Zoey Aldrin (Terminé)

FBI Confidential File n°00328 700 17

Zoey Aldrin
FEAT. Shannyn Sossamon

identity card ; state of virginia

▌N° D'IDENTIFICATION • 00328 700 17

▌SEXE • féminin masculin
▌NOM • ALDRIN
▌PRENOM(S) • ZOEY
▌ÂGE • 30ANS
▌DATE • 27/12/1981
▌LIEU • Née à New York City
▌NATIONALITE(S) • américaine
▌ETAT CIVIL • Célibataire
▌EMPLOI • Ex profiler, professeur de criminologie
▌SPECIALISATION(S) • Crimino
▌ETUDE(S) • Diplômée à 16ans, Master de psychologie, puis F.B.I Academy
▌VILLE • Habite à Quantico, bosse à Washington

▌HABITATION • Villa - Maison - Appartement - Loft - Studio ▌GROUPE • Profiler - Apprentice profiler - FBI - Other - Media

▌

about your character
.

Inconnu a écrit:: ❝ L’autodestruction, c’est souffrir pour se sentir vivant ❞ (

What's in your mind ?

Moïra Banks, thérapeute de Zoey Aldrin :

Zoey est la petite dernière d’une fratrie de quatre enfants. Pour elle, d’entrée de jeu, sa position de petite dernière, et sœur cadette d’une jeune trisomique, l’a responsabilisée. Elle a tout de suite cherché à égaler ses frères aînés, et à s’occuper de sa sœur, plus âgée de 18mois. Très curieuse, elle s’intéressait à tout, et a très vite développé une soif de connaissances l’ayant amené à avoir très tôt un développement intellectuel supérieur à la plupart des enfants de son âge . Face à ses frères de 8ans ses aînés, elle s’est toujours placée comme quelqu’un de fort, de combattif, voir de rebelle. Pour elle, c’était sûrement l’unique moyen de s’imposer dans sa fratrie, mais aussi de protéger sa sœur. Elle a toujours su ce qu’elle voulait faire, et s’est battue pour y arriver. On peut donc dire qu’elle sait faire preuve d’une grande détermination, se montrant quand elle le juge nécessaire plus têtue qu’une mule !
Cependant, sa précocité a toujours fait d’elle un être cachant une certaine fragilité, une instabilité qui est ressortie avec l’évènement dramatique qu’elle a vécu récemment. Même si aujourd’hui elle a un nouveau travail, elle semble s’être quelque peu refermée sur elle-même, faisant preuve d’une grande méfiance vis-à-vis des autres, ce qui peut traduire une peur d’être blessée, déçue par ces derniers, et de pessimisme concernant son avenir. Elle semble ne plus croire à grand-chose, et semble refuser pour le moment toute forme d’attachement. Il est indéniable que le traumatisme subi est vraiment très important, puisqu’elle a même décidé de quitter NY, où se trouve sa sœur, la personne la plus importante à ses yeux, pour venir s’installer ici. Même si elle part lui rendre visite un week end par mois, elle restreint les contacts, que ce soit avec elle ou les autres.

Heureusement que son travail l’incite à rester « sociabilisée » ; passionnée par son travail, elle fait preuve d’une grande démagogie, essayant de transmettre au mieux son savoir aux étudiants, qui apparemment l’apprécient et la respectent énormément. Bien qu’elle soit faite pour être profiler, elle s’y refuse désormais ; je dirais que ce métier, qui la passionne pourtant toujours autant, est aujourd’hui lié à des souvenirs douloureux. Elle a, je pense, peur de revivre ce qu’elle a vécu l’année dernière, d’où son détachement. Elle a cependant déjà accepté d’aider des collègues dans leurs enquêtes, ce qui montre bien qu’elle tient encore tout de même à ce travail.

Physical description

Eddie Carlson, étudiant :

Melle Aldrin…. Personnellement, je dirai qu’elle colle tout à fait à mon idéal féminin (rires de ses collègues). Ah vous voulez une description ? Ok.. Alors je dirai qu’elle est de taille moyenne, environ 1m70, plutôt svelte. Je sais pas, elle doit faire dans les 55kg à tout casser. Y’en a pas gros de la prof’, mais croyez-moi faut pas la chercher ! Sous ses airs de poupée fragile elle est plutôt costaud. Une fois je l’ai vu remettre à sa place un pervers qui traînait souvent dans le coin. Je peux vous dire que depuis je me tiens à carreau pendant ses cours !

Elle a les cheveux courts, bruns ; on a l’impression qu’elle est passée devant un ventilateur pour se les couper, mais étrangement ça lui va bien. Je dirai que tout lui va à cette fille…femme pardon ! Elle semble bien aimer se faire des coiffures à la mode « je viens de sortir de mon lit » ; il faut dire qu’on lui laisse le champ plutôt libre niveau coiffure et tenue vestimentaire. Pour moi, ça ne vient que montrer que si on fait preuve de laxisme avec elle, c’est qu’elle est vraiment douée dans son domaine. Alors on lui passe un peu tout ! Niveau fringues… Elle s’habille plutôt décontracté, genre jeans/tee shirts, bottes et petite veste. Décontracté, mais sans faire « je m’habille dans le supermarché du coin » ; vous voyez ce que je veux dire ? Niveau maquillage, à part les yeux je ne crois pas qu’elle soit du genre « camion volé », ça reste super discret. Je dirai que c’est ce qu’on appelle une « beauté naturelle », elle n’a pas grand-chose à faire pour être jolie quoi !

Des signes distinctifs ? Ah si elle a des tatouages, j’en ai déjà vu deux : elle en a un au niveau de la cheville, et qui descend sur le pied ; c’est un chapelet je crois bien. L’autre est dans le haut du dos, une fleur de lotus. La connaissant, ça ne m’étonnerait pas qu’elle en ait d’autres cachés…

Are you good at your job ?

Professeur James Granger, Université de Colombia, NY:

Zoey a un parcours peu commun: elle a obtenu son diplôme de fin d'études à l'âge de 16ans. Son niveau intellectuel supérieur à la moyenne lui a permis sans mal de décrocher une bourse universitaire, et elle fut acceptée ici à Colombia. J'ai tout de suite senti que pour elle la psychologie était plus qu'un parcours choisi au hasard. C'était une vraie passion, et elle avait déjà lu pas mal d'ouvrages sur le sujet. Bien sûr, son intégration ne fut pas évidente; elle était d'emblée cataloguée comme l'intello, la gamine dont personne n'avait envie de s'occuper. C'était quelqu'un d'assez solitaire donc, mais elle n'avait pas l'air de s'en soucier plus que ça, même si le côté asocial qu'elle développa comme moyen de défense la desservit à plusieurs reprises, notamment quand il s'agissait de faire du travail de groupe, ce qu'elle avait tendance à refuser obstinément, ne supportant pas les railleries de ses camarades, sans parler de ceux qui la collaient pour qu'elle soit dans leur groupe! C'était une étudiante assidue, travailleuse et volontaire, qui avait toujours des hypothèses ma foi très intéressantes à exploiter concernant les cas cliniques que nous pouvions étudier en classe. Elle a décroché son Master à l'âge de 21ans.

Intégrer la F.B.I Academy était probablement son rêve le plus cher, et elle y parvint, pour ma plus grande fierté. Elle y étudia les trois années nécessaires, me tenant au courant de ses avancées, et intégra en sortant la cellule antiterrorisme de NYC. Elle avait alors..24ans si mes souvenirs sont exacts..Elle y travailla 3ans environ, avant de faire son stage au sein de la BAU, son "objectif ultime"comme elle le disait. Puis elle intégra de manière définitive la BAU de New York à...28ans. Elle est douée la petite, même si son caractère bien trempé, et son côté tête de mule peut jouer contre elle! Elle a en effet une légère tendance à braver l'autorité, et d'ailleurs d'après ce qu'elle me disait elle avait quelques problèmes avec son chef d'équipe, qui selon elle ne prenait jamais en compte l'avis de son équipe pour prendre des décisions pendant une enquête. J'avais un peu de mal à la croire, connaissant l'oiseau, mais la suite a révélé qu'elle était dans le vrai, malheureusement...

Ce qui s'est passé ce jour-là l'a, je pense, autant traumatisé que refroidi, et elle a choisi de quitter la BAU, et plus généralement le F.B.I, à mon plus grand désespoir! Elle a toujours eu un côté autodestructeur et impulsif... Grâce à de bons contacts cependant, elle a obtenu un poste de professeur à l'université de Georgetown, à Washington. Sacré parcours pour une jeune femme de presque 31ans! Ça fait maintenant 3 mois qu'elle y enseigne je pense.... J'espère cependant qu'un jour elle trouvera le courage de remonter en selle....

Who are your friends ?

Dr Spencer Reid. • ("comprendre, c'est avant tout unifier") J'ai rencontré le Dr Reid au cours de l'enquête qui changea le cours de ma vie. Aussi bizarre que ça puisse paraître, il m'a très vite semblé familier. Il est d'une intelligence remarquable, et quand on travaillait ensemble c'était comme si on était connecté; le travail de l'un venait compléter celui de l'autre. Lui aussi est différent, et c'est peut-être ça qui nous a rapprochés. Avec lui je ne me sentais pas mise à l'écart, mais au contraire je me sentais comprise, et acceptée telle que j'étais. Je sais que je le connais à peine, mais d'une certaine manière je me sens proche de lui, ce qui est beaucoup dire pour quelqu'un comme moi!

Aaron Hotchner • ("le respect de la personne humaine se fonde sur son caractère irremplaçable") L'agent Hotchner dirige l'équipe de la BAU de Quantico. je l'ai rencontré dans les mêmes circonstances que Spencer. Il avait, je pense, vite senti qu'il y avait un malaise dans mon équipe, malaise induit par Baker. Il avait essayé de lui parler, mais visiblement cela n'avait eu aucun effet. Il s'est montré respectueux, et attentif aux hypothèses que je pouvais soumettre, ce qui me changeait. Il est sûrement le patron que j'aurais aimé avoir, charismatique, autoritaire, mais en même temps à l'écoute de son équipe. Je me demande s'il n'a pas contribué à sa manière au poste que j'ai obtenu à Washington... En tout cas, malgré la manière dont a fini notre affaire, c'est quelqu'un que je respecte énormément, et c'est seulement pour aider son équipe que j'accepte parfois de leur filer un petit coup de main.

NOM, PRENOM P. • (titre du lien en minuscule) description pour faire classe, description. description pour faire classe, description. description pour faire classe, description. description pour faire classe, description.

What's your story ?

Pierre Ebey a écrit:: ❝ La vie offre toujours deux pentes: on grimpe, ou on se laisse glisser. ❞ (changez les XXXXXX par le nom de l'auteur)

Ma thérapeute m’a conseillée de coucher sur le papier mon histoire ; selon elle, revenir sur ma vie pourrait me permettre d’une part de faire une sorte de bilan de toutes les choses que j’avais pu vivre jusqu’à présent, et d’autre part peut-être de me rendre compte que j’avais du mal à accepter certaines choses, que ce soit des évènements passés ou des sentiments profondément reniés. Alors voilà…Avant de commencer, je crois qu’un bon verre de vin et une cigarette seraient les bienvenues..

30minutes plus tard :
Bon allez c’est parti… Alors commençons par le commencement : je suis née à New York il y a de ça presque 31ans. J’ai grandi à Staten Island, dans une petite maison dont mon père avait hérité de l’une de ses tantes. Mon père était chef de chantier, et ma mère esthéticienne. Petite dernière d’une fratrie de quatre enfants, j’avais deux frères aînés, des jumeaux, Sean et Jason, âgés de 8ans lorsque je suis venue au monde, et une sœur, Rachel, de 18mois mon aînée. Rachel est trisomique ; à l’époque, on n’avait pas les moyens de détecter l’anomalie génétique avant la naissance. Ma mère avait 36ans lorsqu’elle l’a eu, presque 38 pour moi. Mes parents étaient du genre « catho croyants », alors pour eux un enfant était « un cadeau du seigneur », peu importe comment il pouvait être. Je ne peux m’empêcher de penser que si ma mère avait eu d’autres croyances, ou au contraire si elle n’en avait pas eu, peut-être que suite à Rachel et la découverte de son « handicap » elle aurait décidé de ne plus avoir d’autres enfants, et je ne serais pas là aujourd’hui. Drôle de réflexion non ?

Toujours est-il qu’on a grandi dans un environnement agréable, sécurisé, confiant. Très tôt, je me suis sentie responsable de ma sœur, je ne sais pas trop pourquoi… Peut-être parce que mes frères étaient plus âgés que nous, et qu’en prime c’était, pardonnez-moi le terme, de vrai petits cons qui ne pensaient qu’à eux et à enchaîner le plus de conneries possibles. Mes parents devaient sans cesse les surveiller, ce qui faisait que de mon côté je me sentais responsable de Rachel. Sa différence, avec le regard des gens, sans parler des réflexions des gosses, m’amenèrent très vite à m’endurcir pour la protéger. Nos parents avaient fait en sorte qu’on soit dans la même classe elle et moi, malgré notre légère différence d’âge. Je veillais sur elle, affrontant les gamins moqueurs, allant même jusqu’à me battre parfois. J’adorais mes parents, mais allez savoir pourquoi pour moi Rachel était la personne la plus importante du monde. Douce, gentille, elle était adorable avec tout le monde, même avec ceux qui se moquaient. On ne pouvait pas dire que je me faisais beaucoup d’amis, de par la situation dans laquelle je me retrouvais. Je ne sais pas si c’est pour pallier à ce manque, ou si c’est simplement parce que je suis comme ça, mais très vite je me suis intéressée à la lecture, et j’appris à lire très jeune, quand je restais avec ma mère qui « forçaient » mes frères à faire leurs devoirs. Les livres étaient pour moi un refuge, un monde qui m’appartenait.

Les professeurs découvrirent rapidement que j’avais de l’avance sur mes petits camarades, et, après avoir testé mes capacités, ils décidèrent de me faire sauter deux classes. Cette décision m’éloigna de Rachel et, même si je faisais mon maximum pour la voir le plus souvent possible, je ne pouvais plus la protéger des autres. Je détestais les autres gamins, et devenais quelque peu farouche. Mes parents finirent par mettre Rachel dans une institution spécialisée, ce qui, même si avec le recul s’avérait être la meilleure décision, me brisa le cœur. Je me réfugiais davantage dans les cours et les livres. Je testais tous les styles : poésies, romans « classiques », de science-fiction, policiers… J’adorais chercher à résoudre des énigmes, et très vite les romans policiers et thrillers psychologiques sont devenus mes thèmes de prédilection. J’essayais d’en apprendre un maximum sur le sujet, et décidais rapidement de ma carrière : je serais profiler, celle qui cherche à établir le profil des tueurs. Rien que l’idée me passionnait, et je décidais de tout faire pour atteindre mon objectif.

Avec deux ans d’avance, je fus toujours considérée comme l’intello de la classe, et peu étaient ceux qui traînaient avec moi. Alors niveau sentimental, je ne vous raconte même pas…. J’étais décrite comme une fille solitaire, caractérielle, farouche voir carrément sauvage ! Ce fut à l’université que je découvris les joies et les peines de l’amour, ayant décroché une bourse pour aller étudier à Colombia. Cependant, je découvrais aussi que j’avais du mal à m’engager dans une relation, probablement à cause du rejet dont j’avais pu être la victime à l’école. Aujourd’hui, c’était moi qui, inconsciemment, rejetais les autres… En parallèle, j’avais réussi à décrocher un contrat étudiant pour travailler dans l’institution où se trouvait Rachel, ce qui me permettait de la voir plus souvent. J’habitais sur le campus, au grand dam de mes parents qui désormais se retrouvaient seuls dans leur maison de Staten Island. Sean et Jason, les inséparables, s’étaient engagés dans l’armée dès leur sortie du lycée, ce qui n’était pas pour rassurer les parents… Comme chacun le sait, 2001 marqua un tournant important dans l’histoire de notre pays ; j’avais 20ans à l’époque, et je fus terrifiée en apprenant que mes frères allaient embarquer pour l’Afghanistan. Je n’avais jamais été très proche d’eux, cependant cela ne m’empêchait pas de m’inquiéter… De mon côté, je poursuivis mon chemin : Master de psycho, spécialité criminologie, puis intégration de la F.B.I Academy, qui me força à quitter NY et ma sœur. Même si j’étais heureuse de toucher enfin du doigt mon objectif, être loin de Rachel me peinait.

Après les trois années de formation, je décidais de retourner dans ma ville natale, et décrochais un poste au sein de la cellule anti-terroriste de NYC. J’avais 24ans, et j’étais heureuse à la fois d’être parvenue à acquérir le précieux statut d’agent fédéral, mais aussi de pouvoir être près de ma famille. Sean avait été blessé en Afghanistan, et y avait laissé un bras. Jason avait reçu la permission de rentrer avec son frère, et désormais tous les deux étaient chargés du recrutement, et passaient leur temps à parcourir le pays. Rachel était heureuse dans son institution, où elle faisait un peu de ménage pour gagner un peu d’argent. Mes parents continuaient leur train-train quotidien, contents de savoir tous les enfants en bonne, ou presque, santé. Travailler dans l’antiterrorisme m’a d’entrée de jeu plongé dans la réalité du boulot : c’était intense, difficile, et en même temps tellement passionnant. J’y restais presque 3ans, me faisant pour la première fois des amis parmi mes collègues, et découvrant le grand amour avec l’un des techniciens qui bossait au bureau.

Souhaitant toujours plus que tout devenir profiler, je fis ensuite mon stage d’un an à la BAU, avant d’intégrer définitivement l’équipe de New York. Enfin, j’étais arrivée à devenir celle que je voulais être, au prix de bon nombre de sacrifices cependant. Mon caractère bien affirmé, et mon jeune âge, semblaient cependant ne pas plaire à Jensen Baker, mon chef d’équipe, un vieux con acariâtre. Il agissait en monarque, prenant toutes les décisions, laissant ainsi aux membres de son équipe un champ d’action des plus réduits. Je détestais ce type, pour moi il était dangereux, prenant des décisions inconsidérées, et je ne me gênais pas pour le lui faire sentir.

C’était donc dans des conditions on ne peut plus tendues que je travaillais ; alors que j’étais enfin profiler, il fallait que je bosse dans des conditions difficiles…Enfin, on ne peut pas avoir tout ce qu’on veut dans la vie… Tout finit de basculer lors d’une affaire sur laquelle on collabora avec l’équipe de Quantico. Un tueur avait là-bas fait 3 victimes, toutes mortes dans des explosions. 3 autres victimes étaient à déplorer à NY. Avec leur aide, on avait établi un profil : notre homme devait être un homme de type caucasien entre 35 et 45ans, probablement un ex militaire. Avec l’équipe de l’agent Hotchner, on s’était partagé la liste des suspects établie. A mon plus grand désarroi, je me retrouvais avec mon patron et Franck, un collègue et ami. Arrivés devant la maison du suspect, quelque chose clochait, mais je ne savais pas vraiment quoi. Je demandais au patron de faire venir des renforts, mais comme d’habitude ce dernier m’envoya valser, et donna l’ordre d’entrée. Il s’avérait qu’on était au bon endroit, sauf que le suspect avait miné sa maison. Franck posa le pied sur l’une des mines planquées sous le tapis, et tout explosa. Je me réveillai quelques heures plus tard dans la salle de réveil de l’hôpital, avec un traumatisme crânien et la rate en moins. Franck était lui mort sur le coup, et ce connard de Baker ne s’en était sorti qu’avec quelques égratignures. L’agent Hotchner reprit le commandement, et ils finirent, avec le reste de notre équipe, par arrêter le coupable. Je revoyais le visage terrifié de Franck avant qu’il n’explose ; son visage me hantait, et quelque part je me sentais responsable de sa mort. Je ne pouvais m’empêcher de penser que j’aurais dû davantage insister, que si je l’avais fait peut-être que Franck serait toujours en vie… Il avait une femme et deux enfants…

Deux mois d’hôpital plus tard, je sortais, pour constater que Baker ne s’en tirait qu’avec une tape sur les doigts, alors que ce n’était pas la première fois qu’il nous faisait prendre de gros risques. Dégoûtée par cet homme, et plus globalement par ce travail que pourtant j’adorais, je démissionnais. J’étais anéantie par ce qui s’était passée, et par la facilité avec laquelle mon patron s’en sortait. Mon côté fragile et instable ressortit progressivement, et je passais dans un premier temps mes journées à dormir, à fumer (alors que j’avais arrêté lors de mon entrée à la F.B.I Academy), à boire et à coucher avec n’importe qui.

Je décidais de quitter NY, et par là même de laisser derrière moi famille et amis. J’avais besoin de partir loin, et puis je ne voulais pas qu’ils me voient dans cet état. Le directeur du bureau de NY me trouva un boulot de prof à Georgetown, j’acceptais et partais m’installer à Quantico, où j’avais trouvé un super appart’. Bon d’accord, je devais me taper 58km pour aller à Washington enseigner, mais je m’en moquais… Même si je n’étais pas passionnée pas l’enseignement, je l’étais par ma matière, la crimino, sans compter que les horaires sont plutôt cool. Les étudiants sont sympas, et apparemment, même si je n’enseigne que depuis 3mois environ, je semble plutôt appréciée. Je les écoute, les laisse donner leurs avis et hypothèses, je fume avec eux pendant les intercours, parfois je participe à quelques unes de leurs soirées. Je me laisse porter quoi, et pour moi, même s’il est arrivé que la BAU de Quantico vienne me demander un avis, le profilage appartient au passé, du moins pour le moment. Ca reste toujours ce que j’aime le plus au monde avec Rachel, mais pour le moment ça me rappelle de bien trop mauvais souvenirs… la vérité, c’est qu’à l’heure d’aujourd’hui je me sens seule, perdue, comme au fond d’un abysse sans possibilité de remonter. J’ai tout laisser derrière moi, vivant désormais relativement seule, et ça me convient…

Pseudo • SWEETPEA. CELEBRITE CHOISIE • Shannyn Sossamon AGE IRL • WRITE HERE. MULTICOMPTE • non COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM • Via les partenaires d'un autre forum où je suis NIVEAU D'ACTIVITE • NIVEAU DE RP • Plutôt bon je pense... CONNAIS-TU CRIMINAL MIND• Bien sûr!. AS-TU UNE REMARQUE/QUESTION • Comment on fait pour cocher les trucs là???c’est bon c'est résolu^^ AS-TU LU LE REGLEMENT •

Bienvenue parmi nous ! Razz

Si tu as la moindre questions, les administrateurs Aaron Hotchner, Derek Morgan et moi-même sommes là Wink

De même, les modératrices Juliette Riley, Emily Prentiss et Morgana A. Morris, sont présentes Very Happy

Je te souhaites bonne continuation pour la suite de ta fiche, ainsi qu'un bon jeu en notre compagnie ^^

Bienv'nue à toi et bon courage pour ta fichette ^^

Bienvenue sur le forum! Smile

Bonne continuation pour la suite de ta fiche .

Bienvenue sur le forum !
Nolan a tout dit, je te souhaite bon courage pour terminer ta fiche Wink

Bonsoir et bienvenue sur le forum !

Merci pour l'inscription ! Nolan a tout dit alors je n'ai plus qu'à te souhaiter bon courage pour le reste de ta fiche et un bon RP parmi nous, au plaisir de te lire Wink

Officiellement je te souhaite la bienvenue Ô mon amie Very Happy

bon courage pour la fin de ta fiche j'espère t'avoir aidé ^^'
calin

à très vite

Bienvenue et bon courage pour ta fiche calin

Amuse toi bien parmi et j'espère te retrouver au cours d'un Rp Razz

On vera bien Smile

Bisous

Bienvenueeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !

Merci pour votre accueil Wink

Je pense avoir terminé; au niveau des liens, j'avais vu ça avec Spencer et Hotch; je n'en ai pas mis d'autres, je pense que ça se fera dans le jeu! J'espère que les liens décrits pour vous deux vous iront, sinon n'hésitez pas à me le dire Wink

Je pense avoir répondu à tout, mais comme je suis tête en l'air, hésitez pas à me le dire si j'ai oublié un truc, ou fait quelque chose de travers!

elle a mit mais je suis pas d'accord hein Very Happy

mdrr

ça rocks ^^

Une présentation riche, originale et captivante, qui met en avant deux de nos chers protagonistes de la série ! Very Happy

L'émotion que tu laisses paraître dans l'histoire, a notamment été l'un de mes coups de coeur.
C'est donc avec plaisir que je t'annonce le fait que tu sois validée !

Je vais te donner ta couleur, ton appartement et effectuer tout le reste du tralala Razz

Tu peux aller ouvrir tes fiches de liens et de demandes de sujets, comme il se doit ! Wink

De retour, je te souhaites un bon à travers les traits de ce personnage, en notre charmante compagnie ^^

Merki, les compliments me vont droit au cœur Freehugs

bienvenu parmi nous !!!
J'espère que tu t'amusera bien ici, et puis à bientôt au détour d'un rp Wink

Bienvenue à toi et have fun Smile

Bienvenue parmis nous Smile

Bienvenue sur le forum et amuse toi bien parmi nous!

» She's a spy whatever... Zoey
» Diana Reid [Terminé]
» Ian Doyle - L'Irlandais (Terminé)
» William (Terminé)
» Angelika K. Summers [Terminé]

Zoey Aldrin (Terminé)

Zoey Aldrin (Terminé)

Sujets similaires

Sujets similaires

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée