Natasha avait regardé, avec amusement, la scène qui s'était déroulée entre James et l'enfant. C'était, sans doute, la première fois qu'elle le voyait en face d’un petit garçon et était légèrement surprise du ton bienveillant qu’il utilisait pour s’adresser à lui. Ils continuèrent d’avancer, l’un à côté de l’autre, en silence. En réalité, que savait-elle de lui ? Il la surprenait chaque jour, à chaque fois qu’ils se voyaient. Un fin sourire sur les lèvres, la jeune femme se plaça à la hauteur de son ami et l’attrapa par le bras, comme l’aurait fait une enfant avec son grand frère, ou son père. Ou une petite-amie. Le silence avait de nouveau prit place dans la conversation et l’agent du FBI s’était replongée dans ses réflexions lointaines. Oui. Elle ignorait encore un tas de chose sur James, mais, étrangement, en savoir si peu sur lui ne la dérangeait pas ; ça lui donnait un côté mystérieux, et, elle se sentait tellement bien avec lui, que toutes les questions qu’on pouvait se poser sur lui ne venaient s’imposer à son esprit, l’obligeant à passer un interrogatoire au jeune homme. Ils approchaient du restaurant, un petit restaurant simple où on y mangeait bien avec une ambiance douce et agréable ce qui leur permettait à la fois de déguster un bon repas et de bavarder sans que des oreilles indiscrètes ne fassent attention à leur conversation.

Tu ferais un excellent père, remarqua finalement Natasha après un long silence. Avec le jeune garçon tout à l’heure… Je ne t’avais encore jamais vu aussi attentionné. C’était… Attendrissant.

Elle tourna lentement la tête vers lui, et, plus petite que lui de plusieurs centimètres, elle était forcée de lever les yeux. Sérieuse, elle avait toujours son sourire flottant sur ses lèvres et aucune crainte de ses paroles, ou pensées d’ailleurs. James ne la jugerait pas, elle le savait, et pouvait se permettre ce genre de remarque sans avoir peur qu’il le prenne mal ou comprenne autre chose. Elle imagina, l’espace d’un court instant, James avec un bébé dans les bras. Un pincement au cœur la troubla ; qui serait la mère de cet enfant ? Pourquoi avait-elle si mal au cœur à l’idée qu’il puisse avoir une femme dans sa vie ? Des questions qui, elles, revenaient souvent quand elle le voyait. Sans jamais avoir de réponse. Ils étaient parvenus au restaurant et y entrèrent, elle toujours à son bras. Il y avait déjà quelques personnes, couples, familles, amis fêtant un anniversaire, des serveurs. Peu tournèrent la tête à leur entrée, mais ceux qui le firent ne leur accordèrent que quelques secondes d'attention.

James et Tasha quitter tranquillement le parc après que celui ci et rattraper un enfant, alors qu'il s'était cogner contre sa Jambe, ce que James aurez souhaiter lui dire et faire était de le laisser tomber, et de lui gueuler dessus en lui disant, "Mais tu peu pas regarder ou tu va!!! Espèce d'abruti" enfin tout sa en bien plus vulgaire, mais il ne le fit pas, décidément quand Tasha James était tout à fait différent. Quoi qu'il en soit il était sur le chemin pour un restaurant, quand Tasha pris son bras, chose qui lui rendis heureux, sentiment étrange que James avait ce genre de seulement quand il était accompagner d'elle, c'était plutôt étrange mais agréable. Elle lui dit qu'il était un excellent père, James n'aimer les enfant mais sa elle ne le savait pas, après tout James ne parlez pas beaucoup de sa vue, il ne fallait pas qu'elle sache qui il était réellement, quoi qu'il en soit elle lui dit aussi qu'elle ne l'avait jamais vue aussi attentionné, que c'était attendrissant.

-J'ai pas trop envie d'avoir d'enfant, du moins pour le moment après tout on sais jamais ce que la vie peu nous réserver... Tu ma jamais vue aussi attentionné? Pourtant quand on se voit je le suis souvent.

Après c'est parole James regarda Tasha et lui fit un sourire complice, ce sourire voulez tout dire, tout et rien à la fois sa dépendez de la personne à qui il faisait sourire et surtout à la personne à qui il était destinée. James et Tasha était devant le restaurant, un petit restaurant d'accord mais bon pas besoin qu'il soit grand pour être bien, quoi qu'il en soit il était bien remplis mais pas de problème, il était pas plein non plus, alors James avait pas de problème pour trouver des places Il alla verre des place plutôt tranquille, au moins la il n'aller pas se faire déranger. James tenue la chaise, Tasha comme tout homme qui se respecte, une fois sa fait il se mis à sa place, et commanda deux café. Il ne lui avait pas demander mais depuis le temps qu'ils se connaisse James savait bien ce qu'elle aimer non?

Ils échangèrent un sourire complice, et le rose était monté aux joues de Natasha ; oui, il avait raison. Mais ça lui était tellement commun qu'il ne soit pas agressif envers elle qu'elle n'y prêtait plus la moindre attention. Elle ne put s’empêcher de rire légèrement en le voyant tenir sa chaise pour qu’elle s’assoit et laissa un « Tu es un parfait gentleman » lui échapper alors qu’elle s’asseyait. Machinalement, elle croisa ses longues jambes et se cala confortablement contre la chaise, de façon à éviter de gigoter toutes les secondes, comme elle le faisait si souvent. Le serveur vint leur servir les deux tasses de café et Natasha le remercia d’un léger « Merci » avant qu’il ne parte et elle fit tourner sa cuillère dans sa boisson préférée. Elle se souvint qu’il avait parlé d’aucune rencontre intéressante, cela signifiait donc qu’il en avait fait. Peut-être qu’il n’osait tout simplement pas en parler avec elle ? Il était vrai qu’avec toutes ses questions, elle pouvait parfois intimider les autres. Bien qu’il lui semblait improbable qu’elle parvienne à intimider James. Ou alors, il considérait que ça ne la regardait pas. Ou bien, dernière solution, il ne lui avait pas menti. Elle porta la tasse à ses lèvres, souffla dessus pour refroidir le café et en but une gorgée doucement. Il était encore brûlant et sa gorge sembla prendre feu, mais elle aimait tellement cette boisson qu’elle n’y prêta aucune attention. En revanche, elle avait bien remarqué le groupe de jeunes femmes, un peu loin derrière James, qui gloussaient en les regardant. Néanmoins, se sentant découvertes, elles dérivèrent les yeux et Natasha parut satisfaite que plus aucune de ces femmes n’observe son James à la dérobée. Possessive ? Oui. Jalouse ? Peut-être bien. Elle reposa ses perles sur son meilleur ami et, après avoir reposé la tasse, elle posa ses bras sur la table, comme pour se rapprocher de lui. C’était à croire qu’elle avait besoin de le sentir proche d’elle.

Tu as fait quoi depuis la dernière fois que nous nous sommes vu ? Et ne me dis pas rien, le prévint-elle. En pratiquement deux mois, il s’en passe des choses.

Alors que James tenait la chaise à Tasha, elle laissa échapper quelque parole , elle disait que c'était un gentleman, James était assis, le serveur envoyer leur café, puis peu de temps après derrière James un groupe de fille se mis ricaner ou glousser je sais trop quoi, au moment ou Tasha les regarda elles s'était stopper net. Heureusement car James n'aurez pas supporter, enfin c'était fini. Tasha bue son café alors que James le laisser refroidir sur la table, il mis deux sucre dedans, remua le café puis attendis. Tasha elle bue son café encore chaud bien sur elle souffla dessus car sinon elle aller se cramer la langue, et pas que la langue d'ailleurs. Quoi qu'il en soit elle posa c'est bras sur la table, pour être plus prêt de James peu-être, aller savoir enfin bon elle posa une question plutôt habituel, elle demanda ce que James avait fait depuis la dernière fois, elle ajouta que James ne devez pas dire rien oui après tout ce serait trop facile, sur ce coup elle avait pas tort sa fait deux mois ... DEUX MOIS, c'était long de ne pas la voir pendant deux mois.

- Bien si tu veut savoir J'ai retrouver deux amis d'enfance, et j'ai rencontrer Ashley du FBI, sinon le reste c'est pas important, et toi

était elle jalouse au point de pensée qui avait un truc entre James et Ashley? Non c'était des amis ni plus ni moins, enfin il fallait mieux être sur, après tout il ne fallait pas qu'elle croix des choses qui non Jamais exister.

-Tant fait pas y à rien entre Ashley et moi, je préfère préciser car je te connais, quand je te parle d'une fille tu te fait directement des idée. Dit James pour la rassurer mais aussi pour la taquiner un peu.

Elle fit semblant de se vexer à la seconde réplique de son ami mais ne put s’empêcher de sourire. Oui, cette idée lui avait traversé l’esprit ; Ashley et James. Même si cette simple idée lui déplaisait grandement, elle ne pouvait pas ne pas admettre qu’ils pourraient être mignons, tous les deux. L’agent du FBI s’aperçut qu’elle n’en n’avait jamais réellement parlé avec sa collègue. Bien souvent, leur principal sujet de conversation était leur métier, ce job qui les reliait, ou les criminels, une passion qu’elles avaient en commun. Mais, rarement, elles avaient dirigé la conversation vers le côté plus personnel. Juste assez pour que Natasha sache les vêtements préférés de son amie aux yeux océans, mais pas assez pour qu’elle soit capable d’affirmer sans l’ombre d’un doute qu’elle avait un petit ami. C’était déroutant, quand elle y réfléchissait bien ; depuis des années qu’elle bossait avec Ashley Seaver, elle ne savait pratiquement rien d’elle. Et inversement, à part si Ashley avait lu son dossier – ce qui était interdit et donc, peu probable – Ashley ne devait rien connaître d’elle. La jeune Boucle d’Or – son frère la surnommait ainsi, parfois – se promit d’essayer d’y remédier tôt ou tard. Elle avait confiance en sa collègue, mais apparemment, elle ne lui avait rien divulgué sur elle.

Ashley ? C’est une crème cette fille. Comment se fait-il que tu l’ais rencontré ?

Question intéressante ; Ashley ne lui avait pas parlé d’une nouvelle rencontre. Mais comme elle se l’était si bien fait remarquer plus tôt, Ashley et Natasha ne parlaient pas vraiment mecs lors de leurs conversations. La jeune Williams continua de touiller son café et plongea sa main dans une de ses mèches blondes. Ses boucles, elle les aimait. Plus petite, elle avait rêvé d’être rousse, d’un beau roux flamboyant, avant d’opter pour le brun. Et puis elle avait finit par apprécier sa chevelure dorée, ses vagues parfaites qui lui faisait ressembler à Abigail. Oui, Natasha avait souvent été jalouse de sa meilleure amie. Bien souvent, c’était la jeune Chase qui faisait rire tout le monde, Natasha étant un peu réservée, moins clown. Les compliments, c’était Abigail qui les recevait. Et la personne qui avait fait en sorte que Natasha ait confiance en elle, c’était son amie d’enfance. Aujourd’hui, Natasha avait appris à apprécier son corps, et si elle continuait de trouver qu’Abigail était bien plus jolie qu’elle, ça ne l’empêchait pas de savoir que certaines têtes se tournaient. Elle n’en profitait pas. Déjà parce qu’elle ne s’en apercevait que trop tard, ensuite parce qu’elle ne voyait où était l’intérêt.

Plongée dans ses pensées, elle en fut tirée par James qui répéta sa question. Elle reposa ses yeux de métal sur lui et haussa les épaules. Ce qu’elle avait fait en deux mois ? La même chose que d’habitude : elle avait courut après les brigands, était entrée au Behavioral Analysis Unit où elle avait finit par embrasser Aaron Hotchner. Attendez, ce dernier fait, ce n’est pas vraiment habituel ; ce n’est pas tous les jours qu’elle embrasse son supérieur. Malheureusement, elle ne pouvait en parler à personne. Pas même à Abigail ou James, et ça la rongeait car mentir, elle avait horreur de ça. D’autant plus qu’elle était une très mauvaise menteuse. Le seul moment où elle parvenait à mentir impunément, c’était lors d’une mission d’infiltration, étant sa spécialité, mais ce n’était pas pareil. Elle jouait un rôle, tandis que là, elle devait mentir à des personnes qui lui étaient proches et à qui elle tenait. « Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu’il te fasse ». C’était l’une de ses devises. Elle ne voulait pas qu’on lui mente, ne supportait pas cette idée, alors elle ne mentait pas aux autres. Logique, en somme.

A part entrer au Département d’Analyses du Comportement, pas grand-chose. J’ai retrouvé l’agent Hotchner, tu sais, celui qui a mis…

Elle se tut. Parler de Tyler ou de son passé était très dur pour elle et elle ne savait jamais qu’elle terme utiliser pour l’évoquer. Elle laissa sa phrase en suspend, sachant que James aurait saisit de quoi elle parlait. Tous deux se comprenaient assez pour pouvoir, des fois, se permettre de ne pas terminer leurs phrases. Pour un peu, on aurait dit qu’ils se complétaient.

Enfin, tu as compris, lâcha-t-elle dans un souffle, sentant les larmes monter et une boule se coincer dans sa gorge.

Alors qu'il était la comme sa à ne rien faire, juste la en train de touiller son café il regardais autour de lui, voir ce qui se passer, et bien non rien en même temps que pouvez il se passer d'intéressant dans un restaurant,e fin bon il était la avec Tasha c'est tout ce qui compter. Il était donc la à parler de tout et de rien chose qui ne le ressembler pas mais bon. Il était en train de la regarder, puis posa c'est yeux sur son café pour le boire enfin, il devais être enfin à bonne température, il apporta son café à sa bouche pour voir si il était encore chaud et aussi pour le boire, c'est bon il était d'assez bonne température, alors il se mis à le boire.

Elle posa encore la mais dans c'est cheveux, comme il le pensais sa ne pouvez être qu'il tic , quoi qu'il en soit quand James lui avait dit pour sa rencontre avec Ashley et qu'il fit sa petite remarque, elle fit comme si elle était vexe mais quand même avec un léger sourire en ajoutant que c'était une crème, elle voulez aussi savoir comment il la rencontré. Bien évidement vous pensez bien que James n'aller pas dire, bien javait envie de la tuer jusqu'à que j'ai appris qu'elle était du FBI, enfin il aller devoir légèrement mentir pas de problème mentir il savais le faire.

-Je l'ai rencontré dans un bar puis on à pris un verre et on a sympathiser.

En disant sa il posa sa tasse vide, Tasha elle avait la tête un peu dans la lune aller savoir quoi qu'il en soit James n'aller pas lui demander non plus à quoi elle pensée sa serait un peu étrange. Quand James lui redemanda si elle avait du nouveau, elle revient à elle et haussa les épaules puis répondue qu'à par son nouveau boulot rien d'intéressant, ah si elle à retrouver l'homme qui à mis en prison cette enflure. En disant sa elle avait les larme au yeux, alors James décida de prendre sa main pour la consoler un peu même si je doute que sa fasse grand chose. Ne sachant quoi dire après James lui demanda.

-Tu veut quelque chose après ton café? C'est moi qui invite.

Elle sentit une douce chaleur s'enrouler autour de ses mains et, baissant les yeux, elle fut reconnaissante à James pour ce geste pourtant anodin. Ses perles argenté toujours leurs mains, elle pouvait entendre son cœur faire des bons plus conséquent dans sa poitrine à ce contact à la fois sincère, amical et rassurant. La jeune femme blonde le remercia du regard et tenta un sourire, bien qu'il ne fût pas convaincant pour dix sous. Retirant ses mains de la protection de chaleur que James lui donnait pour les ramener à elle, elle refusa avec politesse sa demande. Elle n'avait pas faim, et ne s'était pas résigné à le ruiner. Une excellente tasse de café lui suffisait. Même si ça suffisait aussi pour que son médecin lui tire les oreilles à chaque consultation ; le café était considéré comme une drogue car provoquant une forte dépendance, et s'il était légal ─ faisant ainsi d'elle une droguée légale ─ il pouvait parfois se montrer nocif pour la santé. D'une, il donnait un teint pâle, presque cadavérique, mais Natasha ayant toujours eu une peau très claire, cela passait presque inaperçu. De deux, il rendait agressif et les personnes buvant trop de café étaient plus souvent sujet à des actes de violences incontrôlés que ceux n'en buvant pas, ou peu. De trois, cela empêchait de dormir correctement et pouvait provoquer des troubles du sommeil. C'était cela que Natasha recherchait dans cette boisson ; le fait de ne plus pouvoir fermer les yeux, et donc, esquiver par la même occasion chaque cauchemar qui venait la hanter tous les soirs. Des souvenirs brûlants de son passé qui la terrifiaient et la faisaient garder son âme d'adolescente perturbée par le départ de son père, son viol, et la mort de sa mère. Trop de choses étaient survenues en trop peu de temps. Trop d'éléments étaient venus s'interposer dans sa vie jusqu'alors parfaite, ou presque. Une fois que l'agent Hotchner eut enfermé Tyler, elle avait décidé de ne plus dormir. De toute façon, elle ne le pouvait pas. Son père, Richard Williams, était un grand adepte du café ou de tout ce qui pouvait s'en rapprocher. A son départ, Natasha ─ qui détestait à la fois le goût et l'odeur de cette boisson ─ avait ressentit un manque en ne se levant plus tous les matins avec l'odeur du café. Elle s'était mise à en faire, pour personne en particulier vu que ni sa mère, ni son frère n'en buvait. Mais ça n'avait jamais remplacé les taquineries qu'elle lançait à son père à chaque tasse qu'il buvait. Alors, elle en avait bu une tasse, une première fois. Le goût acerbe lui avait brûlé la gorge et si elle avait été deux doigts de tout régurgité, elle s'était contenter de grimacer. La nuit venue, elle n'avait pas dormit. Du moins, pas assez pour cauchemarder. Le lendemain, elle s'était mis à boire du café, et c'était devenu depuis une habitude parmi tant d'autre. Un besoin dont elle ne pouvait se passer. Elle en abusait, elle en avait conscience. Mais cela lui faisait le plus grand bien.

La jeune femme blonde avait renoncer à taquiner son ami à propos d'Ashley et avalait quelques gorgées de sa précieuse boisson de temps en temps. Ses doigts fins caressant la tasse d'un air pensif, elle se souvint d'une découverte qu'elle avait fait, un peu plus tôt dans l'année, pour ses cours de criminologie. Leur prof leur avait, en effet, demandé de faire des recherches sur les membres de leur famille afin de découvrir si certain d'entre eux étaient capable de crime. Pour elle, ce fut un choc. Du côté maternelle, elle n'avait rien trouvé. Elle ne connaissait pas ses grands-parents maternels et n'avait donc jamais pu les juger, quant à sa défunte mère qui s'était laissée mourir par amour pour son époux, elle n'avait jamais eu le profil d'une psychopathe. En revanche, du côté de son père, les recherches s'étaient compliquées, elle avait dû longuement approfondir avant de parvenir à des résultats. Et ses efforts en furent récompensé. Ou presque. Elle avait appris que celle qu'elle avait toujours crût être sa grand-mère était en réalité son arrière grand-mère et, jouant les détectives et profitant des accès que lui accordait sa plaque d'agent fédéral, elle avait réussit à retrouver l'identité de sa véritable grand-mère. Elle le regretta amèrement puisqu'il s'agissait de Charlène Adell Williams. L'épouse du terrible Gérald Armond Gallego. Maris et femmes, le couple avait fait plus d'un meurtre et avait finit par être incarcéré en 1982. Lui avait finit par périr en prison d'un cancer, et Charlène avait été libérée après avoir purgé sa peine. Avec effroi, Natasha avait lu leur dossier, avide d'en savoir plus sur cette partie de sa famille qu'elle ne connaissait pas et tout un tas de questions qui, elle l'avait sût, allait demeuré sans réponse l'avait assaillit. Les parents de son père étaient des assassins. Des violeurs. Dans sa famille, elle avait des personnes capables des actes qu'elle avait subit des années plus tôt. Sa curiosité touchée, elle avait continué les recherches pour en savoir plus. Charlène avait été enceinte peu de temps avant d'être arrêtée, et son enfant une fois né avait été remis à sa mère, Mercedes Williams, expliquant ainsi que son père fut Williams, et non Gallego. Mercedes étant décédée depuis de longues années, et Charles bien longtemps encore avant, Natasha n'avait pu poser les questions qu'elle aurait souhaité.

Les gênes psychopathes se transmettent de façon héréditaire, la plupart du temps. Si ta famille a des antécédents de tueurs, tu as de grandes chances de le devenir, lâcha-t-elle sans réellement s'apercevoir qu'elle s'était exprimé à voix haute. Il y a d'autres facteurs qui jouent aussi, bien sûr, et heureusement d'ailleurs, mais cela peut souvent expliquer les attitudes violentes ou agressives de certaines personnes... Mes grands-parents paternels étaient des psychopathes assoiffés de sang et crimes en tout genre, ajouta-t-elle après un silence.

Elle s'insulta intérieurement pour ce sujet de conversation ; à force de traîner avec des profilers tous les jours, elle finissait par oublier que tous n'en était pas et que tout le monde n'était pas forcément passionné par les tueurs en série comme elle l'était, elle. Et à force de côtoyer Ashley Seaver, la voilà qui déballait sa science. Elle qui avait horreur de ça ! Montrer aux autres son étendue de connaissances et savoir. Elle trouvait cela prétentieux, inutile et agaçant. Mais devait avouer que ça comblait les vides.

Rester la dans un restaurant, ca pouvez être chiant pour quelqu'un de normal mais pour James c'était pire que chiant... il se faisait chier oui voila rester la à rien faire, sa le faisait chier. Bien ouais rester la à ne rien faire sa ennuyer plus d'une personne, et James en fait partie. Un jardinier, et alors? c'est pas car il est jardinier qu'il aimer rester la à regarder l'herbe pousser, faudrait vraiment rien avoir à faire d'autre, et même si tu na rien à faire d'autre, regarder l'herbe pousser est la dernière chose que l'on ferait. Pourquoi je parle d'herbe déjà? Voila pour dire qu'il s'ennuyer, James avais pris la mais de Tasha pour la réconforter, elle fit un sourire puis retira sa main. Pourquoi elle avait retirer sa mai? Était elle gêné, mais pourquoi serait elle gêné? Non sa pouvez pas être sa elle devait juste aller mieux.

Tasha pris une autre gorgé de son café quand James fit signe au serveur pour lui demander l'addition, une fois l'addition ils pouvaient partir quand ils le voudrons. Puis aller savoir pourquoi Tasha parla des gênes de psychopathe, en disant que c'était héréditaire. Si la famille d'une personne avait des tendance psychopathe il y avait beaucoup de chance pour que leur fils soit à son tour un tueur en série. James ne savait pas pourquoi elle avait sortie cette phrase comme sa sans aucun rapport avec leur précédente conversation. Elle enchaina après un long silence elle ajouta que ce n'était pas le seul facteur pris en compte il y en à d'autre comme la maltraitance, elle expliqua que cette hérédité pouvait expliquer les caractère violant de certaine personne. C'est grand parent était des psychopathe, James lui n'y avait jamais pensée c'est peu-être de la faute de sa famille si il est comme sa, encore une chose que c'est enflure lui on faite. Enfin eux ou pas James vivait très bien avec ce coté assoiffé de sang.

-Tu à peut-être raison, mais j'aime pas trop parler de ça.

Cette réponse était vrai et fausse, il aimer parler des tueurs en série et tout, mais avec des gens comme lui, j'entends par la Nolan et Ho. C'est pas que sa le déranger de parler de ce sujet avec Tasha ou quelqu'un d'autre, qui vient sur le sujet, c'est juste qu'il préfère ne pas en parler. Il pourrait très facilement se faire repérer, avec rien qu'une phrase, Il suffit d'une phrase pour que l'on sache qui il est vraiment. Sa et aussi car il n'aimer pas mentir à Tahsa et quand il est question de psychopathes James avait du mal à faire croire qu'il tait dégouter et qu'il ne connaissait rien la dessus. Il avait payer l'addition donc il pouvait partir dés que Tasha sera prête, même si il ne savait pas si il voulait partir ou rester. Tout ce qu'il sait c'est qu'il veut rester avec elle...

Devant le ton embarrassé de son ami, la jeune femme blonde se sentit soudainement honteuse d’avoir étalé son semblant de sciences sur les études des plus grands psychopathes et se mordit la lèvre inférieure, ne sachant plus quoi répondre. Il était vrai que si elle était passionnée par les tueurs en série, il n’en n’était pareil pour tout son entourage. A vrai dire, peu de personne n’aimait bavarder cadavres au beau milieu d’un repas. C’est à ce moment qu’elle se rendit compte que leur table avait été débarrassée, et que James avait payé l’addition. Le regard adoucit, elle le remercia, agrémentant sa phrase d’un énième sourire. Remarquant qu’il avait l’air de s’ennuyer, elle attrapa sa veste dans un geste habile, lui montrant ainsi qu’elle voulait bouger, et tous deux sortirent. L’air s’était rafraîchit et la jeune femme apprécia la présence de son blouson sur ses épaules. Elle aimait cette période de la journée ; entre l’après-midi et le soir. Le moment où personne ne savait s’il faut dire « Bonjour » ou « Bonsoir ». Elle inspira une grande bouffée avant de se retourner vers son ami. C’est à cet instant qu’une brise légère vint les étreindre langoureusement, faisant valser ses cheveux dorés. Telle une enfant, elle attrapa ses boucles vénitiennes, un large sourire découvrant ses dents blanches sur le visage.

Désolée, pour mon discours sur les tueurs et les psychopathes… C’est parfois plus fort que moi.

Elle esquissa une grimace comme pour appuyer ses excuses. Il y eut de nouveau un blanc avant qu’elle prenne conscience de l’heure ; Abby devait probablement être en train de s’inquiéter en ne la voyant pas rentrer et allait finir par prévenir le FBI pour partir à sa recherche. Une nouvelle grimace vint se peindre sur son visage, cette fois-ci beaucoup moins théâtrale que la précédente.

Oh bon sang le temps passe trop vite quand tu es là. Il faut que je rentre, ma colocataire ne va pas tarder à prévenir les autorités et je vais passer un mauvais quart d’heure si je déboule comme ça. Et puis… Je bosse demain. On se revoit une prochaine fois, n’est-ce pas ? Promis, je ne serai pas en retard cette fois-ci.

Elle ajouta un clin d’œil et s’approcha de lui pour déposer un baiser sur sa joue.


[ HJ : Vraiment, je suis plus que navrée pour cet énorme retard et ce poste ridicule... Je suis impardonnable, I know ~ Sinon, j'ai voulu arrêter le sujet car je ne sais pas quoi rajouter, mais si tu as qqch à rajouter, on peut toujours trouver un moyen de le continuer Encore désolée]