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[HRP: Je suis désolée si ce n'est pas long, mais mes débuts sont jamais vraiment fameux. Et puis je sais que j'ai un bureau, mais ça me semblait surtout compliqué si je le faisais dans mon bureau puis après ici. Alors je l'ai posté ici ... je sais pas si c'est bon pour toi?]

Voilà qu’une autre journée commençait pour moi. Comme à tous les matins de la semaine, je me levais pour ensuite prendre un petit déjeuner rapide et par après, prendre la voiture pour essayer d’arriver à temps au boulot. Eh ouais, c’était ainsi que ça fonctionnait pour moi car, comme toute bonne femme qui se respecte, je passais des heures à me coiffer et me préparer. Mais n’allez pas croire que mon apparence soit tout ce qui m’intéresse, au contraire!

En quelques minutes, je me trouvais au volant de mon automobile avec la musique qui m’aidait à me détendre un peu. Comme je n’aimais pas traîner des millions de CDs dans ma voiture, je préférais de loin écouter la radio. Puis, en cherchant un poste intéressant, je tombais sur une bonne chanson et ainsi, je montais un peu le volume. Chantant à tue-tête dans le petit habitacle, n’importe qui aurait pensé que j’étais folle, mais qu’avais-je vraiment à perdre si cela me permettait d’arriver au bureau de bonne humeur ?

Le parcours fut moins long que prévu et je passais prendre un café. Puis, en stationnant la voiture dans le parking souterrain, je croisais quelques collègues de travail. Cependant, vu que j’étais encore une nouvelle et une apprentie de surcroît, je préférais plutôt passer inaperçue au lieu de faire parler de moi. Et c’est ainsi que je rentrais dans l’ascenseur sans que personne ne m’adresse la parole. Non, je n’étais aucunement antisociale, mais c’est vrai que j’étais plutôt de nature gênée et renfermée lorsque je me retrouvais en terrain inconnue. Bref, je me dirigeais vers mon petit bureau en silence et, quand mon regard croisa la photo de mes parents, je savais que j’étais au bon endroit. Après tout, c’était grand! Mais bon, j’y pris place et je me préparais pour un nouveau jour de travail devant l’écran de l’ordinateur.

En résumé, une journée des plus normales. Mais l’était-ce vraiment ?

Une nouvelle journée de travail commençait pour Aaron. La veille au soir, il était rentré tard du travail -ou plutôt tôt. Il avait passé une bonne partie de la soirée et même de la nuit à travailler sur une affaire. Il n'avait pas vu l'heure passé et était rentré chez lui à plus de deux heures du matin. Mais bien entendu, ça ne le gênait pas, il aimait son travail et passait le plus clair de son temps dans son bureau, c'était en quelque sort un second chez lui.

Le matin, il s'était levé à six heures et demi du matin. Il n'avait pas beaucoup dormi, mais avec une bonne tasse de café, il tiendrai le coup au moins toute la matinée. Il avait pris son petit-déjeuner, était douché et habillé avec un costume trois pièce gris foncé. Il avait préparé un sac et prit son véhicule pour aller à son travail. Il était encore tôt et ce n'était donc pas les heures de pointe avec tous ces embouteillages et ces coups de klaxon qu'on pouvait entendre tous les deux minutes. Il parcouru tout Quantico et tourna quand la direction lui indiquait Behavioral Analysis Unit. Il se gara dans le parking souterrain et prit l'ascenseur pour arriver au bon étage.

Les bureaux étaient encore vide, mais dans moins d'un quart d'heure, les agents du FBI allaient arriver à leur poste. Avant de rejoindre son bureau, il passa à la cafétéria pour se prendre un café puis il monta les quelques marches qui séparaient les bureaux communs de son bureau. Il ouvrit la porte, déposa ses affaires et il se mit à la tâche rapidement. Il allait retravailler sur l'affaire qu'il avait soigneusement lu la veille au soir. Il relut l'affaire tout en buvant sa tasse de café encore chaude. Une fois terminé, il sortit de son bureau pour aller faire des photocopies qu'il allait insérer dans le dossier pour pouvoir le renvoyer à la police locale. Plus d'un quart d'heure était passé depuis qu'il était arrivé, et les bureaux étaient déjà rempli d'agents en train de travailler. En passant, il avait remarqué une jeune femme brune assise dans son bureau, devant son écran d'ordinateur. Cette jeune femme lui disait quelque chose, il avait dû la voir dans les locaux ou vu une photo d'elle quelque part surement. Il partit faire ses photocopies et revient tout en vérifiant qu'il avait bien tout photocopié.


[HS : J'espère que ma réponse t'iras, en tout cas si tu veux que je modifie quoi que ce soit, n'hésite pas Surtout au niveau de la fin, je ne sais pas trop quoi mettre pour engager la conversation]

J’avais raison de croire que la journée devant moi serait pleine de surprise. En levant mes yeux ne serait-ce que deux secondes, je vis … Aaron Hotchner? J’avais entendu parler de ce chef d’équipe de la BAU par les nombreuses conversations de mes collègues de bureau. Certains disaient qu’il ne souriait jamais. D’autre affirmaient que quiconque avait une entrevue avec lui paniquait quelques jours avant. Bon, il faut dire que je ne lui avais jamais parlé car j’avais eu une entrevue avec l’agent David Rossi. Mais le voyant de dos, à faire ses photocopies, c’est vrai que je n’oserais pas l’aborder aux premiers abords.

Bref, je replongeais dans mon travail quand je le vis passé de nouveau devant moi, mais me regardant pendant quelques millièmes de seconde. J’eus comme un mouvement de recul, mes joues devenant teintées d’une couleur rose clair et reposait mon regard sur l’écran. C’était devant l’ordinateur que je me sentais mieux. Ouf! Mais en y repensant bien, je me demandais pourquoi est-ce qu’il m’avait fixé? Est-ce que j’avais quelque chose entre les dents? Je pris mon miroir dans mon sac. Non, rien de ce genre. Alors pourquoi? M’avait-il reconnu? Impossible, j’étais un agent parmi tant d’autres … surtout par le fait même que les bureaux comptaient bien plus d’agents que je ne pourrais compter sur mes doigts.

Ou alors … non, il ne savait sûrement rien à propos de mes parents. Personne n’avait plus jamais touché au dossier de ce crime depuis qu’ils étaient morts. Malgré mes pensées diffuses, je voulais en avoir le cœur net, même si cela signifiait de faire une parfaite cruche de moi-même. Je me levais donc de ma chaise, certains voisins de bureaux me regardant bizarrement, et me dirigeait vers le bureau de l’agent Hotchner. Une fois devant sa porte, j’avais comme une impression de déjà-vu. Je vis alors sur une autre porte non loin le nom de David Rossi. Ahh, alors leurs bureaux étaient proches? Bon, je me devais de prendre mon courage à deux mains, cette fois-ci! Je cognais à la porte et me préparait mentalement à l’affronter. J’espérais simplement qu’il ne soit pas exactement comme tout le monde le disait. Sinon, c’est sûr que je paniquerais.

[HRP: T'as rien à modifier, voyons! Et puis de mon côté, si tu veux que je rajoute de la conversation, ne te gêne pas Cette fois-ci j'en ai pas mis parce que c'est pas logique de parler ... à une porte ]

Aaron repartit en direction de son bureau sans prêter plus attention aux agents qui l'entouraient cette fois ci. De toute façon, il y avait tellement de monde qui travaillait ici qu'il ne pouvait se souvenir de tous les visages, même si il avait une bonne mémoire -enfin beaucoup moins que celle de Reid. Il monta les quelques marches qui séparait son bureau de tous les bureaux communs et entra dans le sien en fermant la porte au passage.

Maintenant il pouvait envoyer le dossier à la police locale avec dedans un profil préliminaire et si les agents avaient besoin de l'aide des profilers, il se déplacerai avec son équipe s'il le fallait. Il allait passer à un autre dossier quand il entendit quelqu'un frapper à la porte de son bureau. De son siège, il pouvait voir la personne qui frappait à la porte, et cette personne était la jeune femme brune qu'il reconnaissait de vu mais sans pouvoir mettre un nom dessus. Sur le moment, il se demandait ce qu'elle pouvait bien avoir à lui demander. Ce n'était peut être qu'une coïncidence si deux minutes après être revenu de la photocopieuse, c'était elle qui frappait à sa porte. Mais Aaron ne croyait pas vraiment aux coïncidences.

Entrez ! dit-il sur un ton assuré