Marilyn pouvait en rire face à la remarque de son cousin. Comme si elle allait se sauver hein, comme ça, sans rien demander, sans aider à nettoyer… Elle savait très bien que ce n’était seulement pour lui rappeler sa bêtise – ou plutôt « œuvre » serait un peu plus approprié aux yeux de certains mais on savait bien que tout le monde n’avait pas forcément la même perception de voir les choses… Mais, ils étaient bien d’accord que c’était en s’amusant qu’on apprenait le mieux.

Merci de le reconnaître ! Lâcha-t-elle… ce qui pouvait être pris pour rire mais en même temps, c’était sérieux… Evidement, sinon elle serait loin d’être la marraine idéale. Naméoh !

Et en plus d’avoir un bon câlin de son Polochon adoré, il n’y avait rien de plus vrai que la famille… Franchement, Marilyn ne regrettait rien. Elle était vraiment heureuse d’être ici, d’avoir économisé, d’avoir fait tout ce chemin pour rejoindre ça… Cette famille… Cette place dont elle était la bienvenue et à la fois elle-même. Oh pas qu’elle ne l’était pas dans sa ville natale en Caroline du Sud ! Marilyn s’était toujours su bien s’entourer et avoir pleins d’amis… Et ça ne sera pas un problème pour s’en faire ici également avec toutes les rencontres qu’elle avait déjà pu faire, lors de ces quelques bringues et quelques promenades. Bref, et en ce moment-ci, ça sera avec la serpillière qu’elle allait essayer de devenir amis. Il le fallait bien. Il fallait bien nettoyer la cuisine avant de faire le dîner et ainsi pouvoir manger les cookies en dessert pour les gourmands.

D’ailleurs, tout en nettoyant, Nolan lui faisait comprendre qu’il ne lui en voulait absolument pas… Déjà qu’il lui proposait de rester diner mais aussi … de dormir. Et ça, Marilyn ne pouvait être plus que.. contente.

C’est que tu joues avec mes sentiments, mon chéri ! répondit-elle avec un sourire, mais elle continua sérieusement : mais volontiers ! Rien de mieux pour se rappeler certaines soirées et rattraper le temps !!!

Une soirée film, ou encore elle ne savait rien … à parler et tout ça… Peu importait, ils étaient loin à s’ennuyer… Bon après, faudrait penser au lendemain si Nolan ne travaillait pas trop et tout ça, d’ailleurs, Marilyn savait seulement qu’il recevait des personnes. En tout cas, pour elle, comme elle était pour le moment à son compte, elle était plutôt flexible et elle n’avait pas, en sa connaissance pour le moment, de rendez-vous.

J’ai pas de rendez-vous spécial demain matin et je pense que ça ferait plaisir à Aleksandra que je prépare le petit déjeuner !

Ouais, Marilyn s’emballait déjà et se faisait des films. Mais bon, ce n’était pas le souci. Elle ne se gênait pas mais elle faisait partie intégrante de la famille, comme cette famille faisait partie intégrante de sa vie… Après tout ce temps, Aleksandra finit par revenir toute propre et avec le bocal dans les mains… Ah oui, il ne fallait pas l’oublier ce poisson suicidaire !! qu’il fallait le jeter au plus vite – ou l’enterrer pour être un peu plus gentils - avant de rameuter les chats du quartier !

Tu pourrais t’en servir pour mettre tes économies … fit Marilyn comme si c’était une idée stupide mais ça lui était venu spontanément !! Et évidement, elle finit par lui faire un clin d’œil… comme si ce qu’elle venait de dire avait double-sens… Par exemple, si on faisait référence à leur petit secret avant que Nolan arrive : pas de gros mots.
Mais en même temps, sûr et certain, Marilyn essayera de faire un double effort pour ne pas lâcher des jurons pour éviter de lui rappeler des souvenirs… mais c’était jamais faire exprès. Bref, peu importait… Et… fallait-il lui annoncer que… la tâtie allait passer la soirée ici jusqu’à pas d’heures ? Ah c’était certain, Marilyn allait apprécier ce doux moment en famille. Même si ce n’était pas des fêtes de folie alcoolisés mais… rien ne pouvait remplacer CA ! Cette complicité, cet amour… cette famille... C'était SA famille.

Il fallait bien l'avouer, les filles s'étaient bien amusées, pendant que le père de la petite était parti de la maison pour travailler. Cela dit, Nolan n'allait pas leur en vouloir. Pourquoi ? Parce qu'il avait simplement demandé à sa cousine de garder Aleksandra, pendant son absence. Ce jour-là, Juliette avait eu un léger empêchement avec ses cours. Et comme Marilyn et sa filleule étaient très complices, elles ne pouvaient que s'entendre à merveille. Au point même de faire quelques bêtises, d'ailleurs. Nolan l'avait bien dit à la blondinette, justement : avec un coup de serpillère, le problème allait être réglé. Après tout, du sucre et de la farine par terre, ce n'était pas bien méchant. Mise à part le fait de gaspiller légèrement. M'enfin bon ... Avec le salaire qu'il gagnait, le chirurgien n'était pas à ça près.

Oui parce qu'effectivement, notre psychopathe gagnait jusqu'à 37 531,47 $ par mois. Soit un total de 30 000,00 € tout rond. Encore mieux : si on continuait le calcul, Nolan pouvait toucher jusqu'à 450 377,64 $ par an. Quoiqu'il avait tout de même, une part de 150 000,00 à prélever pour son assurance. À cause des ... Enfin ... Ce qu'on appelle « les erreurs médicales » ; entre guillemets, vous l'aurez remarqué. Comme quoi, ça avait quand même du bon de bosser dans la médecine. Surtout en étant criminel ...

Bref, Aleksandra de son côté s'était inquiétée concernant l'avenir de Marilyn dans la maison. Est-ce que la marraine allait pouvoir revenir ? La petite l'espérait grandement. Elle avait levé les yeux en direction de son père, tirant légèrement sur sa main. D'un air qu'elle savait parfaitement maîtriser pour le faire craquer, elle le fixait de ses yeux brillants, restant aggripée à lui. Elle espérait vraiment qu'il soit d'accord. Et tout en souriant, Nolan le lui avait promis. Marilyn allait pouvoir revenir. Après tout, elle faisait partie de la famille. Et depuis que Nolan l'avait retrouvée, il n'allait pas la laisser repartir comme ça. Surtout après le mal qu'elle s'était certainement donné pour le rejoindre ici, à Quantico en Virginie. Toute heureuse donc, la petite fille avait embrassé son père, se hissant sur la pointe des pieds, en lui faisant un câlin. Elle devait vraiment se sentir soulagée de savoir que sa marraine allait pouvoir revenir. Parce qu'elle l'avait déjà dit à Nolan plusieurs fois : elle la trouvait si drôle !

« De rien, ma puce ! » Avait répondu Nolan, émerveillé. Il adorait voir sa fille si joyeuse.

Après ça, la petite avait filé en direction de la baignoire pour prendre un bon bain. Nolan lui, aidait donc sa chère cousine à nettoyer la cuisine. Dans sa réflexion, il lui proposa même de rester dormir. Ça pouvait en plus, permettre à Aleksandra de voir sa tante beaucoup plus longtemps. Et puis, bon ... Le chirurgien devait avoir six chambres, en comptant celles d'hôtes qu'il avait en plus. Oui, Nolan n'avait pas peur d'étaler sa mégalomanie et son narcissisme, mais que voulez-vous ? C'était deux des traits les plus prononcés de sa personnalité troublée.

« Tu as raison. J'aime me rappeler les bons souvenirs. »

Surtout qu'à ce propos, c'était le moment idéal, puisque Nolan ne travaillait pas, ce lendemain. Le week-end arrivait, et le service de chirurgie avait mis en place une autre équipe pour la fin de semaine. Et puis, Monsieur Baker pouvait bien s'autoriser un peu de repos aussi. Il était tellement demandé le reste de la semaine ... Marilyn avait même soumis l'idée de préparer le petit déjeuner. Bonne idée ! Le prendre en famille avec elle, était une chose qu'il n'avait pas fait depuis pas mal de temps. Excepté cette fois où il l'avait retrouvée, dans ce café en ville.

« Bonne idée, ça ! Ce serait un plaisir. Elle adorerait, j'en suis sûr ! »

Et justement, voilà qu'Aleksandra revenait en pyjama dans la cuisine, le bocal entre les mains. Elle se demandait bien ce qu'ils allaient pouvoir en faire. Marilyn avait pensé que la petite aurait pu le garder pour y placer ses économies. Une idée peut-être loufoque à première vue, mais pas moins utile. Encore une bonne déduction de la blondinette. Nolan était aussi de cet avis :

« Ta tante n'a pas tort, ma chérie. Tu pourrais t'en servir pour ça. Et puis même si tu ne pourras plus accuser Bubulle, j'te promets de t'acheter un autre animal. Tout dépend de ce que tu voudras. On fera un tour dans une animalerie quand tu voudras. »

Quoi donc ? Il ne le savait pas encore. Il souhaitait surtout lui en faire la surprise. À moins que la petite avait déjà une idée ? En ce qui concernait l'idée de Marilyn, elle n'était pas si mauvaise, après tout. De toute façon, notre homme ne voyait pas forcément quoi en faire d'autre. Et puis, valait mieux ça que de le jeter, au final. Quoiqu'il en était, Nolan était sûr qu'ils allaient passer une merveilleuse soirée en famille. Une chose dont il n'avait pas pu profiter depuis bien longtemps. Et Dieu seul savait à quel point il adorait ça !

C’était un plaisir d’être ici… avec SA famille. Bien qu’un jour, elle espérait grandement qu’elle s’agrandisse… qu’elle serait là avec l’amour de sa vie avec une future progéniture. Marilyn savait exactement ce qu’elle voulait : elle était ambitieuse. Professionnellement mais aussi personnellement. Elle voulait présenter à cette future personne avec qui elle partagerait sa vie, ces deux petits bijoux qu’elle avait avec elle : Nolan et cette adorable et malicieuse Aleksandra… En tout cas, comme on le dit bien souvent, laissons le temps au temps et profitons du moment présent… de cette future douce soirée où ils allaient se remémorer les doux souvenirs et rattraper tout ce temps perdu… avec ces regards complices entre les deux cousins.

La boule d’énergie – qu’était Aleksandra – revint dans la cuisine avec le bocal à poisson… De se dire que ses idées tordues pouvaient être retenues. Un bocal pour se servir de ses économies, pourquoi pas hein ? Comme si la famille n’avait pas déjà le sens des affaires. Aleksandra apprendra très vite puisqu’elle était désormais assistante de la tatie. Bientôt, l’élève dépassera le maître et Aleksandra fera des magnifiques photos… D’ailleurs, Aleksandra ferait un excellent modèle pour des photos mais ça, ça serait une idée à confier plus tard. De toutes les manières, Marilyn avait déjà prévu de faire des photos de famille. Elle avait déjà suggéré l’idée à Nolan lorsqu’elle l’avait retrouvé et cette idée lui avait plu. Donc.

Oh Mini-Columbo ! Du calme ! lâcha Marilyn dans un sourire, face à cette miniature qui mitraillait toujours au niveau question…

Les cookies sont prêts, tout chaud… tout parfait ! Mission accomplie, ma puce!!! continua-t-elle en tendant sa main pour faire genre « Tapes -la! »

Et oui, ces cookies étaient fait à la perfection et n’étaient absolument pas carbonisés. Trop fort ! Non mais c’était fait pour et puis on n’appelait pas Marilyn « Reine des Cookies » pour rien.

Que dirais-tu d’une bonne quiche fait maison, Mademoiselle ? C’est une quiche que mon papa faisait … tu verras, elle est excellente…

Si Marilyn arriverait à la faire sans soucis, car faire des cookies, c’était une chose mais le reste, il fallait un peu la surveiller… Bon, ça ne voulait pas dire qu’elle ne pouvait pas s’en sortir, … elle se débrouillait… Mais voilà !

Et ce soir, tu verras, je te raconterais une histoire que tu n’auras jamais entendu … Tu connais l’histoire du Sultan Mesquioz au pouvoir magique ?

Et ça voulait presque tout dire que oui Marilyn était bonne à rester pour la soirée et tout, mais gardons un peu de suspense… En tout cas, la blondinette était heureuse en ce moment même et la soirée était bien prometteuse.

Mais d’abord… Nous aiderais-tu à faire la quiche ?

Quoi ? Pardon ? Marilyn était en train de proposer à Aleksandra de faire la quiche avec eux ? Ola, si c’était pour refaire le bordel… La blondinette leva les yeux vers son cousin pour voir la tête qu’il faisait, s’il allait etre dans le coup où s’il allait les jeter de la cuisine… Chiche ? Un sourire, en tout cas, s’afficha sur les lèvres de la jeune femme.

[Je pense qu'on peut boucler, ici? non? ^^ ]

Il était vrai qu'en perdant son Bubulle, Aleksandra semblait un peu triste. Elle l'aimait bien et s'en occupait souvent. Seulement voilà, ce n'était pas la faute de la petite s'il avait décidé de devenir la victime de son attentat suicide en voulant s'échapper de son bocal. Ça pouvait arriver parfois. L'un des risques dans une vie de poisson. Mais en tous les cas, Nolan lui avait promis qu'ils iraient dans une animalerie qu'elle puisse faire son choix. C'était bien d'avoir un animal à la maison, de pouvoir s'en occuper et jouer avec lui le dimanche. Tous les enfants aimaient les animaux. Aleksandra en particulier. Et le chirurgien aimait vraiment faire plaisir à sa fille. La voir sourire, être en pleine forme, oublier son passé ... Voilà ce qu'il voulait pour elle. C'était tout ce qu'elle méritait. Elle était encore bien jeune et elle devait profiter de la vie. Se faire des amis, réussir à l'école, avoir un beau métier et ne pas oublier de s'amuser en parallèle. Parce que c'était ça aussi, grandir. Profiter de chaque instant de son parcours.

Bref, la petite fille allait donc mettre le bocal dans sa chambre pour s'en servir plus tard. L'idée de Marilyn pour y placer ses économies était bonne. Bien qu'après tout, elle pouvait aussi s'en servir pour autre chose. Et son paternel qui lui avait promis d'acheter un autre animal bien plus intéressant, donnait bien envie à la petite. Et sa machine aux questions s'était lancée : Où allaient-ils l'acheter, quand ? Comme Aleksandra l'avait suggéré, Nolan allait très certainement prendre un trou dans ses plages horaires pour se libérer :

« T'en fais pas, ma puce. Papa trouve toujours un moyen de se libérer du travail. On te l'achetera la semaine prochaine. J'ai le droit à deux jours de libre. Je ne les ai pas encore placés dans mon emploi du temps. » Fit-il en lui souriant.

Qui sait ? Ils allaient même certainement pouvoir en profiter en famille, dans ce marché en ville. Et ce jour-là donc, Aleksandra allait choisir son nouvel animal de compagnie. Ouais, ça allait être chouette. Et puis tant qu'à en profiter, Nolan allait sûrement racheter un peu de matériel disons ... Utile. Sait-on jamais. Et les cookies, dans tout ça ? Ce n'était pas tout, mais il ne fallait pas non plus qu'ils finissent complètement calcinés. Et Marilyn qui était donc allée y jeter un oeil, avait constaté leur cuisson parfaite. Mission accomplie comme elle l'avait dit ! Voilà qui allait faire un bon p'tit dessert. Pour sûr !

« J'vois que tu as trouvé une parfaite assistante en cuisine. Vous êtes douée, ma foi. L'odeur donnerait presque envie d'en manger un tout de suite. »

Mais justement, Aleskandra qui avait continué - lancée dans ses questions - en avait abordé une, très intéressante. Est-ce que sa tante allait rester à la maison pour le dîner ? Oh oui ! Un repas en famille, c'était ce que Nolan voulait retrouver depuis longtemps. Et ça tombait bien, parce que Marilyn aussi. Donc, elle avait suggéré de cuisinuer une quiche. Mais pas n'importe laquelle. Non ... Une faite maison, recette de son père, John. Rien qu'à entendre sa cousine, c'était comme si Nolan retombait des années en arrière. Y'avait pas à dire, la recette de John était extraordinaire. C'était comme si - rien qu'en en reparlant - Nolan pouvait déjà en sentir l'odeur qui sortait du four.

« Tu verras ! Ta tante Marilyn a raison. Cette quiche est exeptionnelle. »

Et une histoire, alors ? Aleksandra adorait les histoires avant d'aller se coucher. Si tatie Marilyn pouvait lui en raconter une pour s'endormir ? Chouette idée, ça ! Pendant ce temps, Nolan allait très certainement faire un peu de ménage et faire ensuite une descente dans sa cave pour ... Travailler un p'tit peu. Mais pour l'heure, ils allaient continuer à cuisiner. Ils ? Oui, oui. C'était comme si Marilyn avait lancé un défi à son cousin, puisqu'elle l'avait fixé. Nolan savait quand même manier les fourneaux. Fallait pas déconner. C'était en partie - voire surtout - sa mère qui avait fait son éducation. Donc elle lui avait appris le nécessaire, avant de ... Avant que Nolan ne quitte le foyer familial pour se consacrer à ses études.

« Ah, ah ! Évidemment que je vais vous aider. J'sais faire plein de choses de mes dix doigts. Tu vas voir. »

Challenge relevé. Oui parce que notre ami psychopathe ne s'amusait pas qu'à ouvrir des corps. Il avait aussi appris à se débrouiller et devenir autonome, quand même.

[HRP : Tout dépend. Mimi peut clôre ici avec Aleksandra ou alors on continue encore un p'tit peu. L'un comme l'autre ne me gêne pas ]

Le bonheur parfait. Pas besoin d'aller dans la famille d'à côté pour chercher et trouver le bonheur. De toutes les manières, une famille n'est jamais parfaite et ça a déjà été prouvé plus d'une fois... Mais celle-ci ici présente était parfaite. Tout simplement parfaite à sa manière. Ces moments anodins, innocents... mais tellement chaleureux et fort à la fois. L'amour était présent...

Et il était même présent dans les cookies. Et oui, ceux-ci avaient été fait avec le coeur et ça se voyait. Même Nolan avait envie d'en manger... comme tout le monde mais gardons le meilleur pour la fin!!! Il ne fallait pas abuser des bonnes choses...

Oh... je suis sûre qu'on en fera souvent avec mon assistante...

Marilyn décocha un clin d'oeil à sa filleule, puis comme l'envie de narguer son cousin, en parlant de l'odeur, elle ne lui mettrait pas un cookie sous le nez...

La bonne odeur, c'est p'tête fait pour...

Et toc. Puis Marilyn se tourna vers Aleksandra qui semblait être intriguée par les pouvoirs magiques de ce Mesquioz...

C'est un bonhomme vivant à Bagdad et qui a plusieurs dons à la fois mais ça … c'est surprise !

Marilyn n'allait pas tout spoiler mais en tout cas, elle prendra plaisir à lui raconter cette histoire plus tard... Passer un moment privilégié avec Aleksandra, c'était magnifique. Ca se voyait qu'elles s'adoraient... L'incroyable déjantée avec une mini-columbo... Ca en jetait !!! Et elle comprenait parfaitement qu'Aleksandra devait faire ses devoirs et qu'elle ne pouvait pas les aider. En voilà, une raisonnable ! Elle allait réussir dans la vie ! Bien sûr, Marilyn s'emballait mais elle n'en doutait pas dans le fond qu'Aleksandra irait loin... Oh oui, elle faisait confiance à Nolan, à l'éducation qu'il lui donnait... mais surtout Aleksandra était une petite fille très intelligente, il n'y avait qu'à voir toutes les questions qu'elle pouvait poser à la minute et puis au coup qu'elle avait fait tout à l'heure : leur petit secret. Bref. Et puis en tout cas, la Tata était bien là pour y veiller!!!

Vas-y, ma grande !

C'était tout à fait compréhensible et d'une manière ou d'une autre, Marilyn n'allait pas se plaindre car elle serait toute seule en tête à tête avec son cousin... Il était là rien que pour elle. La famille... Ca n'avait pas de prix.

Désolée pour une réponse pareille mais j'espère que ça ira pour conclure.