expliquer en détail pourquoi il les à contacter à ce moment précis.

Après son trajet en taxi, qui avait bien duré vingt minutes à cause des embouteillages, Nolan était enfin arrivé à destination, dans sa villa. Quand il poussa les grilles, restées entrouvertes, il avait aperçu de loin Ho, près d'une moto. Il attendait, probablement depuis quelques minutes déjà … Quoiqu'il en soit, Nolan était heureux de le revoir, après tout ce temps absent. Notre chirurgien improvisé s'était donc approché de son acolyte aux cheveux hirsutes. Une brève accolade s'en était suivie. Oui … Cela faisait plusieurs mois de rang qu'ils n'avait pas eu de nouvelles l'un et l'autre. En même temps, que voulez vous ? Avec ces doubles occupations, ses gens là avaient peu de temps pour se voir … La solitude faisait partie intégrante des risques du métier, mais bon … À force, ils s'y habituaient …

Après cette accolade donc, Nolan se recula et regardait son compagnon de jeu, presque étonné de le voir, puisque la dernière fois remontait à longtemps. D'ailleurs, Nolan pensait que se remémorer certains bons souvenirs, allait leur donner de bonnes idées pour la suite.
« Bon sang ! Que c'est bon de te revoir ! J'ai l'impression que ça fait une éternité que l'on ne s'est pas vus … Viens, ne restes pas là, et entres. »
Quoi de mieux qu'un bon petit verre pour discuter du passé, vécu à deux ? C'est pourquoi, il lui avait proposé une liste de bouteille …
« Je t'offre quelque chose à boire, pour fêter ça ! Tu veux quelque chose de particulier ? »
Nolan lui proposait un petit assortiment de bouteille : bière, vodka, gin et whisky. Il pouvait aussi lui proposer du sans alcool, comme des jus de fruits ou de limonade … Restait à voir ce qu'il allait prendre. Pour Nolan, ça allait être whisky sur glace, comme d'habitude.

Parlons-en donc aussi de James … Actuellement, il ne manquait plus que lui, et cette joyeuse bande de copains allaient pouvoir se remémorer tous les bons plans passés à trois, en égorgeant tout ce qui leur passait sous la main … Façon de parler évidemment, puisque l'un maniait les outils de chirurgie, un autre, les ustensiles du parfait boucher comme le couteau de cuisine ou le hachoir, et le dernier maniait les outils de jardinage … Un parfait petit trio aux manières bien distinctes. Y'avait rien de mal à changer quelques méthodes parfois. En fait, cela pouvait dépendre de ce qu'il avait à réaliser comme meurtre. Fallait réagir plus dans la finesse par moment, tout comme, au contraire des fois, rentrer dans le tas, prêt à en crever la gueule ouverte. Mais jusqu'à présent, ils n'avaient pas trop à s'en faire tout les trois, puisque c'était plutôt eux les enfoirés de première qui faisaient tourner la tête à nos bons vieux flics de la ville. Comme se le disait Nolan parfois … ça avait du bon de faire le méchant de temps en temps, alors que dans la vie de tous les jours, les gens nous prenaient pour d'honnêtes citoyens avec leur boulot plus que respectables … Ouais … Lui, il n'y avait pas de doute, il adorait ça.

Ho était arrivé depuis dix minutes déjà, lorsque Nolan fit son apparition, en descendant d'un taxi. Ah la la … Ces putains de taxis ! Jamais à l'heure … Ho avait eu le temps de se griller une cigarette avant que Nolan n'arrive. Ça faisait plutôt du bien, après une heure et demie de route, pour traverser cette putain de ville, remplie de merde ambulante, qu'on appelait aussi des véhicules. Ses saloperies de bagnoles, toute entassées dans des embouteillages. Encore heureux qu'il s'était déplacé en moto. Quand Nolan s'était approché de lui, Ho ne s'était pas empêché d'avoir un léger sourire. Revoir Baker, c'était comme revoir un bon porno : ça faisait toujours plaisir ! Drôle d'image je sais … Mais ça ne fais pas de moi, un pervers pour autant … Quoi ?! Bah oui, je m'instruis et alors ? On est pas là pour parler de ça, de toute manière. Alors allons à l'essentiel. C'est après une accolade que Nolan avait donc invité Ho à entrer. Et ce bon vieux James qui n'était toujours pas arrivé …

Une fois entré dans la villa de son ami, Ho s'était rendu compte qu'ils n'avaient pas le même genre de vie. Il vivait dans une splendide villa, avec piscine et un jardin immense, tandis que Ho lui, vivait dans un loft, au 31ème étage, d'une tour. Il ne s'aventurait jamais dans les quartiers résidentiels car pour lui, les gens qui vivaient dans ce genre de résidences, n'étaient rien d'autre que des petites raclures, à qui on devait éclater la gueule à coup de pelle …

À l'intérieur donc, Baker avait proposé à Ho plusieurs sortes d'alcools. Celui-ci prit une petite vodka, tandis que Nolan, s'était réservé comme à son habitude, un verre de whisky coupé sur de la glace pilée. Ah ça … Il avait pas changé. Ho le revoyait comme quand ils étaient au bar ensemble … Enfin … Avec des rides en plus.

« Tiens ! Sers-moi une vodka avec un peu de glace. Dis-moi … Ça fait longtemps qu'on s'est pas vus ? T'as pris un coup de vieux on dirait ? C'est quoi ces rides sur ton front ?

Ho n'avait pas peur de la réaction de son vieux frère Baker. Tous les deux se charriaient souvent à l'époque. C'est d'ailleurs pour cela, qu'ils s'entendaient si bien ! Tenez … En parlant de vieux frère, voilà enfin Miller qui pointait le bout de son nez. Il avait encore dû éclater la gueule de quelqu'un, puisque son t-shirt, quoique caché par son blouson de cuir, était tâché de sang. Ah, ce Miller … Rien ne pouvait l'arrêter, décidemment !

« Alors, vieux frère ? On a n'a pas encore résisté à l'envie d'étriper un connard ? Sacré toi vas ! Allez ! Assis-toi donc ! Je te sers quoi ? »

Ho montrait les bouteilles que Baker avait posées sur la table, mais il avait un présentement pour la bière, la boisson favorite de notre jardinier. Ainsi, Ho prit une mousse et la décapsula pour la tendre à James. Après quoi, il essaya de lancer le débat :

« Bon les gars … On s'est réunis ici, pour quoi ? »

James était en retard, c'était sont habitude ou pouvez dire que quand il était occuper avec un cadavre, personne ne pouvez le faire décrocher avent qu'il en finisse, quoi qu'il en soit James venez enfin d'arriver, il était devant la villa la maison de quelqu'un peu en dire long vous savez, mais cette fois c'était pas le cas la villa était faite pour se faire remarquer ainsi que son propriétaire mais Nolan lui était plutôt discret, quoi de plus normal vous l'imaginer vous sortir de nul par et de crier "Et venez voir j'ai violer c'est enfant et je l'ait tuer après"? Et bien moi non c'était quelqu'un de discret ce Nolan après tout c'est pas car on est des meurtrier en puissance qu'on doit pas avoir une belle vie vous croyait pas?

Quoi qu'il en soit James décida enfin de rentrer, il vire assis Nolan son bon vieux whisky coupé quand à Ho lui était debout une vodka à la main, James regarda un peu l’intérieur puis se mis à siffler l'air de dire, putain il se fait pas chier celui la, chose qui fit réagir c'est deux Collègue qui ne l'avait pas vue rentrée. Première réaction de Ho qui vit directement que James était en train de butter quelqu'un avent de venir ici, il lui dit de s’asseoir et demanda ce qu'il lui sevrer.

-Que veut tu quand je suis en train de jardiner plus rien ne peu me déranger. Dit james en faisant une allusion au motard de tout à l'heure, mais bien sur Nolan et Ho savait bien qu'il parler d'une victime,.Tu me sert une bière, sa se voit qu'on se connais bien, je ne refuse jamais une bière, mais pour location j'aurez proposer le meilleur vin de Nolan pour changer, Bah pas grave on verra après pour le vin.

James pris la bière et se posa à coté de c'est potes Ho Nolan n'avez pas dit un mot à James pour le moment, bizarre il ne pouvez pas encore le lui en vouloir de ce qu'il a fait, oui c'est un peu à cause de James qu'ils avait due se quitter James était jeune et trop sur de lui, alors lors d'un meurtre il laissa une trace et à cause de cette petite chose insignifiante il dure se séparer mais Nolan n'avait vraiment pas aimer cette connerie.

-Allons Nolan, tu me fait encore la gueule pour sa? à peine James pus finir sa phrase que Ho en alla au fait, il demanda pourquoi on c'était réuni ici. Ho je voit que tu est toujours aussi impatient, on peu discuter un peu avent, tu croix pas? alors les garde vous devenez quoi depuis toute c'est année?

James passa sur un autre sujet, bien oui la raison du pourquoi il sont ici attendrons elles vont pas partir, alors James voulez savoir ce qu'il c'était passer pour eux depuis tout ce temps.

Nolan appréciait cela … Se retrouver avec ses deux plus grands amis et camarades de jeu, qu'il considérait comme ses frères. Ils était donc maintenant tous les trois réunis chez notre chirurgien, histoire de boire et de se remémorer le bon vieux temps. Parlons en du bon vieux temps … A peine était-il entré que Ho charriait déjà Nolan, en lui disant que le chirurgien se faisait vieux … Et puis quoi encore ? Il avait à peine dépassé la trentaine. M'enfin … Nolan voyait très bien que son ami rigolait. D'ailleurs, Nolan voulait bien rigoler lui aussi, tant qu'à y être :

« Moi vieux ? Nan, mais … Tu t'es regardé toi, au moins ? On a l'impression que tu as eu peur d'arrivé en retard. Avec ta coupe, on dirait que tu sors à peine de ton pieu. Tu as encore fait la java hier soir, ou quoi ? »

Bien sûr, Nolan avait envoyé cette plaisanterie avec le sourire. En aucun cas, il ne fallait que Ho le prenne mal. Ils aimaient bien se lancer des épines entre eux, sans que ce soit bien trop méchant. Quand il s'était servi un whisky avec de la glace, il avait ensuite demandé ce qu'allait prendre son ami de longue date, en lui sortant tout un assortiment de bouteilles. Après réfléxion, Ho s'était décidé de prendre un verre de vodka sur glace. Sur le coup, il n'y avait pas pensé mais, Nolan n'était pas trop friand du saké. Et puis bon … Ne connaissant pas non plus la communauté asiatique sur le bout des doigts, Nolan se demandait bien si cet alcool de riz, avait bien pu dépasser la frontière nippone pour se retrouver dans les commerces de Corée. Oh et puis, après tout il s'en fichait, puisque Ho lui avait demandé de la vodka. Il l'avait donc servi et il lui tendait le verre …

Peu de temps après, James était arrivé. Quoique bien silencieux au départ, puisque nos deux autres amis étaient plongés dans une discussion. Donc, sans que Nolan ne s'en aperçoivent, James mattait tranquillement son décor intérieur, jusqu'à ce qu'il en soit complétement épaté, en sifflant. Nolan s'occupait dans la cuisine et donc entendait simplement son ami James parler avec Ho. L'asiatique l'avait donc servi une bière, et ils se rappelaient quelques bons souvenirs. Quand Nolan était revenu verre à la main, presque silencieux, James avait l'air inquiet. Apparemment, il pouvait encore croire que le pseudo-chirurgien lui en voulait d'être parti trop tôt et de les avoir laissés.

A vrai dire, Nolan en avait fait abstraction de cette histoire, il ne voulait pas vraiment en entendre parler. Il voulait … Oui c'est ça : il voulait faire une croix sur le passé. Éviter de re-rentrer dans ces détails qui n'étaient pas toujours très plaisants. Non ! Si ils étaient là, c'était pour parler du bon vieux temps, rire et boire ensemble. Voilà ce qu'il voulait ! Donc, à la question de James, histoire de savoir si il lui faisait encore la tête, à propos de cette histoire, Nolan lui avait répondu :

« Écoutes vieux … C'est du passé cette histoire, ne t'en fais pas. Je t'en voulais avant, parce que sur le coup, c'était encore récent et que j'ai bien cru que tu allais nous lâcher Ho et moi, pour de bon. Mais tu es revenu ! Tu n'as pas oublié tes amis. Ça prouve que tu as un grand cœur quelque part. Et pour te l'avouer, c'est plutôt bon de te revoir ! Ça faisait un bail ! »

Pour ce qui était de Ho, il avait l'air bien impatient de savoir pourquoi Nolan les avaient réunis tous les trois, chez lui. Contrairement à James, qui lui voyait bien qu'il avait tout son temps. James se posa donc près de ses amis, et leur demanda qu'est-ce qu'ils était devenus après tout ce temps … Nolan lui avait donc dit que mise à part quelques petits meurtres classique par-ci, quelques meurtres par là, il n'avait pas vraiment changé. Mise à part les quelques années qui était passé et qui avait modifier son âge, mais pas de manière trop avancée non plus, comme pouvait le dire Ho sur le ton de la plaisanterie quelques minutes auparavant … Restait à voir ce que eux était devenu, depuis ces dernières longues années d'absence …

Une fois servi, Ho discutait avec James et Nolan. Baker n'avait pas mit longtemps à remballer Ho, avec une vanne digne de lui ! Ça faisait du bien de les voir, mais Ho était inquiet. Baker ne les avaient pas invités pour parler du bon vieux temps, mais bon … Miller voulait parler de ses bons souvenirs alors tant qu'à y faire, autant en parler …

« Alors moi, les gars, j'ai dépecé une cinquantaine de personnes, violer une douzaine de filles, mais rien de très passionnant. Je me suis toujours pas rangé, et je rêve de massacrer toutes les petites raclures de cette ville, à commencer par ses enfoirés du FBI. Je me sens observé en ce moment. Je suis en manque de chair humaine, et cette sensation m'empêche de tuer. Je ne sais pas … Peut-être que je me trompe. Mais j'ai vraiment la sensation d'être filé … T'inquiètes pas Nolan. Je ne l'ai ai pas laissés me suivre jusqu'ici. James … Cette histoire, c'est du passé. On ne t'en veux pas, t'inquiètes mec ! »

Oui. James avait l'impression que Nolan lui en voulait pour cette vieille histoire : un meurtre qui avait mal tourné, et qui avait mit fin à un véritable génocide de plus de trente cinq victimes en deux mois. Il avait fait une boulette, mais Miller était jeune et impulsif à l'époque. Il semblait s'être calmé un peu, même si avant de venir, il s'était permit de jouer avec les tripes d'un motard …

Ho s'impatientait vraiment à l'idée de savoir pourquoi il avait été convoqué là. Le trio lui manquait. Les boucheries et les autres meurtres, les autres crimes en tout genre, lui manquait. Il en ressentait une mélancolie profonde. C'était pour lui, la belle époque. Il fallait vraiment que les citoyens voient de quoi ils étaient de nouveau capables de faire, à trois. Alors sans plus attendre, Ho passa une annonce :

« Bon ! Les gars … On va faire un tour après, puis on dépouille le premier type ou la première petite pute, qui se met en travers de notre route ? »

Ho avait soif de sang, et il savait que cette proposition allait plaire à Miller, mais allait-elle plaire à Baker ? Rien n'était sûr. D'autant plus que sans lui, le trio n'allait plus avoir d'équilibre. Il avait l'expérience, il avait la précision. Il savait calmer le jeu et arrêter Ho, quand celui-ci pouvait partir dans des délires un peu trop monstres. Miller lui, est un « bargeot » complet. Si Nolan n'avait pas été là à l'époque, il se serait fait coffrer en deux temps, trois mouvements. Mais Ho sentait bien que si Nolan les avaient fait venir, c'était forcément pour revivre les heures de Gloire des « Brothers of Sentence ». Et oui ! C'est comme cela qu'ils se faisaient appeler ! Même les misérables gangs des ghettos de Quantico, les redoutaient. Pourtant, ils n'étaient que trois. Ces petites merdes n'avaient plus qu'à bien se tenir. Les « Brothers of Sentence » étaient de retour …

Bière à la main James était la en train de discuter avec c'est amis, après tout c'est pas tout les jours que le trio va faire son retour pas vrai, moi je vous le dit le FBI les profiler et je sais trop quoi encore n'on cas bien se tenir. Qui plus est James avait pris de l’expérience il s'avait mieux se contrôler bon d'accord des fois il lui arrive de devenir fou, mais rien de dangereux pour lui, enfin quand James était accompagner de Ho c'était un vrai carnage, mais fallait mieux que Nolan les accompagne car c'est la seul personne qui est dans la capacité des les faire s’arrêter.

James était rassurer, Nolan et Ho ne lui en voulait pas c'était le passé, sa le rendit heureux même si à l'époque ils lui en voulez maintenant c'est plus le cas alors pourquoi se faire chier avec de vielle histoire qui faudrait mieux oublier? Ensuite quand James demanda ce qu'ils avait fait depuis tout ce temps c'est deux collègue se mire à de leur meurtre des meurtre sans grande importance, mais il n'avait pas parler de leur vie à par les meurtre. Merde après tout même si c'était des psychopathe il avait une vie à part non? Enfin James parla aussi de son passée de tueur.

-Moi contrairement à vous je ne vous ait pas attendue pour faire un ... plutôt grand coup, enfin grand coup, je jouer au jeu du chat et à la sourie. Alors vous regarder la télé de temps en temps, des fois les agent fédéraux font des annonce, et bien vous vous souvenez de l'affaire avec le tueur à la faux, il ne l'on jamais retrouver mais vous par contre vous le connaissez mieux que personne. Quoi de plus normal c'est moi, Je suis aller jusqu’à une bonne dizaine de meurtre et vers le cinquième, j'ai envoyer un petit colis, à un certain Aaron Hotchner. Puis sa me lasser il n'on pas réussis à avancer, et depuis le tueur à la faucheuse à arrêter c'est meurtre, et fait ce qu'il veut, tout sa pour dire que, je me suis amuser à contrôler et narguer les fédéraux. Sinon vous me faite rire vous deux, je vous demande ce que vous avez fait depuis tout ce temps et vous me parler juste de meurtre sans importance, vous avez pas fait que tuer durant tout ce temps si?

James était en train de s’interroger après tout, on est de psychopathe ok, mais on peu bien avoir une vie à coté non? Mais si réfléchissez bien, les fou dans notre genre on un coeur, ou bien il se rapprocher de quelqu'un pour mieux la tuer après, Si si je vous assure une fois James c'est rapprocher d'une fille, puis après quelque semaine paf il la tue dans sa baignoire, cause de la mort noyade, les flic n'on pas chercher plus loin qu'un suicide .

La Ho parla d'un truc qui fit bien plaisir à James, faire un tour histoire de se remémorer de bon souvenir à tuer déchiqueter d'égorger, de pendre ou/et je sais quoi d'autre, James lui était partant mais quand est il de Nolan? Quoi qu'il en soit Nolan ou pas ils aller s'amuser.

-Ouai Ho je suis partant mais avent tout Nolan peu nous dire pourquoi il nous à inviter ici, le connaissant il a une idée derrière la tête.

Ils étaient donc là, tous les trois, à essayer de se lancer dans un sujet de discussion. On pouvait très bien voir que Ho, commençait déjà à se soucier de futures victimes à devoir tuer. Nolan voyait bien qu'il n'avait pas changé … D'ailleurs, James l'avait remarqué aussi, et s'était dit qu'ils pouvaient aussi parler un petit peu ensemble de leurs meurtres effectués à l'écart, les uns des autres. Pour ce qui était de Ho, c'était la formule habituelle, du taré en manque de boucherie … En leur détaillant un peu son « menu », il leur avait expliqué qu'il avait disséqué quelques cinquante personnes, violé une douzaine de filles, mais sans que rien de tout ça ne soit bien passionnant. En fait, il se lassait un peu de tout ça. Ça devenait beaucoup trop routinier pour lui. Ce qu'il voulait, c'était reformer une bonne fois pour toute les « Brothers of Sentence ». La fameuse bande de tueurs, qu'ils avaient montés à trois, pour sévir dans la région. Cela devait bien faire un an ou deux qu'ils ne s'étaient pas re-consultés ensemble, pour mettre leur retour au point … Et James était plutôt d'accord avec cette idée. Lui qui avait trouvé idiot, cette embrouille avec Nolan. En effet, lui aussi trouvait cette dispute, comme étant une dispute, dite de « gamins » d'ailleurs, c'était bien vrai. Calmement, il avait fait comprendre à son grand ami James, que tout cela était du passé … Maintenant, Nolan voulait voir sa vie se profiler au présent, aux côtés de ses bons vieux potes, ses collègues, ses deux frères, pour faire régner la terreur, comme jamais ils ne l'avaient encore fait ! A partir de ce moment, tant attendus par nos trois tueurs, cette bande des « Brothers of Sentence » allait renaître de ses cendres … Oui, c'était ça … C'était le mot : Nolan se sentait renaître aux côtés de ses deux acolytes.

Pour ce qui était de lui d'ailleurs, question de ses petites affaires, lorsqu'il avait travaillé seul durant ces longs mois d'absences, il avait fait ce qu'il faisait de mieux, à savoir : des viols, des homicides volontaires, les faisant passer pour involontaires, des assassinats et toutes autre sorte de meurtes. Nolan leur avait raconté d'ailleurs, l'un des tout dernier méfait qu'il avait commis en leur absence : un braquage de banque. L'affaire de l'homme aux mille visage. C'était lui. Pourquoi croyez vous que Nolan avait cette baraque, hein ? Évidemment. Il se l'était payé avec son salaire fort plaisant de chirurgien à l'allure respectable. Il adorait cette double vie. Dans la journée, il se faisait passer pour quelqu'un d'honnête, franc et respectueux. Alors que la nuit, il se faisait passer pour une ombre qui détruisait tout sur son passage … Il tuait … Hommes, femmes, enfants … Sans se soucier des représailles des flics, justement … Puisqu'il changeait d'indentité comme bon lui semblait. Voilà pourquoi les flics étaient bien embarrassés et n'arrivaient jamais à le coincer. Un jour il pouvait se trouver bruns, les cheveux longs, avec une moustache et des lunettes de soleil. Trois jours après, il pouvait avoir les cheveux courts, avec un bouc et une paire de lunette de vue. Ses couvertures, il pouvait les garder pendant deux semaines ou six mois de rang, avant d'en changer. Cet homme était vraiment une grosse saloperie. En fait, lui ce qu'il voulait, c'était faire tourner la tête aux fédéraux comme jamais personne n'aurait pensé le faire. Remarquez, cette histoire de James, « l'Homme à la faux », c'était bien le même genre de crime à quelque chose près. À la différence que James, lui, restait le même mais ne se montrait jamais. Il ne communiquait que par le biais de codes avec les services fédéraux. Ce qui, je veux bien l'admettre, donne aussi le tournis. Mais bon, que voulez vous ? C'était ça, les règles du bon vieux métier caché de tueur en série … Et puis, pour eux … Procéder de la sorte, c'était comme jouer à un jeu. Du moins, Nolan le percevait comme ça.

« Donc voilà à peu près, ce que je faisais, pendant votre absence. Je me déguisais sans arrêt, pour donner la migraine aux services fédéraux. Le pire en plus, c'est que j'adore jouer la personne inoffensive, le citoyen dévoué, en étant chirurgien, respecté de tout, alors qu'en fait … Je suis une belle ordure ! »

Nolan avait d'ailleurs eut un petit rictus, en le disant. En fait, ce qui était angoissant aussi chez lui, c'était qu'il faisait celui qui était calme, silencieux, voire même, limite muet lors de ses meurtres. « Le tueur au papier » que les fédéraux l'appelle depuis des années. Pourquoi ? Rappelez-vous de son histoire … Ce mec là, il tue et il laisse des billets dans les mains de ses victimes avec tout un tas de phrases philosophiques ou de proverbes du Monde … Une sorte de signature, qui lui faisait penser à son amie, pour qui il avait d'ailleurs un faible : Lily Buckley. Elle procédait presque de la même manière que notre Nolan National, à la différence que elle, n'écrivait pas des mots sur le papier. Elle le pliait en origami, art traditionnel asiatique, représentant le plus souvent les animaux des signes astrologiques chinois ou bien toute autre sorte de choses, comme des grues par exemple.
Après quoi donc, il avait parlé de façon franche et directe à ses deux collègues ...

« Bon ... Si je vous ai fait venir tous les deux, c'est parce que j'ai envie de préparer un grand coup ! Un coup qui fasse tourner la tête à ces imbéciles du F.B.I. On va semer la panique dans tout Quantico. J'pensais commencer par tuer un gars à qui je suis apparemment censé devoir des thunes. Mais ce gars se gourre. Je n'aime pas qu'on me colle sans arrêt. Surtout pour des histoires d'argent. Il me menace jusqu'à me dire qu'il va amener des potes me casser la gueule ... J'ai bien envie de leur donner une raclée à trois. Vous en dîtes quoi, les gars ? »

Restait plus qu'à savoir si ses deux amis de toujours, allaient être de la partie ...

Ho avait descendu sa vodka et prenait la bouteille, pour se servir un autre verre. Pendant ce temps, James racontait ce qu'il avait fait, pendant ces deux dernières années. Effectivement, Ho avait remarqué son portrait que les journaux TV pouvait montrer à l'époque. Mais à ce moment là, l'asiatique ne s'inquiétait pas pour son ami. Miller était bien trop malin pour se faire avoir par ces couillons du F.B.I. Ainsi, après plusieurs minutes de discussion, Ho se sentait bien. Les complicités d'antan était revenues et le dialogue aussi !

L'idée de Ho plaisait bien à Miller, mais Nolan, quand à lui, semblait septique à première vue. Il était soucieux de quelque chose. Il n'avait quasiment pas touché son whisky qui commençait à être noyé dans la flotte. Miller et Ho avaient une bonne descente. Miller était à trois bières et deux verres de vin, tandis que Nolan était au quart de son verre de whisky …

Puis, il s'était exprimé ! Enfin, il nous avait parlé que quelque chose. Un souci avec une petite frappe de pacotille, à qui l'on devait mettre une bonne raclée … Cela promettait d'être passionnant, mais il fallait plus de détails pour Ho, et peut-être aussi pour Miller.

« Dis moi … Ce petit enculé a un nom ? Il fait parti d'un gang ? Si oui, tu as le nom de celui-ci ? Ou est-ce que c'est une grosse merde de la Mafia, qui passe son temps avec des putes différentes tous les jours ? »

Cette histoire avait bien l'air étrange. Mais en tous les cas, Ho était excité de reprendre du service avec ses deux compagnons. Découper de la chair … Ça faisait si longtemps. Ho se sentait rempli d'une folie meurtrière. On osait s'en prendre à son frère ! Il fallait sans aucun doute, faire payer ses enculés. Il était temps de reprendre les armes et de les découper, de leur faire bouffer leurs propres, encore conscients. Bande de salopards.

« Dis moi, Nolan … On part quand ? J'ai l'impression que je ne tiens plus. Je vais les buter ces sales enfoirés ! »

Il fallait que le sang gicle, sur le visage de Ho. Que sa victime le supplie de le laisser en vie ! Bande de sales petits fils de putes. Ho était empli d'une rage sans précédent. Il était rongé par la colère. Faire chanter Nolan … Entre nous, les bargeots, c'est eux ! Pas nous ! Ils n'avaient peur de rien ! En cette fin de journée, et ce, pendant toute la nuit, le sang allait couler et leur vie allait basculer …

Nolan lui parla d'une enquête aussi cette histoire était qu'il déposer un billet dans la main de c'est victime, sa c'était du Nolan tout cracher. Quoi qu'il en soit, Alors que Ho et James se vider de bonne bouteille Nolan lui n'avait pas fini le sien, une chose devez le tracasser, enfin il en parlera bien un moment ou un autre, quoi qu'il en soit James rester toujours assis à vider une par une les bouteille de Nolan avec l'aide de Ho, et oui il n'y à pas que pour les meurtre qu'il avait des chose en commun.

Nolan expliqua que ce "grands coups" on aller faire tourner la tête au FBI en faisant toute une série de meurtre à Quantico, jusque la tout aller bien sauf qu'il parla qu'on aller commencer par butter une enflure qui lui devez de l'argent, sa énerver James qu'on fasse chanter son frère, Par contre James ne compris pas le rapport, à moins qu'il soit de la mafia, d'un gang ou je sais pas quoi sa aller pas faire chier le FBI, enfin c'est ce que pensée James.

Ho lui posa exactement les question que James voulez poser à croire que leur cerveau était relier par je sais trop quoi, enfin il demanda son nom si il faisait partie d'un gang ou bien de la mafia, son vocabulaire était crus quoi de plus normal on était entre frère enfin non mais c'est tout comme, Ensuite Ho enchaîna par demandez quand on partez il voulez lui éclater la gueule.

-Du calme Ho, j'ai autant envie que toi de lui exploser sa sale gueule, mais j'ai une meilleur idée que d'aller chez lui, Nolan appelé le, dit lui que ta le fric et donne le rendez vous, la bas on va l'exploser, par contre mec je voit pas le rapport de ce meurtre, comment tu veut faire chier les fédéraux avec une petite merde qui ce prend pour un boss? enfin on va commencer par lui ensuite je vous propose de se prendre à un politique, on est pas réunis de nouveau pour faire dans la dentelle, pas vrai!

James avait donner les instructions, et oui quand il s'agit de meurtre James aimer prendre les choses en main, et oui comme vous le voyait les "Brothers of Sentence" était réunis et sa aller faire mal ... très mal.

Buvant son whisky, Nolan était bien soucieux. En fait, s'il réagissait comme ça depuis tout à l'heure, ce n'était pas parce qu'il en avait encore après James ou quoi que ce soit d'autre. Non, en fait, s'il était comme ça, c'est parce qu'il était en pleine réflexion. Il se demandait ce que lui voulait vraiment ce mec. Il lui balançait quelque coups de pression. Espèce d'abruti. Voilà en fait ce qui mettait Nolan hors de lui. En fait, le gars, qu'il ne connaissait même pas, voulait juste user de son statut social. Ce qui l'importait, c'était de foutre en taule Nolan, vu que ce type avait été témoin d'un meutre, quand Nolan se faisait appeler Harold Thompson, étant en couverture. Cela s'était passé il y a deux ans. Le pauvre Nolan n'avait pas trop fait gaffe à ses arrières, malheureusement. Et du coup, il devait jouer avec toutes les couvertures qu'il pouvait trouver …

« Donc voilà les gars … C'est pour ça que j'ai un petit coup de mou en ce moment … Enfin, c'est plus du stress, vous comprenez ? Ce mec là, c'est le fils d'un procureur ! Si ce mec là me coince, c'est la perpet' assurée les gars ! Et j'ai pas envie de me faire coincer pour une petite erreur ! A cause de moi, les « Brothers of Sentence » risqueraient de mourir. Et ça, voyez … J'ai pas envie que ça arrive. »

Nolan était tellement nerveux, rien qu'à y penser, il avait fini le restant de son verre, d'une traite. Ouais, il était vraiment énervé. Et pour cause : à la base, il agissait avec silence, il tuait avec une dextérité totale. Bref … Cela n'était pas pour rien que les services fédéraux le nommait « le tueur au papier ». Donc voilà. Nolan se sentait comme étant une victime cette fois. Autant vous dire que c'était assez bizarre, comme situation. Et il avait envie que ça change. Il voulait se venger … Il voulait verser le sang …

« Voilà ce que je vous propose les gars : on trouve le fils de ce procureur de mes deux et on le tue en premier. Ensuite, on coince le père quand il rentrera du boulot, sur les coups de 20h40 et on le tue aussi. Enfin, on terminera par sa femme, en prenant la carte d'identité du mari. On trouvera l'adresse dessus. Je ne sais pas pour vous, mais … J'ai l'impression que l'on va bien se marrer … »

Voilà … Là au moins, Nolan s'était confié et il se sentait renaître. Il savait aujourd'hui qu'il allait obtenir vengeance, une bonne fois pour toute. Il allait pouvoir enfin assouvir sa soif de sang, sa soif de haine. Il avait envie de se refaire. Prouver à ses deux amis qu'il n'avait pas perdu la main. En y repensant d'ailleurs, on pouvait voir un rictus se dessiner sur les commissures de ses lèvres … Le vrai Nolan d'antan était en train de refaire surface … Et il allait faire souffrir.

Ho était persuadé que Nolan avait des problèmes avec cette petite raclure, mais il était loin d'imaginer que c'était le fils de ce bon vieux procureur de Quantico. Celui-ci, comme son père, était une petite merde ambulante. À croire qu'il cherchait à se faire buter, cet enfoiré ! Et bien … Bingo ! Il y allait avoir droit ! Ainsi que son père et la chose qui lui servait de mère d'ailleurs. Ils allaient tous les buter. Un à un. Pour sûr. Le F.B.I. allait devenir fou. Surtout que le procureur était un homme très influent dans cette ville de Quantico. Sa mort allait très certainement faire grand bruit. Tous les médias allaient forcément en parler. La bande des « Brothers of Sentence » prenait beaucoup de risques. Les autres organisations fédérales, comme la NSA ou INTERPOL allaient se mettre à leur recherche. Nos trois compagnons allaient prendre énormément de risques. Mais pour Ho, toucher à Baker, c'était comme toucher son cœur ! Alors nos trois amis allaient assurément lui rendre une petite visite …

« Nolan ! James ! On y va ! Faut le coincer avant qu'il ne rentre chez lui. Sa maison doit être truffée d'alarmes. Faut qu'on se sépare ! Moi, je m'occupe du procureur ! James et Nolan, ensemble vous vous occupez du fils. Pour ce qui est de la femme, je pense savoir où la trouver … »

En effet, Ho aimait prendre les commandes. James et Nolan avait l'habitude, mais Ho était sur les nerfs. Il avait prit la bouteille de vodka, et l'enfila d'une traite. Ensuite, il prit son casque et ses clés de moto. Il était fin prêt à tuer. Prêt à tout détruire sur son passage … Quand Ho était dans un tel état, la folie prenait le dessus de la réalité. Mais juste avant le départ, Ho avait eu une question :

« On se retrouve où, les gars ? Chez toi, Nolan ? Non, trop risqué … Venez chez moi. Et cette histoire de tout à l'heure … Je ne me sens pas vraiment épié … Je suis juste un peu trop parano, ces derniers temps. Les flics ne font que parler de moi, aux infos …

Ho était donc fin prêt, à refaire surface avec ses trois amis.

James, Ho et Nolan était d'accord cette petite raclure aller payer, rien cas l'idée de voir ce bourg se faire dessus à la vue d'une lame bien aiguiser lui passer sous le nez rendez heureux James. Cette enculer aller payer, par chance c'était le fils d'un procureur, quoi de mieux quand James avait dit qu'il aller pas faire dans la dentelle c'est bien à ce genre de chose qu'il pensée ... Quoi qu'il en soit Nolan expliqua pourquoi il le faisait chanter, il l'avait vue faire son meurtre, et il en profiter mais son père ne lui à pas appris une chose importante, on ne joue pas avec le feu, Nolan le feu et c'est deux frère des braise pour réveiller ce feu.

-Nolan mon frère, tu sais que je t'ai pas donner beaucoup de conseil mais quand c'était le cas qu'il était très utile, comme quand je t'ai dit d'éliminer tout les témoin éventuel. C'est dommage qu'il t'ai fait chanter mais croix moi d'ici la fin de la journée ... il sera dans un tel était qu'il ne pourra pas avoir de rédemption.

Nolan expliqua son idée pour se faire le fils le procureur et sa femme, mais Ho ne l'entendez pas de cette oreille, il voulez leur laisser le fils et s'occuper du procureur et de sa femme, tout seul ... Chose qui énerva vraiment James, même si ils se connaissait depuis longtemps, la il exagérer il voulez leur laisser la sous merde de fils et se faire le plus important la femme et le procureur, c'était pas le moment d'être égoïste.

-Ho! On se connais depuis longtemps et je t'apprécie, d'habitude sa me dérange pas plus que sa que tu prenne la meilleur par du gâteau, mais la tu abuse, tu veut nous laisser l'enculer de fils et te faire les plus important, nan mais serieux, franchement tu croix qu'on va juste se contenter du truc le moins important pour te laisser ce qui va directement passer dans les média, mais réfléchit un peut on est trois, y à trois personne à tuer je te laisse faire le calcule.

ce qu'avait dit Ho n'avait pas du tout plus à James et quand quelque chose le déplait il le fait savoir,donc il était pas partie encore, enfin il y à plus cas espérer que sa se passe vite.

Ça oui … Fallait dire ce qu'il en était, la réaction de Ho, avait un peu énervé Nolan également. D'accord, se sentant presque offensé vu que l'on touchait à une personne qui était chère à ses yeux, Ho voulait venger son grand ami, en butant cette saloperie de ses mains. Buter le procureur … Mais seul ! Laissant donc son fils à James et Nolan … Réaction quoiqu'un peu enfantine. Quelques minutes avant, les trois frères de cœur réunis, parlaient tout de même d'un retour des « Brothers of Sentence » ! Un retour qui allait faire du bruit. Là au moins, ils étaient sûr de faire parler d'eux, même si cela était une grosse prise de risques. Mais Nolan, tout comme James et Ho d'ailleurs, aimait ça ! Ils n'étaient pas meurtriers pour rien tous les trois. Ils savaient à quoi ils allaient avoir à faire à partir de maintenant ! Cela était certain ! Bref, toujours était-il que Nolan voyait bien que James était énervé. La décision de Ho quoiqu'un peu égoïste, l'avait mis sur les nerfs. C'est donc pourquoi, notre cher chirurgien décida d'apaiser la situation, comme il savait si bien le faire …

« Bon ! Écoutez les gars … Je sais ce qu'on va faire. À la base, c'est un de mes problèmes, d'accord ? Celui avait qui j'ai vraiment à voir, c'est le fils de cette saleté de procureur. Son père, c'est juste un barrage, et la mère, c'est un obstacle qui risquerait de se plaindre au F.B.I. avec tous ces meurtres … Donc voilà ce que je vous propose … Vous deux, je vous fait cadeau du procureur : vous vous en débarrasser comme vous le souhaitez ! Mais à une seule condition : je ne veux aucune trace ! Compris ? Je n'ai pas envie d'être foutu dans la merde ! Je vous fais confiance. Je sais très bien de quoi vous êtes capable, alors … Ne me décevez pas ! »

Il avait fait une légère pose, prenant un autre verre de whisky et le descendre d'une seule traite, pour se donner un peu de courage, avant de continuer, en regardant ses acolytes dans les yeux :

« En ce qui me concerne, je vais m'occuper moi même de ce qui me regarde : à savoir cet enculé de témoin ! Je vais le faire souffrir de mes propres mains. Il va mourir en se rappelant d'un seul et unique nom : le mien ! Celui de Nolan Baker ! Je vais le faire payer pour ce qu'il a oser faire et me foutre dans la merde ! »

Prenant donc son blouson de cuir et ses clés, il se dirigea vers son garage, pièce ou il avait laissé sous une bâche, sa légendaire Harley Davidson « Fat Boy » noire. Après quoi, avant de la faire démarrer, il se tourna vers ses collègue et camarades de jeu :

« On se retrouve comme on à dit chez Ho pour élaborer le plan, qui nous servira à buter cette salope de femme mariée au procureur ! On se donne une heure … Il est 18h50 … À 19h30 je veux que tout soit terminé et que l'on soit tous chez Ho ! On s'occupera de la femme après … Quoiqu'il en soit … À l'aube demain, plus personne n'entendra parler de la famille Jefferson ! »

Il démarra donc son engin, et avait donc fermé toutes les portes, laissant ses collègues sur la terrasse, en attendant de retourner près de sa moto. Après quoi, il l'avait enfourchée et se tenait prêt à partir, en direction de l'appartement du gamin, qui logeait sur Harvey Road.