Tic...tac...Tic...tac...Voilà le bruit agaçant que provoquait le réveille matin de Joshua. Ce dernier était coucher sur son flanc gauche, tout recroquevillé sur lui même. Il avait un oreiller sur la tête qu'il serrait assez fort. La pauvre homme, pouvions-nous réellement dire cela de cet être?, tentait de dormir, mais rien à y faire avec se fichu réveille. Joshua se demandait bien pourquoi il gardait ce réveil. Mais c'est vrai; il ne faisait que tic-tac toute la nuit et bien souvent cela héritait plus que rien d'autre l'Anthropologue qu'il était. Puis, à bout de nerf, l'homme prit l'oreiller qu'il avait sur la tête et le lança sur son réveil. Manque de bol, il rata sa cible d'un bon trente centimètre. Joshua se releva en position assise et fixa son réveil. Prenant à deux mains polochon, sans quitter ce fichu réveil des yeux, Joshua en asséna un joli coup au réveil. Le malheureux revola de l'autre coté de la pièce. Le nouveau joueur de basse-ball se recoucha tout en ronchonnant à propos de son réveil. Mais vraiment... comme il pouvait être idiot parfois. Et avoir l'air d'un véritable gamin. Alors qu'il pensait s'endormir, Joshua, entendit son téléphone sonner. Vraiment pas de bol. Lui qui voulait à tout prit dormir et profiter de la nuit. Tendant son bras à tentons pour trouver son téléphone, l'anthropologue blasphéma sur son patron. Il fini par répondre d'un ton monotone. Il ne reconnu même pas la voie à l'autre bout du fil. La seule chose qu'il avait comprit que s'était qu'il devait se rendre à sa morgue pour une autopsie. Super... Encore un cadavre. Il raccrocha peu de bonne humeur. Puis se leva et alluma la lumière. Il partie prendre une bonne douche chaude, quand il en sorti il s'essuya et sans mettre de serviette autour de sa taille il parti se chercher des vêtements. Lui? Nudiste? Pas du tout. Seulement il était chez lui et il avait sa routine. Et notre Joshua n'était pas le genre d'homme à se casser la tête; il prit le premier smoking à porter de main ainsi que le premier calçon qu'il trouve et il s'habilla. Avant de partir Josh se prit une pomme et une bouteille d'eau. En sortant de la cuisine il attrapa ses clés, sortie, barra la porte et se dirigea vers son impala 69. Une fois embarqué il prit la direction des bureaux du FBI. Une fois arriver il n'adressa la parole à personne. Normal il était 3hoo du matin. Il se dirigea alors immédiatement vers sa salle d'autopsie. Passant dans un autre pour y prendre son matériel, il du rentré à reculons dans le sien. Il n'eu point besoin de se retourner pour reconnaître l'odeur de chaire en décomposition et de sang. Il ne lui fallut pas long, il avait deviné avant même de se retourner, pour comprendre qu'il allait avoir affaire à un corps en pièce détachée. Mais il n'avait pas imaginé que ce corps serait aussi massacrer que ceux qu'il avait massacrer... Comme quoi tomber dans un broyer sa n'allait pas à tout le monde. C'était se qu'avait pensé Joshua. Mais il ignorait que l'homme avait été poignardé, puis il s'était retrouvé coupé en plus de 26 morceaux. Quand l'anthropologue se retourna vers son nouveau patient il leva les yeux au ciel.

- Que Dieu m'en soit témoin; le crétin qui ma placé les morceaux du corps de se malheureux devra se repentir.

Et il avait raison. Il fallait dire que le péroné à la place de la tête.... et le basin à la place du tronc... S'était un parfait manque de connaissance sur l'anatomie humaine. Et révoltant pour l'anthropologue.

- Alors mon pauvre ami... tombé sur un meurtrier? Vraiment... Il n'à pas manqué d'originalité mais... celui qui vous à placez sur ma table mériterait un bon coup de pied au derrière.

Avait dit joshua à son patient tout en s'approchant du malheureux.

- Pour commencer je vais remettre vos membres à leur place.... Pardonner moi seigneur... pour le viole de l'intimité de cette personne...

Dit-il tout en commençant à replacer les morceaux.
Il était en train de retracer sur un modèle de papier les différentes blessures et point de coupe que le corps avait subit lorsque quelqu'un frappa.

- Je suis désolée de vous déranger, monsieur Blood. J'espère que je ne vous empêche pas de travailler.

Elle fit une petite pause puis continua :

- Je m'appelle Juliette Riley, je suis une étudiante au FBI. Puis-je vous demander quelques renseignements, s'il vous plait ?

Il se retourna vers la nouvelle venue. Il tenait entre ses mains le crâne de son malheureux patient.

- Oh! Mais vous ne me dérangez pas du tout mademoiselle Riley. Au contraire cela me ravi d'avoir de la visite. Il est rare que quelqu'un n'ose descendre dans mon laboratoire... Et ma chère, vous êtes loin de m'empêcher de travailler. Cela me fera plaisir très chère que de vous aider.

Répondit-il en tenant la tête dans une main. Il fit signe à la nouvelle venue de se rapprocher.

- Si vous me le permettez je voudrais tester vos capacité. Approchez, approchez et dite moi ce que vous pensez de ce pauvre malheureux. Quel esprit ferait une tel chose, pourquoi quelqu'un aurait fait se sort à se malheureux?

Il pencha la tête un moment sur le coter.

- Désolé chère de vous imposer une telle vision....Mais pour réduire les motifs du meurtre le corps de la victime est souvent un élément clé. On retrouve souvent dans la façon de tuer les sentiments que le meurtrier ou la meurtrière ressentait au moment des faits. Malheureusement le malheureux sur ma table devait avoir commit quelque chose d'impardonnable... Que Dieu est pitié de son âme...

L'anthropologue avait parlé tout en reposant la tête du dit malheureux. Puis il avait joint ses main comme en prière.

- Mais bon... Nous ne sommes que des pions sur cette terre, des pions qui ne peuvent rien contre la volonté de Dieu.

Avait-il dit en laissant retomber ses mains sur chaque coter de son corps et laissant ses épaules s'affaisser.

- Mais dite moi très chère. Sur quel point dois-je vous transmettre mon savoir?

Demanda t-il à la jeune femme en croisant ses mains recouverte de gans de chirurgiens immaculé de sang et de reste de chaire.

Frapper à la porte du laboratoire sur un coup de tête n'était pas la meilleure des solutions mais trop tard, c'était fait. Et elle n'avait pas assez de cran pour faire demi-tour et partir comme si de rien n'était. C'était impoli, pensait-elle, et cela ne se faisait pas. De plus, elle dérangeait la personne qui travaillait et elle détestait ça. En tout cas, elle avait ouvert la porte, en croyant que personne n'était là, et avait reçu une réponse de la part d'un homme. D'ailleurs, son accueil était plutôt chaleureux et elle sourit lorsqu'il indiqua que peu de gens venait dans son laboratoire. C'était logique, très logique. Son expression changea quand elle aperçut la tête qu'il tenait entre les mains. Cela la surprit et la mit mal à l'aise plus qu'autre chose. Ce n'était pas tous les jours qu'on voyait une tête séparée d'un corps. Un frisson la parcourut entièrement. Au final, venir ici était une très mauvaise idée, n'est-ce pas Juliette ? Elle qui ne souhaitait pas avoir affaire à des situations comme celles-ci, c'était totalement raté. En beauté même. Bon. Elle ferait avec. Maintenant qu'elle y était, il était trop tard pour reculer et partir en courant n'arrangerait certainement pas les choses. Elle avança à côté de l'anthropologue lorsqu'il l'invita à entrer dans le laboratoire. Elle se dit que la journée avait commencé particulièrement bien - sur un ton ironique - et qu'elle continuait dans son élan. Tout ce dont elle rêvait bien sûr !

Mr. Blood lui annonça qu'il souhaitait évaluer ses capacités. Eh bien, que de surprises lui aura apporté cette visite. Elle ne s'y connaissait pas très bien en anatomie, mais assez pour remarquer que certains morceaux du corps n'étaient pas à leur place. Apparemment, le scientifique était en train de replacer aux bons endroits les parties du cadavre. Si elle n'avait pas su quel métier faire plus tard, elle n'aurait certainement pas choisi anthropologue. Heureusement pour elle, sa décision était déjà prise et elle se voyait déjà profiler dans quelques années. L'ambition ne manquait pas chez l'étudiante. La question de l'homme lui resta dans la tête et elle ne cessait poser les yeux sur la victime découpée. Combien y avait-il de morceaux ? Elle s'arrêta de compter à partir de quinze. C'était beaucoup trop, se dit-elle, et cela avait dû prendre du temps pour une seule personne. Elle se permit d'emprunter les papiers sur lesquels se tenaient des schémas de corps humain. Elle voyait bien qu'il manquait des traces pour les découpes du corps et se reprocha d'être venue. Elle l'avait dérangé dans son travail. Pff, elle n'aimait vraiment pas ça. Elle enleva cette remarque de ses pensées pour se concentrer et ce qu'il avait demandé. Pourtant, il s'excusa de lui montrer une telle image et indiqua que le corps des victimes était un atout essentiel pour comprendre le meurtrier. Elle hocha la tête, elle était d'accord avec lui. Elle n'oublia pas sa question et répondit donc, après qu'il ait fini de parler :

« Je dirais que l'homme qui a fait ça avait beaucoup de colère. Elle vit qu'il n'y avait qu'une seule trace de blessure à arme blanche et ajouta : Il ne l'a poignardé qu'une fois, mais l'a découpé en plusieurs parties. Je pense que c'est quelqu'un d'organisé et de précis. »

Juliette retint son souffle quelques secondes. C'était horrible comme pensée, mais elle savait que des hommes pouvaient ressentir du plaisir en tuant et commettre des actes comme ceux qu'elle venait d'énoncer. Elle reposa les feuilles qu'elle avait prise à leur place, ne voulant plus avoir ça devant les yeux. Elle s'aperçut que son interlocuteur n'arrêtait pas d'évoquer Dieu et cela la gêna. Elle n'était pas croyante, ou bien elle pensait que quelqu'un ou quelque chose veillait sur les hommes mais ce n'était pas Dieu. D'autres la contesteront sûrement, mais elle s'en fichait.

« Mais dites moi très chère. Sur quel point dois-je vous transmettre mon savoir ?
- J'aimerais savoir ce qui vous a motivé à devenir anthropologue, monsieur Blood. Ce doit être un métier particulièrement difficile à cause de ce qu'on voit, comme... la victime d'aujourd'hui. » fit-elle en montrant d'un coup de tête les parties du corps sur la table.

Un corps découpé en 26 morceaux. 26 morceaux coupé avec précaution. Coupé de tel que les traces laissé après qu'il fut poignardé avaient presque toutes disparut. Il n'en restait qu'une trace... Mais l’anthropologue avait un oeil minutieux et en manipulant les membres de la victime il avait touvé des traces de lame, provenant surement d'un couteau à viande, sur certaines cotes. Il pouvait les voir car la chaire de ces dernières se détachait facilement vue l'avancement de la décomposition. Et dire qu'il devrait ouvre ce corps... et qu'il n'avait pas masque. Joshua n,était pas un croyant mais utilisait beaucoup le religieux pour supporter ce genre de vision. Finalement une jeune femme avait frappée à la porte de son laboratoire avant d'entrer. Elle semblait gênée de venir, et surtout semblait pensée qu'elle le dérangeait. Mais jamais personne n'arrivait à déranger cet homme. Il était toujours près à accueillir quelqu'un dans sa salle d'autopsie, malgré ses "patients" qui attendaient, malgré ses gants taché de sang.... Il était toujours joyeux, même quand il faisait la morale aux techniciens quand c'est derniers ne plaçait pas correctement les corps. Oui... Joshua n'avait beau ne pas être croyant, il croyait en l'âme humaine, il croyait au esprit. Pour lui il fallait respecter le corps de la victime, même après sa mort, agir avec elle comme si elle était vivante, car tant que son meurtrier/meurtrière ne serait pas arrêté(e) ou que les circonstances de sa mort ne sois pas élucidée l'âme de cette pauvre personne ne serrait pas en paix. Voilà pourquoi il parlait au mort....La jeune femme qui était rentrée dans son laboratoire s'était excusée et présentée. Joshua était heureux d'avoir de la compagnie. Il pourrait tester les capacité de la jeune femme et avoir un oeil nouveau sur le pauvre homme sur sa table. Le regard de la jeune femme avait changé quand il était tombé sur la tête que l,Anthropologue tenait.... réaction normal, mais la jeune femme devrait s'y habituer car enquêter sur des meurtres voulait irrévocablement dire voir la victime. Joshua adorait son travail, étrangement, pour la simple et bonne raison qu'il redonnait au victime leur identité, les rendait à leur famille leur permettant de faire le deuil de la personne perdue, il permettait à la victime de reposer en paix car tous savait après cela comment elle était morte... Les renseignements que donnait Joshua permettait d'arrêter et d'inculper le meurtrier ou la meurtrière. Il rendait justice en quelque sorte à cette pauvre personne. Finalement la jeune femme s'était approchée et il s'était excusé de cette vision. C'était naturel pour lui. La jeune femme lui offrit sa théorie. Elle était très bonne. Elle avait prit des feuilles sur les quelle il avait retranscrit les traces de coupe et les endroit poignardé. Cela n'était qu,un brouillons mais pour le moment s'était sa. La réponse que lui apporta la jeune demoiselle le porta à réfléchir. Sans sent rendre compte l’anthropologue prit son menton dans sa main gauche gantée et couverte de sang. Il aurait du savoir qu'en pensant il ferait se geste. Il s'en rendit bien vite compte et soupira en retirant les gants qu'il jeta dans les déchets biologiques. Il prit un essuie-tout qu'il passa sous l'eau pour nettoyer son menton.

- Appeler moi Joshua mademoiselle. Votre théorie est très bonne et vos observation presque parfaite. Ce pauvre homme à été poignarder au moins 5 fois au niveau des cotes. Aucun coups n'a atteint d'organe vitale, mais il a dû se vider de son sang rapidement. Mais vue l'état de certains membres sectionné il était malheureusement vivant quand son agresseur à voulu le découper. Par chance il devait être inconscient.

La jeune femme avait retenue son souffle quand elle avait arrêtée de parler. Normal vue ses paroles. Mais qui étaient pourtant juste. Au niveau des pensées horribles personnes ne semblait lui arriver à la cheville... et pour cause! Il les détalait oralement, mais tous savait qu'il gardait une partie de ses pensées, surement les plus horribles, au fin fond de son esprit. Mais la preuve était la... il venait encore de débiter à une innocente jeune femme des brides d'horreur.... Les circonstances de la mort de la victime... L'homme qu'il était aurait voulu se gifler. Pourquoi faire subir cela à une pauvre stagiaire? Elle avait rien demandée... L'anthropologue lui avait finalement demandé en quoi il pouvait lui être utile. Elle lui avait demandée pourquoi il faisait ce travail...

- Mademoiselle Riley voyez-vous mes parents ont été les premières victimes d'un meurtrier connu sous le nom du Vengeur, mais qui est aujourd'hui connu sous le nom de Jack l'Éventreur Jr. La police a abandonnée l'enquête de mes parents. Ce fut à un anthropologue judiciaire à qui revint la tache de les identifiés. Grâce à lui j'ai pu enterrer mes parents sous leur véritable nom et faire mon deuil. J'ai par la suite apprit que plusieurs corps de victime n'était jamais identifier et qu'ils était enterrer sans nom. Cela me révolta car des parents ne pouvait même pas faire leur deuil, espérant toujours que leur enfant rentre à la maison alors qu'il était mort... Je me suis promit de remédier à ce fait. Pour moi l'homme qui avait rendu leur identité à mes parents était mon héro... j'avait 13 ans à l'époque alors... Mais je suivit tout de même sa trace. Il est vrai que la vision de ces corps est certe difficile mais je rend leur nom à des victimes. Je leur permet de reposer en paix. Comme vous l'avez vous je parle beaucoup de Dieu... Contrairement à se que vous devez vous dire ma chère je ne suis pas croyant... Mais cela me permet de rester la tête hors de l'eau... Récemment j'ai eu le corps d'une petite fille de 4 ans... je n'es pas encore pu l,identifier car je n'est pas encore les dossiers qu'il me faut. Mais si je ne m'accrochais pas à ces propos de Dieu je serait en pleine dépression... Mes seules motivation en se qui concerne mon métier est de rendre leur nom au victime, de leur rendre honneur et repos éternel.

Juliette ne pensait pas son profil -ça ressemblait plus à des observations qu'un profil tout compte fait- très bien, en fait, elle savait qu'il était beaucoup trop court pour le moment, trop peu rempli même. Elle n'était pas très en forme aujourd'hui, c'était peut-être dû à son humeur également. Rajoutons la nuit presque sans sommeil et le tour est joué : ce n'était pas son jour pour travailler, ni se concentrer assez pour déduire quoi que ce soit de correct. C'était à cela qu'elle réfléchissait et contre toute attente, Joshua lui annonça le contraire. Ses doutes s'en allèrent et elle reprit confiance en elle. Il rajouta notamment des détails importants qu'elle n'avait pas su voir, comme les coups d'armes blanches dans les côtes et le fait qu'aucun organe vital n'avait été touché. Elle connaissait un peu l'anatomie humaine mais lorsqu'il s'agissait de repérer les organes internes, il ne fallait pas lui demander. Enfin, si elle admirait monsieur Blood, c'était parce qu'il avait un sang-froid impressionnant. Elle se demandait s'il lui arrivait de craquer en plein milieu de son travail quelques fois. Elle ne saurait le dire car son visage ne démontrait aucune expression pour cela.

L'étudiante lui avait alors demandé quelles étaient ses motivations pour avoir voulu devenir anthropologue. Car ce n'était pas un métier facile, et elle devinait qu'il fallait avoir un mental d'acier avec tout ce qu'on voyait. Sa première visite dans le laboratoire lui avait appris quelque chose : on ne savait jamais à quoi s'attendre lorsqu'on arrivait dans cette pièce. Joshua lui répondit donc et elle ressentit plutôt un grand malaise lors de ses paroles. Dévoiler une partie de sa vie n'était pas simple, surtout lorsqu'on devait raconter le décès de ses propres parents. Elle ne savait comment s'y prendre avec lui. Vouloir le réconforter ou le soutenir tout en sachant qu'elle n'avait aucune idée de ce que cela faisait de perdre ses proches ? Finalement, elle décida de faire ce qu'elle pensait de mieux : essayer de le réconforter.

« Je suis désolée pour vos parents, Joshua, fit-elle calmement. C'est bizarre que la police ait abandonné l'enquête. Pourquoi a-t-elle fait ça ? Elle n'avait pas assez d'indices ? »

Ah la bonne blague. Elle ne savait vraiment pas s'y prendre avec les victimes -si on pouvait qualifier Joshua comme ça. Elle s'en voulut une nouvelle fois et se dépêcha de rattraper sa faute :

« Pardonnez-moi. C'était indiscret, ça ne me regarde pas... Est-ce que... est-ce que la police a réussi à l'attraper, ce Jack l’Éventreur Jr. ? »

Elle espérait simplement qu'il allait lui donner une réponse positive. Elle espérait aussi que ce criminel reposait maintenant en prison et allait mourir dans sa cellule, de n'importe quelle façon. Il ne fallait pas vouloir la mort des autres mais cette fois, elle ressentait comme une haine qui s'installait en elle pour cet homme.

La jeune femme qui était rentrée dans son laboratoire, ou sa morgue si vous préférez car Joshua ne faisait pas d'expérience sur ses "patients morts trop tôt", lui avait posée quelques questions et, lui, il l'avait invité à lui donner son opinion sur le corps de son nouveau patient. La jeune femme avait su se montrer assez habile, malgré le fait qu'elle est manquée des détails plus ou moins importants. Mais la jeune femme n'était pas formée pour trouver c'est détails, comment pouvait-elle les voir dans ce cas...? Elle avait peut-être passée une mauvaise nuit comme lui. Après tout, quand on manque de sommeil il est plus dure de trouver les marques et les bonnes réponses. On ne pouvait en vouloir à la jeune femme. De toute manière vu l'état du corps cela n'était pas étonnant pour l'anthropologue judiciaire, lui même cela lui avait prit un moment pour trouver ces blessures. Joshua avait du sang-froid à revendre serte... Mais il perdait facilement son sang-froid lorsque les policiers, ou tout autres enquêteurs, manquaient de respect envers une défunte victime qui était sur sa table d'autopsie. Cela était normal, vue ses croyances, mais en même temps cela prouvait qu'il avait un coeur... un coeur trop sensible.

L'étudiante lui avait demandée ses motivations en se qui concernait le choix de son métier. Cela n'était pas étonnant. Beaucoup de personnes ce le demandaient en réalité. Qui voudrait faire ce travail? Qui voudrait fréquenter des cadavres toute la journée, être baigné dans une odeur de putréfaction ou de brûlé? Beaucoup était surprit en sachant ses motivations. Il était vrai que l'on ne voyait pas un anthropologue judiciaire comme une ancienne victime... On ne voyait pas derrière cet être un enfant dont les parents avait été tué. Il avait raconté, à Juliette, ce qui était arrivé à ses parents. Beaucoup pensait que leur meurtrier avait été arrêté... ou qu'il était mort. En faite s'était à moitié vrai, les meurtriers de ses parents était serte mort... Mais lui il avait endossé le titre aussi. Finalement la jeune femme reprit la parole.

- Je suis désolée pour vos parents, Joshua

Dit-elle calmement.

- C'est bizarre que la police ait abandonné l'enquête. Pourquoi a-t-elle fait ça ? Elle n'avait pas assez d'indices ?

- À vrai dire, de un ils n,avait pas assez d'indices mais aussi car ils se sont concentré sur l'idée de la vengeance. Ce qui n'était pas du tout le cas.

Joshua remarqua que la jeune femme du trouver ses questions idiotes... Pourtant elles ne l'étaient pas. Il était vrai que la police n'avait pas d'indices La jeune femme sembla s'en vouloir et elle se dépêcha de répliquer;

« Pardonnez-moi. C'était indiscret, ça ne me regarde pas... Est-ce que... est-ce que la police a réussi à l'attraper, ce Jack l’Éventreur Jr. ? »

- Voyons, ce n'était pas indiscret ma chère. Et non la police ne la toujours pas attrapé. Il semble aussi avoir évolué. Il court toujours les rues et fait toujours autant de victime. Il ne laisse aucuns indices derrière lui... Il est comme un meurtrier parfait si vous préférez. Il ne laisse que des messages en sang sur les murs. Je le sais pour avoir été appelé sur l'une des scènes d,un de ses crimes... Mais certain pense que le Jack l'Éventreur Jr de notre époque n'est pas le même que celui qui à tué mes parents. Le modus opperentis n'est pas le même, celui d'aujourd'hui est surtout plus intelligent. Il est très dangereux à ce qu'il parait...

Il était désolé de ne pas pouvoir offrir de réponse positive... mais pourtant cela était logique.