Dans l'épisode précédent.....

L'affaire n'avait pas fait grand bruit, il était même étonnant que le FBI soit intervenu pour cela. Leur déplacement n'avait été due qu'au faite qu'il s'agissait d'un établissement scolaire qui s'était plein à la police de la petite ville où elle se trouvait, que les enfants du pasteur montrait des signes évident de maltraitance. Ce qui avait sonner la sonnette d'allarme était que la fille énée n'était pas venu à l'école depuis près de deux mois, et n'avait pas donner signe de vie.
Au final ce fut une affaire parfaite pour tester les nouvelles recrue. Hotchner avait pris avec lui trois apprentie profiler et les avait confrontée à un cas réèl sur le terrain. Le bilan;
Le premier; Doit retourné sur les bancs de l'école ou se contenter d'un bureau. Aucune initiative, tendance à ralentire l'enquête avec ces doutes.
Le deuxième; Eléments prometteur. Doit cenpandant encore beaucoup travailler sur de petite affaire comme celle là. N'est pas encore près à affronter une affaire qui ébranle les Profilers eux même.
Puis il y avait A.J., pour les intimes, ou pour les abréviations radio. Anna Jen. L'agent Rossi l'avait vivement et personnelement recommender pour une mission sur le terrain le plus tôt possible. Pour certain, elle perdait son temps dans un bureau. Reid s'était une fois amuser à lui montrer des photos, de simple photo, et rien qu'avec ce seul élément, elle était parvenu a établir un profil préliminaire exacte dans 67 % des cas présenté.

A.J avais baigner dans le Profilage depuis le début de son adolescence où elle avait été adopter par son père biologique, Tomas Felton, lui même Profiler dans les prisons Anglaise. Il avait ammener A.J avec lui au USA quand il avait fait une étude sur les différentes mentalitées des prisoniers. Au lieu de rester le temps d'écrire un livre il était rester le temps de permètre à sa fille dans s'engager dans cette profession. Elle avait atteind la BAU par piston, mais son talent était indéniable. Elle était faite pour ce travail.

Bilan lors de cette enquête de bleu?; Elément impulsif, doit apprendre à ce contrôler, ces capacitées et sa réactivitée sont exélente. Sa déduction et son travail lors de l'affaire est digne d'un agent confirmé, mais ces deffaux risquent de causé des pertes.

En effet A.J. n'y était pas aller avec douceur. Le profil du pasteur établis en seulement quelque heures sous les yeux de Hotchner comme superviseur avait donner lieu a une perquisition rapide. Elle avait reçu l'ordre de passer par derrière la maison et avait été la première la retrouver la fille énée. Vivante, mais salement amochée par les coups de son père. Cela déclancha chez elle une réaction instantaner que les officiers de police qui l'acompagnaient on tout de suite vu sans rien connaitre du profilage. Une réaction instinctive qui s'était manifester après un très cout labse de temps atrophie devant la scène.
A.J était entré avec aucun intention de sécuriser l'arrière de la maison. Dés qu'elle avait vu le paster, elle avait tirer. Elle lui avait tiré dans la jambe. Sans sommation.
Au millieu des pleintes du paster comme quoi elle était folle. Hoth avait aracher l'arme encore chaude des mains de la rouquine. Totalement frigide elle était alors retourner auprès de la fille du paster.

Hoth, ne l'avait pas réprimender sur le coup. Cela n'aurais servit à rien. La prise de distance, froide, avec l'affaire qu'A.J avait imédiatement manifestée, une fois les enfants en sécurité. La mettait dans un cocon qui aurait assourdit les réprimandes.
Il dut donc attendre qu'ils soit tous rentré à Quantico, et l'affaire clot pour les enfants, pour la convoquer dans son bureau.

Depuis maintenant une bonne demie heure, Aaron était assis à son bureau, avec devant lui une feuille blanche. Il devait écrire tous ses agissements sur la dernière enquête, ainsi que ceux de ses collègues. Pour son équipe, il allait tout expliquer en détail, mais sans rien à redire là dessus. Mais il n'y avait pas seulement les agissements de ses six collègues et lui même qu'il devait expliquer, mais aussi celui des trois jeunes stagiaires qu'il avait du prendre, car ce n'était pas une affaire délicate à traîter. Normalement, il ne devait prendre que Juliette Riley avec lui, mais cette dernière était absente et ses supérieurs l'ont contraint de ne prendre pas une, ni deux, mais trois stagiaires. Heureusement qu'ils ne devaient pas aller sur le terrain, ou du moins c'est ce que Aaron avait pensé, jusqu'à ce qu'il voit la jeune stagiaire rousse, Anna Felton. Il lui avait -comme à tous les stagiaires- de rester aux bureaux, mais apparemment, elle n'avait pas suivi les conseils.

Tout aurait très bien pu en rester là, et faire comme si rien ne s'était passé, mais, la jeune femme avait tiré sur un homme et l'avait blessé. Aaron n'avait rien pu faire l'en empêcher. Après les faits, il l'avait regardé d'un oeil noir. Peut être trop noir, mais elle ne savait pas que ce qu'elle avait fait pouvait avoir des conséquences. D'énormes conséquences, que ce soit pour elle ou pour Hotch. Pour Anna, elle allait surement être suspendue à cause de cette faute et une enquête allait surement être ouverte pour approfondir les faits, mais pour Aaron, il serait soit suspendu dans le meilleur des cas ou licencié si Strauss lui cherchait toujours des piques, car c'était une faute grave. Heureusement que ce pasteur avait tout simplement était blessé mais toutes les accusations allaient être portées sur lui car il était chargé des trois stagiaires. Et si ce pasteur avait été abattu ? Là, Aaron aurait du définitivement faire un trait sur sa carrière en tant qu'agent du FBI. Mais par chance, ça n'ira pas jusque là.

Aaron n'avait jamais eu autant de doutes qu'à cet instant précis. Il n'était même pas sûr que si son équipe essayait de convaincre Strauss que ce n'était nullement de sa faute, qu'il garderait sa place au sein du Département. Il ne se voyait vraiment pas à un autre poste que celui qu'il occupait, il aime son travail, même si ça lui a coûté un divorce et la mort de son ex-femme. Il ne pouvait pas s'imaginer ailleurs. Il avait eu l'idée de ne rien dire à ses supérieurs sur ce coup de feu, mais tout le monde était déjà au courant. Il se leva pour aller à la fenêtre et regarda la pluie tomber. Il croisa les bras sur sa poitrine et essaya de trouver une quelconque solution -s'il en existait une. Il regarda la grosse horloge qui était placardé sur un des murs de son bureau. Elle affichait bientôt dix huit heures trente, l'heure à laquelle il avait convoquée Anna Felton. Il devait lui parler, il devait lui faire savoir qu'avec cette grosse erreur, elle risquait sa place, et celle d'Aaron également. Il se promit intérieurement qu'il allait rester le plus calme possible, mais c'était plutôt facile à dire qu'à faire dans une telle situation. Maintenant, il l'attendait, elle n'allait sans doute pas tarder à arriver.

La convocation d'Anna Jen dans le bureau de Hotchner n'était pas passer dans les oreilles de sourds. Ici comme dans une école, quand quelqu'un était convoquer chez le directeur, tout le monde le savait. Mais elle n'avait absolument pas fait attention aux murmures et autres regards portés sur elle tout au long de la journée. Elle avait fait son travail quotidien, tout simplement.
Pourtant elle s'avait parfaitement que ce qu'elle avait fait était grave. Elle connaissait la notion du bien et du mal. Mais quand elle avait vut cette fille couverte de blessures dans le garage, l'espace d'un instant elle s'était revut à l'âge de 7 ans dans sa chambre, des équimoses sur les bras. Il ne lui avait fallut qu'une fraction de second pour perdre le contôle et ce mettre à la place de la victime, sans les séquelles et avec son caractère actuel. Son arme à la main, elle était entré dans la maison, l'esprit étrangement vide, et avait appuyer sur la détente.
Elle avait à peine sentit la main de l'agent Hotchner lui arracher son arme encore chaude. Ni même entendu les insultes du pasteur. Un peut à la manière d'un zombie. Elle était alors retourner à son poste initial; Au près de la victime.
Durant tout le trajet retour elle avait éviter les regards, ce plongean dans le dernier livre de son père adoptif, qui l'avait adopter plus tard, à 14 ans. "Prison; différentes méthode celon les pays." Elle avait tout fait pour oublier cette écart de conduite qui lui avait parrut inssinifiant sur le moment. Mais aujourd'huit, elle devait en répondre devant l'agent Hotchner.

Elle fut très exactement à l'heure, à la second près au bureau de ce dernier. Elle frappa, attendit qu'il lui réponde, puis entra avec une parfaite maitrise d'elle même. Mais avec le culot de prendre la parole en premier.

_"Je reconnais entièrement mon erreur monsieur. Je...

**... ne vais pas m'étaler sur mon véccu personnel** penssa t-elle

_"... J'ai fait l'erreur de croire que j'étais capable de me retrouver face à une victime. J'ai présumé de mes forces. Je m'en remet à votre décision. Monsieur."

Elle attendit qu'il parle, cette fois, devant le ploton d'exécusion, elle ne pouvait plus cacher son anxiétée. Ce travail était toute sa vie. Elle n'avait plus rien, à cette instant, de la rouquine froide qui ce protège derrière un bouclier de glace. Que seul deux choses au monde pouvait faire fondre. Et cette cituation en était une.

Aaron entendit qu'on frappa à la porte. Il regarda lune nouvelle fois l'heure sur l'horloge qui affichait cette fois dix huit heures trente pile. Anna était à l'heure et il valait mieux pour elle. Il soupira, Aaron n'aimait vraiment pas réprimander ses collègues, il préférait quand tout se passait pour le mieux du début jusqu'à la fin de l'enquête. Il se retourna pour faire face à la porte et demanda à Anna d'entrer. Il voulait en finir au plus vite, et Anna devait surement souhaiter la même chose, car se faire réprimander n'était pas une partie de plaisir. Il allait prendre la parole en premier mais fut tout de suite devancé par Anna qui, à peine fut-elle entrée qu'elle reconnaissait son erreur. Il la regarda, l'air impassible, froid, ne laissant passer aucune émotion sur son visage.

Asseyez-vous s'il vous plait

Une fois chose faite, il se déplaça jusqu'à son bureau et s'y assit. Il croisa ses mains, regarda quelques secondes la feuille blanche où il devait écrire son compte rendu de l'enquête et reporta enfin son regard sur Anna. Puis il prit enfin la parole.

C'est une chose de reconnaître son erreur mais s'en est une autre d'avoir désobéit à mes ordres. Imaginez si tout s'était passé autrement et que vous l'auriez tué, ou alors si vous aviez blessé un agent ?

Cette affaire lui rappelait celle d'Elle Greenaway qui avait tué un violeur de sang froid. Cette histoire était similaire mais pourtant tellement différente, car quand Anna avait tiré sur cet homme, toute l'équipe d'Aaron était là. Elle n'était pas seule avec lui, comme pour Elle. Là, ils avaient tous vu ce qu'elle avait fait, et maintenant c'est pour cette raison qu'il y avait tant de problèmes. Les supérieurs allaient surement ouvrir une enquête, interroger tout le monde sur cet incident... Il reprit la parole une nouvelle fois.

Je dois rédiger un compte rendu de l'enquête et tous les actes des agents présents dans cette enquête. Si je note que vous avez tiré sur un homme déjà menotté, vous pouvez tirer un trait sur votre carrière, et je vais également être sanctionné. Si je ne mets rien, on va me demander pourquoi il y a eu cet incident, et ce qu'il s'est passé va forcément se faire savoir d'une manière ou d'une autre. Alors maintenant on fait quoi ?

Aaron n'attendait pas vraiment une réponse à cette question de la part d'Anna. Lui même ne savait pas quoi mettre, c'était plutôt une interrogation pour lui même dite à voix haute.


[Désolée pour le temps de réponse, j'espère que ça ira comme ça et j'espère aussi ne pas te faire patienter aussi longtemps la prochaine fois ]

Anna Jen s'exécuta et pris place sur le siège en face du bureau de Hotchner. Elle écouta chacune de ces paroles de son supérieur et chercha une réponse. En aucun cas elle ne voulait le mettre en mauvaise posture. C'était la pire des choses à faire, même un supérieur qui n'est pas apprécier reste une personne influente. Cela la poursuivrait même pour devenir une simple vendeuse. Une employer qui met son patron dans le collimateur à la première occasion n'est pas une personne qu'on a envis d'embaucher. Même si cette dernière à des références en béton. Donc la première proposition était inenvisageable. Quant à la deuxième, elle y réfléchit un instant.

_"J'ai passé les 14 première années de ma vie à mentir tous les jours. A trouver des moyens pour ne pas me mettre en maillot de bain devant toute la classe et les professeur de sport, ou cacher des choses qui m'aurait valut une autre marque. A la fin j'arrivais même à aimer la douleur à tel point que je tendais la perche pour recevoir les coups. Jusqu'à ce que ma meilleur amie me raconte que son père ne l'avait jamais frapper. C'est là que j'ai compris que ce n'était pas une preuve d'amour. Elle m'a aidé à prendre des photos pour preuves et quelque mois plus tard je changeais de nom en; Felton. Mais je n'ai jamais été séquestrée dans un garage, je n'ai jamais saigné, comme cette jeune fille,..., Pas encore,..., A son j'avais déjà changé de vie,..., De toute évidence j'ai fait un transfère. Si je n'avais pas porté plainte pour être adopter par mon père biologique je me serais surement un jour retrouver comme elle..... Je n'ai véritablement pas réfléchit, je n'étais même plus moi-même. Le pasteur était devenu mon père et j'avais le moyen de me venger.

A.J marqua une pose afin de retenir les émotions qui commençaient à percer sa carapace.

_"J'aurais pu me contenter de le frapper, cela aurait été moins grave. Mais les armes à feux sont tellement plus facile,..., Voilà pourquoi il y a eu cette accident. Mais pour ma défense, aussi simpliste soit-elle; Il n'y a pas eu de mort. Une simple balle dans la cuisse. La mort est plus douce que la vengeance. Dans quelque mois il pourra recommencer à battre ces enfants."

Elle regarda cette fois Hotchner droit dans les yeux.

_"Coller moi toute les sanctions que vous voulez, je le mérite largement. Là où j’ai personnellement eu la chance d’avoir un autre père, ces enfants quand a eu on maintenant une chance sur deux de ne plus être battu. Je considère que j’ai fais ce qu’il fallait."

Quand Anna commença à se justifier, Aaron ne voyait pas vraiment le rapport entre le tir sur le pasteur et l’histoire de la jeune stagiaire. Ce n’est que quand elle commença à parler des coups que son père lui infligeait qu’il comprit que les enfants que le pasteur avait kidnappés lui rappelait son père qui la ruait de coups. Il comprenait oui, mais elle n’était pas la seule à se faire battre dans son enfance. Aaron a vécu lui aussi une enfance difficile et bien que des fois, il avait envie d’infliger les mêmes tortures à ces monstres, il ne faisait rien car il ne laissait pas ses émotions prendre le dessus. Être profiler, c’est laisser ses émotions de côtés et ne surtout pas s’impliquer émotionnellement.

Vous avez beau me raconter tout ça mais il n’y a pas que vous qui avez vécu des choses de ce genre et pourtant toutes ces personnes ne tirent pas sur un homme qui a fait des choses similaires à d’autres.

Aaron regardait Anna droit dans les yeux, sourcils froncés. Il n’insinuait pas que dans ces personnes, il était l’un d’eux, il n’avait presque jamais raconté qu’on lui foutait une bonne raclée de temps à autre et il n’allait pas le dévoiler aujourd’hui, même si ça pourrait être un très bon exemple.

Le frapper aurait été exactement la même chose. Vous avez agis de manière inconsidérée, vous aurez très bien pu mettre la vie de vos collègues en danger et la vôtre également. Et non, il ne sortira pas dans quelques mois, quand il s’agit d’une affaire où la vie d’un enfant est en jeu, la peine est très lourde, sans parler des prisonniers qui l’attendent.

Tout le monde le savait, les prisonniers ont une conscience quand il s’agit des enfants et ils trouvent inhumain de s’en prendre à eux. Les prisonniers réservaient toujours un accueil chaleureux aux nouveaux qui maltraitaient les enfants, ils leur font en quelque sorte subir ce que l’enfant a vécu.

Les sanctions, vous les aurez, mais si jamais vous restez, apprenez à contrôler vos émotions et ne désobéissez plus jamais à un ordre. Est-ce clair ?

Devoir réprimander un collègue n’était pas la tâche la plus agréable en tant que chef d’équipe, si les supérieurs décidaient qu’elle allait rester dans l’équipe, Aaron lui ferait bien savoir que si elle recommence, la prochaine fois elle n’aurait pas de seconde chance.

Anna Jen n'avait pas pour habitude de parler de son passé, et encore moins de parler de son père adoptif et biologique depuis qu'elle était à Quantico, mais Hotchner semblais vouloir l'entrainer sur se terrain. Elle retin un sourir en coin quand il dit que le paster allait passer de mauvais jours, bien plus long que ce qu'elle avait dit. Cependant Anna avait une expérience des prisons, elle y avait fait ces premières armes entant que Profiler, amateur soit, mais au côté d'un professionnel dans le dommaine.

"Monsieur. C'est un paster,..., Que les criminels d'enfants ne soit pas aprécier en prison cela je ne le remet absolument pas en doute. Mais vous oublier deux facteurs important. Le premier est tout simplement la bonne conduite. Un homme d'église est un professionnel dans ce dommanise. Passer pour le plus sage des hommes de l'établissement pénitencière sera pour lui aussi facile que ce qu'il a fait à ces enfants. Ensuite il y a faite qu'une majorité des prisonniers, celon l'établisement ce tourne imencablement vers la religion pour de multiple raison louable ou pas. Cette homme ne fera jamais la totalitée de sa peine,..., j'en mettrais ma main à coupé."

Les sanctions, vous les aurez, mais si jamais vous restez, apprenez à contrôler vos émotions et ne désobéissez plus jamais à un ordre. Est-ce clair ?

A.J répondit imédiatement. On aurait presque dit un soldat en ligne et en garde devant un haut grader.

"Très claire monsieur."

Un instant de silence qui sembla dure bien plus longtemps qu'il ne l'était passa dans la pièce. Anna ce mordillant machinalement les doigts de sa main guauche en réfléchissant. Il lui revint alors le souvenir de son premier pas comme assistante de son père dans une prison Anglaise. L'homme en question avait été emprisonner pour fraude fiscale, ce qui d'après le père d'A.J. était le moins choquant pour sa fille. Mais il n'avait pas pris en compte l'inteligence de l'homme. Une chose qu'on oubliait souvent chez le criminel.
Ce dernier avait eu comme explication à la présence de la jeune fille de 16 ans qu'elle entamait des études de criminologie et qu'elle venait donc voir a quoi un simple entretien ressemblait. Ce qui était en partie vrai car déjà à l'époque A.J., qui avait montré de grande capacitée pour ce métier et in intéret à suivre la carrière de l'homme qui l'avait en quelque sorte sauvé.
Juste avant de partir l'homme avait dit à A.J. ; "Une chose est certaine et vraiment très logique petite; Les meuilleurs profilers sont les criminels eux même,..., parce qu'ils sont déjà dans la tête de ceux qu'ils chasse."

Le père d'A.J. qui avait également entendut cela avait passer plusieurs semaine à la surveiller afin de vérifier que cette phrase ne l'avait pas choquer. Sur le moment cela n'avait pas eu d'effet sur elle, trop occupée a ce construire une nouvelle vie. Mais il n'avait pas pris en compte un effet à retardement. Avec cette acsident, et les problèmes que certain profiler avait pour s'évader du travail; ces quelque mot lui semblait à présent d'une véritée sans nom.
Elle ne peut allors s'empêcher d'analyser la froideur de Hotchner. Ils avait la même, à cela près qu'il avait a son actif des année de cruoté dans la tête. Mais l'agent Rossi aussi. Et il n'avait pas cette facette froide.

"Vous aussi n'est-ce pas?, vous avez été battut. Chacun ça carapace mais certaine ce ressemble.