James Miller && Ashley Seaver

A chaque minute nous sommes écrasés par l'idée et la sensation du temps. Et il n'y a que deux moyens pour échapper à ce cauchemar : le plaisir et le travail. Le plaisir nous use. Le travail nous fortifie. Choisissons. ♠ Charles Baudelaire

Il devait être un peu plus de vingt heures trente quand Ashley put enfin pousser la porte du bar, exténuée. Elle resta quelques secondes sur le pas de la porte, à observer les sourires des personnes présentes. La journée qu’elle avait eu l’avait mise à Plat avec un grand « P ». Généralement, elle n’avait pas beaucoup de travail, vu qu’elle n’était qu’apprentie : malheureusement, aujourd’hui, ça avait été le contraire. Pas d’enquête à l’horizon, mais des piles et des piles de dossiers. Que Strauss lui avait gentiment donné disant qu’elle pouvait passer à la vitesse supérieure vu qu’elle rendait toujours tout en temps et en heure. Malheureusement, elle risquait d’être lâchée face à autant de dossiers. Elle avait été habituée à devoir en remplir beaucoup grâce à Bradford (même si elle refusait de l’avouer, elle lui devait beaucoup), maintenant elle devait faire des profils et c’était nettement différent. Elle adorait ça. C’était le plus inquiétant, ça ne la dérangeait pas de passer des heures en plus au bureau pour terminer. Elle devait être masochiste. Elle passa, par automatisme, une main dans ses cheveux blonds, et soupira. Elle n’allait pas rester des heures, elle devait se reposer. Elle avait juste envie de voir autre chose que des cadavres en morceaux, de la paperasse ou ses collègues, aussi gentils soient-ils. Elle avait besoin de voir, et de savoir, que tout le monde n’étaient pas des psychopathes, sociopathes, pédophiles, ou n’importe quel autre criminel. Que certaines personnes vivaient une vie normale, persuadés qu’ils ne risquaient rien parce qu’il y avait le FBI juste à côté. Pourtant… Pourtant personne n’est à l’abris du danger, et si Ashley avait appris quelque chose là-bas, c’était bien cela. L’illusion de sécurité. Personne n’a jamais été dans un endroit où il n’y avait pas de risque. Secouant légèrement la tête comme pour chasser ses pensées, elle se dirigea lentement vers le bar pour prendre quelque chose à boire, n’importe quoi, quelqu’un la bouscula (ou elle bouscula quelqu’un, elle ne fit pas attention) sur le chemin. La personne en question ne lui adressa aucune excuse, et elle laissa tomber l’histoire. S’asseyant sur un des tabourets, elle commanda une limonade (elle ne supportait pas l’alcool, donc elle préférait ne pas en boire) et en attendant sa commande, elle entendit quelqu’un l’interpeller. Se retournant légèrement, elle découvrit un homme, qui lui semblait familier. C’est après quelques secondes d’une grande réflexion qu’elle comprit que c’était celui qui l’avait bousculée. Il n’avait pas l’air gentil et surtout, faisait deux fois sa taille. Elle n’avait jamais été grande, ce qui lui valait parfois les moqueries de ses collègues qui se demandait comment une femme aussi petite et mince pouvait arrêter les plus grand tueurs en séries (bon, elle exagérait peut-être un peu, pas les plus grands) des États-Unis. Elle ne leur répondait jamais, elle se ridiculisait. Elle n’avait même pas d’arme. Pour plusieurs raisons, assez gênantes. Mais elle s’en fichait, on ne devait pas forcément avoir une arme pour tuer quelqu’un. Du moins, c’est-ce qu’on vous racontait à l’académie du FBI. Cependant, elle en doutait. Comment pouvait-on mettre quelqu’un hors de nuire autrement qu’en le menaçant ? Quand on ressemblait à Derek Morgan, elle pouvait comprendre, mais elle… Elle n’impressionnait personne.
Toujours est-il que l’homme en face d’elle avait les sourcils froncés, et semblait assez vexé. Qu’en pouvait-elle ? C’était lui qui lui avait foncé dedans, elle n’avait pas à s’excuser ! Elle n’avait vraiment pas envie d’avoir affaire à un conflit aujourd’hui. Après sa journée, elle voulait juste s’asseoir tranquillement et oublier tout ce qu’elle voyait, elle n’avait vraiment pas envie de se disputer avec qui que ce soit. Laissant un léger soupire filtrer à travers ses lèvres, elle tenta de s’excuser, d’un voix non seulement exaspérée mais aussi désolée.

- Je ne voulais pas vous faire mal… Je ne regardais pas où j’allais… dit-elle, en remettant une de ses mèches blondes derrière son oreille.

Ça ne sembla pas calmer l’homme, qui s’approchait déjà. Elle aurait pu sortir sa plaque, mais elle ne voulait pas s’en servir comme d’un avantage, donc elle le laissa faire sans intervenir. Néanmoins, elle ouvrit des grands yeux. Elle voyait bien plus imposant à la BAU... Mais en photo. Et là, c'était réel.

Le jardinier avait fini son travail depuis un bon moment déjà, n'ayant plus rien à faire il fit un tour, il était aller se balader il avait fait un petit tour à la salle de musculation, puis en fin de journée il partie au bar à coté, après tout James n'avait rien à faire pourquoi pas aller boire un verre et qui sait trouver quelqu'un à tuer. Quoi qu'il en soit vingt heure James commanda une bonne bière vous savez les gros chope de un demi litre, et bien voila ce qu'avait commander James il se pas sur une chaise au comptoir et se mis à regarder la télé, quand verre trente minute plus tard, James tourna la tête pour voir qui c'était, une petite blonde, aller savoir pourquoi quand il la vit il Eure des envies de meurtre, plus que sa il voulez la tuer.

La jeune femme s’avance doucement puis vient un homme de l'autre coté, l'homme l'avait rentrer dedans James l'avait bien vue, l'homme c'était bien décaler d'au moins un mètre pour qu'ils se percute, voleur ? Non mais bourrée voulant se battre oui, ni l'un ni l'autre s'excuser, la jeune femme se posa juste à la chaise à coté de James puis commanda une limonade, en la regarda stupéfait James pris une autre gorgée de sa bière, puis se retourna en direction de la télévision.

quelque minute après l'homme était de retour encore plus bourrée, décidément il aller pas bien celui la l'homme ivre mort la regarder d'un air menaçant, James vit la jeune femme s'excuser, la c'était trop pour James il en avait marre de se taire, il se leva violemment faisant tomber la chaise et se mis en face de c'est deux personne.

-Ne vous excuser pas je l'ai vue se mètre sur votre trajectoire pour que vous lui rentrer dedans, c'est juste un mec qui vient chercher la merde.
-Quoi mais pour qui vous vous prenez vous. rétorqua l'homme.
-Mais ferme la toi sa se voit que tu est bourré.
-Tu va te barrer et nous laisser régler nos affaire c'est claire?
-Et si tu te battait contre quelqu'un de ta taille? à ce moment James se rapprocha de l'oreille du bourrée puis puis murmura de façon à que seulement l'homme entend ce qu'il avait à dire
Un conseil si tu veut rester en vie barre toi, ou bien tu préfère que je te fasse bouffer le petit truc que tu à au font du slip?
-Hein mais tu ma dit quoi j'ai rien compris
-bon cette fois y en à marre ... James pris sa chope de bière et l'explosa sur la tête du bourrée.
Serveur redonner moi la même chose, je vous payerez le chope de bière, et virer moi cette raclure d'ici...

James repris sa chaise et se mis à boire sa nouvelle bière.

Ashley qui, pétrifiée, n’avait pu qu’assister à la scène, avait arrêté de respirer sans le vouloir. Elle ne reprit de l’air que lorsque l’homme qui l’avait défendue se mit à ses côtés. Le barman, après avoir servi à son « sauveur » sa bière, mit dehors l’homme, qui, saoul, hurlait qu’il n’avait pas dit son dernier mot. Et le calme revint sur le bar, comme si rien ne c’était passé. Mais pour la jeune femme blonde, tout se rejouait encore et encore dans sa tête, sans comprendre pourquoi on avait pris sa défense, pourquoi on lui en avait voulu. Elle plongea son regard de méthane dans son verre, avant de se rendre compte qu’elle n’avait même pas remercié l’homme à ses côtés. Se tournant vers lui, elle ouvrit la bouche, mais aucun son ne sortit. Qu’aurait-elle fait s’il n’avait pas intervenu ? Elle n’aurait pas cassé son verre de limonade sur la tête de cet homme, si ? Elle serait certainement partie en courant. Puis serait revenue payer son verre. Jouant avec son verre d’une main, elle finit par prendre la parole, incertaine de la façon dont elle devait le remercier.

- Je… Merci d’avoir pris ma défense…

Elle se mordit la lèvre inférieure et ferma les yeux, pour ne pas affronter le regard de l’inconnu. Elle faisait aussi la moitié de sa taille et de son poids. Sauf que lui, c’était des muscles. C’était encore pire ! Rouvrant les paupières, son regard toujours sur son « héros », elle ne sut quoi ajouter et se tourna face au comptoir pour boire une gorgée de sa limonade. Elle remarqua distraitement que le barman avait mis des cacahuètes entre eux. Elle grimaça. Elle se souvint d’une conversation qu’elle avait eu avec Reid qui lui avait dit que c’était dégoûtant de manger cela, car une récente étude scientifique avait prouvé qu’il n’y avait pas moins de quatorze traces d’urine dans les petits bols qu’on vous servait. Elle lança un regard dégoûté à un homme qui s’en empiffrait, et préféra ne pas y toucher. Elle remercia silencieusement son collègue, et se promit de le faire réellement demain au bureau. Dans un élan de courage, elle se tourna à nouveau vers son voisin, et lui tendit une main qu’elle voulait amicale ou/et chaleureuse. Un léger sourire sur les lèvres, elle le fixait maintenant en essayant de mémoriser les traits de son visage. Elle n’était pas physionomiste, et si elle le croisait dans la rue, elle ne le reconnaîtrait pas. Autant essayer de se souvenir de lui…

- Excusez-moi. Je suis désolée de vous avoir embarqué dans toute cette histoire… Je m’appelle Ashley. Ashley Seaver.

Avec sa main libre, elle bu une gorgée de son verre, sans quitter du regard l’homme qui lui faisait face.

Encore sur les nerfs James se retenez frapper un violant coup histoire d'exprimer sa colère, mais non il avait réussis à ne rien faire, quoi qu'il en soit il se retourna de nouveau face à la télé en voyant que le programme avait changer, il se remis donc face à la jeune blonde, qui aller savoir pourquoi était la à le regarder la bouche ouverte. d'un coup James n'ayant rien d'autre à faire bue entièrement sa chope de bière, on pouvez dire qu'au lieux de faire un truc stupide devant tout le monde il avait décider de faire autre chose pour oublier, quoi qu'il en soit la jeune femme se mis à parler c'est surement pour sa qu'elle avait la bouche ouverte tout à l'heure elle ne devez pas arriver à parler. Elle disait d'une voix frêle remercia de l'avoir défendue.

-Inutile de me remercier, ce type est un lâche faut vraiment être déranger dans sa tête pour s'en prendre à des innocent, surtout si il ne peut pas se défendre.

James disait exactement le contraire de ce qu'il pensée, après tout si il avait réagit c'est car il voulez pas que quelqu'un d'autre s'occupe d'elle, son premier but c'était de la tuer, mais bien sur il n'est pas fou pas devant tout le monde alors il n'avait pas le choix de l'aider. Mais elle ne le voyait pas autrement d'ailleurs tout le monde le voyait autrement, on pouvez croire que ce que l'on venez de voir c'est à dire, quelqu'un qui ne supporte pas les lâche dans ce genre, mais ça c'est quand on ne le connais pas, après tout comment pouvez on devinez que le type qui venez de vous "sauver" n'est rien d'autre qu'un psychopathe fou qui ne cherche qu'une chose, vous tuer.

Quoi qu'il en soit elle tendis sa main en direction de James surement pour le remercier, donc James polie et aussi pour pas qu'elle se doute de quoi que se soit lui serra la main. Elle lui fit un sourire puis s'excusa de l'avoir mis dans cette histoire, mais après tout c'est pas elle qui ait créée l'histoire mais l'homme ivre mort d'ailleurs il serez mieux mort que ivres se dit il discrètement dans sa tête, puis ensuite elle se présenta sous le nom d'Ashley Seaver, James se présenta à sont tour.

-Moi c'est James Miller, enchanter de faire votre connaissance Mademoiselle Seaver, mais j'ai juste une chose à vous dire, je préfère que vous me tutoyer.

Quand il lui serra la main, son sourire s’agrandit et elle la laissa quelques secondes dans la sienne avant de la poser sur son jean. Elle prit son verre et but une gorgée de la limonade en essayant de trouver un sujet pour entamer une conversation. Elle cherchait quelque chose qui pourrait plaire à tout le monde, et qui pourrait intéresser tout le monde aussi. Elle n’avait pas envie de gaffer, comme à son habitude, et sortir un sujet que beaucoup trouveraient ennuyant et sur lequel il s’endormaient. C’était comme ça, elle avait du mal avec les autres. Elle était assez renfermée, en plus de ça, ce qui n’aidait pas car soit elle ne parlait pas, soit elle disait des choses inintéressantes. Elle savait juste communiquer correctement avec ses collègues et les victimes, qui la comprenaient parfaitement. A croire qu’elle ne savait parler qu’avec un nombre réduit de personnes… Et encore moins avec les gens qui passaient dans la rue. C’était assez paradoxal, de se dire qu’elle savait parfaitement réconforter un enfant dont les parents ont été enlevés, et qu’elle arrivait à peine à aborder quelqu’un qui n’est on ne peut plus normal. Mais aussi, cet homme… James, l’intriguait.

- Pas de problèmes… Tu dois me tutoyer aussi, alors…

Elle lui lança un sourire et se tourna à nouveau vers le bar, où le barman s’activait. À ranger les verres propres, à laver les sales et le comptoir, ainsi qu’à servir les clients. Elle compatit, il semblait vraiment débordé. Un ange passa entre les deux personnes, et c’est dans un mouvement brusque qu’elle se tourna vers lui, envoyant ses longues vagues blondes dans son dos. Pourquoi ? Simplement parce qu’une idée venait de lui traverser l’esprit, et qu’elle allait lui poser une question avant qu’elle ne l’oublie. A vrai dire, c’est en essayant de retrouver le chemin pour retourner chez elle qu’elle s’était souvenu qu’elle n’était pas là depuis longtemps. Et lui ? Ce n’était pas une grande question, mais elle ne trouvait rien d’autre.

- Vous… Tu habites à Quantico depuis longtemps ?

Il lui faudrait un moment pour apprendre à tutoyer cet homme. Elle avait déjà eu du mal avec les profilers. C’était tellement impressionnant un profiler, elle ne pouvait pas s’empêcher de les appeler « vous » malgré qu’ils insistent pour qu’elle dise « tu ». C’était plus fort qu’elle. Et ça avait valu plusieurs fou-rire à Morgan, qui se moquait constamment d'elle. Gentillement, bien sûr.

La discutions était ceste pas intéressante mais le but de James n'était pas d'avoir une discutions importante mais de tuer cette personne, enfin c'est plan était perturbé par l'attente, d'habitude une personne qui entre dans un bar pour une limonade ne reste que peu de temps mais la elle rester et même chercher des sujet de conversation, c'était plutôt énervant rester la à parler alors que son seul but était de la tuer, mais c'était compliquer. Sa commencer à l’obséder il se passer qu'une chose dans sa tête ... la tuer, la tuer, la tuer, voila ce qui se passer dans sa tête, sa le perturber tellement qu'il voulez commander une autre bière, mais il ne voulez pas non plus car il serez obliger de la finir. Elle accepta de le tutoyer mais à une condition, qu'il en fasse de même.

-Très bien tutoyons nous alors.

Il disait sa d'un ton plutôt ironique après tout il ne compter pas la tutoyer longtemps son seul but, était de la tuer et de jouer avec c'est organes. James regarda autour de lui rien ne se passez, il y avez juste des gens qui venez la habituellement, entre potes ou bien même seul juste pour se bourrée la gueule, le serveur lui il laver, ranger , sers les client quoi, quand à Ashley et bien James ne savait pas trop ce qu'elle faisait mais aller savoir pourquoi un moment elle se retourna d'une telle vitesse que c'est cheveux vienne se frotter sur le dos de James, à se moment la il se retourna pour voir ce qu'elle voulez, elle lui demandea depuis combien de temps il habiter à Quantico.

-Depuis ma naissance, tu doit pas travailler loin d'ici pour venir juste ici pour une limonade, tu travail dans quoi?

Sa n'avait aucune importance pour James sa seul intention était de la tuer comme je fait que de le répéter, mais quoi de plus normal vue que il voulez juste sa, la seul chose qu'il voulez savoir c'est quand il pourrez enfin la tuer, ce qui arrive à James c'est comme si on accrocher un junkie en manque face à sa drogue, et bien imaginer que James c'est le Junkie et que Ashley c'est la drogue, la seul différence c'est que James lui est pas attacher.

Elle remarqua que, malgré ses efforts et ses réflexions intenses, il semblait totalement s’ennuyer de la conversation, jusqu’à en être exaspéré. Secouant frénétiquement sa jambe droite (simulation de fuite), elle essaya de trouver un sujet qui lui plairai. Mais quoi ? Elle n’allait pas lui parler de l’incident qui s’était déroulé quelques minutes auparavant, si ? C’était déjà assez gênant, de faire partie du FBI et de ne pas savoir gérer une simple anicroche comme celle-là ! Se tournant à nouveau vers le comptoir, elle n’osa pas le regarder dans les yeux. Ses cheveux blonds cachant une partie de son visage, elle semblait vouloir éviter l’homme à ses côtés, James. Elle faisait tous les efforts du monde pour être sympathique (ce qu’elle n’était pas de nature, oui) ! Elle « touilla » sa limonade dans son verre avec la paille que le barman avait mis dans celui-ci, s’amusant du bruit qui faisaient les glaçons en s’entrechoquant contre les parois. Au moins, elle pensait à autre chose que sa gêne et son manque total de sujets de conversation. Des tas de choses sur les tueurs lui venaient à l’esprit, mais elle n’allait pas aborder ce sujet avec un parfait inconnu ! Quand il lui demanda dans quoi elle travaillait, un fin sourire ses dessina sur ses lèvres cerise, et elle osa tourner légèrement la tête dans sa direction, enlevant son regard de sa boisson. Bien, déjà, elle se faisait profiler par quelqu’un. En tout cas, c’était un peu le cas. Laissant un soupire filtrer à travers ses lèvres, elle prit soin de conserver néanmoins son sourire. Se tournant alors entièrement vers James, elle finit enfin par dire :

- Je travaille au FBI… Au département d’analyse du comportement, je fait les profils de tueurs en série… Tout ça, c’est mon truc. ajouta-t-elle, comme pour expliquer son manque de sujets.

Elle remit les manches de son pull blanc en place, une mèche de cheveu derrière son oreille, avant d’ajouter :

- Je ne suis qu’apprentie mais… C’est assez gênant de dire ça quand on a pas su gérer un simple problème avec un type saoul.

Concentrant ses yeux sur un point derrière James, pour ne pas l’affronter dans les yeux, elle lui sourit tout de même. La fatigue commençait à se sentir, surtout qu’elle ne s’était pas droguée au café aujourd’hui. Elle avait été tentée. Mais elle avait résisté et avait pris un thé et de l’eau (quelle prouesse !). Elle sentait, en résultat, à présent, complètement exténuée et s’étonnait de ne pas s’endormir. Elle n’attendait qu’une chose : son lit. Se jeter dedans, sans prendre le temps de mettre son pyjama, et s’endormir. Se réveiller le lendemain à six heures pour partir au travail… La routine s’installait ? Non, son métier changeait chaque jour. C’était ça, l’avantage.

Un meurtre c'est tout ce que James demander, il en avait les poing fermer et les jambes qui bouger tellement qu'il était en manque? Oui c'est sa il était en manque de sang, de crie, de personne qui le supplier de ne pas les tuer, puis qui ensuite les supplier de les tuer justement, pourquoi elles le supplier de les tuer? Vous avez jamais souffert à un telle point que vous serrez prêt à tout pour que sa s’arrête, et bien la les victime souffrent tellement qu'elle le supplier de mètre fin à leur souffrance, enfin dans les rare cas ou les victimes suivrez jusqu’à ce point James la laisser souffrir et il partait en les laissant en vie, mais bien sur elles ne rester pas longtemps en vie vue l'état dans le quelle James les laisser, à vrai dire il leur fallait pas longtemps pour que les victimes succombe à la douleur.

Quoi qu'il en soit James était la face à elle la fixant jouer avec des glaçons, la regardant sourire puis soupirer mais en gardant son sourire elle se mis regarder sa main puis à le regarder pour lui dire ... Non impossible, une si petite personne qui travailler au FBI il ne pouvez pas en croire c'est oreille, il afficher sur son visage, un air clairement surpris, avec un léger soupçon de peur, aurez elle tout manigancer? Non impossible, comment ils aurez pue remonter jusqu'à lui, il était très soigneux dans c'est meurtre, il ne laisser aucun indice qui pouvez les faire remonter jusqu'à lui.

pour en rajouter une couche, elle préciser bien qu'elle était au département d'analyse du comportement, qu'elle faisait les profil des tueur elle ajouta même que c'était son truc... Non mais soit elle ne savait vraiment rien de James soit elle faisait tout pour faire craquer James. Elle ajusta son pull et sa coiffure avent d'ajouter qu'elle n'était que apprentie, mais que c'était gênant de dire ça alors qu'elle à eu besoin de l'aide de James pour maîtriser l'homme sous. Dans sa tête James lui disant, Bien alors pourquoi tu vient de vanter d'être du FBI si tu est gêner de ne pas avoir maîtriser sa tout seul! James essayer de se calmer.

"-Je ... Je doit y aller." en donnant les sous au barman, il se leva et alla en direction de la porte "- Désoler, je ne peut pas rester." Sur c'est parole James quitta le bar et rentra directement chez lui

[OUT: James rentre chez lui perturbé]