Quand, le passé ratrape le présent.

Déborah, en cette magnifique journée, lisais le WASHINGTON POST. Quand, soudain, Déborah fut attiré par un article dans ce journal qui raconté l'enquête relative à la découverte d'un corps mutilé et à moitié brûlé sur le site du mémorial des soldat américain mort au combat pendant, la seconde guerre mondiale. Alors, Déborah fut prise d'effroi en lisant, le nom de la victime car, Déborah le connaissait, sans jamais l'avoir rencontré. A une, époque, pas si lointaine, son père qui était alors, un agent spécial du FBI basé à Washington, lui avez parlé de cet homme si courageux et à la fois, si fragile par sa santé peu vaillante depuis, le 15 février 1938...

Oh, mon Dieu, c'est, pas possible, le pauvre vieil homme, il avait déjà tant, souffert et maintenant, ça!! C'est horrible!! C'est monstrueux!! C'est une véritable honte que dans notre pays, on puisse faire une telle abomination envers, un être humain et qui plus est à un si gentil vieillard!! Il était si malade alors, pourquoi avoir fait cela!! Il n'avait rien fait de mal dans sa pauvre vie sur cet foutu terre!!

Déborah fondit alors, en larmes sans pouvoir s'arrêté tellement, Déborah était bouleversé par cet article et se qui était arrivé à ce pauvre homme qui n'avait jamais rien fait de mal à personne de sa vie...

- Sutton, il va nous falloir de l'aide sur ceci.

Tel était ce qui me fut balancé sur le terrain d'enquête. Un vieillard mutilé, brûlé et on nous avait appelé en renfort pour tenter d'élucider cet acte digne de barbarie. Je relevais mes yeux noirs vers l'agent qui m'avait dit ça. Il voulait que je fasse quoi? J'étais pas magicien moi simplement un agent comme lui. On avait tourné autour du corps mouchoir sur la bouche, pour tenter de trouver un indice, un simple indice mais le dit meurtrier avait soit de l'expérience ou avait bien planifié son coup car on trouvait rien.

- Et tu veux que je fasse quoi? Que je te fasse apparaître des preuves? Désolé j'ai échoué mon cours de magicien. dis-je un peu rudement

Non mais pourquoi on me balançait des truc aussi cons aussi? L'agent me sourit en rigolant, ha ben génial! Maintenant il se foutait de moi!

- Si tu pouvais seulement. Non écoute, on a rien pas le moindre indice, pas la moindre piste et les journalistes vont vouloir un os pour gruger....

- Bien qu'ils attendent ses vautours...

- Jack, je t'en prie...

- Quoi?! On a un vieil homme bruler et pas de preuves... Dis-moi pas que c'est moi qui vais être attitré à une interview merde...

- Non, non, en rigolant toujours, j'aimerais que tu ailles voir cette femme. Elle a des dons particuliers et elle nous serait d'une grande aide.

Je baissai les yeux vers la carte et vit le nom Déborah J. Phillips. Non pas vrai il se foutait de moi? Moi les hurluberlus qui essaie de me faire croire à des dons ou que "les morts leur parlent" j'ai beaucoup de difficulté avec ça. Je relevais rapidement mes yeux de la carte pour toiser mon supérieur. J'aimais mieux affronter une horde de journaliste affamés que cette... comment dire... cette personne quoi.

- Non tu te fous de moi... Tu ne crois pas à ce genre de truc?

- Jack, vas-y... c'est un ordre.

C'est donc en grognant un peu que je fourrais la carte dans ma poche et me dirigeai vers la voiture, non sans avoir été arrêté au passage par des journalistes me hurlant des questions par la tête et que je répondais simplement "pas de commentaires". Arrivé à la BAU je coupai le contact et entrai dans l'immeuble. J'aimais pas trop les profilers, j'avais toujours l'impression qu'ils lisaient en moi et ça me faisait tout drôle. Comme c'est un bureau immense je dus demander la direction du bureau de Déborah qu'on m'indiqua avec un grand sourire. Ok soit les jeunes femmes qui m'ont donné la direction me trouvait mignon ou elle était vachement apprécié ici. N'empêche que je me dirigeai vers le dit bureau et je pris une profonde inspiration avant d'entrer en cognant doucement sur la porte ouverte.

- Agent Phillips? Je suis l'agent Jack Sutton on m'envoie pour....

Oups... elle pleurait la pauvre. Rapidement un regard sur le journal et je vis les détails de notre enquête sur son bureau. J'entrai timidement et posai mon regard d'ébène sur elle.

- Je suis désolé, je... je peux revenir plus tard...

Déborah entendit des pas et se retourna lentement, les yeux, encore embués de larmes et dit lentement, entre deux crises de larmes...

Bonjour Agent Sutton, ce n'est rien!! Merci, de vous être inquiété, c'est si gentil de votre part!! Je connaissais la victime!! Il s'agit de Jacob Perlman, c'est un rescapé du camp d'Auschwitz!! Mon père le connaissait car, mon grand-père, l'avait sauvait en décembre 1943 alors, que, Jacob Perlman, c'était enfuit du camp en pleine nuit et mon grand-père, l'avait retrouvé dans un champ près du camp!! Je sais que vous êtes sceptique mais, je ne suis pas que médium, je suis aussi, un agent de FBI comme, vous!! Le corps, présente-t-il, des caractéristiques spécifique qui pourrait nous orienté vers, un tueur en série ou un tueur psychopathe??

Ah bien déjà on avait un nom mon supérieur serait content de savoir ça! J'entrai donc dans le bureau en refermant la porte quand elle me spécifia que j'étais sceptique mais qu'elle était agent comme moi. Ok un coup de chance, les gens qui me connaissait savait que je croyais peu à ce genre de choses. Ok oui je crois qu'il y a quelque chose de plus grand que nous qui nous as mis ici sur cette Terre mais pour le reste... Enfin là n'était pas là la question. Je m'assied donc devant elle pour répondre à ses questions.

- En fait... le fait qu'il soit mutilé et bruler nous fait pensé soit à un règlement de compte ou un possible pyromane. Pour ma part vu son âge avancé je doute pour le règlement de compte.

Je croisai les mains sur mes genoux car avec ce qu'elle venait de me dire un règlement de compte prenait le chemin de la poubelle. Habituellement les survivants des camps de concentrations se faisaient discret.

- Saviez vous s'il était un militant des camps de concentrations ou encore en pour parler pour que les réfugiés aient une compensations? Ceci pourrait peut-être expliquer... ce geste.

Mais entre vous et moi s'attaquer à un vieillard pour une connerie pareille relevait simplement de la psychopathie...

Déborah le regarda exposé les fait et eu, soudain, une impression de déjà-vu!! Alors, Déborah prit la parole et demanda avec réticence à l'Agent Jack SUTTON...

Avez-vous vu les photos du ou le corps, lui-même?? Si oui, a-t-il deux marques au fer rouge qui ressemble à deux tatouages?? L'un en forme de croix gammée et l'autre en forme de poignard avec une rose rouge entrelacés et un aigle à deux têtes?? J'ai vu dans mon enfance une photo de la victime d'un tueur en série qui tatoué au fer rouge de ces symboles, c'est mon père qui enquêté sur cette affaire qui avait pour nom "Le tueur fou de Washington". Il y avait le même type de victime et c'est signé d'un groupe d'ancien nazi et famille de ces pourris, ce groupe à pour nom O. D. E. S. S. A.

Si j'avais vu le corps? Enfin ce qu'il en reste oui. De toute ma carrière j'en avais vu des atrocités et des trucs écoeurant à vous faire renvoyer votre déjeuner mais ça... C'était tout simplement dégueulasse. Jamais je n'avais eu autant de haut de coeur en enquêtant autour d'une victime. Enfin, je pinçai les lèvres et baissai la tête quelques secondes. En fait on avait trouvé très peu de choses sur le corps...

- Je... je ne peux vous dire madame, le corps est brûler presque totalement. Donnez-moi quelques minutes je vais m'informer à mon supérieur.

Je voulais bien aider mais s'il me manquait des éléments alors je tournais en rond. Quelques questions et informations plus tard je pus donner les informations demander.

- Bon alors, de se qu'il a pu voir il crois que oui il aurait deux tatouages. Il est entrain de prendre des photos qu'il m'enverra....

Comme je disais cela mon téléphone vibra dans ma paume. Je l'ouvris du bout du doigt et là devant moi les photos du corps calciné. Je tendis mon portable à Deborah les mâchoires serrées.

- Les voilà...

Déborah compris, à le voir, qu'il avait d'autre éléments. Déborah prit le téléphone et elle découvrit avec effroi les photos de la victime. Déborah ne put longtemps, retenir ses larmes...

Oh mon Dieu!! C'est si horrible comment, ils peuvent encore faire cela aujourd'hui!! C'est bien leurs tatouages de reconnaissance!! Cependant, je ne m'explique pas qu'ils aient attendu 70 ans, pour faire cela à un vieille homme rescapé du camp d'Auschwitz et qu'en pensez-vous Agent SUTTON?? Avez-vous une idée sur cette affaire outre, le fait, évident, qu'il s'agit, de psychopathes sanguinaires?? Une vengeance d'un ancien nazi ou d'un descendant, de cette engeance de pourriture peut-être, vous ne croyez pas??

Ah ben génial! On avait affaire à des connards de Nazis... enfin plus leur descendants car je doutes que certains aient encore le courage ou la force de faire ça. Et les questions qu'elle me posai je n'eus pas la force de lui dire le contraire.

- Ce que j'en pense? Que c'est un putin de lâche! S'attaquer à une homme de cet âge et purement et simplement un acte de lâcheté pour foutre un gros bordel pour rien. Désolé pour mon langage. Mais sinon je crois que c'est un descendant de comment vous avez dit... ODESSA? On a quelques sources qui nous informe qu'il y a quelques cellules dormante nazi qui commence ici au États-Unis. Donc... oui peut-être un acte de vengeance mais là encore.... Pourquoi j'en sais rien c'est un peu pour ça que je suis ici...

Déborah savait que sans plus, de preuves, elle ne pourrais rien prouvé. Alors, elle lui demanda calmement mais, avec une immense colère et un immense dégout de se qu'elle avais vu...

Je voudrais vous me disiez tout se que vous savez de ces groupe de nazi et si il sont répertorié à Interpol et à la CIA car, je ne sais pas si vous le savez mais, la CIA à la fin de la 2e guerre mondiale, avait recruté des nazi!! Comme, la victime n'avait plus de famille et n'avait d'amis à par moi et ma famille, voyez les victimes de la guerre qui sont toujours, en vie et leurs familles, ainsi que, les familles des victimes qui n'ont pas survécu à se cauchemar monstrueux qui est une honte pour l'humanité. Malheureusement, il n'ont pas tous payé leurs dette à la société mondiale de l'époque de la guerre et après, cette foutu guerre!! De même, pour aujourd'hui!!

Ouh la la... Visiblement c'était un sujet sensible pour la jeune femme de ce fait j'haussai un sourcil sans rien dire quelques minutes. Bon si elle avait été un enquêteur je lui aurait remonter les bretelles vu mon caractère impulsif mais là elle était agent tout comme moi et souvent nos sentiments étaient mis à rude épreuve.

- Nos informateurs sont de partout madame Phillips. Autant du FBI que Interpol ou la CIA donc inévitablement ils sont au courant. Ils ont infiltrés ses cellules dormantes pour mieux nous informer et ainsi agir quand se sera trop... disons explosif. Bon je sais que là c'est quand même urgent mais on a aucune preuve. Ça ne ressemble à rien de ses cellules dormantes d'ailleurs...

Je me replaçai sur ma chaise car sérieusement je me demandais ce qu'elle pourrait nous apporter de plus que ce que nous, nous ne trouvions pas.

Déborah lui sourit et puis, soudain, elle put retenir les larmes monté de son pauvre cœur brisé par ce crime odieux qui avait été commis, par monstres doué d'un cruauté innommable. Alors, elle put lui dire dans cet crise de larmes...

Je ne l'ai jamais dit à personnes, ni à mes amis(es), ni à mes collègue de boulot mais, je suis née de religion juive par ma mère car, sa famille étaient de culture et de religion juive d'Europe de l'est. Alors, je suis enragé quand, je vois des crimes aussi monstrueux. De plus, mon grand père, ma raconté les torture qu'il avait subis par la main de ces salopards de taré de nazi ou la descendant. Par ailleurs, je suis sûre que nous allons trouvé des preuves contre le ou les coupable(s), quels qu'ils soient, Américains ou allemands arrivé en Amérique ou vivant en Amérique.

Je toussotai un peu mal à l'aise mais touché de voir que l'agente me faisait confiance et me fasse quelques confidences mais pour ma part j'étais catholique mais loin d'être pratiquant. Je respectais ceux qui croyaient et pratiquait mais pour moi ça me prenait du tangible. Oui trop cartésien que voulez-vous.

- Je suis touché que vous me faites part de ça madame mais le temps presse. On doit trouver des preuves. Mon équipe attend d'ailleurs que vous nous aidiez, c'est le but de ma venue. Vous voulez que je vous conduise sur les lieux ou vous préférez faire ça... enfin ici.

En même temps comment elle pourrait nous aider si on restaient assis ici?

Déborah pleura à nouveau et lui dit avec une immense gratitude...

Je vous remercie vraiment, vous êtes un anges de bonté!! Puisque, vous connaissez les lieux du crime, pourriez-vous m'emmené, sur les lieux du crime pour que je puisse voir se qui en est et je voudrais aussi allé voir le corps de la victime à la morgue!! Qui sait, j'aurais, peut-être des flashs!! On ne sait jamais. D'autre part, pourriez-vous téléphoné à Interpol et à la CIA, pour accéléré les choses et confirmé que comme, je vous le disais, la CIA est bien noyauté par l'O. D. E. S. S. A depuis, 1946!! Quand, à moi, je vais tenté de profilé se criminel sanguinaire, de moins, je vais essayé de le faire se qui ne sera pas chose facile, vous savez car, c'est éprouvant d'entré dans la tête de ce genre de saloperie de criminel psychopathe de merde!! Bref, la pire engeance qui soit sur cette foutu terre!!

Moi un ange??? Je haussai un sourcil car c'était bien le dernier qualificatif qu'on me trouvais. Gentil, attentionné, bon ok mais un ange?? Même Nolène aurait éclater de rire en entendant ça. Enfin je ne dis rien et la remerciai d'un sourire.

- Alors suivez-moi je vous conduis sur la scène de crime.

Je la laissai passer devant pendant qu'elle fulminait de rage. Et après on dit que je suis grande gueule! Je me pinçai les lèvres en retenant un petit rire. Comme quoi être impulsif et/ou grande gueule était un pré-requis au FBI. Je pris mon téléphone et parlai avec mon supérieur pour qu'il contacte les informateurs et superviseurs de la CIA et Interpol à propos d'ODESSA. Une fois fait je grimpai dans ma voiture Deborah à mes côtés et pris la direction de la scène de crime.

- Je suis mal placé pour dire ça mais... Vous devez vous calmez un peu sinon enfin.. vous ne serez pas objective.

Je lui jetai un regard en coin car sérieusement je servais le même conseil qu'on me disait depuis mon entrée ici.

- Ne vous fâchez pas on me l'a servit à toutes les sauces ce conseil. dis-je avec un sourire

Déborah fulminé de rage car, ceux que son grand-père et son père avaient combattu pendant, la guerre existé encore aujourd'hui, et en pire grâce à la nouvelle technologie. Déborah sourit à Jack car, Déborah savait qu'il avait raison dans tout se qu'il lui à dit et cela la rendait si confuse de s'être si mal conduite devant, lui. Alors, Déborah, lui dit...

Agent SUTTON, je vous remercie infiniment, pour votre prévenance et vous avez entièrement, raison!! Je suis extrêmement, nerveuse de nature et en plus, à cause de cette affaire qui me touche personnellement, je suis extrêmement, à cran en ce moment, vous savez!! Cela rappel les heures les plus sombres de la 2e guerres mondiale, en Europe de l'est principalement, les crimes et les pilages, les morts qui ont été retrouvé et les vivants qui ne feront que survivre jusqu'à leurs morts libératrices.

- Je vous comprends ne vous en faites pas.

Je lui fit un petit sourire avant de retourner à la concentration de la route. Le chemin se fit quand même rapidement et je vis toujours la même horde de journalistes vautour qui étaient derrière le ruban jaune. Je fis passer Deborah devant moi toujours en ayant mon air fermé et presque de chien de garde en disant seulement des "Pas de commentaires pour l'instant". Enfin nous voici à la place où le pauvre homme a été brulé et mutilé. Je regardais le ciment noirci par le feu et encore quelques débris dont je ne voulais absolument pas savoir ce que c'était.

- C'est là agent Philips.

Que pouvais-je dire d'autre? Je restai en retrait la laissant se concentrer et voir si elle ne pouvait pas en tirer quelque chose... même si sérieusement je croyais à du gros foutage de gueule. Oui bien quand on est rationnel...

Déborah regardé avec dégout toute l'horreur de se qu'elle avait sous les yeux et tout en se retournant, Déborah dit à l'Agent SUTTON...

Se n'est pas possible, se n'est pas possible... Pas lui!! Pourquoi, lui?? Pourquoi, se sont ils servis de lui?? Il était juif bon sang!! Ils n'en avaient pas le droit!! Les Allemands se sont servis de Jacob comme, kapot, c'est-à-dire, comme, chef de baraquement juif. Tout le monde le savaient et personnes n'a rien fait!! C'est monstrueux que le monde ai fermer les yeux de cette façon devant, un telle massacre de mondiale!! Mon Grand père et mon père ne le savait pas et moi non plus et si je ne venez pas de le voir et que l'on me l'avez dit, je n'y aurais pas crus du tout connaissant cette homme adorable qu'était l'ami de mon arrière grand père Jacob!!

Ouais bien on pouvait pas dire qu'elle était pas expressive et surtout sous le choc. quand elle me demanda pourquoi lui, pourquoi lui avoir fait ça je la regardai simplement en haussant les épaules. Si je le savais... je ne serais pas ici surtout et pas de boulot. Je pinçai les lèvres et jetai un oeil vers mes collègues qui remplissaient leurs carnets silencieusement.

- Agent Philips, je sais que c'est difficile pour vous mais euh... Je ne veux pas vous presser mais plus vite nous éluciderons ce crime plus vite nous aurons nos réponses.

Je plongeai mon regard dans le sien voyant si elle me comprenait. Personne ne voulait être ici et le légiste fermait les portes de son camion et venant me voir pour me dire qu'il allait à la morgue avec le cadavre. Je fis un mouvement de la tête et me retournai vers Deborah.

- Agent Philips, je ne peux répondre à vos questions car les nazis peut importe où ils sont n'ont qu'un but. Éliminer la race mineure pour avoir une race arienne. Donc ceci inclut les juifs et toutes les religions ou presque et en passant par ceux qui s'oppose à leur idéologie. Donc Vous, moi et tout les autres des forces de l'ordre sont aussi un obstacle à ce qu'ils souhaitent. Et pour arrêter ses p'tits cons il faut nous dépêcher.

Déborah voulais expliqué à l'Agent Jack SUTTON se qu'elle avais vu et qui était l'assassin mais, Déborah savais que l'Agent Jack SUTTON ne l'a croirait peut-être pas. Alors, Déborah dit à l'Agent Jack SUTTON, avec des sanglots dans la voix...

Jacob était un Kapot c'est-à-dire, un juif qui était manipulé par les allemands pour qu'il tuent et brûlent, enterrent les juifs, les handicapés, les polonais, les homosexuels. Je pense que notre assassin est un survivant, un fils ou petit-fils et le tatouage serait du coup plutôt, une véritable humiliation pour rappelé se qu'il à fait pendant, la guerre et le fait, qu'il est né juif de confession judaïque et nous mettre du coup sur une fosse piste. J'ai vus un patronyme Moshe Stein. Avez-vous quelques chose sur lui?? Au sujet de la CIA avez-vous des nouvelles??

Les sanglots étouffait sa voix et sérieusement ceci me mit un peu mal à l'aise. Déjà que j'étais désarmé quand Nolène pleurait imaginez une inconnue!! Je me raclai la gorge pour répondre à ses question.

- Je penche plus pour un petit-fils ou encore un descendant. Mais pour le Moshe... machin truc non je sais pas ce que c'est. Mais je peux demander qu'on se renseigne. Et pour la CIA je viens de les joindre alors non je n'ai pas de nouvelles sauf celles qu'ils allaient vérifier de leur côté.

Je mis mes mains dans les poches car moi rester sur une scène de crime et me tourner les pouces j'aime pas trop, j'aimais que ça bouge, de sentir l’adrénaline courir dans mes veines... Donc en gros je m'emmerdais solide!

- Écoutez agent Philips, je ne veux pas vous brusquer mais on doit bouger un peu si on veut que cette enquête avance. Vous avez autre chose à faire ici?

Déborah vit l'embarrât de l'Agent Jack SUTTON et se décida à rentré au Bureau du FBI. Alors, elle lui dit calmement et avec douceur...

Je pense que je pourrais avoir des renseignements plus conséquents, par, des sources parallèles par des amis(es) de fac de droit, par des amis(es) de père ou de mon
grand-père. Peut-être, aussi, par le Museum de la Shoah à Washington. Vous comprenez, l'assassin culpabilise pour les six millions de morts de seconde guerre mondiale car, il y a été impliqué!! Il ne s'agit donc, pas d'un allemand comme, je le pensé mais, d'un juif!! Quand, je serais à mon bureau, passerais quelques coups de fils pour glané quelques informations sur notre victime et sur notre assassin!! Je vous tiendrais au courant, de se que pourrais trouvé de plus sur lui!!

((HRP: Dsl de l'attente :/))

Je la laissai m'expliquer sa théorie en hochant simplement doucement d ela tête. Sa suite était logique et je ne pouvais le nier tout se tenait. Cependant pourquoi là? Pourquoi maintenant? Est-ce qu'il y avait des cellules dormantes qui faisaient une brève apparition et c'était leur moyen de se faire voir? Puis entre vous et moi comment savoir ce qui se passe dans la tête d'un détraqué?

- Bien je vous ramène à la BAU et je fais une enquête de mon côté.

Je fouillai mes poches et pris les clés du VUS noir aux vitres teintées quand je stoppai un moment en tripotant les clés entre mes doigts.

- Au fait vous vouliez aller à la morgue non? On peu s'y arrêter en passant...

Pas que j'adore aller là mais ça faisait partie de mon boulot et elle me l'avait demande run peu plus tôt.

Déborah voulant le remercié et ayant, repris, ses esprits. Déborah lui dit calmement mais, avec une très grande difficulté mais, malgré tout avec sincérité...

Je vous remercie Agent Jack SUTTON et oui, je voudrais bien, si cela est possible, voir la victime en face car, cela pourrait m'être utile dans mon enquête. Au fait, j'ai appelé le Mémorial de la Shoah à Washington et ils m'ont mit en relation avec le Mémorial de la Shoah à New York et ils m'ont parlé plus en détaille de se système de Kapo!! Mais, vous qu'avez-vous pour moi?? S'il vous plait!! Je sais que je vous en demande vraiment, beaucoup pour un Agent aussi émérite que vous!! Pour ma part, je pense à un tueur en série extrêmement, particuliers!! Quand, pensez-vous?? Je vous remercie de m'aidé si gentiment et avec tant, de compassion pour et pour les autres!!

Je lui sourit doucement. Elle semblait sincère et puis.. je ne faisais que mon boulot. On me demandait, j'obéissais mais là j'avoue que ce meurtre était assez bizarre. Un rescapé des camp assassiné par des nazis en cellules dormante étaient assez bizarre. Un descendant de cet allemand qu'elle m'avait parlé? Possible. Surtout s'il avait montré une détermination et un air farouche possible qu'il ai parlé de cet homme à ses descendants qui démontrait la même ligne de pensée que lui. Alors pendant qu'elle me posai la question je tripotais le porte-clé me demandant si mon hypothèse était logique...

- En fait ce que je pense c'est que cet allemand que vous m'avez parlé ai exposé ses théories nazis à un petit-fils ou une petite-fille qui pensait comme lui. Bien que je doute que les crime soit fait par une jeune femme, on ne peut écarter cette possibilité. Donc si cet homme a démontré un air de défi ou simplement une force en lui il se peut que se nazi c'est rappelé de lui. Et puis bon ses descendants de le retrouver et quelqu'un de sa famille de le tuer. C'est tiré par les cheveu mais c'est la seule hypothèse qui me semble plausible.

Je plantai mes yeux noirs dans les sien peut-être en quête d'une affirmation en se sens. Je priai pour que mon portable sonne rapidement car nous devions avoir ses informations rapidement.

- Allez, on va à la morgue ils doivent nous attendre.

Je grimpai dans le véhicule et attendit qu'elle s'installe avant de prendre la route. Chacun étions dans nos pensées et dans nos théories et hypothèse mais e ne pouvais m'empêcher de me dire que cette femme savait faire enfin une sorte de visualisation spirituelle. Mon esprit rationnel arrivait à peine à comprendre.

- Mademoiselle Philips, je suis quand même disons... surpris qu'une femme tel que vous qui "prévoit" l'avenir arrive à... comment dire à bosser malgré ses visions.

Je risquai un oeil vers elle mais me reprit car mes mots pouvaient être mal interpréter.

- Désolé je me suis mal exprimé. En fait c'est que moi personnellement j'ai beaucoup d emal à y croire. Je suis peut-être trop rationnel....

Déborah entra dans le véhicule et sorti de ses pensées. Déborah répondit alors, avec difficulté et tristesse...

Je suis désolé que vous ne puissiez comprendre se qu'il passe. Pardonnez-moi. Je vous en supplie. Je vous apprécie tant, Jack.

Soudain, le téléphoné de Déborah se à sonné et Déborah décrocha alors. C'était un message d'une amie de son grand-père. Elle s'appelle Rachel STEIN la Conservatrice du Mémorial de la Shoah à New York...

* J'ai vu l'article sur se pauvre bougre et je doit te parlé absolument. Il y a un problème. Il n'est pas juif l'assassin. Je me suis rappelé que j'avais vu petite un soldat lui tatoué un numéro et il ne pleuré même, pas au contraire, il ne caché même, pas. De plus, il parlé allemands encore mieux, que le Commandant du camp de Dachau. Je crois qu'il s'appelle Hans Gruber. Je te vois dans une heure au Washington Mémorial au Cimetière Arlington. *

Déborah se tournant, vers, Jack, lui, tendit son téléphone en lui disant...

Quand pensez-vous Jack. J'ai besoin de votre avis mais, pendant, se temps allons à la morgue. On aura peut-être des infos intéressante.

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