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La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan

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MessageSujet: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyJeu 9 Aoû 2012 - 17:20



Souffle affolé, grognement animal. Sous la traction de leur mâchoire, le tissu se froissait, se déchirait. Trois bestiaux, trois chiens se disputaient la carcasse inerte d’un autre type d’animal. Le genre qui vous fend le cœur, l’arrache à mains nues et fini par vous hurler dans l’oreille que « pitié, je vous jure que je ne recommencerais pas ! ». Clac. L’un de clebs avait fini d’entamer sa cuisse et croquait sec sur le squelette ramolli de Sylvie. Pauvre Sylvie, pensa Thomas. C’était une mère de famille célibataire dont les gosses s’étaient fait enlever, il y a quelques mois de ça. Les journaux avait été leur première rencontre. Il s’était approché et avait secoué ses doigts ornés de bagues en or, serties de faux diamants, d’aigues-marines et de pierre colorées. Lui avait avoué l’admirer pour son courage. Comment faire face à un tel drame, n’est-ce pas ? Et puis il était là, maintenant. Il l’aiderait à faire son deuil. Thomas s’était amouraché de cette quarantenaire détruite et effondrée. Ce qu’il avait demandé en retour, c’était juste de la loyauté. De la loyauté, bon sang ! Juste ça. Un peu de reconnaissance. Elle s’était trouvé un bel éphèbe au coin d’une rue et Thomas avait bondi. N’avait d’abord rien dit et lui avait collé sous le nez un mouchoir imbibé d’éther cette soirée-là. Attachée comme une truie, il avait accepté de lui rendre grâce après lui avoir tondu sa petite coiffure de garçonne. Les trois monstres s’étaient excités tous seuls lorsque Thomas avait versé la première goutte de sang d’une fine entaille sur la joue. Avant de les lâcher, il lui avait confié l’aimer et l’embrassa tendrement sur le front. « Attaque. »

A cette heure de la soirée –ou de la matinée, ce qu’il en savait- on ne trouvait plus âme qui vive dans le parc. Quand il jugea la décomposition assez entamée, il fit renifler le mouchoir à ses fidèles amis et pris le temps de rassembler les restes sanguinolents dans un sac plastique, rajoutant un poids de plomb et jeta la dépouillé emballée dans la marre. Les chiens ne s’étaient pas effondrés. Le nuage soporifique s’était dispersé dans sa poche et il en fallait plus pour de telles créatures avant de tomber raide. Mais ça avait suffi à calmer leur frénésie et à les assommer pour quelques minutes. L’eau bulla une ultime fois. Bye bye Sylvie. Thomas coinça une clope entre ses dents et sortie un briquet en s’effondrant sur le banc le plus proche. Il s’y reprit à trois fois avant d’abandonner et de se décider à craquer une allumette. L’un des chiens dressa les oreilles et disparut derrière un buisson.

Aux pieds ! Reviens-là ! Comme il refusait de se répéter pour un animal aussi con, il se releva d’un soupire et dirigea son attention derrière le feuillage, insultant la bêtise du chien. Sale clébard ... Aux pieds, j'ai dit !

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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyJeu 9 Aoû 2012 - 19:38

Première semaine de sortie de l'hôpital. Cela faisait du bien de pouvoir sortir sans garde du corps et sans qu'on vous prenne pour un dingue. Sam avait reprit du poil de la bête comme on disait. Ce petit homme avait vu des choses qui le hantait encore beaucoup, et il avait beau aller voir le psy cela ne l'aiderait pas du tout à avancer. Il n'était pas de ceux qui parlaient d'eux tout le temps. Sam aimait parler des autres, enquêter sur les autres, en apprendre sur les autres, mais jamais il aimait parler volontairement de lui. Ce n'était pas du tout son truc. Et la psy avait dut s'en rendre compte. Enfin pour le moment il était libre. Il vagabondait dans le parc comme tout les soirs depuis une semaine. Il avait été une fois sur la tombe de son père. Il n'avait pas pleurer, il n'avait rien dit, rien fait. Il était comme perdue et invisible. Il n'avait rien osé dire au risque de se faire avoir par ses sentiments... Il avait également été au commissariat. Et avait regarder une dernière fois le bureau de son père. Il avait récupérer la photo que son père gardait toujours sur son bureau : Sam et lui, l'un contre l'autre, son père souriait et Sam avait entourer ses bras autour du cou de son père pour lui faire un calin, leurs regards étaient pétillant et ravie, ils étaient heureux... Le jeune garçon avait également mit dans son sac tout un tas de dossiers. Il savait que c'était des copies, mais si son père n'avait pas put les terminer alors il le ferra, car après tout c'était de sa faute que son père était mort !

Comme tout les soirs donc, l'adolescent était venu dans le parc vêtue d'un jean ample, d'un t-shirt et d'un polo noir ample et à capuche. Il avait son casque et son MP3, il écoutait une musique à fond, Na, na, na, de My Chemical Romance. Il avait courut un peu et s'était poser derrière un arbre, le MP3 était tellement à fond qu'il n'avait rien entendue des cris qu'il y avait eut dans le parc, mais pourtant il n'était pas si loin que ça. Il se réveilla après s'être endormit sur un dossier. Une femme avait disparut et n'avait jamais été retrouver. Personne ne savait ce qui lui était arriver, sauf que certains voisins disaient qu'elle était avec un gars juste avant et d'après les dire de ces gens c'était un ancien criminel, un type vraiment louche. Sam avait enquêter et avait trouver le dossier du mec, mais ne l'avait pas encore regarder. Il comptait le faire après avoir dormit un peu. Mais un bruit dans les buissons d'à côté le fit sursauter. Il retira son casque tranquillement et vis un chien lui atterrir dessus. Il fit un bond et se mit debout. Il avait les deux dossiers dans les mains et les remettant dans son sac comme il put il fit :

"Hey ! Oh calme toi mon pote !! Je suis pas un steack fou moi la paix !"

Le chien avait du sang sur la gueule, avant cela ressemblait fortement à dur sang. Sam lui avait également un signe distinctif : un bracelet d'hôpital avec marquer dessus sa chambre. Le garçon flippait un peu car il détestait les chiens, en faite depuis la mort de son père, il détestait tout ! Les chiens, les chats, les gens, les voitures, les lumières, les cours...Il entendit un homme appeler le chien et visiblement il semblait en colère, Sam fronça les sourcils et vu que maintenant il ne faisait confiance à personne il se méfiait de cet individu qui allait se pointer dans ...4, 3, 2, 1, ...maintenant. Sam fit un :

"Il est là..."

Puis il dévisagea l'homme, ce type lui disait un truc mais quoi ? Il en savait rien, mais à son air un peu énerver, Sam se demandait si il n'avait pas interrompu un truc...LE gamin fit ensuite :

"Vous pourriez rappeler votre chien s'il vous plait ?"

Oui parce que Sam était coller contre l'arbre et n'osait plus bouger au risque de perdre une partie de son corps.
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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyJeu 9 Aoû 2012 - 20:31



Comme frappé de stupeur, Thomas s’immobilisa. Sous la masse de l’animal se tortillait un adolescent en proie à une panique modéré et contagieuse. Il attrapa violement le rodvailer par la peau du cou et tira tout son poids sur le côté, lui hurlant de se calmer. Le bestiaux alla geindre plus loin, Thomas se perdit dans ses appréhensions, le regard fixé sur le jeune garçon. Ses affaires, ses vêtements. Depuis quand il était là ? Il l’épiait ?

C’est pas mon chien.

Thomas récupérait parfois des animaux errants, les nourrissait à peine et les dressait selon ses desseins. Mais finalement, l’élevage canin n’étant pas à la portée de son porte-monnaie, il les abandonnait sur des routes ou … Ou dans des parcs. Ces trois-là avaient sans doute appartenu à un clochard ou à un militaire. Lorsqu’il avait jeté son dévolu sur l’un d’eux les deux autres, inséparables, s’étaient jetés sur Thomas avant de lui confier leur confiance et leur loyauté. La pupille cherchant un visage sous l’obscurité de la nuit, il s’approcha du garçon en lui époussetant l’épaule. Expérimenter ses propres réactions. Pensait-il que ça l’aiderait à savoir de quoi a été témoin le garçon. Mais encore trop méfiant et trop prudent, il préféra s’imaginer les scénarios les plus probables. Un espèce de mendiant ou quelque chose comme ça. On se calme. Il n’a rien vu. Rien. N’est-ce pas ? Thomas hésita. La main droite dans sa poche, il resserrait un peu plu le cran d’arrêt entre ses doigts. Il redressa le dos, détendit les épaules d’un mouvement circulaire et élargit son sourire.
Dis-moi … Ça fait longtemps que tu squattes, comme ça ?

Agité et anxieux de savoir ce que le gosse pouvait avoir vu ou entendu, il décida de ne pas lui laisser le temps de réfléchir à un mensonge. Il glissa la lame sous sa gorge et le plaqua de sa main libre contre l’écorce.

C’est mauvais, tu sais, de –non, ne te fatigue pas à crier, s’il te plait- de se balader comme ça, dans le parc à cette heure. Mmh ? Tu faisais quoi ? Un pique-nique sous les étoiles ? Maladroitement, ses doigts glissèrent sur son torse, sous sa veste. Puis palpa ses poches et en sortit un portefeuille. L’ouvrit et découvrit une carte d’identité. Sam … Ricana-t-il en lisant. Sam. Dis-moi, Sam. On ne t’a jamais dit de ne pas écouter aux portes ? Conclu-t-il, convaincu d’avoir été espionné par un morveux de moitié son âge.

L’heure et le lieu lui laissait toute l’assurance de hurler, crier, siffler. Il n’y avait personne. Et Thomas songea un quart de seconde que par prudence valait-il mieux envoyer le gosse saluer Sylvie au fond de la marre. Mais mué d’un caprice d’enfant, le jeu lui plaisant trop pour déclarer tout de suite le Game Over, il appuya un peu plus sa main contre la poitrine du garçon et joua de sa peur avec sa lame caressant sa gorge.
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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyJeu 9 Aoû 2012 - 21:55

Sam s'était redresser dès que le type avait viré le cleps de là. Non mais c'était quoi son délire à ce chien ? Et Sam naturellement qui en se redressant fit un :

"Merci."

Il s'essuya son jean. Il ne lui en restait pas des masses vus que ses affaires avaient pour la plus part étaient foutus dans des cartons dans un boxe à la sortie de la ville, avec les affaires de son père, et surement celle de sa mère également. Le garçon remit son casque correctement au niveau de son coup et redressa son regard vers l'homme. Il fit un pas de recul lorsque le gars lui retira un peu la terre de son épaule. Sam le regardait étrangement, c'était qui se type ? Il l'avait déjà vu c'était certain, mais où ? L'homme paraissait nerveux, tout comme Sam. Le garçon aux yeux chocolats déglutit difficilement et tenta de trouver un échapatoire, mais l'homme lui demanda depuis combien de temps il était là. Sam plissa les sourcils et commença sa phrase :

"Je sais pas, je me su..."

Il fut plaquer violemment contre un arbre et se retrouva avec une lame sous la gorge. Mais c'est pas vrai qu'est-ce qu'ils avaient tous à vouloir lui trancher la gorge ? Non mais oh ! On se calme là, Sam n'avait rien fait. Le gosse retint son souffle et écouta le type, le gamin fit ensuite :

"Je...j'ai rien sur moi, j'ai pas d'argent, laissez moi partir, j'étais juste venus me détendre et écouter ma musique...J'ai rien entendue et rien vus ! Foutez moi la paix !"

Lorsque le type alla tattonner sa poitrine pour chercher un porte feuille, le garçon eut un recul de peur. Il avait peur que le type veuille faire autre chose, mais visiblement ce n'était pas son intention, tant mieux, songea Sam. Le gars lui parla et Sam lui lança un regard plutôt noir, ce n'était pas la première fois qu'il se retrouvait dans cette situation. Le garçon serra les dents et contrôla sa respiration. Il tourna sa tête sur le côté, comme si sa gorge tentait d'échapper à la lame. Et il fit en même temps :

"J'écoutais ma musique c'est tout...je sais pas qui vous êtes lâchez moi !"

Il fallait l'avouer, Sam était devenue légèrement insolent depuis sa rencontre avec Nolan, un tueur en série que Sam avait déranger une fois, et qui avait tuer son père, mais le garçon avait une peur panique de ce type, mais là, ce n'était pas le même gars. Sam ne le voyait pas, il ne savait pas qui s'était et il s'en foutait, il pensait déjà à comment se tirer de là. Le frapper ? Oui bien sur, pour se faire dévorer par ses colosses ? Bien tenter mais on repassera ! Traverser la marre à la nage ? Ou pas, Sam ne sait pas nager ! Enfin il sait mais pas sous la panique ! C'est pas un poisson quoi. Sam ne trouvait toujours pas de solution pour se barrer. Ses mains s'étaient resserrer nerveusement contre son ventre, comme si il voulait empêcher quelque chose, c'était plus par peur qu'autre chose ! Bon sang pourquoi s'était-il endormit ?
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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyJeu 9 Aoû 2012 - 22:57



Il avait l’air sincère. Thomas plissa les yeux, chercha quelque chose comme un signe ou un mensonge. Quelque chose, n’importe quoi. Le regard parlait. Celui de Sam hurlait. Il suintait la peur, la panique. Compréhensif, il relâcha un peu l’étreinte, cessa de compresser ses poumons et enfoui le portefeuille dans la poche arrière de son jean. Une précaution de voleur. La lame de son arme s’emboita à l’intérieur du manche et Thomas lui tapota affectueusement la joue avant de le lâcher. Sourit. Fit un tour sur lui-même pour évacuer ses propres inquiétudes et siffla ses chiens qui accoururent aux pieds de leur maitre provisoire. Thomas ne pouvait pas le laisser. C’était un gros problème, ça. Un gros. Il allait fouiner, peut-être découvrir quelque chose avant l’heure. Non, c’était dangereux. De le laisser là. Une envie fourmillante lui agitait le bout des doigts. Celui d’encastrer son poing dans la figure de cet isolent. On se calme. Calme. Le mot résonna pour ses chiens, flairant curieusement les pompes de l’adolescent. Thomas priait pour que dans l’obscurité, le garçon n’ait pas vu son visage. Il finit par céder et tenta d’assommer Sam d'un coup sec.

Pourquoi tu me prends pour un con, Sam ? Je veux dire … T’en qu’à trouver une excuse, être un petit peu original. Il repoussa la gueule d’un des chiens qui trouvait de quoi s‘exciter sur les chaussures de pauvre adolescent. -couché, le chien !- Enfin, tu me connais pas, je te connais pas, j’ai envie de dire : Jamais au premier rendez-vous, hein ? … Enlève ta veste.

Ecouter de la musique à 2h du matin dans un parc désert était sans doute l’alibi le plus minable qu’il ait entendu. Et la crédibilité de ce dernier lui parut soudain si grotesque que ça en devenait hilarant. C’était attirer son attention sur autre chose. Sur lui. Passer pour un voyou, un voleur, un clochard, on s’en tape, finalement. C’était ne pas se faire étiqueter de tueur. Tueur. C’était un vilain mot qu’il ne voulait pas voir graver sur son front. Et il aurait été fâcheux qu’un simple témoin –ou tout du moins, un indésirable- vienne lui gâcher son plaisir.

Puis ses yeux se dérobèrent sur le sac à moitié fermé qui crachait quelques feuilles volantes. La situation, Thomas la trouvait étrange. Il bouscula le garçon et tira sur le sac qui acheva de se vider sur le sol mouillé. Se pencha et ouvrit un dossier cartonné. En survolant les mots, Thomas reconnu des noms familiers, des lieux, des instants de sa propre vie. Une peur bleue traversa son corps et glacé, il remonta le regard sur Sam. Ça, c’était particulièrement mauvais. Il lâcha le dossier et comme s’il ne s’était jamais calmé, repris son arme et passa ses doigts en étau autour de son cou.

Tu ne me connais pas ? Hein ? Deux fois, Sam. Deux fois ! Définitivement certain que l’adolescent l’avait suivi, il entreprit de rajouter quelques goutte de son produit sur le mouchoir. Ne m’en veut pas mais, je crois que toi et moi, on va devoir discuter un peu.

Thomas tenta de lui enfoncer le bout de tissu dans le visage, tout en mesurant combien de mètres il devra trainer son corps inerte jusque dans la voiture.

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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyJeu 9 Aoû 2012 - 23:28

Sam avait du mal à calmer son angoisse. Le mec le relâcha et lui tapota la joue comme si c'était juste un mal entendue. Sam reprit des couleurs et se décala légèrement, mais le chien du mec commença à s'excité sur la chaussure de Sam. Le gosse ne comprenait pas ce que sa vans avait à voir la dedans ! Sérieux si c'était ça qu'il voulait il allait la lui donner ! Le gamin prit soudainement peur lorsque le gars le plaqua de nouveau contre l'arbre et il lui déclara que son escuse n'était pas bonne. Sam ne comprenait pas, ce n'était pas une excuse, il s'était endormit, vraiment endormit ! Il fit :

"Non, je dis vrai Monsieur, je me suis endormit ! Je vous jure !"

Le gars lui parla d'un premier rendez vous, et comme quoi on ne le faisait jamais. Sam tenta de comprendre cette phrase. Et là tout un tas de scénario se fit dans sa tête. On embrassait pas au premier rendez vous, ou peut être que si ? Il en savait rien en faite. On ne parlait pas argent au premier rendez vous ? On raccompagnait la personne au premier rendez vous...Qu'est-ce qu'on ne faisait pas au premier rendez vous ? Soudain cela lui apparut comme une évidence lorsque le gars lui dit de retirer sa veste. Sam resta bloquer sur lui même et ne bougea pas. Hors de question qu'il fasse ça. Plutôt mourir ! Ou courir, ou nager, enfin pas ça quoi ! Le mec fut ensuite attirer par le sac de Sam, et le garçon, malgré sa peur comprit une chose, c'était son sac ou lui. Il laissa donc le sac au gars, qui le vida. Le gamin, recula un peu histoire de tenter de se barrer en courant. Mais le mec devint complètement dingue et le prit à la gorge comme un étaux. Sam porta ses mains immédiatement sur les mains du mec et essayait de se débattre au risque de se prendre des coups. L'homme lui fit clairement comprendre qu'il allait l'enlever ! Sam se débattit et fit :

"Ce sont...des dossiers....a ...mon père..."

Il essayait de se défendre d'une certaine manière. Le gars tenta ensuite de lui foutre un truc dans la bouche, Sam ferma la bouche le plus qu'il put, il arriva à se de retirer de l'étreinte du mec en lui donnant un coup dans les parties génitales. Il commença à courir mais le gars le rattrapa par derrière et lui coller le mouchoir sur le nez. Sam s'évanouir en quelques minutes, laissant son casque et son mp3 tomber au sol. Le gosse était devenue un poids moyen. En temps normal Sam pèse dans les 60 kilos, mais depuis son séjour à l'hôpital, il était plutôt dans les 55 kilos. C'était donc une véritable crevette. Le gosse était endormit...qu'allait-il lui arriver maintenant ? Ce que ni Sam, ni Thomas ne savaient, c'était que la police quadrillait le secteur à la recherche de Sam justement, l'hôpital était en alerte. Le gamin devait être rentrer depuis un long moment déjà...
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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyVen 10 Aoû 2012 - 2:19



Oh le petit … ! Le coup lui arracha les larmes et s’était à demi effondré, tentant vainement de garder le peu de dignité qui lui restait en s’accrochant au bois de l’arbre. Il insultait et braillait comme un veau. Il n’avait pas eu besoin de l’ordonner que les chiens s’étaient lancés à sa poursuite pendant que Thomas s’essayait à se tenir droit. Ouf, l’enfoiré ! Il allait le buter, bon Dieu. Il allait le buter ! D’abord boitant, il reprit doucement l’allure et se sauva entre les ombres découpées des arbres dans le noir. Le petit devait voler et Thomas manqua à deux occasions de terminer la gueule dans la vase. La troisième fois fut la bonne lorsqu’il se prit le pied dans une racine vicieuse. Son corps s’effondra sur celui de l’adolescent, il en profita pour l’attraper et l’entrainer dans sa chute, réussissant du même coup à lui faire inhaler le produit. Le gamin tourna de l’œil et Thomas se retrouva assis sur Sam à reprendre doucement son souffle manquant. La respiration bruyante d’un vieil aspirateur, ses poumons lui semblaient douloureux et ses muqueuses asséchées. Toute sa gorge lui brûlait. Par vengeance, il baffa gentiment le crâne du garçon.

Sale … Sale morveux … ! C’est quoi ton problème ? Tu veux crever ? Il lança un soupire ronfleur et se redressa sur ses jambes allégées du poids de la course.

Sam ne pouvais pas l’entendre de là où il était, certes. Actuellement, il devait gambader gaiment dans des praires vertes et courir derrière des papillons fluos multicolores. Ou ce genre de connerie. Alors que dans le monde réel, le lourds, le douloureux, là où la morphine et le chloroforme connaissaient la sortie de secours Thomas s'embourbait les bottes. Il récupéra le lecteur et posa le casque sur le ventre de l’adolescent qu’il traina jusqu’à l’arbre de leur rencontre par le pied. La glaise et les couches de feuilles mortes accrochaient son poids déjà conséquent. Thomas se félicita de ne pas l'avoir tué. Les morts pèsent lourds. Il lâcha sa cheville arrivé là où les dossiers avaient volés et se mis à fureter, inquiet de savoir ce qu’on savait sur lui, sur ses rencontres, ses coordonnées.

Thomas était d’un type nerveux. A suer facilement lorsqu’un pépin dépassait de ses plans tous lisses, tous beaux. Il grattait son regard sur le papier, à l’en user, lisant et relisant les mots qui s’imprimèrent d’eux même dans son esprit affolé. Un genou par terre, il étala toutes les feuilles et se rendit compte que le gamin était sur le point de résoudre ces affaires. Il avait résolus ces affaires. Ou plutôt son père. Dans la panique, Sam avait lâché un mot dessus avant de lui briser l’entrejambe. Le souvenir lui remonta jusqu’à la zone encore douloureuse, il insulta copieusement le garçon endormi puis cracha par terre. Tout ça, c’était mauvais. C’était qui son père ? Un flic, à n’en pas douter. Si Donovan fils avait accès à de telles informations, c’était possiblement un flic. Un enquêteur ou qu’un de haut placé. Un truc du genre. Et ça, ça voulait dire que ce petit enfoiré était protégé. L’idée passa qu’avoir un indic chez nos amis les forces de l’ordre n’était pas une si mauvaise chose. Furtif sourire de satisfaction, il rangea tout dans le sac et le passa au bras. Il chercha ensuite une position confortable pour porter Sam sans que ce dernier ne lui glisse entre les doigts comme une anguille. Finalement, il après quelques essaies, il le cala par-dessus son épaule comme une hotte. Sur le chemin, il entreprit de faire la conversation avec un comateux, s’excusant de devoir en arriver là. Mais que c’était de ta faute aussi. Qu’il aurait mieux fait de rester chez lui. Il s’arrêta net lorsqu’entre les branches une lumière bleutée lui parvint.

T’as appelé les flics ?! Il secoua la masse dormante et râla en rebroussant chemin. Je vais pas retourner à l’hosto par ta faute. T’entends ? Hey ! Aucune réponse, il soupira et emboita le pas.

Thomas se repérait aux sons des sirènes. Visiblement, ils n’étaient pas rentrés. Ils passaient juste, réticents à faire le tour du parc. Aubaine à prendre, Thomas recala le corps sur son épaule et chercha un coin tranquille. Il ne pouvait pas le tuer. Pas avec les flics à côté. Ça serait stupide. Il ne pouvait pas non plus sortir avec le gosse dans les bras. Il fallait le déposer quelque part et attendre que ça se calme. Attendre et prendre le risque de faire monter les inquiétudes. Il fallait que Sam se montre. Mais ça lui laissait aussi la possibilité de le dénoncer. Finalement, il balança le mioche dans une cabane trouvée par la providence et s’enferma avec Sam à l’intérieur.

Il faisait noir. Thomas balbutiait, tâtonnait les murs maladroitement. Sous ses doigts, l’écho fracassant des outils qui tombent et qui s’entrechoquent. Une masse ou un marteau lui tomba sur le pied et l’homme se baissa pour masser la zone nerveuse, tenta d’intérioriser sa douleur d’un souffle retenu. Quand il voulu se relever, sa tête se cogna contre le rebord d’une planche de bois. Nouvelles volées d’insultes. Il y passa sa main et crut reconnaitre des stylos, des ciseaux, des calepins. Sa main se referma sur ce qu’il pensa être une lampe de poche. Il attrapa et tenta de trouver l’interrupteur dans le noir. Clic. Pas de lumière. Saloperie. Il donna quelques coups et sa rétine brûla, ne se rendant pas compte que l’ampoule était juste sous ses yeux. Dans la surprise, il avait fait tomber la lampe qui s’était éteinte. Encore à chercher, il mesura le temps qu’il perdait dans ses gaucheries paniquées. Un clou lui entra dans le pousse avant qu’il ne retrouve l’objet et pris soin de pointer le sol avant de l’allumer. Thomas reconnu la cabane d’un jardinier avec ces outils suspendus, ces sécateurs, ses arrosoirs, … Il chercha de quoi ligoter Sam et découvrit une corde, assurément utilisée pour maintenir les végétaux branlant dressés. Enfin, quand il eut fini de s’emmêler avec Sam, Thomas s’effondra contre le mur et alluma une seconde cigarette.

Tu as vu ce que tu me fais faire ? Hein ? Tu as vu ? Propos illustré, il attrapa la mâchoire du garçon et secoua sa tête avec rage. Il dormait comme un bébé. Il avait l’air adorable. Thomas grogna un peu entre ses dents et le lâcha.

Maintenant, il fallait attendre. Et empêcher le gosse de hurler à son réveil. Dehors, il y avait encore des patrouilles. C’était certain. On ne les entendait pas encore arriver mais Thomas était sûr que s’il sortait, il se ferait repérer. Il posa un genou à terre et se propulsa vers l’une des tenailles accrochées au-dessus de sa tête. Le métal rouillait quand il claquait les dents aiguisées. Il sentait le boulon grincer. Ça s’entendait un peu. Le mec qui s’occupait des lieux n’était pas soigneux. Thomas pensait que la peur pouvait être un bon moyen pour faire taire un adolescent. Alors il posa l’outil sur ses genoux et fouilla encore dans le sac. Se servit du lecteur et alluma le petit appareil sans amener le casque à ses oreilles. Le silence de l’été permettait d’entendre l’air chuchoté d’un groupe de rock qu’il ne reconnaissait pas. Et pendant que le mp3 crachait ses petites musiques, l’homme entreprit de nourrir son angoisse en relisant encore un peu les dossiers, attendant patiemment que Sam se réveille pour demander des explications. Thomas avait oublié ses chiens qu’il avait abandonnés sur la route. Si on les retrouvait, ça sentirait encore mauvais pour lui. Ce coup-là, songea-t-il, ça allait l'envoyer en taule.
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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyVen 10 Aoû 2012 - 11:36

Sam avait tenter d'échapper à l'homme en lui fracassant ses parties génitales, il avait ensuite courut et pour la première fois de sa vie il avait la sensation de courir vite. Les chiens l'avaient prit en chasse et Sam arrivait à les éviter en courant et en sautant par dessus les troncs d'arbres. Mais l'homme finit par le rattraper et par l'endormir. Sam s'était évanouit, il ne se rappelait de rien, et ne pensait à rien. Son corps était inerte et son visage serein. Il avait un visage d'ange. Malgré les quelques éraflures qui longeaient son front.

Sam n'avait rien sentit au fait qu'on l'avait déplacer. Il finit par se réveiller lentement, il essaya de bouger mais il était ligoté et cela le dérangeait fortement. Il n'ouvrit pas la bouche mais regarda devant lui, il avait la sensation de voir l'homme, il avait l'air plonger dans les dossiers de son père. Sam ne s'était même pas rendue compte qu'il avait pratiquement résolue l'affaire, mais pour ce gamin ce n'était pas ça. Enfin bon il n'avait pas fait le rapprochement entre ce type et les meurtres. Il regarda l'homme qui semblait totalement paniquer, et Sam fit d'une voix presque inaudible :

"Vous allez me tuer ?"

Non parce que bon autant le savoir dès maintenant si il allait mourir ou non. Pas que cela lui fasse plaisir non, mais bon comme ça il pourrait savoir ce qui allait lui arriver. Puis Sam entendue des sirènes de police. Il fit pour l'homme :

"Vous devriez me laisser partir, je ne dirais rien je vous le jure, mais...Ils vont me rechercher toute la nuit, et si ils me trouvent pas ils vont recommencer, je devais rentrer avant 23h..."

Soudain son regard se porta sur la siçaille que l'homme avait, il se tue et ne lâchait plus l'arme blanche des mains, et si ce type avait décider de le découper ? Ils restèrent dans le silence plusieurs minutes qui semblèrent devenir des heures. Puis la police disparue et soudainement le parc était redevenue silencieux. Sam avait peur de ce qui allait se passer par la suite.
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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyMar 28 Aoû 2012 - 15:30


A une question aussi banale que celle que Sam avait lancé, Thomas n’y répondit qu’un « Bonjour » murmuré et matinal, sourire alangui. Puis avait imposé le silence lorsque l’extérieur gémissait de voix. Ne pas être repéré. Ils partiront. Il baissa la tête sur les dossiers et patienta ce qu’il fallait. L’adolescent avait l’air d’avoir repris de son calme. Ne semblait pas plus anxieux et avait perdu de cet air de brebis affolée. Le même air qu’ont les proies lorsqu’elles se débattent entre les crocs de leurs prédateurs. Quelque chose du genre, vous voyez. Thomas ricana silencieusement et redressa le regard. Dans le noir, on ne voyait quasiment rien et lorsqu’il lui avait semblé entendre les flics passer à côté, il avait préféré s’enfermer dans l’obscurité. La petite lucarne l’aurait conduit à sa perte. Doucement, ses pupilles éclatées et rondes avalèrent la lumière rare. Rapidement les silhouettes découpées par une sinistre clarté de lune lui apparurent. Et d’entre les branches qui grinçaient contre les carreaux de verre, une lumière chiche et orange lui parvenait. Il inspira et retomba sur les inscriptions hasardeuses de la paperasse. Attendre que le bruissement des feuilles laisse leur tour à un intermède de grillons. Lourd et pesant, la tranquillité se posa entre le froissement textile de son jean vieux sur le bois rance. Maintenant qu’ils étaient partis, Thomas pouvait hausser un peu le ton. Il alla s’installer contre le gamin.

Bien sûr que je vais te laisser partir, détends-toi un peu. Il le bouscula gentiment, presque paternellement avant de mettre le dossier sous les yeux de Sam. Je vais te laisser partir parce que je t’aime bien. Mais si tu me mens encore … Son regard glissa sur les tenailles avant qu’il ne pose son doigt sur le papier. Alors. Expliques-moi un peu comment un gamin peut avoir accès à ce genre de dossier. Je suis curieux. Ton père est flic ?

Posant ses questions, Thomas approchait son visage de l’oreille du garçon. Lui murmurait dans le lobe et entretenait la tension. Il voulait le sentir avoir peur. Ce calme nonchalant le faisait plus chier qu’autre chose. Intérieurement, il paniquait et refusait de se laisser aller à sa peur pendant que son nouveau copain restait frais. Frais. Thomas sentait les relents de sueur. La peur, la course, la boue. Tout. Il ne distinguait pas tous les détails de son visage mais il devinait avec une certaine jouissance les traces d’égratignures et de terre sur ses joues. Pour se réconforter dans son fantasme, il passa un doigt délicat sur ses pommettes et songea que Sam avait été bien préservé.
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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyMar 28 Aoû 2012 - 21:17

Tout ce qui se passait dans cette petite cabane était comme surréaliste. Il aurait suffit à Sam d'hurler un bon coup lorsque les flics étaient passé juste à côté pour être sauver, mais il n'en fit rien. Pourquoi ? Pourquoi ce gamin ne s'était pas mit à hurler alors qu'il le pouvait. D'accord il avait mal à la tête et ok il avait peur. Mais de là à acceptet de souffrir parce qu'il ne veut que personne ne soit blesser c'était dur. Le gosse resta silencieux, écoutant la respiration de son coeur et tentant de calmer son mal de ventre. Il avait également mal au dos, au visage aussi, les égratignures lui avait marquer le front et l'une ses joues. Sam, se mit à bouger un peu, sentant la transpiration lui démanger le dos. Il gémit un peu car cela devenait vraiment horrible. Soudain il sentit le regard de l'homme sur lui, bien qu'il ne savait pas où il était ni comment il était, il savait que si il bougeait encore une fois il se ferrait tuer. L'adolescent se stoppa et essaya de ne pas trembler de froid. Il se mura dans un silence et reprit légèrement le chemin des bras de Morflé. Mais alors qu'il réagi au fait qu'il n'y avait plus de bruit dans la forêt. Il demanda légèrement en sortant du gaz, si l'homme allait le tuer. Le type s'approcha de lui en un bon et Sam recula sa tête, se la cognant dans le mur en bois. Il avait peur car il ne voyait rien et le type semblait avoir des penchants vraiment flippant.

Le type lui déclara qu'il le laisserait partir. Il lui déclara cette phrase dans le creux de son oreilles. Un frisson parcourut le dos de l'adolescent et l'électrisa. De peur ou tout simplement parce qu'un homme s'était approcher aussi prêt de lui, Sam sentait son coeur se remettre à battre. Sa poitrine se gonfla et se dégonfla au rythme de son coeur et de sa respiration saccadé. Par réflexe, Sam porta ses poignets ligotés sur le torse de l'homme et voulut le poussé pour le faire s'écarter. Mais le type au contraire, lui fit remarquer qu'il s'en sortirait si il était sage, et s'il ne lui mentait plus. Il lui demanda ce que c'était que ses dossiers et où il les avait eut. Sam tenta de trouver le regard de l'homme, et heureusement les rayons du levée du soleil commençèrent à éclairer un peu la pièce, pas suffisament pour voir le visage de l'homme mais assez pour trouver au moins le regard. Sam fit donc :

"Mon père, était flic. Enfin Shérif. Et ancien profiler...Lorsqu'il est mort, j'ai été à son bureau et ....j'ai prit le reste des copies de ses dossiers...je voulais travailler dessus faire comme les vrais flics....mais j'arrive à rien trouver...."

Fit-il sincèrement. Il était vraiment persuader de ne pas avoir résolue l'affaire. Pourtant c'était le cas, et il était même en train de parler à la personne qui avait tuer cette femme. Et peut être violer au passage. Sam se sentit vraiment mal sentant les mains de l'homme sur ses pomettes. Le garçon trésaillit et fit :

"S'il vous plait faite pas ça, laissez moi partir..."

Il poussait de plus en plus l'homme pour que celui-ci s'écarte de lui,mais Sam n'avait pas beaucoup de force et mit à part tapper à l'entre jambe, il ne pouvait pas frapper ailleur, mais là. Incapable de frapper vut qu'il était ligoté.
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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptySam 20 Oct 2012 - 16:16

Gna gna gna. S’il vous plait. Pitié. Laissez-moi partir. Ne faites pas ça. Thomas se rendit compte de la détresse. Pauvre enfant. Pauvre ange. De sa petite force fluette encore endormie par les vapeurs de Morphée, il s’agitait d’angoisse. Comme un ver. Une petite chose fragile. Thomas avait envie de le serrer contre lui. Lui dire que tout irait bien. Un charmant tableau. Ses yeux absorbaient les mouvements, les ombres qui ondulaient dans les ténèbres. L’enfer devait ressembler à ça. Des fantômes dansant. De longs murmures que le vent trahissait. La sarabande des spectres dans le calme de l’horreur. Thomas frissonna. Dieu est miséricorde, mon enfant. Tu dois avoir la foi. Les paroles de l’aumônier jaillirent dans son esprit comme une lumière agressive. Thomas fut repoussé par ses propres souvenirs. Indistincts et nébuleux. Mais sauvages. Il fut propulsé en arrière et se mis à genoux. Il posa les mains de Sam entre les siennes et caressa longtemps le duvet de ses bras.

Que c’est triste. Perdre son père si jeune. Si jeune. Le visage tout bas, ses yeux effleuraient avec insistance le sol poussiéreux. Moi, je n’ai pas connu le mien, tu vois. Il est mort quand j’étai encore une toute petite larve informe dans les tripes de ma mère. Je comprends, tu sais. Je comprends, tu veux faire comme lui. Tu veux faire comme daddy. C’est normal. C’est naturel. Hein ? C’est … Naturel.

Une longue lamentation suivait la banderole pathétique. Comme il était compréhensif. Comme il était bon. Thomas lui racontait alors sa vie. Sa jeunesse. La situation prêtait à ce genre de confidence, pensait-il. Et tandis qu’il passait ses doigts dans les cheveux de l’adolescent, il lui parla de sa mère. De comment il devait s’occupait d’elle. De ses demi-sœurs. De la maison. De comment il devait remplacer tôt son père. De combien il avait souffert de ne pas avoir eu de jeunesse lui non plus. Les souvenirs étaient traitres. Vicieux. Thomas sentait sa gorge se serrer, son nez lui titiller de larme. Il laissa le silence œuvrer sa pitoyable complainte. Et agrippa violement le visage de Sam, continuant avec la douceur nerveuse de lui passer les cheveux en arrière.

Mais tu vois ce qu’il se passe quand on ne fait pas attention ? Tu vois comme c’est dangereux ? Je veux bien te croire, parce que tu m’as l’air d’être un vrai petit con. Et que je suis gentil. Je suis gentil, hein ? Je vais juste … Sam … vérifier que tu arrêteras de jouer les petits flicaillons. Ca aussi, c’est normal. Tu le sais ? Il sortit de sa poche le portefeuille de Sam. Je vais garder ça. Et ces dossiers, aussi. Je saurais où tu habites. Je sais comment te trouver, Sam. Il écarta les genoux du garçon et glissa entre ses jambes. Il approcha son visage jusqu’à sentir l’haleine poisseuse du Donovan fils. Ca veut dire que si je viens te rendre visite, que si je veux t’appeler, tu réponds. Tu es là. Pas de changement d’adresse. Tu n’appelles pas la police, tu n’en parles à personne. C’est un secret. Tout ça, entre toi et moi. Tu imprimes ?

Thomas hésitait. Il ne voulait pas le laisser partir, aller folâtrer comme un gosse, comme de rien. Pas comme ça. Il prendrait un risque. Un gros. Il irait en prison, pour ça. N’est-ce pas ? Oui. Il irait en prison. A vie. C’était dangereux. Pour lui. Mais le caprice ou le plaisir faisait monter une joie qui lui papillonnait l’estomac et qui le tiraillait. Sam était joli garçon. Il était stupide. Du peu qu’il connaissait de lui, il le classait. Il avait tamponné « Thomas Phibes » sur son front. Rien qu’à lui. A moi se répétait-il dans sa gorge. Comme pour se donner le mot, il faufila les doigts entre les jambes de Sam et enfonça la langue entre ses dents, lui chatouiller la gencive. La crainte que le garçon ne referme la mâchoire à cet instant -clac- le dissuada de s’y attarder. Le prince charmant reviendra, ma beauté. Il recula.

Tu imprimes ?
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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyDim 21 Oct 2012 - 12:04

Sam était pétrifié par ce que se passait devant lui, le type semblait vouloir faire bien plus de chose avec lui que de le garder dans cette cabane. En fait, si il aurait voulu le laisser dans la cabane le gamin n’y aurait vu aucune plainte, aucune objection, il voulait se sauver de l’hôpital, alors rester ici bah ce n’était pas si terrible, mais en revanche que le gars le caresse et le touche là, non le môme n’allait pas apprécier et il ne se laisserait pas faire. L’homme fit soudainement un recul et se mit à genoux. Sam garda ses bras collé à sa poitrine et ses jambes replier sur lui-même. Le type prit les mains de l’adolescent et les colla aux siennes, Sam respirait fortement et difficilement, puis il lui caressa les avants bras, faisant se dresser tous ses poils, et tout ce duvet encore à la limite du duvet enfantin. Sam n’osa pas parler, ni bouger, c’était à peine si il osait respirer. L’homme lui dit que c’était normal de vouloir faire comme son père, mais Sam sentit une pointe de reproche dans sa façon de parler. Comme si quelque chose n’allait pas, comme si ce type n’était pas tout seul dans sa tête.

Ensuite l’homme lui parla de sa vie, de son passer, tout en passant ses doigts dans les cheveux de Sam, et que celui-ci retenait ses sanglots comme il pouvait et que son cerveau fumait tellement il cherchait une solution de s’enfuir. L’homme parlait et Sam n’écoutait pas. Il se demandait pourquoi il n’avait pas crier ou fait du bruit lorsque les flics étaient passés pas loin ! Pourquoi il n’avait pas réagi !!! Soudain il fut sorti de ses pensées lorsque le gars lui agrippa le visage, Sam lâcha un gémissement de douleur et de peur, les égratignures qu’il s’était faite lui faisaient mal. Les doigts de l’homme de son autre main caressaient toujours ses cheveux courts et Sam sentit que les larmes n’allaient pas tarder à rouler sur ses joues. Le gars lui parla ensuite lui disant qu’il allait le surveiller pour être sûr que Sam arrête de jouer au flic, et il lui demanda s’il était gentil. Sam hésita fortement entre le oui et le non. Mais il ne répondit rien, ses yeux étaient grands ouverts, et il était en pleine panique. Il comprit que sa vie allait devenir encore pire qu’elle ne l’était car il savait que Sam était à l’hôpital, enfin c’était ce que Sam se disait. Le type lui écarta les genoux et se glissa entre ses jambes. Le seul et unique réflexe que Sam trouva à faire se fut de placer ses mains devant son entre jambe comme pour se protéger de ce type. Là il avait réellement peur et pas qu’un peu son cœur loupa un battement et Sam sentit sa tête tourner. L’homme lui dit les conditions, en gros il serait l’esclave de cet homme. Sam n’avait pas envie de devenir l’esclave de qui que ce soit, mais il n’avait pas la force de se battre. Le gamin fit un oui de la tête et la tourna sur le côté ne voulant pas rester en face de ce type. Il supplia encore une fois :

« S’il vous plait…je dirais rien et je serais à votre disposition, mais laissez-moi…s’il vous plait… »

Mais Sam n’eut pas le temps de réagir, que l’homme faufila ses doigts vers l’entre jambe du gamin. Sam se redressa et cria un gros non, et les larmes coulèrent, il n’en pouvait plus, il ne pouvait pas se retenir devant cet homme. Il était trop fragile, trop frêle, trop affaiblit par la nourriture de l’hôpital et par ses mauvaises pensées. L’homme en profita pour entrer sa langue dans la bouche du gamin, et Sam porta ses poignets sur le torse du mec et finit par le repousser. L’homme lui demanda s’il imprimait, et Sam ne put s’empêcher de cracher la salive que l’homme lui avait mise dans la bouche. Il regarda le type avec un regard haineux et lui fit un oui de la tête. Il ne voulait pas parler par peur de dire quelque chose qu’il ne plairait pas à cet homme. Les larmes continuaient de couler, mais les sanglots avaient stoppé, comme si Sam ne rêvait que d’une chose, se laisser aller, s’enfermer dans un monde imaginaire où personne ne pourrait venir lui faire du mal. Il espérait que le type le laisserait partir sans aller plus loin. Lorsque le type se recula, Sam se replia sur lui-même, se mettant en boule littéralement, et refusant de regarder l’homme.
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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyDim 21 Oct 2012 - 19:25


Il chialait. C’était mignon. C’était adorable. Pauvre enfant. Sam était une chose fragile qui méritait un peu d’attention, qui méritait qu'on prenne soin de lui. Lui aussi. Thomas avait envie d’éclater de rire. Il avait envie de se rouler par terre, de crier. De dire combien c’était pathétique. Il lui sourit. Et comprenait que dans le noir, le garçon ne pouvait pas le voir. Il suppliait. Sanglotait. Pleurait. Thomas achevait de penser qu’ici, il pouvait faire ce qu’il voulait, finalement. Les violents soubresauts de l’adolescent attirait son émoi le plus sincère. Il céda et le pris dans ses bras. Il enroulait tendrement ses épaules et lui caressa le crâne avec précaution. Chhht … C’est bon. Ça va. Tout va bien. Qu’il était sage. Qu’il était gentil. Ce n’était pas si compliqué. Tout irait bien. Bien. Thomas avait le menton posé sur son épaule et lui sifflait dans l’oreille de ne pas s’en faire, dans un lent et monotone balancement.

Là. Là. C’est bon. Je vais te laisser tranquille. On sera super copain toi et moi. Tu verras. Il lui serra un peu plus les épaules et lui tira la racine de ses cheveux coupés comme un militaire. Mais si tu ne respectes pas notre engagement, Sam … Si tu me trahis, je te retrouverai, où que tu sois, et je te tuerai. Je te tuerai, tu entends ?

Alors qu’il posait les lèvres sur sa joue embourbée de terre et de sang, d’un peu de sueur et peut-être d’eau, il plia ses genoux qui craquaient nettement sous son poids. Ses vertèbres s’articulèrent doucement et ses muscles finissaient de se réveiller. Il s’étira les bras et passa la tête à travers la petite lucarne. Il n’y avait quasiment plus personne. Si les flics étaient encore là, c’est qu’ils étaient loin à présent. L’aubaine était à prendre. Il alluma la petite lampe et entreprit de ranger tous les dossiers dans le sac. Il récupérait l’entièreté des poches de Sam par précaution et fit tomber des clés. Thomas se pencha et les enfonça dans son jean.

Je prends ça aussi. Je te les rendrais quand j’estimerais que tu es assez sage.

Clin d’œil. Quand il palpa le reste des vêtements de Sam, il lui jeta la veste sur la tête et récupéra le vieux sac à dos. L’épaula. Thomas pensait que mls choses étaient toujours simples. Il fallait se décider. Le libérer maintenant ou bien le laisser pourrir ici jusqu’à ce que le jardinier ne le retrouve. Plus prudent que joueur, cette fois-ci, il attrapa la paire de tenailles et ordonna à Sam de garder la veste sur la tête.

Quand je te le dirais, Sam, tu compteras jusqu’à cent. Quand je te le dirais, tu compteras jusqu’à cent et tu sortiras. Tu ne parleras pas de moi. Tu ne parleras pas de notre conversation. Si tu fais le moindre geste avant d'avoir fini de compter, je t’éclate la mâchoire. Je compterai avec toi. Il lui donna un petit coup de pied au genou pour demander confirmation. Tends tes bras.

Prêt … ? Il plaça la corde entre les lames rouillées et laissa un peu de suspense avant de couper sec. Un long et vieux ricanement suivit le bruit de cisaille. Aussitôt, Thomas lui intima de ne pas bouger. Ne bouge surtout pas, mon trésor. Il lâcha son outil et recula doucement. Une écharde s’enfonça dans sa main lorsqu’il voulut d’ouvrir la porte.

Ce fut un plaisir de faire ta connaissance, Sam. J’espère qu’on se reverra très vite. La porte grinça. Attention … Tu peux compter.

1, 2, 3 …

Sans autre forme de politesse, Thomas disparut de la cabane, laissant l’adolescent seul avec les ténèbres, ses angoisses et ses larmes.

25, 26, 27 …

Thomas s’élança discrètement à travers les verdures endormies du parc. Tout était silencieux. Le temps s’était arrêté. Tout. C’était gris, noir. Le ciel commençait à peine à rosir. Les nuages de barbe à papa qui flottaient dans une mer de feu. C’était poétique.

58, 59, 60 …

Thomas fit le tour des patrouilles. Ils n’étaient plus que trois à chercher. Les gens dormaient. Un agent bailla et proposa à son collègue de rentrer. Thomas se faufila entre les fougères et attendit un peu.

84, 85, 86…

Il aperçut la sortie et pensa au pauvre Sam. Une pensée vola vers lui. Il sourit. 100


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MessageSujet: Re: La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan La Belle et la Charogne •• ft. Sam Donovan EmptyDim 21 Oct 2012 - 22:17

Replier sur lui-même il ne savait pas que le gars le regardait, il ne pouvait pas penser une seule seconde que le type exprimait de la pitié pour lui, il ne pouvait pas penser un instant que le gars pouvait être tendre et pourtant il fut surprit de sentit les bras de son bourreau le prendre contre lui et le rassurer comme un père rassurerait son enfant. Pendant un instant Sam se laissa aller. Il se blottit contre ce type et soupira, pleura et arriva à se calmer un peu. Mais lorsque le type lui serra les épaules et qu’il lui mit la tête en arrière en tirant sur ses cheveux, Sam comprit que cet homme était étrange et cinglé ! Sam fit en ayant la peur au ventre :

« Je dirais rien, promis Monsieur, promis je dirais rien… »

Être copain avec ce type était la pire des choses que Sam pouvait avoir dans le ventre et surtout ressentir, il ne voulait pas mais il n’avait pas le choix. L’homme se leva ensuite, Sam se traîna pour se coller à un mur et ne plus bouger. Dans la forêt il n’y avait plus personne, plus de traces des flics, du moins pas là quoi. Sam s’en voulait il aurait dut crier lorsque les flics avaient été tout près. Il fouilla ensuite Sam, qui ne se débattit pas, mais qui pendant les trente secondes qui prit la fouille corporelle arrêta de respirer. L’homme lui prit les clefs et lui dit qu’il les prenait et qu’il le lui les rendrait lorsqu’il aurait dit que Sam était sage. L’adolescent fit un oui de la tête, de toute manière ces clefs là ne lui servirait à plus rien. Soudain il fit noir, par réflexe, Sam tenta de faire tomber la veste, mais il n’y parvint pas, l’homme surement en colère, lui dit de la garder sur la tête. Sam arrêta alors de bouger. Il donna ses dernières instructions et Sam ne pouvait rien faire d’autre que de sentir l’air froid envahir son corps, l’air pur de la nature arriva à ses narines et le vent fouetta son visage endolorit par les coups. L’homme lui dis donc qu’il devait compter jusqu’à 100 quand il le lui dirait. L’adolescent fit un oui de la tête et ne bougea plus. Le type lui demanda de tendre ses bras, et sans réfléchir Sam le fit. Le gamin se mit à paniquer et si le type allait lui couper un doigt ? Au final il serra tellement ses doigts qu’il aurait put se casser les doigts tout seul. Le type finit par couper les liens de Sam. Le gamin garda les mains coller l’une à l’autre sans broncher. L’homme recula et lui dit qu’il pouvait commencer à compter. Sam s’exécuta.

« 1,2,3,… »

Il ne bougea pas, du moins pas volontairement, les tremblements de son corps le faisait tenir à peine debout. Sam compta et ne se préoccupa de rien d’autre, il aurait put s’enfuir, mais non il devait compter alors il le faisait. Lorsqu’il fut enfin arriver à 100. Il retira la veste et remarqua que ses mains étaient tremblantes comme jamais avant. Il avait froid, terriblement froid. Il avança doucement dans le parc, avançant comme un zombie et n’allant que tout droit devant lui. Soudain, i tomba sur deux policiers, et eux le reconnurent sur le coup. L’un des gars s’approcha de Sam et lui dit :

« Hey ça va mon garçon ? Tu vas bien ? Tu es blessé ? »

Sam le regarda et fit non de la tête. Il était complètement congelé et il ne savait pas où était son bourreau. Il savait juste que ce type ne l’avait pas tuer. Les flics lui mirent une couverture et l’emmènent avec eux pour le ramener à l’hôpital. Cela avait été une dur nuit pour lui. Sam voulait revoir cet homme…il voulait savoir pourquoi ce type ne l’avait pas tuer !

FIN
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