Nick se ballade dans la rue au paravent il était déjà aller voir sa vrai mère, un moment plein d'émotion. Pendant qu'il parler Elle lui dit qu'il avait une sœur qui ne connait pas son existence, quand Nick voulue parler de son père biologique elle changea de sujet bien sur Nick ne savait rien de sa vrai famille, mais comme elle avait l'air de ne pas en vouloir parler Nick ne chercha pas plus loin. Il voulez en savoir plus sur sa sœur alors elle lui dit qu'elle travailler au FBI dans cette ville, pour être sur que Nick la trouve il lui montra une photo à première vue il n'avait pas l'air de se ressembler mais bon sa ne voulez pas dire qu'il était pas frère et sœur car ils n'ont pas la même couleur de cheveux. Il décida enfin d'aller la rencontrer à son travail, sa ne devrez pas poser trop de problème? Enfin sa dépend ce qu'elle fait, paperasse ou si elle n'était pas la bas mais en mission. Quoi qu'il en soit il pouvez en être sur que si il y aller, il dit donc au revoir à sa mère et partit en direction des locaux du FBI.

Une fois au bureau, il avait un peu le traque, la même traque que lorsqu'il à frapper à la porte de sa mère biologique, Nick appréhender la réaction d'Ashley quand elle apprendrez que c'est son frère, imaginer qu'elle s'en moque, ou pire qu'elle ne le croix pas! Il aurez fait tout sa pour rien. De plus il aller entrer dans les bureaux du FBI c'est bien plus important que son petit métier d'agent de sécurité, même si sa pouvez déboucher sur autre chose, mais bon il était au bas de l'échelle alimentaire. Il était temps de se reprendre, sa faisait une bonne demi heure qu'il était la devant l'immeuble dans y rentrer, c'est décider il aller rentrer. Il fit un pas en avent maintenant il ne pouvez plus revenir en arrière enfin si mais c'est ce qu'il se disait pour se donner du courage.

Le voila enfin dans les bureaux, quand il aperçu Ashley au loin, déjà elle était pas en mission, sa l'aurez vraiment ennuyer qu'il ait fait sa pour rien. Il s'avance donc en direction du bureau jusqu'à être en face d'elle, Oui c'était bien elle Ashley, la fille sur la photo, sa sœur rien que de la voir il en avait la gorge nouée.

-Ashley... Ashley Seaver?

Bien jouer Nick lui à enfin parler, mais bon tout sa pour dire juste son nom c'était pas terrible, il ne fallait pas s'arrêter la, c'est comme si vous aller chez quelqu'un pour lui dire juste... "Et salut tu va bien! Bon j'y vais salut." C'était pareil, non mais franchement il fallait vraiment qu'il dise autre chose. Il ouvrit la bouche pour parler mais rien ne sortait, il était pétrifier, serai ce car elle était de sa famille ou car elle travailler au FBI? Personnellement je dirais les deux. Peu importe les efforts qu'il faisait pas un seul mort de plus sortit de sa bouche pour le moment.

Ashley avait passé la moitié de sa journée entre la cafétéria, le bureau de Strauss, et le sien. Strauss, ayant voulu accélérer le rythme de ses dossiers (Ô joie !), lui en donnait de plus en plus. Note, c’était comme ça avec tout le monde. Cela en était même effrayant, de se dire que tous les dossiers qu’ils traitaient, c’était des tueurs en série. Il y en avait beaucoup encore, tapis dans l’ombre, attendant le moment propice pour se lancer, d’ailleurs. Au moins, ils ne manquaient pas de travail, c’est-ce dont tous les psychopathes pouvaient se féliciter : donner du travail aux agents. Psychopathe… Les noms « Nolan et James » s’imprimèrent immédiatement à l’évocation de cela. Elle n’aurait jamais cru, que quand elle parlerait de tueur, elle penserait à son ami. Toujours est-il qu’elle était maintenant assise à son bureau, après une brève discussion avec Reid concernant le café (c‘était un des premiers à avoir remarqué qu‘elle se droguait presque avec, ces temps-ci), en train de surligner des passages d’un livre sur les tueurs. Pour certains, cela paraitrait glauque, mais c’était son boulot… Et même si ce n’était pas un livre qu’on lisait à enfant pour s’endormir le soir, c’était très intéressant. D’une main, elle attrapa sa tasse de café, voulut boire une gorgée de cette précieuse boisson, mais elle remarqua avec surprise qu’il ne lui en restait plus. C’est donc comme ça qu’elle se retrouva à retourner à la cafétéria, la tasse à son nom, vide, dans les mains, pour se resservir. Elle croisa en chemin toujours son collègue docteur, qui lui lança un regard exaspéré et leva les yeux au ciel en voyant qu’elle avait à nouveau du café, mais elle l’ignora avec un sourire pour retourner à son bureau. Laissant son livre de côté, elle s’attela à ses dossiers, histoire de n’avoir rien à faire ce soir et s’étaler dans son divan avec un pot de crème glacée. Non, ce n’était pas dans ses intentions, bien sûr. Ce soir, elle devait finir de ranger son loft (Elle n’était là que depuis quelques mois), et puis seulement elle pourrait se détendre. Soupirant en voyant les perspectives qu’elle avait pour la soirée, elle remit une mèche blonde derrière son oreille, avant de se concentrer sur les pages vierges qu’elle devait remplir et rendre à Strauss ensuite.
Elle en était à son vingt-cinquième café quand quelqu’un l’interpela. Relevant les yeux de son dossier, elle arqua un sourcil. Comment connaissait-il son nom ? Elle ne se souvenait pas de lui. Elle n’avait pas une grande mémoire, mais il semblait tellement gêné à l’idée de lui parler qu’elle devait le connaître… Ou alors c’était un admirateur secret, rigola-t-elle silencieusement. Lui lançant quand même un sourire en coin, lâchant son stylo-bille, elle ferma un instant les yeux, tentant de reprendre ses esprits après tout le café qu’elle avait bu et tous les dossiers qu’elle avait rédigé.

- C’est moi… Je peux vous être utile ? demanda-t-elle, ses yeux océan se posant sur le jeune homme en face d’elle.

Il devait être un peu plus jeune qu’elle, mais pas de beaucoup. Elle lu l’appréhension dans ses yeux et fronça les sourcils. C’était la première fois qu’on semblait si gêné face à elle. Généralement, c’était la jeune femme blonde qui était réservée et timide.

On pouvais voir la méfiance dans les yeux de Nick, après tout il ne savait comment aller pouvoir réagir Ashley quand elle aller apprendre qui il est. Après tout c'est pas tout les jours qu'on voit quelqu'un arriver et dire,"je suis ton frère alors sa va?" mais pour savoir comment elle pouvez réagir il faudrait déjà lui demander, alors que Nick était la face à elle ne pouvant dire quoi que se soit elle le regarda, fit un sourire et se mis à froncer les sourcilles, ne me demandez pas pourquoi je ne le sais pas moi même. Elle répondue en disant que c'était elle, et lui demanda si elle pouvez l'aider. Nick ne sachant quoi répondre il passa sa main à l'arrière de sa tête pour la frotter, vous savez quand vous vous sentez gêner. Quoi qu'il en soit il était temps de lui dire, il avait assez attendue.

-Je m'appelle Nick Seaver, et je suis votre frère.

Voila il l'avez dit, oui c'était direct mais pourquoi rester la à tourner autour du pot alors qu'il était aussi simple de lui dire directement? après tout autant en finir le plus vite possible avec ce suspense, mais la question était encore et toujours comment aller elle réagir? Aller elle s'en foutre, ne pas le croire ou bien vouloir en savoir plus. Mais si elle voulez en savoir plus, comment aller elle faire? Elle ne pouvez pas faire sa comme sa elle avez surement des truc à faire dans son travail, c'est pas car elle est pas sur le terrain qu'elle n'a rien à faire....

-Si vous n'êtes pas trop occuper on peut parler.

Parler d'accord, mais de quoi? si c'est parler pour parler sa servez à rien, mais si c'était parler pour faire connaissance ou bien pour lui expliquer pourquoi elle n'est pas au courant qu'elle avait un frère, j'imagine que leur mère ne lui à pas avouer qu'il avait était victime d'un kidnapping et qu'il n'a jamais était retrouver depuis. Quoi qu'il en soit on ne pouvez savoir ce qui aller ce passer surtout Nick, tant qu'Ashley n'aura pas réagis à cette annonce, incroyable.

Elle arqua un sourcil, sceptique, quand il lui dit qu’il était son frère. Elle jeta un regard en coin au calendrier sur son bureau : on n’était pas le premier avril. Si c’était un fan de Star Wars, il avait réussi son coup car ils avaient presque pu rejouer la scène « Non, je suis ton père ». Elle était fille unique, et si elle était sûre d’une chose, c’était bien de cela. Déjà que ses parents ne voulaient pas avoir d’enfant quand ils l’ont eue, alors pourquoi un petit frère ? Soit l’homme en face d’elle plaisantait et avait fait un gage avec ses amis, soit il fallait vraiment qu’elle aie une conversation avec sa mère. Ne sachant qu’en juger sur l’instant, elle pinça des lèvres, ses yeux toujours posés sur lui. De plus, ils ne ressemblaient pas. Elle était blonde, il était brun, elle était pâle comme un fantôme, il était basané. Et comment se faisait-il qu’elle n’avait pas de souvenirs de lui, dans ce cas ? Ses parents ne pouvaient pas l’avoir abandonné, car ils étaient bien trop bons pour ça. Et son père ne l’avait pas tué, car il était toujours là. Son cerveau réfléchissait à la vitesse de la lumière et un début de migraine commença à se faire sentir. Certainement à cause des cafés, et aussi de cette soudaine annonce, qui n’était peut-être même pas vraie. Se massant légèrement les tempes, elle en oublia un peu la présence de l’homme en face d’elle. Quelques secondes plus tard, elle releva la tête, un air perplexe peint sur le visage.

- C’est une blague, ou quelque chose du genre ? C’est Morgan qui vous envoie ?

Oui, Morgan. Il s’amusait beaucoup à charrier la jeune femme, ou à lui faire de mauvaises blagues de ce genre. Là, ça allait trop loin si c’était une de ses petites œuvres personnelles qui était censée la faire rire. Enfin, elle doutait que ça soit lui : en un regard à son bureau, elle le vit, en train de remplir ses dossiers. S’il avait été à l’origine de tout cela, il se serait arrêté pour les regarder de loin en rigolant. Mais là, c’était tout le contraire, donc ça ne pouvait pas être lui. Surtout que l’inconnu, Nick, semblait mortellement sérieux. Elle le regarda un instant dans les yeux, et il lui proposa de parler. Elle devait finir ses dossiers et réviser pour ses tests, et si Strauss la prenait, elle devrait trouver des explications convaincantes sur le pourquoi du comment elle était en train de parler à un parfait inconnu à la place de travailler. Elle pensa « Non, s’il vous plaît. Je ne trouve pas ça drôle. », mais ses lèvres cerise s’entrouvrirent et elle dit :

- Si vous voulez, dit-elle, marquant une pause, le fixant, partagée entre douceur et appréhension. Mais… Je suis fille unique d’un couple assez… spécial. Et jamais aucun d’eux ne m’a parlé d’un frère ou de quelque chose qui s’en rapproche…

Elle y allait du tac o tac, mais il fallait la comprendre. Ce n’était pas tous les jours que quelqu’un se présentait devant vous, et vous disait « Hey ! Je suis ton frère dont tu ignores l’existence depuis ta naissance ! On prend un café ensemble ? ». Lui proposant une chaise à proximité, elle n'arrivait pas à décoller ses yeux de cet homme, qui devait être son frère.

Il avait dit le principale mais à voir sa réaction elle avait pas l'air d'avoir était convaincu, sont regard voulais dire "mais il est fou ce type, pour qui il se prend?" donc vous imaginer la gène de Nick. Se faire dévisager comme sa c'était pas son habitude, déjà qu'il aimer pas qu'on le fixe, même si la y avait une raison. Sa réaction; Nick le craignais, elle prenait sa pour une blague, elle lui demanda si c'était Morgan qui l'envoyer. Morgane, c'est qui lui? Ce quel venait de dire voulait bien dire ce que sa voulait dire, elle ne croyait pas un mot à ce que Nick lui avait dit.

-Je connais pas ce Morgan.

Autant être directe et dire la vérité comme je vient de le dire au paravent, Nick aurez bien voulue faire de l'ironie mais il trouver que sa n'avez pas sa place dans cette discution. Cette échange le gêné de plus en plus elle à euh la réaction qu'il craignez le plus, quoi que non elle pouvez très bien ne pas la croire et l'envoyer boulet après si il ne la convainquez pas vite. Mais comment lui convaincre de quelque chose dont leur parent lui à cacher, ouais c'est tout à fait sa elle va croire un parfaite inconnu qui va lui dire qu'il est son frère, qu'il à était kidnapper à son enfance et jamais retrouver, alors que leur parent lui on cacher sa. Décidément c'était un choix vraiment difficile il la comprenait, de plis il ne pouvez pas lui dire "que tu le veuille ou non le suis ton frère".

Quand il lui demanda si ils pouvez parler elle avait pas l'air très convaincue, elle sortie un si vous voulez, en lui proposant une chaise, Nick la pris volontiers elle ajouta qu'elle était fille unique d'une famille assez spécial qui ne lui on jamais parler de Nick. Leur mère ne lui avait pas parler de leur père alors pourquoi pas lui demander à elle. Mais d'abord il fallait qu'elle croix enfin à ce qu'il disait. Qu'il était son frère.

-Bien je pense qu'il on préférer de protéger, c'est pas pour rien qu'on à aucun souvenir l'un de l'autre, j'ai était kidnapper trés jeune et mes kidnappeur mon élever. J'imagine qu'ils on préférer vous protéger en ne disant rien.

Nick se demander qu'es ce qui aller l'étonner le plus, le fait qu'il à était kidnapper quand il était petit, ou bien que leur parent lui on tout cacher? Nick n'était pas dans sa tête donc il ne pouvez pas savoir ce qu'elle se disait. Il en profita aussi pour lui demander pourquoi leur mère n'avait rien dit sur lui.

-En faite, qui est mon... notre père? Quand je suis aller chez notre mère, elle ne ma rien dit sur lui.

Elle le regarda s’asseoir, mais détourna vite le regard, le posant sur un de ses stylos-billes vert fluo à la forme étrange. Son cerveau lui hurlait que c’était une blague de la part de cet homme, mais au fond, elle pensait qu’il disait la vérité. Il n’aurait pas connu son nom, sinon. Bon, il pouvait l’avoir demandé, mais… Remettant une de ses mèches de cheveux derrière son oreille, le regardant à nouveau, ayant saisi son stylo pour jouer avec. Il lui dit qu’il avait été enlevé, et une grimace désolée prit place sur le visage de la jeune agent qui ne put s’empêcher de compatir. Ça ne devait pas être facile, être arraché à sa famille, par des fous, et être élevé dans un mensonge. S’ils avaient bien quelque chose en commun, c’était ça : tous les deux avaient cru que leurs parents étaient des gens biens. Ils avaient tout les deux vécu dans un mensonge pendant leur enfance.

- Je suis désolée pour votre kidnapping… Vous avez du avoir du mal d’apprendre que ce n’était pas vos vrais parents…

Elle lâcha son stylo pour prendre sa tasse de café. Il en restait un peu et elle avait besoin d’occuper ses mains, en plus de ça. La serrant doucement, tout en écoutant son interlocuteur. Plus il avançait, plus ça lui semblait vrai que c’était son frère. D’abord, comment aurait-il pu savoir pour son père : mis à part Garcia, qui avait fouillé dans son passé, personne ne pouvait le savoir sans faire partie de l’équipe de profilers. Même certains de ses amis ne le savaient pas. Elle ouvrit la bouche pour lui répondre, mais hésita. Lui mentir ? Ce serait une perte de temps, car il découvrirait bien vite la vérité et n’aurait plus confiance en elle (s’il avait confiance en elle). Elle ferma quelques instants les yeux, comme pour prendre du courage, et finit par rouvrir les paupières, ses yeux bleus océan posés su un point derrière Nick.

- Charles Beauchamp. Ou The Ripper Redmond, était un tueur en série qui sévissait dans les rues du Dakota du Nord. Sur une période de dix ans, il tua vingt-cinq jeunes filles. J’avais dix-huit ans quand les profilers Aaron Hotchner et David Rossi l’ont arrêté.

Formulé comme cela, on aurait presque pu croire qu’elle parlait du tueur et non de son père ; c’était sûrement ce qu’avait du se dire Nick : « Mais pourquoi elle me raconte ça ? ». Reposant ses yeux sur son bureau, elle saisit la photo qui trônait dessus, elle et son père dans le parc, et la tendit à son… frère. Un sourire nostalgique sur les lèvres, elle continua :

- Charles Beauchamp… C’est notre père.

Elle avait l'air gêné elle regarder par ci par la tout en faisant toute les deux minute autre chose, quand Nick lui dit qu'il avait était kidnapper elle avait l'air de compatir. Elle ne pouvez que croire cette histoire car il faudrait vraiment être malade pour dire un mensonge pareil à une personne qu'on vient à peine de rencontrer. Elle l'avait donc crue et elle s'excusa en disant que sa devait être dur d'apprendre que ce n'était pas c'est parents. Au départ Nick ne les croyait pas jusqu'à que sa "mère" lui dise qu'elle était stérile, comment aurez il était leur fils si elle était stérile. Mais se fut un choc quand il appris que c'est monstre l'avait kidnapper à c'est vrai parents dans un supermarché.

-Pas besoin de t'excuser... vous excuser, vous n'avez rien fait. Mais oui c'était dur, surtout quand j'ai appris toute la vérité, j'ai même fugué pour vous retrouver mais il mon rattraper avent, alors mon enfance n'a était que haine en vers eux.

ça pouvait paraitre dramatique mais c'était la vérité Nick na connue que l'adresse et le nom de c'est véritable parent qu'a sa majorité. Pourquoi ne les à t'ils pas rechercher plutôt, la peur d'être rejeter, le besoin de se construire une vie stable, quoi qu'il en soit cette épreuve lui avait marquer à vie. Quand Nick lui demanda qui était leur père elle hésita un instant puis raconta une histoire sur un tueur en série, qui avait tuer plusieurs petit fille jusqu'à se faire arrêter par des fédéraux quand elle avait 18 ans.

Mais pourquoi raconter cette histoire Nick ne s'intéresser pas au tueur en série, mais juste après elle tendis une phot avec elle est un homme, en lui disant que ce tuer en série était leur père. Dans sa tête Nick se disait "Niveau famille j'ai vraiment pas de chance, des faux parents qui mon kidnapper, et mon vrai père et un serial killer". Après tout comme on dit on ne choisis pas sa famille, sauf pour c'est kidnappeur bien entendue...

-Notre père un tueur en série, sa à due être dur d'apprendre ça? dit il à son tour en compatissant, lui sa ne le déranger pas trop il ne le connaissez pas mais elle, elle à due en souffrir.

La jeune femme but une gorgée de café, tiède à présent, en écoutant son interlocuteur. Elle avait toujours un regard compatissant, sachant ce qu’avait ressenti son frère en apprenant que ses parents lui avaient menti sur « qui ils étaient vraiment ». Elle passa une main dans ses cheveux emmêlés et attendit qu’il ait fini de parler, laissant un silence planer, avant de dire :

- Je vois… Ca n’a pas du être facile tous les jours… Je suis désolée… de vous avoir laissé comme cela. Je veux dire, de ne pas avoir été là quand vous étiez en colère contre vos « parents »… Comme aurait du faire une grande sœur, non ? dit-elle, et un sourire nostalgique prit place sur son visage pâle.

Elle reposa sa tasse sur son bureau, regardant ce qui se passait aux alentours. Personne ne semblait avoir remarqué qu’elle était en train de parler avec quelqu’un d’extérieur au bureau. Hotch était plongé dans un dossier, JJ au téléphone, Morgan et Prentiss discutaient, Natasha absente (elle devait être à la cafétéria), Reid en train de taper à l’ordinateur… Une journée normale au BAU, en somme. Elle laissa un soupir de soulagement filtrer à travers ses lèvres. Si on les prenait, elle aurait des ennuis avec Strauss, ce qui serait mal perçu vu qu’elle n’était que stagiaire. Elle ne voulait pas faire mauvaise figure chez les profilers, et devant ses collègues. Elle s’appliquait à être une agent parfaite, a avoir des points excellents aux tests de l’Académie et à toujours répondre quand ses collègues avaient besoin d’elle. Elle essayait de s’intégrer doucement à la famille qu’ils formaient. Elle n’en connaissait aucun personnellement, mis à part Natasha. Elle fixait toujours le bureau de cette-dernière lorsqu’il reprit la parole, lui disant que ça avait été certainement dur d’apprendre ce que son père était réellement. Elle tourna la tête, ses yeux bleu ciel se posant sur lui, soudainement plus triste. Elle n’aimait pas parler de ça. Mis à part avec quelques personnes… Ou quand c’était elle qui abordait le sujet. Ce qui arrivait rarement… Elle baissa la tête, comme honteusement, pour cacher les larmes (certes, il n’y en avait pas beaucoup, mais larmes quand même) qui lui montaient aux yeux, qu’elle ravala avec un certain courage.

- Ca l’a été, dit-elle, d’une voix brisée. J’ai eu beaucoup de mal à surmonter cette épreuve… Le pire, dans tout ça, c’est qu’il a essayé de reprendre contact avec moi quand il était en prison. Je vous envie de ne pas avoir connu le jour de son arrestation… J’en fait encore des cauchemars…

Osant relever le regard, elle se redressa légèrement, posant ses mains sur ses cuisses, décidant de faire tourner la conversation sur un sujet plus léger.

- Sinon… Dans quoi travaillez-vous ?

Nick avait trouver quelqu'un avec qui parler. Il pouvais parler de tout, enfin non pas vraiment il ne la connait à peine mais quand ils se connaitrons- plus, il pourra lui parler de tout, après tout c'est normal vue que la personne avec qui il discuter est sa sœur sa serait vraiment étrange de ne pas pouvoir tout dire à sa sœur non? D'ailleurs après que Nick est fini de parler Ashley trouva que sa ne devait pas être facile tout le temps, elle s'excusa de ne pas avoir était la pendant que Nick était en colère contre eux. Elle ajouta que c'est ce qu'aurez due faire une grande sœur.

-Peut-être. Mais vue qu'on ne savait pas que j'existe. Tu ne pouvait pas être la pour m'aider, ou autre chose. On peut dire que nos enfance on était difficile et qu'on à pas euh l'occasion de se soutenir mutuellement.

Oui c'est vraiment dommage, quand on à des frère et sœur sa sert à sa non? Oui vous aller me dire que les amis aussi, mais y à des chose ou on ne peut que ne parler avec quelqu'un de sa famille, et à part c'est "parent" qu'il déteste alors parler avec eux, il faut rêver. Alors que Nick était la à ne rien faire d'autre que discuter Ashley elle vérifier que personne ne voyait qu'elle parler avec Nick au lieu de travailler, c'était pas la meilleur idée d'aller lui parler pendant son travail en fin de compte.alors que Nick parler de leur père, Ashley baissa la tête après avoir bue son café, pourquoi avait elle baisser la tête? Peut-être que ca devait être dur pour elle de parler de son père. D'ailleurs c'est ce qu'elle disait elle à euh du mal à surmonter sa, surtout quand il à essayer de reprendre contact avec elle, elle fait même des cauchemar en repensant au jours de son arrestation.

-Je comprend sa à due être dur pour toi... on peut se tutoyer?

C'était plutôt étrange pour des frère et sœur de se vouvoyer, vous ne croyez pas?

À la première remarque de Nick, elle sourit légèrement. Ce n’était pas faux, ni l’un, ni l’autre ne savait qu’il avait un frère ou sœur caché dans le monde. Cependant, la jeune femme s’en voulait. Elle se prenait d’affection pour cet homme qu’elle ne connaissait que de quelques minutes. Si c’était une blague, elle s’en voudrait après, mais ça lui semblait bien vrai. Toujours douter. C’en était effrayant, elle doutait de tout. De ses capacités, des autres. Elle devrait aller voir un psychologue. Parce que des fois, elle devait avoir confiance en des gens. Des gens lui faisaient confiance, mais inversement, ce n’était jamais totalement. Ce qui énervait beaucoup de ses amis. Les quelques amis qu’elle avait, en plus ! La seule personne en qui elle avait entièrement confiance, à 2000%, c’était Kira. Ce qui était logique, vu que c’était sa meilleure amie. Elle acquiesça légèrement pour lui répondre, et but une gorgée, à nouveau, de café. Elle était vraiment mal à l’aise, certainement parce qu’elle avait des comptes à régler avec sa mère, et aussi parce qu’elle ne savait pas quoi dire : « Et sinon, comment va ta mémé ? ». Elle secoua légèrement la tête, un fin sourire sur les lèvres, et quand Nick lui dit que ça avait du être dur, elle acquiesça légèrement, ancrant ses yeux bleus dans ceux marron de son frère.

- Oui, ça a été dur. Mais c’est passé, heureusement.

Elle essaya de clore le sujet ; c’était peut-être lui qui la mettait mal à l’aise. Elle attrapa un crayon, et elle le fit jouer dans ses doigts avec une habilité étonnante. Surtout pour elle, qui faisait toujours tout tomber. Elle ne savait pas tirer, aussi : ceci explique cela. Le bout de bois avec une mine tournoyait dans le vide, passait en-dessous et sur ses doigts, voltigeait même par moment. L’air concentré, elle ne se détacha de son occupation que quand il lui demanda s’ils pouvaient se tutoyer. Elle releva la tête, un léger sourire toujours sur les lèvres.

- Bien sûr ! Je préfère qu’on me tutoie de toute manière…

Se forçant à poser son crayon pour ne pas faire l’antisociale qui se fixe sur un point et non sur la conversation en cours, elle prit sa tasse de café, comme pour s’occuper. Ashley, et ses TOCs : toujours avoir quelque chose en main. Surtout quand elle était mal à l'aise.

Pourquoi ils ne c'était pas rencontrer plus tôt? Un manque de courage de la part de Nick, probable mais es que c'était juste cela... Non c'est en partie à cause de c'est deux individu qui l'on élevé comme leur propre fils, c'est monstre lui on cacher qui il était et l'on empêcher de les retrouver quand il le voulez. Je suis même étonner que Nick ne soit pas traumatiser psychologiquement pas vous? Ashley elle avait l'air de réfléchir donc Nick ne parla pas pour le moment, elle se remis à parler pour son père en disant que ça a été difficile en effet, mais en disant sa elle n'avait l'air de ne plus vouloir en parler. Alors Nick ne chercha pas plus loin il n'aller pas continuer à parler plus longtemps sur ce sujet.

Peut de temps après elle fit oui de la tête pour dire qu'elle était d'accord à la proposition de Nick, cette proposition qui était de se tutoyer, d'ailleurs elle le dit juste après elle préférer qu'on la tutoie comme un peut tout le monde sauf les snobinard. Ce qui se croie meilleur que tout le monde tout sa car il on un poste plus important, et son parton en faisait partie, même si Nick lui y échapper un peut cette règle de tu est une sous merde alors tu ferme ta gueule et tu travail, peut-être car c'était le seul de son milieux qui avait euh le courage de se dresser devant le patron, ce qui fait que maintenant son patron l'aime bien... enfin bon revenons en à nos affaire, Nick parla au sujet de se tutoyer aussi.

-Beaucoup de monde préfère se faire tutoyer dont moi.

Voila Nick n'avait plus rien à dire, mais pourquoi rester la à rien dire alors qu'ils peuvent se revoir un autre jours pour parler parler quand il serrons la ou personne ne les dérangera, et puis c'est pas comme si il n'avait rien d'autre à faire. Ashley elle avait du travail alors Nick pris un stylo dans sa poche et un bout de papier puis écrit son numéro c'est coordonnée, bref tout ce qu'il fallait pour prendre contacte avec lui, puis il se leva en tendit le bout de papier.

-Je vais pas te déranger plus longtemps, de plus tu doit avoir du travail. J'ai écrit tout ce dont tu aurez besoin si tu veut qu'on prenne contacte et qu'on puisse discuter ailleurs à un endroit plus tranquille.

Elle sourit à Nick. C’était assez étrange, effectivement, qu’ils se tutoient alors qu’ils étaient frère et sœur, non ? Frère et sœur… Sa sonna étrangement dans sa tête. Pas que ça la dérangeait, mais il y avait une heure, elle était à la cafétéria avec son collègue surdoué entre de parler, ignorant totalement l’existence de Nick, et là… Elle lança par précaution encore un regard aux alentours et manqua de crier en voyant Strauss parler avec Hotch près de son bureau. S’ils la voyaient…! Elle allait avoir de sacré ennuis ! Elle se tourna vers Nick, l’air soudain plus affolé, mais remarqua qu’il partait de lui-même et se levait. Faisant de même, elle attrapa le bout de papier avec ses coordonnées et sourit légèrement, surveillant du coin de l’œil ses supérieurs. Accrochant le papier à son bureau, elle hocha des épaules, avant de dire ;

- De toute manière, je saurais où tu trouver à n'importe quelle heure… Un petit tour dans la base de données du FBI, ni vu ni connu…

Un sourire malicieux prit place sur son visage et elle hésita : lui tendre la main ou lui faire la bise ? Elle opta pour la première option et lui tendit sa main pâle, toujours avec un sourire sur le visage.

- J’espère te revoir bientôt, dans ce cas…!

Elle le scruta, souriante, les yeux pétillants. Elle avait du travail, certes, mais elle s’en fichait ; un de ses collègues (Reid : il n’y avait que lui pour être assez naïf pour accepter) l’aiderait à finir ses dossiers si besoin était. Ce qui l’inquiétait, c’était Strauss… Elle avait eu tellement de mal pour intégrer le BAU, qu’elle ne se ferait pas virer de sitôt, du moins, elle espérait. Elle aimait son boulot, et ne voulait plus changer.

- Et tu ne me déranges pas... Juste que je ne suis pas censée accueillir quelqu'un ici... Je ne suis qu'apprentie, après tout. Enfin, mes les agents aînés n'en ont pas le droit, mais... Je me comprends.

Elle rigola légèrement, croisant silencieusement les doigts pour que Strauss ne l'entende pas.