Le forum ferme ses portes après 5 longues années d'existence.
Merci à vous tous de nous avoir suivi et qui sait, à bientôt sur d'autres forums ♥
Le deal à ne pas rater :
Display 24 boosters Star Wars Unlimited – Crépuscule de la ...
Voir le deal
Le Deal du moment :
Sortie PlayStation 5 Pro : où ...
Voir le deal

Partagez|

C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch )

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Anonymous
 Invité 
Invité




• • • • • • • • • • • • •



C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch ) Empty
MessageSujet: C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch ) C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch ) EmptyMer 18 Avr 2012 - 11:56

Toute cette soirée n'avait été que noirceur et tristesse. Panique et larmes. Crie et sang. Sam s'en souviendrait de son premier baiser. Il s'en souviendrait mais pas dans le bon sens du terme. Il n'aurait pas dut aller à cette soirée, il aurait dut rester avec son père, avec la seule personne qu'il aimait réellement, avec la seule personne qui comptait vraiment pour lui. Ce soir sa vie avait basculé et ses rêves s'étaient écroulé. Son père avait été tué.

Sam était assis sur un lit d'hôpital. Recroquevillé sur lui même, serrant ses genoux contre sa poitrine, regardant dans le vide de ses yeux noisettes noyées de larmes qui refusent de coulés. Il avait le coeur brisé, déchiré, poignardé, laminer...La culpabilité était en train de l'envahir, et son caractère le faisait se renfermer et ne plus ouvrir la bouche. Il s'était laisser examiner entièrement. On avait soulever son t-shirt et sa chemise maculé du sang de son père pour observer qu'il n'avait rien et se fut bien le cas. Aucune marques de coups ou de blessure. Il s'était rhabiller légèrement et avait garder sa chemise ouverte. Une infirmière était venue chercher plus tard la chemise couverte de sang et son t-shirt, elle lui avait laisser une chemise d'hôpital sur le côté du lit, mais Sam était rester torse nu assis sur le lit à fixer un point invisible. Il n'avait plus envie de faire quoi que se soit, de dire quoi que se soit...Il n'avait plus de force, n'avait plus aucune envie, plus de peur, plus de pensées, plus de réflexion, plus de rêves... Dès qu'il fermait les yeux il revoyait le corps de son père, cette insulte qui marquait le dos de son pauvre homme qui n'avait rien demander à personne. Sam ne savait pas où était Natasha, surement en train de parler avec les flics ou les gens de l'hôpital. Ils étaient surement en train de lui dire qu'il était dans une phase de mutisme et que si on le forçait à parler il risquerait d'y rester. Il savait tout ça, et il savait aussi que pour le moment il ne souhaitait pas parler. Pourquoi ? Parce qu'il était incapable de parler sans hurler, sans crier, sans s'insulter lui ou les autres, sans exprimer cette rage et cette colère qui naissaient en lui. Il était bien trop jeune, bien trop sensible pour avoir à gérer tout ça. Il s'en voulait de un parce qu'il avait été parler à Natasha de son problème, de deux parce qu'il n'avait pas protéger son père, et de trois parce qu'il n'avait plus le courage de chercher à se venger.

La porte s'ouvrit et Sam redressa lentement un regard noir et remplit de terreur vers la personne à l'entrée. Celle-ci était debout devant lui tenait une plaquette dans la main droite et un stylot dans la main gauche. Elle cherchait à dire quelque chose. Cette personne était un homme d'une quarantaine d'année qui avait dut en voir passer des adolescents comme Sam. Perdue et traumatisé. Mais une chose changeait en Sam, il ne pleurait pas, ou plutôt plus. C'était étrange, mystérieux et surtout flippant. Il devait pleurer. Le médecin voulait lui parler, mais le regard noir le fit changer d'avis, il fit ensuite à l'attention d'une personne en particulier :

"Si vous voulez lui parler allez y..."

Puis stoppant la femme gentiment, il lui dit lentement et doucement de façon à ce que Sam n'entendent pas :

"...mais ne vous attendez pas à une réponse. Il n'a pas ouvert la bouche depuis son arriver ici. Il n'a pas dormit, pas manger, ni but depuis qu'il est là. Il n'a pas chercher non plus à mettre le chemise de nuit qu'on lui a donner. Il est rester dans cette position depuis que vous nous l'avait emmener."

Il redonna un coup d'oeil sur Sam et retournant son regard vers l'agent du FBI il fit :

"La bonne nouvelle étant qu'il n'a aucune blessure...mis à part psychologique."

Sam avait rebaisser sa tête et entendit son ventre gargouiller, mais il ne ressentait pas la faim pour autant. Il n'avait rien envie d'avaler, ni de l'eau, ni de la nourriture. Il voulait une seule chose, fermer les yeux sans voir son père mort. Il aurait aimer que cette soirée n'ait jamais lieux...
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
 Invité 
Invité




• • • • • • • • • • • • •



C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch ) Empty
MessageSujet: Re: C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch ) C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch ) EmptyMar 1 Mai 2012 - 20:10

Elle détestait les hôpitaux ; mais elle ne semblait pas avoir remarqué qu'elle était dans ces lieux tant haïs. A vrai dire, elle ne remarquait plus rien tant elle se sentait coupable. Gulty semblaient lui murmurer les bruits les plus infimes de la vie ; les talons qui claquaient sur le sol criaient qu'on la pende, les bruissements des feuilles réclamaient que justice soit faite. Sur le trajet de l'hôpital, elle n'avait pas osé adresser la parole à Sam ; elle s'était sentie mal, ne sachant que dire. Il l'avait lui-même accusé d'être responsable. Et il avait raison... Sam. Comment allait-il ? Etait-il blessé ? Pourquoi les infirmiers ne venaient-ils pas la prévenir ?

Secouant frénétiquement la jambe, elle joua nerveusement avec une de ses boucles blondes, les dents enfoncées dans sa lèvre inférieure. Elle tremblait. Tout son corps tremblait sans qu'elle ne parvienne à l'arrêter. L'adrénaline retombait petit à petit ; les évènements de la soirée se répétaient sans cesse ; elle ne contrôlait plus rien. Ni son corps, ni ses pensées. Mike Donovan était décédé. Assassiné. Un homme qu'elle considérait comme un ami. Il était mort. Par sa faute. Elle ferma les yeux, inspira ; il lui fallait rester maître d'elle-même pour l'instant. Elle ne pouvait pas se permettre de craquer. Il fallait qu'elle voit Sam. Elle devait le voir ; elle devait savoir s'il allait bien ou non.

Un interne vint la prévenir que la dépouille de Mike Donovan avait été transportée à la morgue. Il ajouta que son supérieur était sur la route ; elle ne tilta pas. Son supérieur, elle s'en fichait ! Elle retint l'infirmier, demanda si le Docteur Davis était là ; la réponse fut négative. Alors elle se laissa retomber sur la chaise en plastique dur de la salle d'attente. Enfonçant les coudes dans ses cuisses, elle se prit la tête dans les mains ; les tremblements avaient quelque peu cessé. Pas assez pour qu'elle se sente moins nerveuse, mais assez pour qu'elle soit satisfaite du contrôle qu'elle pouvait parfois avoir sur elle-même. Même si cela ne l'empêchait pas de remettre tous les torts sur elle ; après tout, elle n'avait pas prit suffisamment de précautions ; elle aurait dût prévenir la police de ne surtout rien divulgué à la presse. Elle avait été passive ; elle en faisait les frais, à présent.

Williams ! aboya une voix impérieuse et sèche.

La jeune femme releva la tête et vit que Bradford lui faisait face. Elle retint une grimace ; son chef lui dit un signe de tête qu'elle comprit directement ; elle se leva et quitta la salle d'attente. Elle attendit que son boss ait fait de même pour se caler dans un coin vide et reculé de l'hôpital. Elle le connaissait assez pour savoir quelles allaient être les paroles qu'il allait lui dire et pour connaître le sermon qu'il allait lui tenir pendant une vingtaine de minutes par cœur. Sans attendre qu'il l'ait rejoint, elle commença ; autant le devancer et lui faire gagner du temps, non ?

Patron, je sais que...
La ferme, Williams ! la coupa-t-il sèchement.

Surprise, elle obtempéra ; elle avait peut-être surestimé son degré de compréhension et de patience? Bradford avait les yeux qui lançaient des éclairs, le visage fermé, l'air sévère. Natasha attrapa machinalement une nouvelle mèche de cheveux dorés qu'elle tortura.

Et cessez donc de jouer avec votre satané mèche ! Mais qu'est-ce qui vous est passé par la tête ?! Vous connaissez les règles, Williams, vous savez qu'elles sont intransigeantes ! Tout comme le Directeur d'ailleurs, il ne va pas vous rater celui-là ! Vous avez pris d'énormes risques en agissant de la sorte ! J'espère que vous en êtes consciente, au moins ?!

Il se contrôlait pour rester calme, la jeune femme le voyait ; honteuse, elle baissa la tête, lâchant sa boucle d'or comme il le lui avait ordonné, rivant ses yeux pâles sur le sol. Elle se mordit la lèvre ; entendit Bradford soupirer. Il n'aimait pas que ses agents déraille ; cela nuisait à sa réputation, mais aussi à celle de ses agents. Et, contre toute attente, il s'inquiétait beaucoup pour chacun de ses hommes.

Ecoutez, Williams... Vous saviez que vous ne pouviez pas enquêter ainsi, n'est-ce pas ? Vous saviez que vous deviez avertir un de vos supérieurs ? ... Répondez Williams nom d'un chien ! grogna-t-il, le visage rouge de colère.
Oui, monsieur...
Alors pourquoi avez-vous décidé de prendre l'enquête ?
Je... Je n'en sais rien, finit-elle par lâcher. J'ai pensé que ça allait être simple, j'ai crut que j'étais un excellent agent, que j'étais capable de résoudre une enquête toute seule... Je connais Sam, je ne pouvais pas le laisser seul. J'ai voulu jouer les Superwoman, et j'ai échoué...
C'était vraiment idiot !
Je sais...
Cela dit, vous êtes un très bon élément.

Elle ferma les yeux, sans noter le compliment, releva la tête ; oui, elle avait agit sans réfléchit. Oui, elle était la plus stupide des parfaites idiotes. Oui, elle s'en voulait terriblement. Oui, elle avait voulu jouer les Wonderwoman. Oui, elle avait échoué. Mais non ; elle ne pouvait pas faire machine arrière. C'était là l'un de ses plus grands regrets, d'ailleurs. Elle rouvrit les yeux ; oui, elle avait prit de grands risques, mais elle l'assumait. Plus ou moins.

Bon, vu que Mike Donovan était un profiler de renom, je suppose que les agents du Behavioral Analysis Unit voudront envoyer un de leurs hommes pour vous interroger, vous et Sam, sur ce qu'il s'est réellement passé. Depuis le début.
Je vais être suspendue ?
Je ne peux rien dire pour l'instant. Après tout, c'est un profiler qui est mort, ce n'est donc pas de mon ressort... Mais j'aurais vivement préféré que vous soyez un bleu, j'aurai cela sur votre inexpérience. Votre brillante carrière de connaître un douloureux tournant.

Il regarda sa montre furtivement. Natasha avait l'estomac contracté, une boule de stress dans le ventre ; la suite des évènements allait lui échapper. Et elle n'aimait pas ça. Elle détestait ne pas pouvoir savoir, ou juste prévoir, ce qui allait se dérouler.

Comment va le gamin ?
Je ne sais pas encore. Il est sous le choc, je présume... Ca fait beaucoup pour un adolescent de son âge... Il a déjà perdu sa mère et là... Il n'a plus personne... Que va-t-il devenir ?
Ca, je l'ignore. Les services sociaux vont très rapidement être appelés ; d'ici demain soir ils seront venus en ayant contacté sa famille.
Bien... Patron ? appela-t-elle alors qu'il s'éloignait. Merci.

Bradford lui adressa un simple signe de tête en guise de réponse et parti, la laissant seule dans son coin d'hôpital. Elle passa une main fébrile sur son visage, poussa un soupire ; son supérieur avait été moins sévère qu'elle ne l'avait pensé. Sans doute s'était-il levé de bonne humeur. La blondinette rejoint l'accueil, demanda la chambre de Sam ; la soirée avait été mouvementée, elle préférait donc voir le jeune garçno avant l'arrivé du profiler qui serait en charge de l'enquête. Et puis elle s'inquiétait de l'état de l'adolescent ; malgré les paroles voulues rassurantes de Bradford, Natasha ne pouvait s'empêcher de craindre pour l'avenir de son protégé. Services sociaux, famille d'accueil.... Rien de tout cela ne pourrait lui assurer que Sam serait entre de bonnes mains, ou à l'abri de ce prolifique psychopathe.

Elle allait pénétrer dans la chambre de l'adolescent lorsque le médecin la retint pour la prévenir ; Sam, comme elle l'avait imaginé, s'était enfermé dans un mutisme duquel il ne semblait pas décidé à sortir. Le traumatisme causé par sa macabre découverte se faisait à présent sentir ; le généraliste ajoute qu'en plus de ne pas avoir prononcé le moindre mot, l'ultime descend des Donovan n'avait pas bougé. Pas même lorsqu'il lui avait fallut se changer.

Les yeux pâles de Natasha s'étaient posés sur Sam ; elle remercia le docteur sans lui lancer le moindre regard et s'avança. L'adolescent était, une nouvelle fois, recroquevillé sur lui-même ; il avait cette même expression sur le visage que celle qui l'avait habité lorsqu'elle l'avait trouvé, quelques heures plus tôt, chez lui. S'approchant lentement, la jeune femme cherchait quelque chose à dire ; quelque chose qui aurait pu sortir l'adolescent de sa léthargie. Mais rien ne lui venait à l'esprit.

Sam, commença-t-elle avant de se taire.

Et puis elle trouva. Les infirmiers et urgentistes avaient essayé et s'étaient tous heurtés à un mur, mais l'agent fédéral connaissait le jeune homme. Elle savait plus ou moins comment s'y prendre pour attirer son attention ; il ne fallait pas le sous-estimé, mais bien lui parler comme à un adulte. Normalement. Et quand même bien il ne répondrait pas, cela n'aurait aucune importance ; du moment qu'il l'entendait, c'était le principal.

Sam, des profilers vont venir pour te poser des questions. Une enquête va être ouverte... Il faudra que tu leur répètes tout... Je sais que c'est pénible, mais ils ne pourront rien faire si tu ne réponds pas à leurs questions... Et, hm..., continua-t-elle en cherchant ses mots, Demain, les services sociaux vont également venir pour voir si tu n'aurais pas de la famille chez qui tu pourrais aller vivre... Enfin, tu connais la procédure...

Un silence prit alors place dans la chambre froide de l'hôpital. La jeune femme eut un faible frisson qui lui parcourut l'échine ; non, elle n'aimait vraiment pas les hôpitaux. La blondinette fit encore quelques pas de plus jusqu'à parvenir à la hauteur du lit. Là, elle chercha à croiser le regard de Sam, mais elle ne fut pas certaine que l'adolescent ne l'ait réellement remarquée.

Sam ? tenta-t-elle une nouvelle fois, je suis vraiment désolée... C'est de ma faute. Je comprends ce que tu ressens. Je connais cette envie d'hurler, de se défouler, de trouver un coupable... Ne retiens pas toute cette haine et cette tristesse... Cela ne peut que faire empirer les choses.... Si tu veux crier, vas-y, cries.

Son regard pâle avait dérivé pour se concentrer sur le sol ; elle espérait qu'il hurle. En réalité, elle préférait qu'il l'accuse du décès de son père plutôt qu'il reste sans rien dire. Elle était capable d'encaisser ; Sam avait besoin d'extérioriser tous ses sentiments et elle, elle avait besoin que Sam soit apte à l'aider pour l'enquête.


HJ:
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
 Invité 
Invité




• • • • • • • • • • • • •



C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch ) Empty
MessageSujet: Re: C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch ) C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch ) EmptyVen 4 Mai 2012 - 10:24

Sam avait tout entendue de ce que Natasha lui avait dit, il avait également comprit qu'elle ne se sentait pas forcément bien. Mais une part de lui ne voulait pas l'aider parce qu'elle l'avait trahit. Mais en même temps, elle avait toujours été là. Elle avait tout fait pour l'aider, et bien que cette erreur est coûter la vie à son père, Sam se disait que le vrai fautif dans cette histoire c'était lui. Et rien que lui. Mais il n'arrivait pas à parler, il n'arrivait pas à exprimer quoi que se soit. Ses doigts se crispèrent contre ses avants bras, au point au ses oncles entrèrent en contact avec sa peau. Il saignait légèrement et grimaça, puis il se détendit et ses oncles se retirèrent de ses avant bras. Pourquoi avait-il fait ça ? Pour exprimer sa colère, sa rage, et son désespoir. Il n'avait plus personne, ça ne servait à rien de chercher. Ses parents étaient enfants unique, ses grands parents étaient décédés et sa mère également quelque temps avant. Il allait se retrouver dans une famille d'accueil. Il finit par dire d'une voix enraillé et légèrement dépourvue de courage :

"Je suis seul...ma famille est morte...tous."

Il redressa son regard chocolat vers les yeux clairs de Natasha et il ne pouvait pas lui envoyer un regard de rage ou de quoi que se soit d'autre. Il ne lui en voulait plus. Elle n'était pour rien dans cette histoire. C'était de sa faute à lui. C'est lui qui avait voulut en parler, c'est lui qui avait décider de jouer au héros. C'était de sa faute si il était seul. Il finit par lui dire :

"C'est pas ta faute..."

Il aurait bien dit la suite mais elle était si simple à deviner qu'il préféra se taire, à nouveau. Il avait parler certes mais est-ce qu'il parlerait aux agents fédéraux lorsque ceux-là allaient arriver ? Personne ne pouvait le savoir. L'adolescent frissonna un peu et s'allongea sur le côté du lit, en boule, il laissait le sang sécher de ses minuscules blessures sur ses avant bras. Sa manière de communiquer relevait presque des hommes préhistoriques, mais il ne savait pas comment se faire entendre des autres personnes. Une chose était sur il ne voulait pas rester seul, mais il ne savait pas comment le demander. Il avait peur que Natasha parte. Il ne voulait pas qu'elle le laisse. Il lui aurait bien dit, mais il était incapable de parler. Il réprima des sanglots et mais son corps tremblait quand même. Il tenta de faire reculer ses larmes qui commençaient à couler mais il n'y parvint pas. Il se renferma dans son monde où le malheur et la terreur avait prit le dessus sur l'espoir et l'amour. Il repensait à son père, à tout ce qu'ils avaient partager. A tout ces moments qu'ils avaient vécut ensemble et à tout ceux qu'ils ne vivraient jamais. Et là il pleura, il ne chercha plus à se cacher, ni à faire semblant. Il ne jouait plus au fort. Il se lâcha et pleura. Se recroquevillant sur lui même, prit de peur panique et tremblement du au froid. C'était l'après choc. Il comprenait enfin ce qui venait de se passer, ce qui était arriver. Il entendit de nouveau la porte s'ouvrir entre deux sanglots et bougeant la tête sur le côté, il crut que Natasha était partie, il se mit à paniquer et il cria :

"Tasha !!!"

Il ne savait pas si elle était sortie, ou quoi que se soit, il ne voyait plus rien avec ce torrent de larmes qui coulait dans ses yeux. Soudain il vit deux silhouette. Il essuya ses larmes du revers de chaque mains et se demanda qui c'était. Il était tant de parler et de dire tout ce qu'il savait...Il n'avait plus rien à perdre, pas vrai ?
Revenir en haut Aller en bas

 Contenu sponsorisé 





• • • • • • • • • • • • •



C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch ) Empty
MessageSujet: Re: C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch ) C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch ) Empty

Revenir en haut Aller en bas

C'est vraiment arriver ? (PV Natasha / Hotch )

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

Sujets similaires

-
» I need to know, explain to me, please. [Pv Hotch]
» Problème de coeur | A.Hotch.
» VISITE DE COURTOISIE....Ou presque...[PV Hotch]
» Stressée, mais déterminée [Pv Hotch]
» Dur dilemme pour un père ( PV Hotch )
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
RPG Criminal Minds :: Divers :: RP terminés (ou abandonnés)-