Jane| Je suis heureuse de vous rencontrer, Docteure Vanderbilt. Voilà plus d’un an que j’attends votre visite, je suis heureuse que vous soyez venu me voir. De quoi désiré vous parler?
Sissi| De rien.
Jane| Alors pourquoi êtes vous ici?
Sissi| Pour prendre une pause…
Jane| Une pause de quoi?
Sissi| De tout…J’en ai plus qu’assez d’entendre les gens murmurer a mon passage, de voir les photos de ma filles dans mes fond de tiroirs, de recevoir ces lettres… Je veux avoir une vie normal, reprendre le boulot et j’ai besoin d’aide, j’en suis consciente.
Jane| Vous vous croyez prête à retourner travailler? Vous voulez toujours être Profiler?
Sissi| Je crois que je ne serais jamais totalement prête. Je dois essayer pour s’avoir. Et je me vois mal faire autre chose, je n’ai plus beaucoup d’option.
Jane| Vous avez un doctorat en psychologie, vous pourriez ouvrir un cabinet ou enseigner.
Sissi| Je me vois très mal donner des conseils à d’autre personne pour le moment et je crois pas que je sois une très bonne enseignante, mes élèves trouverait sa probablement ironique qu’une profiler du FBI n’est pas fait le profil de son propre époux.
Jane| Très bien, je vous comprends. Alors vous voulez me raconter ce que vous avez fait durant la dernière année?
Sissi| J’ai…j’ai voyagé. J’ai traversé le pays en entier et je suis allez en Russie aussi, perfectionner mon russe. Ma mère était très contente que je me décide enfin… Ensuite, je suis revenu et j’ai trouvé toutes les lettres qu’il ma envoyer, alors…alors j’en ai lu quelques une et je les ai aussi tôt brûlé. Vous savez, j’en reçois une par jour et ça, même si j’ai déménagé. Après, il y a environs un ou deux mois de cela, j’ai décidé de…d’aller voir les familles des victimes. Je me sens coupable vous savez…
Jane| Vous n’êtes pas coupable des crimes commis par votre époux.
Sissi| Je sais, mais je suis profiler! C’est mon travaille de trouver les tueurs en séries, de les repéré! Il était là…tout les soirs à dormir à coter de moi durant plus de sept ans et j’ai rien vu. Tous les éléments étaient là, j’aurais dû savoir.
Jane| Mademoiselle Vanderbilt, vous n’êtes pas coupable et je veux que vous arrêtiez de vous sentir coupable. Maintenant, j’aimerais que vous me parliez de votre vie.

Sissi| J’ai pas envie.
Jane| Si vous êtes venu ici, C’est que vous avez besoin de parler. Et même si vous êtes venu que pour que je vous signer les papiers qui vous permettrait de réintégré votre poste au FBI, je ne le ferrais que si on reprend votre vie du début et que nous en parlons ensemble. Alors, je vous demande de me raconté votre vie dans ces moindre détaille pour que l’on trouve ensemble de bonne solutions et que l’on parle de celle que vous avez prise.

Sissi| Je suis née un 11 juillet il y a de cela 28 ans. Ma mère s’appelle Alekzandriana Oulianov elle est russe et elle travaillait dans le contre-espionnage. En gros, elle disait au gouvernement russe qu’elle espionnait le gouvernement américain alors qu’en fait, c’était l’inverse. Elle a arrêté lors qu’elle à rencontré mon père, elle devait avoir 35 ans je pense. Elle a demandé sa citoyenneté américaine et l’immunité politique avant de se trouver un poste permanant à la CIA. Mon père lui, c’est William Vanderbilt, cinquième du nom. Il est un des descendants de la célèbre famille Vanderbilt, il est avocat mais il à longtemps travailler en politique et il avait un poste important au FBI. C’est quelqu’un de très important. Il avait 38 ans quand il a rencontré ma mère. C’était à un dîner à la maison blanche et ils sont tombé amoureux un de l’autre comme dans les films. Ils se sont marier et ont fondé une famille. Enfin… ils ont eu un enfant ; moi. Ils m’ont appelé Sissi parce que le nom de code de ma mère c’était « L’impératrice » et qu’ils trouvaient ça bien comme prénom pour une princesse. Il faut l’avouer, j’étais traité comme une princesse. J’ai grandit dans la ville de Washington, dans la partie aisé de la ville. La maison familiale est très grande et jolie. C’était le rêve américain; deux parents marié, une jolie petite fille, une grande maison, trois voitures on avait même un chien. Je ne suis jamais aller à l’école avant l’université, c’était des professeurs privé qui venaient me donner des cours à la maison. Je n’avais pas de congé les fin de semaine et pas nom plus de pause pour vacances d’été ou n’importe quel autre congé ; que les congés féries. Étudier à la maison permet d’apprendre plus rapidement, j’étais quatres ans au dessus de mon niveau. Je n’avais pas beaucoup d’amis…en fait, j’en n’avais pas. Il y avait par fois les filles de Georges W. Bush, Barbara et Jenna, qui venaient à la maison quand j’étais plus jeune. Mon père était très ami avec lui et avec une foule d’autre gens très important. Plus tard, je suis aller à l’université. Mes parents aurait bien voulu que je reste encore étudier à la maison, mais se n’était plus possible, ils m’ont donc inscrit dans l’une des meilleures universités en Amérique du nord; Harvard. Oui je sais, ils auraient pu m’envoyer à l’université Vanderbilt mais il ne l’on pas fait. Moi, Yale m’intéressais davantage, mais je suis quand même allé à Harvard. J’étais jeune, mais je savais que je voulais étudier la psychologie. J’ai donc décroché un doctorat en psychologie à Harvard avant d’aller à Yale étudier la criminologie. C’est la que j’ai rencontré mon mari. Il étudiait la littérature anglaise. Je suis tombé amoureuse. Et il m’aimait aussi, j’en étais certaine. Il passait des heures à me regarder étudier, dormir…Il avait le profil, j’aurais dû…

Jane| Sissi, vous n’étiez pas encore profiler, vous ne pouviez pas savoir. Reprenez où vous en étiez. Comment s’appelle-t-il ?
Sissi| Je ne veut pas dire son nom. Ça fait mal quand je le dit.
Jane| Pourtant, ce n’est qu’un nom. Dites moi le.
Sissi| Il s’appelle…Harry. Harry Blake. On c’est rencontré dans la cours, à l’extérieur. Il m’a invité à boire un verre. On s’entendait très bien, tellement bien qu’on c’est marier. J’avais à peine 22 ans. On c’est acheter une maison en banlieue de Washington. Je suis tombé enceinte, alors je n’ai pas commencé à chercher un travaille toute suite, le salaire de Blake nous suffisait. J’ai eu une petite fille, magnifique petite fille, aux yeux plein de vie, au sourire magique. Elle était ma raison de me lever le matin, mon ange, mon rayon de soleil. Je suis resté avec elle jour et nuit jusqu'à mes 25 ans. La, j’ai commencé à chercher du travaille, avec un doctorat en psychologie en poche et un diplôme en criminologie, je n’avais pas beaucoup de choix. Mais mon père ma parler du profilage. Il ma dit que c’était une unité spéciale du FBI en Virginie qui s’occupait de dresser le portrait de tueur pour les retrouver. Il m’a obtenu ce job. Les autres membres de l’équipe étaient pas particulièrement heureux de voir débarquer une petite fille à papa pleine au as qui avait réussit à se faire engager grâce aux contacts de ses parents. Mais j’ai fait ma place et ils ont fini par m’accepter.

Jane| Parlez moi de votre fille. Qu’es qui lui est arrivé?

Sissi| Ma fille se nomme Hope Vanderbilt Blake. Il y a de cela deux ans environ, je suis rentré du travaille et elle avait disparue. On la enlever alors qu’elle jouait dans la cour arrière, du moins c’est que prêtant son père. On l’a cherché durant des heurs, on a alerté la police, l’alerte Amber à été mise sur pied. On ne l’a jamais retrouvé. Elle me manque terriblement. Mais je suis persuadé qu’elle est toujours en vie quelque part!

Jane| Parler moi maintenant de votre époux; Harry Blake et se qu’il a fait.

Sissi| Harry Blake est un tueur en série. Il à commit entre quinze et vingt meurtre. Toutes des jeunes femmes de mon âge, avec les mêmes couleurs de cheveux, les mêmes couleurs d’iris, la même corpulence et environ de ma taille. Il les à toutes assassiner. Il les à enterrer dans une grange dans l’état voisin, la où il est né. Je l’ai découvert lorsque je me suis rendu là bas, pour lui faire une surprise. Je l’ai trouvé, un couteau à la main, une jeune femme qui me ressemblait, vidé de son sang devant lui. Lors qu’il ma vu, il s’est agenouiller devant moi et ma demander pardon, il m’a dit que s’il les tuait, c’était parce qu’il voulait que je sois unique, que personne ne devais me ressembler. J’ai appelé les autorités compétentes qui l’on arrêter. J’ai été suspendu durant l’enquête parce que j’étais soupçonné d’être sa complice. Je ne remets pas en question cette discision, c’était légitime. Ensuite, j’ai prit un congé maladie d’une longueur indéterminé. Maintenant que Harry Blake est en prison pour le reste de ses jours, que ma fille est encore porter disparu, mon job c’est tout se qui me reste et je veux retourner travailler.

Jane| Pourquoi n’avez-vous pas demandé le divorce lorsque Harry à été condamner? Je juge aurait été de votre côté.

Sissi| Parce que…il…il ma dit que s’était lui qui avait organisé l’enlèvement d’Hope, qu’il sait où elle se trouve et que si je divorçais, il ne le dirait jamais.

Jane| Je comprend mieux. Je vais vous signer votre document. Mais vous allez devoir passer me voir une fois par semaine, au début, et une fois par mois ensuite, pour que l’on suive ensemble votre réhabilitation au FBI.

Sissi| Je passerais tout les jours s’il le faut.