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It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver

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MessageSujet: It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver EmptyLun 11 Avr 2011 - 21:37

    It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver 110411094818501705 It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver 110411095202270880
    Spencer Reid, Ashley Seaver && Nick Seaver
    Some people come into our lives and quickly go.
    Some stay for awhile and leave footprints on our hearts.
    And we are never, ever the same.

    Anonyme


Examens, encore et toujours examens. Même si elle était au BAU, elle était toujours en période de tests à l’Académie et ça lui prenait la plupart de son temps. D’ailleurs, elle avait moins de dossiers que les autres, ce qui était normal vu qu’elle n’était que stagiaire mais que ses supérieurs savaient qu’elle étudiait pour ses examens. Même si elle avait réussit les autres avec brio, elle ne pouvait pas s’empêcher d’avoir peur pour la suite. Ce qui était normal, elle était d’un naturel stressé. Mais elle n’en dormait presque plus. La caféine devait y être pour quelque chose, aussi ; elle buvait des litres de café par jour, elle se droguait presque. De toute manière, à partir du moment où il y a une dépendance, cette même chose dont on dépend devient une drogue. Étonnant, non ? Elle était donc droguée. Cette simple pensée lui tira un fin sourire. Elle pouvait être tout, sauf droguée.
C’est quelqu’un qui claqua un dossier sur son bureau à côté d’elle qui la fit sortir de ses pensées. Elle jeta un regard distrait à l’agent et soupira. Elle n’arrivait même plus à se concentrer sur ses livres, c’était dire ! Pourtant, elle savait que c’était important. Reportant ses yeux océans sur les trois livres ouverts sur son bureau, elle essaya de se reconcentrer, mais elle n’y arriva pas. C’était comme si le sort s’acharnait sur elle : elle n’arrivait plus à dormir de peur de rater ses examens, et ne pouvait pas se concentrer pour réussir ses examens parce qu’elle manquait de sommeil. C’était un cercle vicieux. Elle se décolla donc de ses lignes qui se brouillait devant ses yeux à force de les fixer, et lança un regard à l’assemblée. Tout le monde travaillait, ce qui était normal. Il lui semblait que c’était la seule fainéante à arrêter de travailler, ce qui devait être le cas - elle était au sein du BAU maintenant, plus dans son petit secteur avec Natasha où tous les agents bayaient aux corneilles en regardant les mouches passer. C’est donc dans un extrême effort de volonté qu’elle se leva et se dirigea vers la machine à café. Ça n’arrangerait pas son problème de concentration, loin de là, mais il lui semblait qu’elle n’avait plus pris de ce breuvage noir depuis des heures. Ce qui devait être une impression. À n’importe quel agent à qui elle demanderait, on lui répondrait qu’elle en avait pris un nombre incalculable en moins de deux heures. Mais elle s’en fichait, c’était la seule chose qui la faisait tenir. C’est donc ainsi qu’elle s’était retrouvée, café en main, à attendre un ange qui pourrait la sauver de son ennui. Malheureusement pour elle, personne ne vint. Les seules personnes qui lui jetèrent un regard furent deux/ trois des profilers - certainement étonnés de la voir ainsi à ne rien faire au lieu d’étudier - et quelques agents au téléphone. Laissant un soupir filtrer à travers ses lèvres, elle se dirigea lentement vers me bureau de Reid. C’était un des collègues qui lui avait donné des trucs pour les tests, alors, avec son QI, n’aurait-il pas une astuce pour se concentrer ? Elle espérait. Parce qu’en plus d’être quelqu’un qui donnait des astuces, c’était quelqu’un avec qui elle s’entendait bien. Elle ne se voyait pas demander à Morgan de l’aider alors qu’elle le connaissait à peine. En plus, il ressemblait plus à Monsieur Muscles qu'à quelqu'un qui sait procurer de l'aide pour des tests. En un rien de temps, elle se trouva près du bureau de son collègue et automatiquement elle passa une main énervée dans ses cheveux, laissant ses doigts s’attarder dans ses longues vagues blondes.

- Hey, Reid, commença-t-elle, se sentant terriblement bête de sa demande. Dis, tu aurais une astuce pour se concentrer sur la matière à étudier pour les examens du FBI ? Mis à part le café.

Elle sourit légèrement, ses doigts toujours emmêlés dans ses cheveux.
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MessageSujet: Re: It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver EmptyMar 12 Avr 2011 - 13:49

Comme à son habitude, le jeune agent du FBI avait une tonne de choses à faire. Bien qu'ayant résolu une affaire peu de temps auparavant, il repensait à certains détails qui le titillaient. toujours, après chaque enquête, il se demandait comment les gens pouvaient en arriver là sans que perosnne ne les remarque... Cette réflexion ne lui prenait que quelques minutes durant lesquelles il se rendait au bureau. Une fois sur place, il ne ressassait plus ces idées noirs et se concentrait sur le présent. Il avait trop tendance à vivre dans le passé.

Ce matin là, il était arrivé avant ses amis Profilers et en avait profiter pour prendre un bon café avant que les autres ne se pressent pour se réveiller de la meilleure manière qui soit. Des collègues l'avaient salué et le Docteur leur avait répondu aussi civilement qu'il pouvait, serrant la main d'une perosnne qu'il connaissait, faisant un signe de main aux autres, plus loin. Reid n'était pas du genre à passer vers les gens pour leur dire bonjour. Ce contact, il le craignait un peu, c'était selon lui un marquage d'autorité sur les gens, la façon dont il vous serrait la main. Et lui, il n'était pas homme à aire le poids face à ses hommes en costume cravate.
S'installant à son bureau, l'agent trouva quelques dossiers bien épais qui l'attendait. Il prit celui qui lui semblait le plus pressant et s'activa à le lire. Comme on le voyait souvent faire, Spencer lu les cinq dossiers en moins de dix minutes. Il ne faisait pas vraiment attention aux gens autour. Lorsqu'il liait, le Docteur était dans un autre monde, même s'il s'agissait d'affaires sordides, nul ne parvenait à le distraire de son activité, jusqu'à ce qu'il trouve le point crucial d'un texte.

Soudain, il se sentit observé. Il leva les yeux et vit Ashley Seaver, une nouvelle collègue qu'il appréciait beaucoup. elle efficace et gentille, et le fait qu'elle soit en pleine période d'examens rappelait au jeune brun cette époque. Bien que timide, Reid avait pris plaisir à aider la jolie blonde dans ses révisions. Il n'avait eut nullement besoin de relire ses cours, les connaissant tous par cœur, à en faire pâlir quiconque du BAU qui avait eut plus de mal.

- Bon jour Ashley ! lui répondit-il avec un sourire encore réservé.

La ravissante étudiante était venu lui demander conseil sur la manière de se concentrer sans être obligé de se droguer à la caféine. Il est vrai que Ashley paraissait éreintée et Spencer comprenait et soutenait cette petite protégée.

- Et bien, hormis le fait de se gaver de caféine ou de sucre ou tout autre substitut alimentaire, le sommeil t'aiderais à mieux assimiler ce que tu as lu.

Commença-t-il, comme pour lui faire comprendre qu'il s'inquiétait de son état. Il avait parlé normalement, tout en faisant des gestes inutiles avec ses mains, coudes posés sur le bureau. Il avait ce tic corporel lorsqu'il parlait à quelqu'un, comme un réflexe défensif peut-être, nul ne savait. Il réfléchit très vite et pu ajouter :

- Maintenant, je sais qu'il est extrêmement ardu de se focaliser sur autre chose que ces tests qui sont pour le moins compliqué. Si je devais te donner un bon conseil, ce serait de classer tes fiches en différentes catégories d'études, afin de mieux visualiser le tout.

Facile à dire, quand on à une mémoire photographique, mais Reid en oubliait parfois que ce n'était pas tout le monde qui arrivait à résonner comme cela. Et il ne s'en rendait que rarement compte.
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MessageSujet: Re: It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver EmptyVen 15 Avr 2011 - 14:03

Nick était en train de bosser, quand celui-ci s’ennuyer, dans ce métier il ne se passer pas grand chose. Alors que Nick se demander si il aller chercher un autre emploie ou rester la. quoi qu'il en soit il c'était au collègue de Nick de prendre la relève alors il sortie puis se rappela du message d'Ashley n'ayant rien rien d'important à faire il fit un passage à la bibliothèque du coin pour chercher le livre qu'Ashley lui avait demander, un livre plutôt difficile à trouve d'ailleurs Nick due faire plusieurs magasin et bibliothèque avent de trouver le fameux livre. Le fait d'avoir chercher un bouquin aussi longtemps l'avait plutôt énerver, à cause de son collègue qui avait du retard lui aussi et bien il ne pus partir plutôt ce qui lui avoir un retard considérable.

Une fois en bas du bâtiment Nick avait déjà au moins deux heure de retard, alors il se dépêcha de monter les marche deux par deux afin d'arriver au plus vite à destination. Une fois arriver il vis Ashley au loin, en reprenant son souffle il s'approcha d'elle et vue qu'elle discuter avec quelqu'un hésitant à les déranger il attendit un instant et décida finalement d'aller les rejoindre. Nick lui serra la main avent de lui tendre le livre demander.

-Tiens j'ai apporter ton livre, je l'ai lue un peut sur la route. Et pour tout te dire j'ai rien compris. Dit il faisant un sourire à sa soeur. Et aussi désoler pour le retard, je travailler et j'ai euh quelque difficulté à trouver le livre...

Regarda l'homme qu'il l'accompagner, en ayant l'impression qu'il venait de les couper dans leur discutions. Il se souvenue aussi qu'il ne s'était pas présenter au prêt ce ce type, mais devait il le faire? Après tout peut-être qu'Ashley ne veut pas que tout le monde sache qu'il est son frère, il hésita un bon moment avent de tendre la main à l'homme en question.

-Bonjour, je me suis pas présenter... Nick Seaver.
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MessageSujet: Re: It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver EmptyVen 15 Avr 2011 - 14:42

Elle sourit légèrement, remerciant Reid par cette occasion et d’amusement. Une autre réponse de sa part l’aurait étonnée. Mais il avait pris la peine de s’arrêter dans son travail pour lui répondre, ce qu’elle trouvait vraiment adorable de sa part. Elle acquiesça légèrement, avant de dire :

- Mais… Je n’arrive presque pas à dormir, j’ai peur pour mes examens, justement… - c‘est vicieux, n‘est-ce pas ? Et puis il y a les cauchemars. Donc chaque nuit, je regarde deux ou trois épisodes de Star Trek et de Friends… Ce n'est pas ça qui va me faire réussir, je sais...

Elle lui sourit, d’un sourire semi-vaincu. À nouveau, ses yeux balayèrent l’assemblée et se posèrent sur une certaine personne qui venait d’arriver. Nick… Elle lui avait envoyé un message pour qu’il lui apporte un livre, mais il y avait de cela longtemps. Vu qu’il reprenait son souffle, elle en déduit qu’il avait fait de son mieux. Un léger sourire toujours plaqué sur le visage, elle le vit s’approcher et la saluer par un serrement de main. C’était assez étrange vu que c’était son frère, mais elle ne le connaissait pas assez pour lui faire la bise. Saisissant le livre en question, son sourire s’agrandit, ses yeux océans se posèrent sur son frangin.

- Ce n’est pas grave, désolée de t’avoir embêté avec ça… Merci de me l'avoir apporté, je n'avais pas vraiment quelqu'un d'autre à qui demander.

Triste mais vrai, son cercle d'amis se limitait à son travail. Pourtant elle était assez sociable, mais pas assez pour aborder quelqu'un dans la rue et en faire son ami, ce qui lui laissait un champ limité. Et maintenant, elle passait la plupart de son temps au boulot en train d'étudier ou de faire des dossiers, ce qui ne lui laissait pas vraiment le temps de faire des rencontres à Quantico. Son regard se reposa sur le bouquin, avant de se poser sur Reid qui devait se demander ce qu’il se passait. D’ailleurs, Nick devait l’avoir remarqué aussi vu qu’il se présenta à son collègue. Elle passa une main dans ses cheveux blonds, gênée, hésitant à lui dire qui c’était. Elle aimait son frère, ce n’était pas la question, le fait était que tout le monde ignorait qu’elle n’était pas fille unique, au BAU. Et si elle le disait au petit génie de l’équipe (petit génie - même s’il était plus grand qu’elle, en âge et en taille…), elle serrait forcée de le dire aux autres. Non ça ne la dérangeait pas, mais c’était pour Hotch. S’il l’apprenait, il allait vouloir lui en parler. Strauss voudrait même sûrement trouver un moyen pour la qualifier d’instable et la renvoyer. Et bien tant pis, elle prendrait un bon avocat. Glissant sa main dans la poche arrière de son jeans, elle enchaîna Nick ;

- Hum… Reid, voici mon frère. Je lui avais demandé de m’apporter ce livre (elle le lui montra de sa main libre), je crois que tu l’avais compris, ça… - elle se tourna vers Nick - Nick, c’est un de mes collègues - certainement plus intelligent que tous les gens présents réunis -, le Docteur Spencer Reid.

Elle n’avait pas pu s’empêcher de préciser qu’il était intelligent. Elle admirait vraiment son QI élevé. Comme tout le monde, elle avait connu des premiers de classe. Et elle savait qu’ils souffraient généralement de brimades à cause de cela, ou de rejets (cela, elle l’avait connu. Certainement pas autant que lui). Pour elle, c’était donc tout naturel de dire cela, ce qui le mettait en valeur après ce qu’il avait vécu. Ce qu’elle supposait qu’il avait vécu parce qu’à vrai dire, elle n’en savait pas plus sur lui.
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MessageSujet: Re: It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver EmptySam 16 Avr 2011 - 11:56

Le jeune Profiler donnait des conseils à la petite nouvelle, afin de l'aider à mettre toutes les chances de son côté pour les examens qu'elle avait encore à passer. Elle lui dit qu'elle n'arrivait pas à dormir et que cela lui donnait parfois des cauchemars. L'agent pinça les lèvres comme pour lui dire qu'il était désolé qu'elle souffre autant de ses tests qu'il avait lui-même passé bien des années auparavant. Pas de la même manière certes, étant donné les capacités du Docteur Reid, mais il avait dût réviser aussi. Elle prononça deux mots qui firent relever les yeux de Spencer, pour les planter dans les siens. Pas longtemps, mais plus que d'ordinaire. Ces mots ? "Star Trek". En effet, le grand brun était plus qu'un fan de cette série. Il l connaissait sur le bout des doigts et pouvait en citer les répliques rien que si on lui donnait le numéro ou le titre de l'épisode.

- Tu.. tu es fan de Star Trek ? dit-il comme si cela était impossible. Il est vrai que je doute que « explorer de nouveaux mondes étranges, découvrir de nouvelles vies, d’autres civilisations et, au mépris du danger, avancer vers l’inconnu. » te soit bien utile dans ton examen de qualification, comme ça l'est pour le capitaine Kirk !

Oui, oui, vous ne rêvez pas. Le brillant Docteur venait de citer l'une des plus grandes répliques du Capitaine James Kirk, héros de la série. Il faisait ainsi un petit trait d'humour que souvent ses camarades ne remettaient pas dans son contexte. aussi, si l'un d'eux venait à passer, il n'était pas certain qu'il comprenne de quoi il pouvait parler à la jeune étudiante.
alors qu'il "s'amusaient", un homme vint à leur rencontre, saluant Ashley. Reid se raidit un peu devant l'homme. Non pas qu'il soit plus imposant que ça, mais il craignait toujours un peu les gens qu'il ne connaissait pas. Il les écouta un instant parler d'un livre, les yeux un brin baisser sur ses fiches.

L'homme semblait connaître Ashley et le Profiler ignorait bien comment. Une main se tendit vers lui et il releva les yeux vers le jeune homme, qui se présentait à lui. Nick Seaver ? Serait-ce une coïncidence qu'il est le même nom que la petite blonde ? Pour Reid, il n'existait pas de choses hasardeuse, tout était mathématique. Lorsque Ashley ajouta à l'attention du Docteur que le jeune homme était son frère, il se leva - c'était plus poli - et saisit sa main, très peu confiant, laissant Ashley le présenter.

- Nick, c’est un de mes collègues - certainement plus intelligent que tous les gens présents réunis -, le Docteur Spencer Reid.

- Je n'sais pas si l'on peut le dire comme ça, car je pense que tous réunis, ils pourraient arriver à peut-être dépasser mon Quotient Intellectuel. Ils n'ont tout simplement pas la même vision des choses que moi, mais tous peuvent être des génies, si l'on prend en considération que la définition pure et dur est qu'il s'agit de définir une personne qui se démarque de façon exceptionnelle par un ou plusieurs talents.

Oui, c'était bien le docteur Reid ! Toujours aussi mal à l'aise avec les étrangers, m^me s'ils étaient de la famille. Nick devait se demander à qui il avait affaire en l'écoutant parler de choses et d'autres, de définitions alors qu'il aurait pu simplement dire "enchanté de faire votre connaissance". Mais ce n'était pas le but de "l'effet Reid" - comme le disait Hotchner. Il se distancier ainsi des autres hommes de la communauté urbaine. Reposant les yeux sur le livre, il en reconnu le titre, pour l'avoir dans sa bibliothèque.

- C'est une encyclopédie rare vous avez dût avoir du mal à la trouver. Vous êtes dans la sécurité ?

Demanda-t-il à Nick. Non pas que ce soit marqué sur son visage, quoique encore ! Il sentait se dégager de lui une certaine fore de caractère, ses traits bien que souriant paraissait dur et il en imposait quand même. Reid n'aurait pas aimé se retrouver aux prises avec lui.
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MessageSujet: Re: It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver EmptyDim 17 Avr 2011 - 14:35

Nick était la le bouquin en main totalement perturbé à cause de son retard, quand Ashley le pris avec un grand sourire les yeux poser sur lui tout en lui disant que ce n'était pas grave qu'il soit arriver avec tant de retard, probablement disait elle sa pour être polie car tant de retard sa peu quand même bien frustrée quelqu'un, enfin du moins c'est ce que pensée Nick et son coté impatient elle s'excusa ensuite de l'avoir embêter comme si elle l'avait interrompus dans un truc important, elle le remercia en disant qu'elle ne pouvait pas demander à quelqu'un d'autre, Nick fit un sourire et répondis.

-Ne tant fait pas sa ma fait plaisir de t'aider, de plus je n'avait plus rien à faire aujourd'hui... Tu n'a pas besoin de t'excuser je suis ton frère, et même si on se connais depuis peut de temps je serait prèt à t'aider à n'importe quel sujet.

Nick avait légèrement tendance à étaler ses sentiment de façon plutôt facile, ce qui faisant objet de moquerie lors de son enfance chose qui rendis celle ci encore plus dur surtout à la période ou il appris qui il était, non seulement cette période était dur mais personne n'était pas pour l'aider oui lui tenir la main, non ce que les gens trouver à faire c'était les moquerie. C'est probablement ce qui à diriger Nick dans sont métier actuel. Nick était un sentimental oui mais il n'était pas non plus du genre à raconter toute sa vie à n'importe qui. Revenons en au bureau en rentrant il vire qu'il n'y avait pas de gardien de sécurité, aller savoir pourquoi. Mais cela pouvait être une opportunité pour Nick de changer de job. Après que Nick se soit présenter à l'homme en question celui-ci ce releva et lui serra la main à son tour mais n'eus rien le temps de dire c'était Ashley qui fit les présentation... Elle présenta Nick comme son frère en précisant qu'elle lui avait demander d'apporter le livre, elle avait un peut l'air gênée de dire que c'était son frère ce qui était compréhensible . Ensuite elle présenta l'homme face à lui, c'était le docteur Stencer Reid d'après ce que disait Ashley il était plus intelligent que n'importe qui dans cette pièce, sa devait vraiment être quelqu'un d'intelligent pour être sa. Celui-ci la repris en disant que tous réunis ils pourrait le dépasser, en ajoutant plein de chose que Nick arriver à comprendre à peut près.

-Je me demande pourquoi on vous appel Docteur... Si vous êtes vraiment un docteur vous ne travaillerez pas ici, non?

Oui vous ne rêver pas Nick et en train de jouer sur les mot, chose qui aller surement forcer le Docteur Spencer à faire une explication des plus complexe. Mais avent de réponde à sa question il lui demanda une chose, si il était dans la sécurité, en ajoutant avent sa que ce livre était vraiment rare et dire à trouver.

-Et bien et tant donner mon retard, en effet il était dur à trouver mais bon au moins je l'ai trouver. Oui je suis de la sécurité en effet, mais je chercher un meilleur poste, d'ailleurs j'ai vue que à l'entré il n'y à plus de gardien de sécurité... Le poste serait il libres?

Et oui tant cas être la autant trouver un meilleur métier...
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MessageSujet: Re: It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver EmptyDim 17 Avr 2011 - 23:45

En voyant que l’intérêt de Reid avait été piqué à vif quand elle avait dit Star Trek, elle ne put s’empêcher de rigoler. Ça ne l’étonnait pas plus que ça qu’il aime aussi la série. Peu de gens aimaient, même si c‘était quand même culte. En voyant qu‘il semblait très étonné qu‘il avait un point commun, elle lui lança un clin d‘œil amusé. Oui, c‘est vrai : peu de gens pouvaient croire qu‘elle regardait Star Trek. Ceux qui la croyaient la regardaient bizarrement. Elle ne pouvait pas les blâmer pour cela.

- Ça a l‘air de t‘étonner. Ce n’est pas parce que je suis ici quatorze heures par jour que je n‘ai pas une série favorite. lança-t-elle, un sourire sur les lèvres. Oh, et : « Les grandes balades dans le cosmos, c'est un jeu pour les jeunes ! ».

Si lui avait cité la série, elle venait de citer le film ; le deuxième pour être exacte. Ce n’était peut-être pas une réplique très connue, mais c’était une réplique qui collait avec ce qu’il venait de dire. Mais leur conversation avait été coupée par l’arrivée de Nick. Le docteur se leva, toujours poliment, et serra la main de son frère. Elle remarqua quand même la certaine retenue dans ses gestes. Elle savait qu’il avait du mal avec les nouvelles rencontres. Avec elle, ça avait passé, ce qui l’avait légèrement étonnée car quand on lui avait présenté l’équipe, il s’était contenté d’un geste de la main. Enfin ce n’était pas pour lui déplaire. Elle passait pas mal de temps avec lui, vu que c’était le seul qui pouvait l’aider pour ses tests sans qu’il ne refuse une fois et qui ne posait pas beaucoup de questions sur son père. Quand elle allait voir quelqu'un d’autre, c’était un interrogatoire sur son passé. Elle appréciait son collègue pour cela : il n’abordait pas des sujets où il savait qu’elle était mal à l’aise. Il y avait peu de choses qu’il ne savait pas, d’ailleurs, ce qu’elle avait précisé dans sa présentation, et ce à quoi il avait répondu scientifiquement. Évidemment. Son sourire c’était légèrement agrandit, et elle avait fait semblant de lever les yeux en l’air comme pour paraître exaspérée. Évidemment, réunis, ils le battaient amplement. Mais Reid avait pris cela au sens littéral, comme toujours.

- Ah, ça, c’est certain : tu n’as pas la même vision des choses que les autres. Mais d’accord, admettons.

Elle sourit successivement à Nick et à Spencer. Spencer. Ça lui faisait toujours un drôle d’effet de l’appeler par son prénom, tellement habituée à entendre les autres l’appeler Reid ou génie. Mais il lui avait demandé de l’appeler ainsi. Cela l’humanisait, selon elle. Elle avait remarqué que peu de gens l’appelaient par son prénom, et se servaient de lui juste pour quelques calculs ou pour glisser, de temps en temps, quelques dossiers dans sa pile. C’était logique : ils se disaient qu’il lisait vite et que ça lui prendrait moins de temps, mais ça ne devait pas être drôle pour lui tout les jours. D’être considéré comme une sorte de bête de foire, ceci dit, elle aussi avec son papa-tueur. C’était peut-être pour ça qu’ils passaient du temps ensemble ; ils se comprenaient, peut-être. Elle sortit de ses pensées quand Reid demanda quelque chose à Nick. Elle ne comprit pas la question, mais la devina en entendant la réponse de son frangin. Il avait cherché pour trouver son livre. Elle grimaça, mordillant sa lèvre inférieure. Elle détestait déranger les gens pour elle. Encore plus lui, car elle ne le connaissait pas depuis longtemps. C’était vraiment quelqu’un de bien. Et elle s’en voulait inexplicablement pour ce qui lui était arrivé. Elle savait qu’elle n’y pouvait pas grand chose. Mais elle aurait voulu se souvenir qu’elle avait eu un frère avant qu’il ne débarque comme ça, un matin. Elle était toute petite à ce moment-là, et elle savait qu’on n’avait pas de souvenirs avant l’âge de trois ans (nos neurones ne sont pas formées pour enregistrer et stocker des moments marquants), mais elle s’en voulait, dès qu’elle le voyait par exemple.

- Oh, désolée que tu aies du chercher… Je ne voulais pas t’embêter avec ça. Si tu as besoin de quelque chose dans ce cas, appelle-moi !

Elle avait ancré ses yeux azur dans les siens quelques secondes avant de les reposer sur les deux hommes. Elle se rendit compte qu’elle était la seule fille. Détail insignifiant qu’elle venait de remarquer. Jouant avec une mèche de cheveux nerveusement (encore un de ses nombreux tics : elle allait commencer à croire qu’elle n’avait que ça), elle posait successivement son regard sur les deux personnes, un sourire sur les lèvres. Ça lui faisait étrange que tout les deux prennent connaissance d’une petite partie de sa vie. Reid apprenait qu’elle avait un frère et Nick voyait un de ses collègues. Ce n’était pas que ça la dérangeait. Ça lui faisait juste un drôle d’effet.
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MessageSujet: Re: It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver EmptyJeu 28 Avr 2011 - 17:03

Star Trek. Vous voulez intéresser le Docteur Reid ? Parlez lui en et il sera fou ! Le jeune homme connaissait tout de cette série et des films dérivés, allant de la petite réplique que l'on aperçoit même pas, à la couleur du pull du capitaine Kirk ! Un vrai mordu en somme. Et cela lui fit plaisir que Ashley partage sa passion, bien que cela l'étonne car la jeune femme ne ressemblait en rien aux autres geek que Spencer fréquentait lors des conventions et autres soirées entre amis. Cet étonnement fit réagir la belle, qui sortit à son tour une réplique d'un film de Star Trek que le beau brun avait bien étant donné regardé et retenu. Cela lui fit sourire.

- Je conçois bien que tu as le temps de regarder un peu les séries, tout comme moi. dit-il en souriant avant d'ajouter : Hum.. Si je ne me trompe pas, c'est le deuxième film,lorsque McCoy propose un équipage expérimenté ! J'aime beaucoup ce film !

Oui il l'aimait, mais ils ne purent en parler plus longuement car un intrus vint s'immiscer. Il s'agissait de Nick Seaver, son frère comme la blonde le présenta. Cela étonna le jeune Docteur qui n'avait pas eut vent de cet homme auparavant, ni même dans les coupures de presse relatant de leur père meurtrier. Le jeune homme était venu apporter un livre à Ashley, s'excusant de son retard tandis que elle s'excusait de l'avoir faire cavaler la ville pour ça.
Suivit les présentations, où là, le Docteur n'était pas bon. Peut-être le seul domaine où il n'excellait pas, les relations sociales. Il craignait beaucoup les étrangers qui entraient. Ashley se permit de faire un compliment sur Reid, en parlant de son intelligence. Le grand brun avait rétorqué que ses collègues réunies parviendraient à dépasser son quotient intellectuel exceptionnel. Il n'avait pas sût le prendre au deuxième degré, comme bien souvent c'était le cas pour lui. Tout comme la réflexion que Nick lui fit lorsqu'il lui demanda s'il travaillait vraiment ici en tant que « docteur ».

- Oh non, je ne suis pas ce genre de docteur ! En réalité, c'est un terme utiliser pour les personnes qui, comme moi, possède des doctorats mais pas forcément en médecine, puisque pour, ma part, bien qu'ayant quelques notions, je n'ai qu'un doctorat en mathématiques, chimie, ingénierie psychologie et sociologie qui sont bien plus utile en tant que profiler que médecin, non ?

Le timide docteur assommait encore une personne avec ses pseudo défenses. Il se demandait toujours pourquoi les gens ne faisaient pas la différence entre lui et les autres docteur. Il n'y avait rien à voir, bien que dans son coin, Reid ai déjà potassé beaucoup de livres sur le sujet. Il préférait de loin la psychologie à l'anatomie. Disséquer oui, mais mentalement !

Poursuivant la conversation par la suite, il apprit que le frère Seaver était agent de sécurité. Reid l'avait sentit dans sa façon de se comporter, preuve encore que ses diplômes servaient plus au sein du BAU qu'autre chose. Nick lui demanda s'ils cherchaient des agent pour le bureau, ce dont Spencer n'était pas certain.

- Je ne saurais pas vous dire. Il faudrait que vous voyez ça avec l'agent Hotchner. Ou Strauss peut-être, non ? demanda-t-il en se tournant vers la jolie blonde, pas vraiment à l'aise avec le frère de cette dernière.



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MessageSujet: Re: It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver EmptyJeu 28 Avr 2011 - 21:35

Pour la plus part des personne chercher un livre serait une chose plus qu'ennuyant qu'on ne ferait même pas pour rendre service mais Nick lui n'était pas comme sa non d'ailleurs il ne comprenait pas qu'on pouvait refuser d'aider quelqu'un quand l'on avait rien à faire... Nick était du genre à aider n'importe qui même si des fois sa pouvait lui causer des problèmes. Comme le mois dernier, il voulait empêcher à un homme saoul de se faire casser la tête par un groupe de malfrat et sans même savoir comment il c'est retrouver à se battre contre eux en voyant l'homme bourré en train de prendre la fuite... La gentillesse de Nick était un qualité mais aussi un défaut, mais sa ne veut pas dire qu'il est que tout mignon tout beau, il savait bien quand il fallait "montrer les dents"... Comme par exemple son métier qui pour le moment n'avait aucun intérêt pour lui et tant donner qu'il voulait changer d'air. Pour ce qui est du livre Ashley s'excusa encore d'avoir déranger Nick avec le livre, il attendit qu'elle ait fini pour reprendre la parole.

-Ashley... tu n'a pas besoin de t'excuser, sa me fait plaisir de t'aider. Et puis c'est pas comme si ça m'avait déranger de le faire.

Une seule chose déranger un peut Nick, c'est quand les gens s'excuse tout le temps car Nick leur a rendue un service, que le service soit insignifiant ou non, les gens on tendance à s'excuser pour pas grand chose. Ensuit il demanda à Spencer la nature de son titre de docteur, à se moment la il lui fit tout un monologue pour bien l'expliquer à Nick. Si avec sa il n'avait pas compris il pouvait aller se coucher, quoi qu'il en soit il fit un petit mouvement de la tête l'air de rien, en même temps que voulait vous répondre à ça? Rien c'est la réponse à la question, on ne peut rien répondre. Revenons en au sujet de l'emploie, le docteur Ried ne se charger pas de ça en même temps sa aurait était étonnant mais bon on pouvait essayer, qui ne tente rien à rien comme on dit...

-Si je n'arrive pas à avoir rendez vous avec euh vous pouvais me joindre si vous en savait plus, vous comme Ashley d'ailleurs.

il lui tendit une carte avec inscrit ses coordonner et son numéro, bref tout pour le joindre quoi... mais une chose le perturbé, plus le temps passer plus il sentait que le docteur Ried était mal à l'aise en présence de lui il réfléchis à un moyen de le rendre plus à l'aise, ce qui lui venue à l'esprit n'était pas forcément une bonne idée mais le meilleurs moyen qu'il connaissait pour rendre quelqu'un plus à l'aise... quel était cette technique? Et bien il fallait dire un de ses plus gros secret, même si bon déjà c'est une chose plutôt gênante pour celui qui dit le secret, et en voyant le docteur Ried et ses façon de réagir et bien il ne verrait pas forcément le vrai sens du pourquoi il lui dit un si gros secret, et question secret il n'en avait pas beaucoup si se n'est son kidnapping, et ceci Ashley ne voudrait pas qu'il soit au courant... Mais il ne voyait pas d'autre moyen pour que le docteur soit plus à l'aise alors quoi faire?

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MessageSujet: Re: It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver EmptySam 7 Mai 2011 - 14:40

C’est toujours un sourire sur les lèvres qu’elle écouta la remarque de Reid sur Star Trek. Évidemment il avait trouvé le bon passage, du bon film. Si lui devait connaître tout les dialogues par cœur, elle ne connaissait que deux ou trois répliques. Mais elle savait faire l’espèce de signe de la main de Spock. Elle s’était entraînée, fallait-il l’avouer ? C’était quelque chose qui l’avait toujours fait rire. Une vision lui traversa soudain l'esprit ; Reid et elle en train de regarder Star Trek. Elle grimaça légèrement et le rouge lui monta au joues - évidemment -, et même si elle réussit à contenir lesdites rougeurs, ses pommettes prirent quand même une teinte légèrement rosée. Et même si son collègue ne pouvait en comprendre la cause, elle était gênée. Mais la jeune femme reprit vite ses esprits.

- J’aurais aimé que pour une fois tu te trompes, mais c’est ça. Moi j’ai vraiment aimé tout les films ! Même s’ils n’égalent en rien la série.

Elle acquiesça légèrement, comme si elle approuvait ses dires. Chose stupide vu que si elle le disait, elle le pensait, non ? Ensuite son frère arriva et la conversation entre eux deux s’engagea. Oui, Reid semblait mal à l’aise avec lui. Elle comprenait. C’était Spencer. Et son si son intelligence était sans pareille (sauf peut-être pour son ami le génie dans la Nouvelle Orléans), sa maladresse envers les gens qu’il ne connaissait pas - et même qu’il connaissait - était sans pareille, elle aussi. Nick lui dit de ne pas s’excuser et elle hocha légèrement la tête ; c’était plus fort qu’elle, à vrai dire. Surtout qu’il lui avait dit qu’il avait eu du mal pour trouver le livre. Elle s’excusait tout le temps même quand ce n’était pas sa faute. On l’avait éduquée ainsi ; toujours dire « Merci », « Bonjour », « S’il vous plaît ». Elle hocha légèrement les épaules, et manqua de s’excuser à nouveau de trop s’être… excusée ? Un sourire passa sur ses lèvres en pensant à ça et elle regarda Nick tendre ses coordonnées à son collègue. Pauvre Nick, qui cherchait toujours du travail.

- Ah… Strauss… dit-elle en souriant à Reid. Tu crois vraiment qu’elle pourrait l’aider ? Dans la mesure où c’est un supérieur, oui mais… c’est Strauss !

Elle avait dit cette dernière phrase avec une pointe d’humour avant de se tourner vers Nick. Lui semblait réfléchir, Reid était mal à l’aise. Que faire ? Elle se mordit la lèvre inférieure et posa successivement ses yeux océans sur les deux hommes. Elle pensa un instant écourter la conversation quand elle jeta un regard à son bureau où ses révisions et ses dossiers l’attendaient. Elle réprima un frisson. Si elle faisait ça, elle était complètement masochiste. Elle préférait amplement réfléchir pour chercher un sujet de conversation que réfléchir pour comprendre une phrase dans un livre. Ça, c’était certain. Elle détestait réviser. C’était d’ailleurs pour ça qu’elle était venue demander conseil à son ami quelques minutes auparavant. C’est en se disant cela qu’elle réalisa ; sa vie était remplie de tueurs en série. Quand elle rentrait, elle devait faire ses dossiers - tueurs -, au bureau, elle traquait carrément les tueurs en série, et la nuit elle cauchemardait sur son père, soit un tueur. Or, elle avait peur d’eux. Il fallait trouver l’erreur. Qu’est-ce qui avait fait que sa vie était ainsi ? Son père, ou déjà quand elle était petite ? Elle essaya de remonter dans ses souvenirs mais rien ne l’interpellait. Ce qui la rassurait. Ça lui ferait peur si elle se rappelait que quand elle avait trois ans, elle avait assassiné un enfant de la plaine de jeux à coup de poupée et qu’elle l’avait enterré au fond du bac à sable, non ? Sortant de ses pensées, elle jeta un regard aux deux garçons qui n’avait pas bougé. C’était paradoxal ; d’un côté, le génie qui trouvait généralement toujours quelque chose dire, et de l’autre, son frère, qui devait beaucoup de choses à leur raconter vu qu’elle le connaissait presqu’autant que Spencer. Et elle… Et elle, c’était et bien, elle. Autrement, pas la fille qui était du genre à sortir un sujet de conversation intéressant ou même ne serait qu’une remarque intéressante. Remarque intéressante : « Avez-vous constaté que la criminalité était en baisse ? On fait bien notre boulot » - Remarque d’Ashley : « Aujourd’hui, Hotch a mis une cravate bleue nuit ». Ses doigts pianotèrent sur le livre que Nick lui avait apporté. Le piano. Elle adorait cet instrument et savait en jouer, grâce à Kira, mais n'avait plus vraiment le temps de s'entraîner. D'ailleurs, l'air qu'elle faisait sur le livre était un air qui existait réellement et un de seuls morceaux qu'elle connaissait. Elle détestait ne pas savoir quoi dire. Elle se disait que ses révisions étaient presque plus drôles que ce silence.
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MessageSujet: Re: It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver It stung like a violent wind that our memories depend on a faulty camera in our minds || Spencer Reid & Nick Seaver EmptyDim 17 Juil 2011 - 14:13

[HJ: désolé de cette hyper longue attente >_< j'ai eus beaucoup de soucis, certains en plus de ce que tu sais Ashley; j'espère que ça ira ^^' pardon encore]


Les deux agents parlaient de Star Trek, une série géniale que le Dr Reid adorait, tout comme les films dont ils étaient en train de parler. Pour une fois que le génie se sentait à l'aise et dans son élément ! Ashley lui fit remarqué qu'il ne se trompait pas et, à part sourire, il ne savait as quel position adopté.

- La série est culte pour bon nombres de fans. Beaucoup d'internautes la préfère pour son authenticité et le jeu des acteurs. L'univers est plus représentatif et les épisodes permettent mieux de cerner les personnages et l'intrigue. Les films sont trop court à mon goût bien que brillamment réussi !

Si l'on commençait à lancer Reid sur le sujet de la science fiction, il pouvait en parler des heures sans s'arrêter. Il le faisait d'ailleurs avec ses camarades du fan club, avec qui il aimait faire de petites compétitions sur les connaissances de la séries aux milles épisodes. Remarquant la jeune Ashley piquer un fard, Reid tenta de conserver une mine neutre. l ne savait pas ce qui la faisait rougir secrètement, mais ce détail de pigmentation ne lui avait pas échappé. En revanche, il était bien trop timide pour oser lui en demander la cause.

Lorsque Nick Seaver arriva, l'ambiance changea. ce nouvel invité encore inconnu pour le Docteur ne lui inspirait pas grand chose. Il n'avait pas à se demander s'il l'aimait ou pas, il était simplement craintif du fait de sentir en lui quelque chose "d'important". Mais le génie n'était jamais vraiment à l'aise avec les gens. aussi, il se contenta de suivre leur conversation, observant la jolie blonde s'excuser d'avoir dérangé son frère.
La conversation s'orienta sur le métier de l'agent Spécial Reid qui expliqua en quoi consistait son travail au sen du département. Par la suite, Nick demanda s'il connaissait un moyen pour trouver un travail au sein du bureau. Spencer ne s'occupant pas de cela ne put que le renvoyer auprès de ses supérieurs, à savoir Hotchner ou Strauss qui dirigeait tout. L'évocation de cette dernière fit tiquer la belle Ashley qui se tourna vers lui pour poser sa question.

- Elle est compétente et à un œil sur toutes les activités du Bureau. J'ignore si elle serait la mieux placé, mais auquel cas, elle saurait mieux l'orienter. Pour la sécurité, il n'y a pas beaucoup de gens qui se charge du recrutement. Strauss fait passer des tests aux agents de sécurité. Il se tourna vers Nick. Vous pouvez lui poser la question. Mais oui, je vais prendre vos coordonnées au cas où j'ai l'occasion d'en discuter.

S'il obtenait une réponse avant Nick, le génie savait pertinemment qu'il ne pourrait appeler l'homme par lui-même. Il chargerait sans aucun doute quelqu'un de l'équipe, voir Ashley s'il se sentait assez à l'aise pour lui parler Doucement, Reid prit la carte de l'agent de sécurité. Il observa un instant, mémorisant déjà son adresse et son numéro de téléphone.
Mais ensuite... Et bien plus rien. Reid avait rangé la carte du jeune homme dans la poche de sa chemise, certain d'y penser. De toute manière, il connaissait déjà le numéro et aurait même pu lui rendre sa carte. sauf que ça ne se faisait pas. Observant un peu les alentour pour voir les collègues faire leurs affaires, l'agent Reid entendit un petit son de tapotement. Il regarda du côté de Ashley qui était en train de tapoter des doigts en rythme. Regardant avec attention ses gestes, il se mit une mélodie en tête. Peut-être que la jeune agent savait jouer du piano, comme lui l'avait apprit en une minute lors d'une de ses enquêtes. Spencer avait de ce fait mémoriser quelques partitions, mais ne dirait pas combien.

- Je vois que tu sais jouer le Concerto n°21 de Mozart ! déclara-t-il comme si de rien était, brisant le silence sous les yeux incrédules de ses camarades. La façon dont tu bouge les doigts me rappelle cela.

fin observateur et grand génie cultivé sur tous les plans. Il allait finir par effrayer ses collègues.
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