Anna Jen avait passer la semaine à être la parfaite stagière à la BAU. Souriante, amical, répondant aux ordres à la lettres. Et quand elle rentrait le soire le travail ne la quittait pas Elle passait son temps a regarder des émission sur les criminels, a écouter les témoignage des familles. Bref, toute sa vie de la semaine était consacré entièrement à son travail. Il n'y avait que la fameuse heure où personne ne pouvait la joindre, pas même le burreau. Et les gâteaux quel préparait pour ce sortir tout de même un peut le travail de la tête et qui était en libre distribution dans le burreau de la BAU tout les vendredi. Mais quand elle était en repos ou pouvait dire qu'Anna Jen relachait la pression d'un manière commune à certain corps de métier. Le premier soir elle sortait dans une boite. Rarement la même. Cela pouvait aussi être un bar, ou même un cinéma, puis elle utilisait des techniques de drague en utilisent l'annalyse psychologique rapide afin de finir quelque heures plus tard dans le lit d'un homme qu'elle ne connaissait même pas.
Et c'était toujours le même manège. Anna Jen partait une fois l'homme endormis et ne revenait jamais. Comme elle était du FBI les hommes ne lui courrais pas après. C'était justement ce qu'elle avait fait ce soir. Elle quitta un immeuble du centre ville et ce dirigea dans la direction où ce trouvait son loft.
A ce moment là, les sentiments ce bousculait en elle. Elle était décompresser, mais pas soulager parce qu'elle s'avait très bien que son comportement était assé névrotique. Un rituel, un shoot. Tout cela n'était rien de plus. Son incapaciter à rester ou même à trouver un homme avec qui elle restait plus de deux jours reflétait quelque chose chez elle de mauvais. Si cela parvenait jusqu'a son dossier personnel son père serait cité comme un élément perturbant. Hors elle ne voulait surtout pas que quoi que ce soit de ça famille face plus que des noms et des coordonnée sur une papier. Et surtout, elle ne voulait pas qu'on pensse que cela venait de son père biologique qui l'avait justement éduquer une bonne partie de son adolescence. L'âges de ces chose là. C'était un homme remarquable et un modèle dans le métier de Profiler.
La culpabilité était donc le plus douloureux centiment à ce moment précit, dans les rues de Quantico en pleine nuit.

Le soir. Sans qu'elle ne sache vraiment pourquoi, ce moment précis de la journée l'attirait tout en lui tirant d'intenses frissons. Depuis ses quatorze ans, elle craignait cette période, lorsque la nuit prenait possession de la ville, que les plus grands psychopathes rôdaient à la recherche de victimes, qu'il faisait trop noir pour réellement distinguer ce qui nous entourait, que seules les opsines bâtonnets fonctionnaient, laissant l'environnement prendre un dégradé de nuance de gris. Natasha avait peur. On pouvait la prendre pour une peureuse, malgré son travail qui nécessitait un sang-froid énorme et du courage, et ce serait tout à fait naturel, aux yeux de la jeune blonde ; l'être humain, malgré ses grands airs, étaient peureux. Et égoïste. Il avait même été prouvé, que si l'on mettait des hommes, des femmes, et des enfants en situation de danger extrême, où la seule façon de s'en sortir était de sacrifier les autres, seuls les enfants ne penseront pas à sacrifier la vie d'autrui ; ils étaient, pour la plupart, pas encore apte à réagir de cette façon. Mais à l'inverse, les adultes, eux, n'hésiteraient pas un seul instant à tuer un enfant de moins de cinq ans pour s'en sortir. Même si les remords venaient juste après, et de terribles cauchemars les hanteraient par la suite. Oui, l'être humain était égoïste.

L'agent fédérale avait trainassé au bureau, et sa voiture étant en panne, elle devait marcher. Où ? Elle ne le savait pas réellement. Au début, elle avait pensé aller retrouver Aaron, mais s'était souvenu qu'il passait le week-end avec son fils, et qu'elle ne pouvait décemment pas les déranger. Elle avait ensuite hésité à demander à Abigail, si elle pouvait s'incruster chez elle pour la soirée, mais encore une fois, elle n'osait pas. Pourtant, elle savait qu'elle serait la bienvenue chez son amie d'enfance qui serait très probablement ravie de pouvoir passer un peu de temps avec elle. Mais il était tard. Ou plutôt, très tôt, car il devait être plus de minuit. Et elle ne voulait, en aucun cas, les déranger, Abigail, ou les deux filles qui devaient dormir depuis plus heures. Alors elle errait, à travers les rues de Quantico, une boule d'angoisse au ventre, vérifiant machinalement que son Glock 22 était toujours à sa ceinture. Son arme ne la quittait jamais. Simple précaution. Depuis qu'on l'avait enlevé à l'âge de quatorze ans, elle craignait de trainer dans la rue une fois que le soleil s'était couché, et s'était, une fois sauvée des griffes de Tyler, toujours baladé avec un couteau sur elle, pour se défendre. Elle frôlait la paranoïa, mais craignait trop pour sa vie.

Une ombre se profila doucement à l'horizon. Une silhouette fine et trop petite pour être celle d'un homme. Mais Natasha savait que trop bien qu'il existât des tueurs en série femmes. Sa main alla chercher son Glock 22, et elle continua d'avancer, lentement. Qu'est-ce qu'une femme faisait seule, dans les rues, à cette heure-ci ? Elles n'étaient plus qu'à deux ou trois mètres l'une de l'autre lorsque, à la lumière d'un réverbère, le visage de l'inconnue lui sembla familier ; essayant tant bien que mal de se souvenir à qui la jeune femme pouvait bien lui faire penser, Natasha parvint à sa hauteur. C'est alors qu'elle s'en souvint ; elle bossait avec elle !

Excusez-moi, vous ne seriez pas... (elle tenta de se souvenir de son nom, tache d'autant plus difficile). L'agent... Ferron du FBI ? (elle esquissa une grimace ; elle n'était pas certaine que ce soit le bon nom). Je suis désolée de vous aborder comme ça, je suis l'agent Williams, nous travaillons ensemble, ajouta-t-elle en lui tendant une main qu'elle espérait chaleureuse.

Anna Jen stopa à sa marche à la hauteur de la jeune femme blonde, quand cette dernière lui adressa la parole en écorchant son nom d'un telle façon que cela aurait put être amusant ou insultant. Mais Anna Jen resta de marbre. Elle se sentait toujours coupable d'avoir une nouvelle fois assouvis un besoin physique comme si elle avait pris une dose de craque. Au moins il n'y avait aucun mort, c'était à la fois une penssé réconfortante et engoissante, car les pulsions comme celle-ci était à la base de tout les fichier qu'elle avait traiter au travail.
Anna Jen serra la main de l'agent Williams, mais resta avec une facette de marbre.

-Felton,..., Agent Felton. Il n'y a aucun "r"

Je croisais les doigts mentalement pour qu'elle ne face pas le rapprochement avec le profiler qui allignait conférences et livres, quand il ne travaillait pas dans les prison. Je l'aimais beaucoup, ce n'était pas le problème, mais maintenant il m'avait suffisament pistonner, maintenant c'était à moi de faire mes preuves toute seul. Même si à cette instant j'aurais aimer pouvoir me jetter dans ces bras et lui demander pardon d'avoir recommencer.
Je sentait le la crispation chez l'agent Willams. Les muscles de sa main tremblaient légèrement et elle avait eu un geste très commun au agent des forces de l'ordre avant qu'on ce retrouve face à face. Celui d'avoir les mains baladeuse dans les environs proche de son arme.

-Que faite vous aussi tard dans dans les rues?, vous n'êtes pas en patrouille, votre coéquipier ne serais pas loin, et ça n'y ressemble pas."

Froide. Ce fut le premier mot qui vint à l'esprit de Natasha face à l'attitude de son interlocutrice. Ca la changeait ; elle qui était toujours très souriante, très sociable, très agréable, n'avait pas l'habitude de se retrouver en face de quelque de froid, de marbre, de glace. Presque d'hautain. Mis à part Aaron, mais Aaron était une exception ; il ne laissait jamais filtrer ses émotions, ça ne l'empêchait pas de sembler un peu plus doux quand il rencontrait de nouvelles personnes... Ou bien n'était-ce qu'une illusion de Natasha. Néanmoins, la jeune femme blonde comprenait que lorsqu'une de vos collègues vous interpelle au milieu de la rue, à minuit et des poussières, et écorche votre nom, ça ne donne guère envie d'être sympathique avec cette personne.

Oh, oui. Je vous présente mes excuses...

Felton... Il fallait maintenant qu'elle s'en souvienne. Bah, ça ne devrait pas être trop dur, un acteur portait ce nom. Comme beaucoup d'autres, Felton était un nom très répandu en Amérique. Au même titre que Williams, Doe ou Smith. Les yeux gris pâles de l'agent Williams suivirent le regard de son interlocutrice, et, s'apercevant que sa main était toujours prudemment posée sur son arme, alors que l'agent Felton n'en n'avait pas fait de même, la jeune femme retira vivement sa main, confuse. Décidément, ce n'était vraiment pas sa soirée !

Je pourrai vous retourner la remarque..., rétorqua Natasha, du tac-au-tac. Mais, à vrai dire, c'est parce que je viens tout juste de quitter le bureau et que ma voiture est en panne. Je me rendais à l'hôtel le plus près. Si vous me le permettez, je vous retourne la question ; que faîtes-vous dans les rues à cette heure-ci ?


[ HJ ; Excuse-moi pour le retard ;_; Et aussi pour la qualité ~ ]

**Je vien de me procurer ma dose de drogue légal mais impolis, un mec vas ce réveiller dans quelque heures en ce demandant où est passer la grande rousse de la veille.**

Penssa Anna Jen.
Non, elle ne pouvait pas lui répondre ça. Les aventures d'un soir très fréquente d'Anna n'étaient pas bonne à être connu dans n'importe lequel de ses dossier. Son adiction à passer ça frustration de cette façon lui vaudrait une réévaluation complète, au pire, un renvoie. Elle se força donc à sourir une fois que Natasha eu éloigner sa main de son arme.

_ Si vous voulez je vous dépose, ma voiture est au bout de la rue, La grise métaliser avec des bandes noire.

Anna lui montra une voiture qui était loin de passer inhaperçu, la carroserie métaliser était pailleter ce qui la fesait resortir même sous un simple lampadère, les jente était cromer et les deux fibe bande boire sur le côté lui donnait un aspect de voiture de luxe. Bien que le model ne l'était pas. S'était simplement du Tunning simple mais qui fesait son effet. Ajouter à cela un broching parfait, une robe un peut trop courte, et un videur de boite de nuit qui devait un service, et Anna passait facilement pour une jeune femme riche qui ce remarquait à Quantico. Mais elle n'utilisait pas cette voiture pour aller au travail, seulement pour ces pulsions comme ce soir.

_Vous ne risquez rien, et puis vous avez votre armes.

Souria Anna
Elle aussi l'avait mais dans le creu de son dos, moin visible mais plus difficile à attraper. Mais elle n'avait pas l'intention de l'utiliser.

Etant agent fédéral depuis quelques années déjà, et désireuse de voir son statut s'élever au rang de profiler, Natasha avait noté le sourire crispé de son interlocutrice. De même que cette dernière ne lui avait pas répondu. Pourquoi, ça, la jeune femme blonde ne pouvait le deviner, mais n'allait pas insister. L'agent Felton était libre de lui raconter ce qu'elle tramait. Mais Natasha se méfierait davantage, à l'avenir ; ça pouvait être inoffensif, tout comme ça pouvait être très dangereux pour la nation. Espérons que la réponse soit la première option. Puis, son interlocutrice lui proposa de l'emmener à l'hôtel ; sa voiture n'était pas très loin. Avec un automatisme humain, Natasha tourna la tête en direction de ladite voiture ; un fin sourire effleura ses lèvres. Le véhicule était typiquement le genre de bolide que son frère aîné rêverait de conduire. Natasha, elle, se contentait de sa fidèle Mustang. Unique marque qu'elle aimait, unique modèle qu'elle préférait. De là où les deux agents se tenaient, le halo du lampadaire éclairait juste assez pour qu'elles puissent distinguer la voiture sans avoir besoin de s'approcher.

Belle voiture, admit la jeune femme.

A la remarque ajoutée par sa collègue, Natasha eut un faible sourire ; oui, elle avait toujours son arme pour se défendre. Mais de quoi aurait-elle besoin de se défendre ? Elles étaient, apparemment, seules dans la ruelle, et l'agent Felton, bien que d'abord froide, ne semblait pas agressive pour autant. Natasha se méfiait, mais pas au point de pointer son Glock .22 sur l'une de ses collègues ! Surtout pas si cette même collègue lui proposait gentiment de la déposer.

Oui, c'est vrai, j'ai mon arme... Mais je ne voudrais pas vous ennuyer ou vous faire faire un détour...